L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 46) -
L'Odyssée de la Belle Hélène Les Géants de Golem
Cela faisait déjà plus dune semaine que la Belle Hélène avait enfin retrouvé son esclave mâle Endymion, celui quelle avait tant recherché en de multiples aventures. Oui, elle était enfin arrivée jusquà lui après son incroyable aventure au cur même de lOlympe des Dieux et dans les conditions que lon connait
Les retrouvailles ont été un grand moment pour les deux personnages surtout suite aux extraordinaires circonstances ayant permis celles-ci. Cest donc avec Endymion mais aussi avec son autre esclave femelle Clytia, que la plus belle Femme du monde terrestre avait quitté la cité grouillante dOlympie afin de suivre sa route se sachant surveillée de près par son seul et Divin Guide, le Dieu Apollon, garant Suprême de son extraordinaire destinée
La route était mal carrossée et en cette matinée, il faisait déjà très chaud, les chevaux avançaient doucement. Sur le premier, devant, était assise la Belle Hélène ayant choisi de prendre la direction du Sud comme guidée par son instinct, ce dernier parfaitement manipulé par la Divinité Apollon. Sur le deuxième cheval, les deux esclaves avaient le privilège de ne pas marcher pour cette fois, mais avaient eu lautorisation de monter à cheval car la Maîtresse voulait ménager leurs forces ayant bien pris en compte la chaleur exceptionnelle de cette journée caniculaire
Il y avait donc une bonne heure que le petit convoi avançait en silence, calmement où seuls les bruits de quelques oiseaux criards se confondaient avec la petite et chaude brise
Après avoir descendu une douce pente caillouteuse, la végétation se faisait de plus en plus rare et une immense plaine soffrait devant eux sur les dizaines de kilomètres voire une bonne centaine, à perte de vue droit devant. Une plaine sans aucun doute aux allures désertiques, on peut même affirmer quils avaient en face deux carrément un désert sans fin. Alors, le premier réflexe de la Belle Hélène fut de jeter un il à larrière de son cheval pour bien vérifier si les deux grosses outres remplies deau étaient bien fixées, car traverser ce désert sans eau aurait été purement suicidaire.
Ejectés et couchés dans le sable, nos trois héros effrayés regardèrent autour deux, la peur les ayant aussi gagné, ils voulurent rapidement se redresser alors que le tremblement continuait encore plus puissamment quand, dans un bruit de tonnerre venant de nouveau des profondeurs de la terre, celle-ci sentre-déchira, se déroba sous leurs pieds, le sol dabord se fissura sur une longue, très longue ligne passant entre Hélène et quelques mètres plus loin les deux esclaves. Puis cette fissure ciselée comme un éclair dans le sol souvrit laissant place alors un large ravin profond, le sol sécartant à vue dil sous leurs pieds. Ils tombèrent dans un abîme sans fin, dans un gouffre gigantesque, où tout autour deux, ce nétait plus quune apocalypse aux éléments déchainés. La chute fut vertigineuse, le vide total dura de longues minutes où on ne pouvait de moins en moins distinguer lenvironnement hostile et destructeur. Et plus ils tombèrent profondément, plus leur vue devenait floue, jusquà que la couleur feu-rouge-orangé apparue tout autour deux alors quils chutèrent encore plus vite à une vitesse vertigineuse
Cest ainsi dans cet incroyable tourbillon quils sévanouirent, perdant connaissance tous les trois, tandis que leur chute saccentuait dans les entrailles de la terre
Cest Hélène qui la première ouvrit les yeux.
Cest alors quelle entendit de nouveau un vrombissement mais celui-ci venait du cur de la montagne. Tout se mit à trembler de nouveau mais cette fois ce ne fut pas le sol qui se dérobait sous ses pieds mais plutôt la montagne qui commença à se fissurer pour souvrir en deux parties bien distinctes sécartant pour créer un passage étroit, un canyon dans un bruit presque insupportable. Puis subitement, la montagne se figea et plus rien ne se passa, le silence total
La Belle Hélène se trouva ainsi devant ce passage étroit denviron un mètre de large aux parois si hautes quelle ne pouvait distinguer leur sommet
Après avoir hésitée, elle sy engagea, ne sachant pas ce quelle allait découvrir
Elle marcha doucement craignant un quelconque danger, scrutant le moindre recoin pierreux quand, au bout dune petite demi-heure de marche le passage sélargissait à la sortie dun tournant étroit en forme de coude, pour laisser place à une vaste clairière de pierres de plus de cinq cent mètres de large sur autant de long.
Autour deux, il était évident pour la Belle Hélène de sapercevoir quune improbable mais bien réelle orgie D/s se déroulait sous ses yeux. Mais une orgie vraiment spéciale car si les dominés était bien des êtres humains totalement dénudés, des femmes et des hommes esclaves, les Dominants étaient des êtres vivants mais
ils étaient en pierres !
La Belle Hélène était arrivé chez le peuple des Géants de Pierre de Golem
Ils avaient une apparence dhommes géants, des créatures denviron 2 mètres de haut avec une grosse tête, des gros bras et deux épaisses jambes mais leur peau, leur corps entier étaient en effet tout en pierre ! Leur sexe dressé énorme était aussi en pierre très dure mais leur verge se différenciait du reste du corps par un lissage parfait, telles des pierres quon aurait polies, ce qui procurait à ces colosses de rocs, le pouvoir de pénétrer les esclaves par des sexes hyper lisse et durs telle la pierre ! Le gland épais de leur phallus était constitué dune pierre ronde un peu ovalisée finissant de forme conique et légèrement pointue et sombre et leurs testicules constitués de grosses pierres blanches déformées.
Une de ces créatures enculait un esclave mâle à même le sol de son sexe lissé, alors que lenculé branlait un autre sexe de pierre, sexe trop gros pour sa bouche. Une esclave femelle se faisait aussi baiser en levrette juste à côté alors quun peu plus loin une autre esclave, était empalée sur un Golem couché sur le dos
De telles scènes orgiaques se multipliaient sur toute la surface de la clairière, cela donne une idée du nombre important de créatures de pierre et desclaves en pleine orgie.
Une fois la Belle Hélène attachée près de ses deux compagnons (et esclaves) de voyages, lorgie repris avec frénésie comme si rien nétait. Cest ainsi, si bizarrement que ce soit, quon ne fit pas cas deux, on copulait, de partout dans des gémissements de plaisirs pour les Dominants, de douleurs pour les dominés, des cris de jouissances sans que personne ne se préoccupe des trois prisonniers
Cette situation, pour le moins insolite, dura à nen plus finir car étrangement les Golem qui avaient éjaculé continuaient à copuler de plus belle, au grand dam des dominés qui subissaient encore et encore les assauts sans fin de ces créatures dun autre âge ! En effet, aucunes débandaisons napparurent, aucunes ne leur furent possible car leur gros sexe en pierre lisse restait de la pierre et donc Hélène conclut rapidement que ces Géants était condamnés à vivre en état dérection permanente
Ce nest quau bout dune bonne heure que les Géants de Golem sarrêtèrent quand un nuage de poussière apparut tout au fond de la clairière, là-bas, loin à lhorizon. Les Golem, sans parler de panique, se pressèrent tant quils le pouvaient car à cause de leur poids, leurs mouvements étaient plutôt lents, ils sactivèrent à obliger les esclaves à tous se regrouper, se reculer et à sagenouiller tête baissée et bien alignés en rang. Puis à leur tour et encadrant de chaque côtés les esclaves soumis, ils se tinrent droits debout et immobiles comme sils étaient au garde à vous comme leur sexe dressé. Ils furent tous positionnés ainsi quand, du nuage de poussière se rapprochant, émergeait maintenant bien distinctement et doucement un immense et haut trône monté sur un impressionnant char en pierre de plus de dix mètres de haut et vingt mètres de large et tracté par des épais cordages que tiraient des dizaines et des dizaines desclaves pour faire avancer les énormes et multiples roues hautes de deux mètres chacune
Des Golem marchaient de chaque côté du convoi et fouettaient les esclaves. Quand le char arriva près des Géants de Golem, celui-ci stoppa, ce qui permis aux esclaves en sueur de souffler un peu
Tout en haut du char, sur un immense trône de granit blanc sculpté, trône dominant de larges marches descaliers, était assis un Golem au sexe imposant dune pierre gris clair que des femelles-esclaves léchaient avec avidité car en effet il était entouré, à ses pieds, desclaves femelles enchainées, assises ou agenouillées sur les plus hautes marches pour les favorites et selon leur rang desclaves plus en bas pour celle du bas harem. Sans aucun doute, Hélène compris que celui qui était assis sur son trône, était le roi des Géants de Golem
(A suivre
)
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