Ardente Christelle...
Je sortais du domicile de Brigitte, après une énième aventure avec elle. Comme je le faisais souvent en ces moments-là, javais caché ma charrette dans le square bien à labri des yeux indiscrets bien enfoui dans les buissons. Je métais tout de suite au boulot.
Alors que je balayais, je me mis à penser. À quoi me
diriez-vous ? à tout
Enfin pas exactement ! Seulement à ce que me faisait faire ma
perversité. Et cela quoique je venais de vider mes couilles. Même cela de mapaiser pas. Et très vite les relents du passé se firent bien présents dans mon cerveau.
À nêtre même pas distrait par le ballet des passants. Éphémères, surtout quelles disparaissaient très vite. Puis une voix se fit insistante à mes côtés. Douce, légère et fraîche, me faisant sortir de ma cogitation.
Je tournais la tête et découvrais la plus charmante des visions que jaurais pu espérer ce jour-là. Elle était là, à mes côtés et elle me parlait. Visiblement irritée par mon silence. Je sortais de ma torpeur. Me confondais en excuses et mécartais pensant lui bloquer laccès à la grille dune demeure. Elle était parée du parfait uniforme de la bourgeoise. Peut-être la cinquantaine, tout de sombre vêtue, les
cheveux teints en noir de jais ramené en queue de cheval. Je me rendais compte que jétais en train de la détailler de la tête aux pieds. Surtout ses orteils à vrai dire, gainée dans du nylon gris fumé qui sortaient du bout des escarpins ouverts. Et qui me donnait lenvie de les sucer. Réalisant ma conduite, je relevais la tête pour voir ses yeux, rieurs, plonger dans les miens. Elle était charmante.
Son sourire était communicatif et je mefforçais den esquisser un.
- Cela fait longtemps que vous êtes sortis ? me demanda-t-elle.
- Pardon ! Lui fis-je.
- Oui, de chez Brigitte.
- Heu
oui
jen bafouillais même.
- Une sacrée cochonne celle-là.
- Vous la connaissez ?
- Et comment, que je la connais.
- Ah bon !
- Vous connaissez mon mari ?
- Non
je nai pas cette joie.
- Mais oui, que vous le connaissez, insistait-elle. Il était ami de votre oncle. Toujours fourré ensemble faisant les quatre cent coups.
- À présent que vous me le dîtes, oui, je vois.
- Dailleurs jétais au mariage de ta cousine. Je vous ai même aperçu.
- Oui, cest vrai. Jy étais. Il y avait pourtant du monde.
- Oui, mais javais d yeux que pour vous.
- Oh je suis confus
- Alain, murmura-t-elle, jai peur
- Vous avez peur ? Mais
de quoi donc ?
- Vous ne comprenez pas
ce qui meffraie
cest moi, cest
cette pulsion, cette attirance qui me pousse à me comporter comme une chatte en chaleur
ce nest pas du tout moi
- Ben
je ne comprends pas très bien
Je vous fais peur
- Je crains ce
ce nest pas vous que je crains, mais ce sont mes réactions ! Vous voyez à cet instant, jai envie de vous embrasser.
- Membrasser !
- Cest vrai
mais nallez pas croire que je suis une
nymphomane. Je sors dune expérience douloureuse
je
je suis désolée
- Écoutez
ne soyez pas aussi désolée, rien de terrible. Mais si vous le permettez il faut que je travaille.
- En pourrait ce revoir ?
- Pourquoi pas
Et sur ce, elle mabandonna pour rentrer chez elle.
La nature étant ce quelle était, je cherchais un endroit tranquille pour satisfaire une envie pressante. Une chose qui se
présentait toujours suite à une bonne baise.
Alors que secouait ma verge pour y faire tomber les gouttes récalcitrantes, de nouveau une voix se fit entendre. La même qui mavait interpelé quelques minutes plus tôt et qui disait ceci :
- Et
le cantonnier, je vous offre un café ?
Je mis que quelques secondes à réfléchir avant de mavancer jusquà son portail.
disparaisse de mes yeux.
- Entrez.
Elle mattendait derrière la porte. Je lus dans ses yeux quelle était ravie que jaie accepté linvite. Elle minstalla dans son salon alors quelle allait préparer le café. Jen profite pour mintéresser aux photos exposait un peu par tout.
- Je tenais à vous dire que je suis confuse pour tout à lheure.
- Pour tout à lheure ! Pourquoi il sest passé quoi ?
- Vous êtes merveilleux. Me faisait-elle avant de moffrir son
plus beau sourire.
- Si vous parlez un peu de vous dabord ? Lançait-elle alors quelle emplissait les tasses de café fumant.
Je prenais place sur le divan, la femme dont je connaissais encore pas comment elle se nommait vint sinstaller près de moi et posa un instant sa tête sur mon épaule.
- Tu as une femme, une copine ? Menvoyait-elle, passant au tutoiement. Pardon
désolée, je suis indiscrète !
- Au moins vous vous êtes du genre direct ! Javais une copine
mais enfin
Nous éclations de rire.
- Donc, poursuit la femme, tu balayes le quartier
depuis quand ?
- Ah ça vous ne le savez pas ?
- Non jai remarqué ton petit cinéma avec Brigitte que depuis peu.
- Cela fait déjà cinq mois
- Que tu couches avec elle ?
- Non que je balaie le quartier.
- Et avec Brigitte ? Si tu me trouves trop indiscrète tu naies pas obligé à répondre.
- Vous vous nommez comment ?
- Christelle.
- Et bien Christelle sachez que moi et Brigitte cela remonte à
pas mal de temps.
Et là je lui expliquais les origines de notre relation. Cela avait mis un certain temps. Pris entre les engrenages des questions et des réponses je navais pas vue le temps passé. Mais alors que je mapprêtais à rejoindre mon lieu de travail, Christelle me réintégra son besoin quand se revoie.
Bien sûr quavec ce petit jeu il allait un jour où lautre ce passer quelque chose.
Je marrêtais devant la porte dentrée pour reprendre mon calme, tant jétais obsédé par les instants à venir. Je poussais la porte, elle était comme prévue pas verrouiller. Je passais la tête dans lentrebâillement cherchant à entendre ou voir ce qui se passait dans
la demeure. Jattendis quelques secondes, puis menhardi jusquà
pénétrer.
Je refermais la porte et à pas de loup, avançais. Des tapis épais. Un salon en cuir. Des meubles désign. Cette femme nétait pas dans le besoin.
Un parfum de femme baignait lensemble. Je marrêtais devant la porte du salon. Quand jentrais, elle attendait que jaie refermé la porte, puis tourna lentement la tête en me regardant avec un petit sourire de connivence.
- Toi là ? Enfin, dirais-je !
Je me dirigeais comme à chacune de mes visites vers le fauteuil. Y posait mon cul, attentif à ce qui allait se passer.
Roulant doucement sur elle-même, elle dévoila progressivement
ses jambes, puis ses hanches et enfin ses fesses nues sans me quitter des yeux. Je restais un moment sans ne rien faire. Mabreuvant de linstant présent. Mes yeux caressant son corps dans les moindres replis. Consciente de ce quelle faisait, elle me tournait complètement le dos. Métalant les globes rebondis de son fessier. Puis comme ce nétait pas suffisant, elle écarta les jambes en tendant la croupe en
arrière. Elle se pencha en avant puis écarta ses fesses de ses deux mains, me révélant ses deux trésors quelle mettait à ma disposition.
Dans un silence minéral, jobservais le spectacle qui métait offert en connaisseur, et leffet que je connaissais parfaitement se produisit. Je sentis mon sexe se dresser et enflé bénis.
Contre toute attente, Christelle prit sa culotte posée près delle
et me la lança. Comme souvent quand javais le plaisir den tenir une en main, je le portais à mes narines pour sentir toutes les nuances de ses odeurs.
Et comme pour lui en donner autant quelle men avait donné, jenclavais ma verge dure de ce tissu, et commençais un lent va et vient, tout en regardant Christelle. Pour ne pas rester en reste, elle se caressait aussi.
- Superbe, lui dis-je doucement, dune voix altérée par le désir.
Lépaisse touffe brune de sa toison était déchirée par une crevasse rouge du sexe béant et trempé. Une perle surgissait de mon méat urinaire. Jétais proche du dénouement final. Je pensais quil serait approprié que jarrête. Donnant le rendez-vous de cette jouissance pour plus tard. Javais encore tant à faire avec une si grosse cochonne comme pouvait lêtre Christelle.
Elle me tournait toujours le dos, penchée en avant, et fit quelques pas en arrière pour sapprocher de moi qui métais avancé près du divan. Amenant sa croupe à hauteur de mon visage. Je tendis les mains en avant et passais un doigt entre les deux globes quelle moffrait. Puis je memparais et les approchai de mon visage. Je sortis la langue et me mis à la lécher. Dabord de chaque côté de la raie, puis progressivement de plus en plus au centre. Elle nattendait que ça de ma part !
Elle se laissait aller à pousser un gémissement de plaisir tout en repoussant la croupe en arrière jusquà sentir mon nez dans la raie de ses fesses. Avec ivresse jenfonçais ma langue dans la cavité sexuelle torride. Léchant avec une gourmandise avide les parois gorgées de suc vaginal, tout en frottant adroitement son nez sur son merveilleux trou du cul aromatisé.
Immédiatement, elle se cambra convulsivement en agitant violemment son bassin, émettant des cris de plus en plus forts. Un torrent brûlant surgit des profondeurs de ses entrailles, emplissant ma bouche dun flux bouillonnant. Je mempressais davaler la liqueur au goût âcre qui en fusait, tandis que la femme prise dune frénésie charnelle se contorsionnait tout en jouissant. Je mactivais encore quelques minutes. Les orgasmes senchainèrent. Puis elle se laissa tomber sur le divan. Les quatre fers en lair.
Reprenant ses esprits, elle ouvrit les yeux et me fixer avec un regard rempli de concupiscence :
- Cétait magnifique, murmura-t-elle
Jétais bien
Tu es un suceur merveilleux
Là, elle prit mes joues. On se fixait sans bouger.
- Je peux te pisser dans la bouche ?
- Et pourquoi cela ?
- Parce que jen es envie ! Cela tennuie ?
- Fais-donc
- Approche ta bouche de ma cicatrice. La miction me donne toujours une nouvelle jouissance, me lançait-elle, très différente, presque meilleure que lorgasme. Il est rare de trouver un amant complaisant.
- Arrête de parler et envoie ta pisse de salope.
- Si tu le prends comme cela, tiens alors. Lançait-elle en grimaçant.
Et tout de suite après, un jet de pisse fusa de son con, et dans un gargouillis de joie. Jengloutissais le précieux liquide salé et tiède sans rechigner. Après sêtre soulagée, elle me demanda :
- Tu es du genre curieux, toi !
- On ne se refait pas.
- Je pense que nous allons faire beaucoup de choses ensemble.
- Ah oui.
- Donne-moi ta queue !
En deux gestes, je me dépiautais tout en scrutant Christelle. Ma queue surgit à lair libre. Je pris place sur le divan, alors quelle se positionnait devant moi. Elle se pencha sur moi. Sa langue pointue se promena sur le dessus de mon gland. Elle essayait de se faufiler dans le méat. Je peux vous dire pour ceux qui connaissent cette caresse, que ça fait un effet délicieux. Je flottais en plein bonheur.
Puis elle lembrassa, la suça en experte. Elle se passa ma queue sur les lèvres. Sous les narines, se lenfonça dans le gosier. Du coin de lil. Puis elle mabandonna pour prendre position à son tour sur le divan. Et là, en toute pureté elle laissa tomber :
- Mets-la-moi à fond. Dans tous les trous.
Je mexécutais et commençais par le plus mouillé. Je lempoignais aux hanches. Lempalai tranquillement et me mis en action. Doucement, jentrepris de donner à mes hanches un mouvement davant en arrière ample et lent, faisant sortir entièrement mon sexe de celui de Christelle avant de la poignarder à nouveau complètement.
Je la possédais ainsi pendant quelques minutes. Puis je la fis se retourner. Je lui saisis les chevilles et lui remontais les jambes à la verticale en les écartant. Elle saisit mon sexe et le guida jusquà lentrée de son fourreau trempé de désir.
Je n’eus quà pousser un peu, pour voir ma verge disparaître. Elle mengloutit voracement. Emporté par une fougue incontrôlable, je laissais se déchaîner ma frénésie dhomme. Allant et venant presque sauvagement dans le sexe à chaque poussée plus liquide et plus chaude et la faisant gémir davantage. Ses seins ballotaient.
À ce moment-là, par la fenêtre de la chambre, japerçus quand nous espionner. De sa porte-fenêtre, sans se cacher. Il se délectait du spectacle que lon lui offrait. Il tenait dans sa main une belle queue qui masturbait énergiquement.
Tout au fond de son sexe, comme une main cachée se mit à me branler. Mon regard dirigeait vers lintrus. Je devinais son éjaculation de part son rictus. Moi aussi, je ne tardais pas à jouir, tellement lexcitation devenait insoutenable.
Quelques minutes plus tard, alors quen récupérer devant une tasse de café, elle me confia :
- Il y a longtemps que je navais autant joui
Et toi ? Tu as été heureux ?
- Oui, jadore faire jouir mes partenaires.
Alors, en me tendant lassiette avec des gâteaux secs et lâcha du bout des lèvres :
- Tu sais si tu seras toujours le bienvenu chez moi
Alors que je mapprêtais à quitter les lieux, je repensais à lintrus et le lui en fis part.
- Oh ! Tinquiète... Me lâchait-elle. Cétait mon beau-père. Je texpliquerais.
Attendri, je lattirais à moi, collant mes lèvres aux siennes lembrassais passionnément, lui fouillant la bouche de ma langue agile, bien décidé à donner une suite à notre relation.
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