Souvenir D'Une Expédition
Un film, hier soir, avec une biologiste au brésil, a ramené des souvenirs sur une expédition qui a été déterminante pour la suite de ma carrière et de ma vie familiale.
Pendant plus de cinq ans, jai effectué des missions en Amazonie pour le compte de lOMS, en tant que médecin épidémiologiste, accompagnée par un guide local et un autre Médecin, biologiste. Cest lors du troisième voyage dans une tribu, que cette histoire mest arrivée ; javais 30 ans. (Que cest loin) ; jen ai 55 aujourdhui
Après deux courts voyages de préparation, la mission était de vivre six mois, en totale autarcie parmi un peuple primitif, afin dy faire une étude parasitaire. Si ce voyage me passionnait, professionnellement, jangoissais cependant, car vivre au milieu dune tribu, sans en connaitre la langue (merci notre guide) ni leurs coutumes, me faisait un peu peur, malgré la présence de mon collègue, lui déjà très habitué à ce genre de déplacement.
Après une longue remontée en pirogue de lamazone, nous avons débarqué au bord dune trouée darbres. Trois hommes nous attendaient. petits, hirsutes, le corps couvert de cicatrices formant plus ou moins des dessins, simplement recouvert au niveau du sexe dune sorte de pagne , le visage fermé, nous dévisageant des pieds à la tête ; après palabres avec notre guide, chargeant notre matériel, ils nous font signes de les suivre et commence alors une marche harassante, au milieu dune foret intense, humide , grouillante de bruits , qui me font frissonner ; très rapidement je suis en sueur, tant par la chaleur et la difficulté davancer, mais surtout dappréhension ; après plus de deux heures de marche ,à la tombée de la nuit ,nous débouchons sur une grande clairière, contenant en tout trois grandes huttes sur pilotis ; des s, nombreux, sont groupés derrière leurs parents ; manifestement, lambiance ny est pas ; deux hommes se détachent et notre guide fait les salutations dusage ; nous apprenons quil sagit du chef et du sorcier-guérisseur.
Grosse surprise, notre hébergement se fait dans la case commune, une immense paillote surélevée, notre matériel étant stocké à labri de lhumidité ; pas d'intimité, homme et femme vivent dans la même pièce, seuls les plus grands s et les vieux vivent à part ; une case par contre étant réservée au sorcier ; la cuisine étant faite au sol. Un coin de la hutte nous est attribué ; épuisée, je mallonge sur la natte, toute habillée et je mendors. Le jour est levée quand je me réveille ; plus personne dans la pièce et toujours en pantalon et chemise, je descends ; une vielle femme, entièrement nue, les seins plats et tombants, me tend une galette et une écuelle de lait ; pas un homme en vue, seules les femmes sont présentes et tout en vacant à leurs occupations, elles me dévisagent, et mévitent. Cest avec soulagement que Phil (le médecin) et le guide arrivent (nom imprononçable, pour nous ce sera pat) ; en short et torse nu, je découvre leur physique avec plus de détails : deux beaux mecs, musclés, mat de peau. Un peu de bien dans cet univers hostile ; je décide de me changer et quand je reviens, short et débardeur moulant ma généreuse, mais néanmoins ferme poitrine, Phil ne peut sempêcher de sifflet « beau gabarit, mais attention aux coups de soleil ». la journée se passe à préparer notre matériel et à finaliser notre travail ; la présence de ces deux mâles, à moitié nus ,la chaleur aidant, réveille en moi de doux émois, et il me faut beaucoup defforts pour me concentrer et sur ma couche le soir, une furieuse envie de me caresser me taraude le ventre ; recouverte par le duvet, simplement vêtue dun caleçon et dune petite chemise, ma main trouve le chemin de mes seins, dont les tétons traduisent mes envies, puis rapidement de mon ventre ; autour de moi, tout le monde dort, et le plus discrètement possible, mes doigts samusent vers le clito en érection, avant denvahir ma chatte ; elle est déjà mouillée et le va et viens de mes doigts a vite fait de mapporter le plaisir ; les lèvres pinçaient pour ne pas gémir, je me triture le bouton et soudain la jouissance arrive, fulgurante ; je ne peux retenir un petit cri de plaisir et affolée, je regarde autour de moi ; heureusement rien ne bronche.
Le lendemain matin est moins plaisant : jai oublié les moustiques, voraces en ces régions et jai de nombreux boutons sur le corps, sans parler dhorribles démangeaisons. Et ici les produits européens sont nuls. Cest la même petite femme qui vient à mon secours ; constatant les dégâts, elle me fait signe de la suivre et une écuelle pleine dun liquide elle me fait comprendre que je dois quitter mes vêtements et de mallonger sur ma couche ; elle menduit alors de sa potion, ses mains sont agiles et bientôt tout mon corps est enduit ; rapidement les douleurs des piqures sestompent ; un vrai bonheur dautant plus quelle continue à parcourir ma peau qui frémit aux contact de ces mains qui maintenant la caressent ; des pieds à la tête, ses doigts voltigent et une douce chaleur monte dans mon ventre ; me faisant mettre sur le ventre, elle écarte mes cuisses et sa main saventure à lintérieur du triangle, frôlant à chaque passage et de plus en plus près, mes lèvres, largement offertes ; me regardant dans les yeux, un sourire aux lèvres, elle enfonce deux doigts dans la chatte ;une décharge traverse mon corps et je me cambre, désirant cette caresse ; ses doigts tournent dans le vagin, gagnant à chaque fois un peu plus de pénétration ; jai limpression dêtre écartelée , mais je moffre le plus possible à cette possession qui me dévore ; dune poussée plus violente, cest toute la main qui me prend ; je ne peux retenir un cri, mais elle nen tient pas compte, glissant dans le conduit lubrifiée, Au fond de ma matrice, pleine de mouille, elle mamène à une grande jouissance. Epuisée de plaisir, je meffondre sur ma couche ; quand je reprends conscience, elle a disparue.
Parée contre le soleil et les moustiques, je rejoins Phil qui a commencé le travail des premières analyses et je lui rapporte leffet de longuent pour les moustiques, et la possibilité den avoir la composition de ce produit aussi efficace ; il a un grand sourire, un peu moqueur
« Il ny a pas que pour les moustiques quil est efficace » je pique mon phare, mais je fanfaronne
« Pourquoi dis-tu cela ? »
« Je suis monté pour prendre des affaires, mais il est vrai que tu étais trop occupée ; je dois dire que le tableau était plaisant » je ne sais plus où me mettre ; Phil est un copain, mais uniquement de boulot
« Au fait, si tu as de nouvelles envies cette nuit, appelles moi ! » et en riant à pleine gorge, il sen va ; bouleversée, je comprends quil ma entendu, et je peux en déduire quil nest peut-être pas le seul.
Pour nous il fallait que le contact se fasse rapidement, car nous avions besoin que les hommes nous fassent connaitre les plantes quils utilisaient pour se préserver ainsi, car en effet peu ou pas de bobos dans le village, et si un quelquun se blessait ou se brulait, il était remis en peu de jour, après passage chez le sorcier. A ma demande, pat prit contact avec le chef afin dessayer daméliorer la situation. Son visage fermé, lors de son retour me fit comprendre que la partie nétait pas gagnée.
« Tout vient du marabout ; nous ne faisons pas partie de la tribu et il interdit aux hommes de nous parler car nous ne sommes pas initiés » je reçois un coup sur la tête, tout ce voyage pour rien, il faut absolument y arriver
« Et que faut-il faire pour être initiés ? Pat semble particulièrement gêné
« Vassy accouche, qui va-t-il de si terrible ? » Je suis à peine aimable ;
« Daccord, mais accroche toi ! pour nous accepter dans sa tribu, nous devons subir les initiations communes à tous les adultes ; si pour les hommes, cela ne pose pas trop de problème, par contre pour toi, il faut que tu acceptes, dabord de te dévêtir comme les autres ,comme nous dailleurs, là encore cest possible sans doute, par contre tu dois aussi appartenir au chef, ainsi quau sorcier ; il existe un droit de cuissage et toutes les femmes, en âge de procréer, doivent, avant de se faire prendre à leur volonté, par les autres leur appartenir .
Les jours suivant ont été un peu plus calme, mais toujours pas de contact avec les hommes, donc pas de travail intéressant. Un soir mes deux compagnons mannoncent quils ont décidé de se mettre comme les indigènes et quils vont participer à la soirée dinitiation prévue pour eux ; en effet la nuit tombée, pour une fois tout le village est réuni, les femmes dun côté , les hommes autour du chef ; je découvre que pat et Phil ont tenu parole, ils ont quitté, la totalité de leurs vêtements et ils portent le pagne ; pour eux le cérémonie consiste essentiellement à un rasage complet de leurs corps, y compris de leurs attributs sexuels ; il est vrai que tous les indigènes sont imberbes, tant sur le corps que sur le sexe, y compris les femmes : leur pubis est glabre, laissant la fente visible ; pour eux pas de problème. Par contre il nen est pas de même pour Phil, car le rasage est fait devant tout le monde, par un homme et rapidement sous les attouchements, il bande rapidement ;sa queue est large et courte et sa vision me rappelle une nuit passée ; le rituel se continue par la vérification de leur gland pour vérifier quil circoncis et par des scarifications sur la poitrine : ils sont maintenant adoptés, ce qui signifie entre autre quils peuvent baiser avec les femmes et cela se termine par des danses et une boisson, peu agréable, mais qui petit à petit chauffe les tempéraments et je constate que mes deux lascars, le sexe bien tendu sous leurs pagnes quittent lassemblée en bonne compagnie ; ce qui me perturbe car je commence à être en manque de sexe , moi aussi.
A mon retour dans la case, je retrouve mes deux acolytes, ils ont changé de femmes et baisent ardemment ; à mon tour ,je réclame à Phil de me prendre, mais surprise, ils nont pas le droit ; le chef doit être le premier et nul homme ne doit me posséder ; cest une horreur pour moi, car autour de ma natte, plusieurs indignes baisent, ainsi dailleurs que mes deux loustics ; la nouveauté attire et les femmes dociles écartent les cuisses ; pendant ce temps ,je ne peux que me branler jusquà épuisement.
Le lendemain, je constate que le climat a changé et quenfin, il est possible de les suivre en forêt. Erreur, seuls les deux hommes ont ce droit ; je reste cantonner à mes expériences au camp. Le lendemain, je décide de quitter mes vêtements ; je nai pas le temps de sortir de la case que la vielle femme me retient et me montre mes poils pubiens ; elle me fait comprendre que je dois les raser ; pourquoi pas ! cest elle qui sen charge et comme au premier contact ses gestes sont doux et précis ; en un rien, je nai plus un poil, et elle menduit dune huile la peau rasée ; à nouveau ses mains frôlent mes lèvres et pleine de désir jécarte les cuisses, lui prenant la main je la pose sur ma chatte ;quand ses doigts me pénètrent, une décharge me transperce et avançant mon bassin, je moffre à une longue et douce pénétration ; comme la première fois sa main me dilate le col et bientôt, quand elle me touche le fond de la matrice, jexplose de bonheur ; comblée, je lui dépose un baiser sur les lèvres ; surprise, elle sécarte et un doux sourire aux lèvres elle senfuit ; et cest dans le plus simple appareil, un bob sur la tête, enduite de crème contre le soleil que je descends da la case ; les femmes sont déjà au courant , elles mentourent , me frôlent les seins, parfois même le somment de ma fente. Je ne les comprends pas mais à leur comportement je constate quau moins par les femmes, je suis acceptée. Il me reste à me faire accepter par le chef, et pour cela, il faut que jaccepte de me livrer, ce qui nest pas encore prêt dans ma tête. Il ma fallu encore deux jours avant de prendre ma décision ; officiellement pour pouvoir travailler, en réalité lidée de cette double saillie me chauffent le ventre et souvent la nuit, je me caresse, émoustillée par lidée enfin de pouvoir faire lamour. Il me reste encore un écueil, passer par mon guide, le seul pouvant me faire comprendre du chef. En mécoutant, je constate que son pagne sest vite relevé « tu as bien compris que tu vas être prise devant tout le village et ce par les deux indiens ? » un signe de tète lui confirme mon accord et ses yeux brillent dexcitation. « Il faut aussi que tu penses que par la suite tu risques, cest même sur, davoir de nombreuses sollicitations, les autres hommes ayant sans aucun doute envie de prendre la femme blanche » je navais pas pensé à cela, mais je repousse lidée ; ma décision est prise et je me dois de lassumer. Sur ce, il se dirige, le sexe toujours bandé, vers la case du chef.
Lintronisation a lieu le soir même. Cest la vielle femme qui vient me préparer, en me faisant boire dabord ce liquide aphrodisiaque (très vite mon corps a envie) , puis elle menduit la pointe des seins dune couleur rouge, avant de masser les lèvres puis lanus dune crème de même couleur ; sous ses doigts je mécarte, souhaitant quelle me fiste, mais cest sur mon anneau quelle sactive, le dilatant avant dy enfoncer plusieurs doigts. Je ne suis plus que fontaine et ma cyprine sécoule entre mes cuisses ; soudain cest le vide, elle sécarte et me prenant par la main, elle memmène jusquau centre de la place, ceinturé par lensemble de la tribu ; à mon arrivée, une clameur sélève et jai soudain peur ; en effet au milieu, une sorte de grande natte surélevée est dressée et auprès se tiennent les deux hommes qui doivent me posséder. Cest le chef qui lance les hostilités ; me prenant par la main, il massoie sur la paillasse et retirant son pagne , je découvre enfin son sexe, encore au repos ; sapprochant de ma poitrine , il le frotte sur mes mamelons, retirant ainsi le rouge étale par la vielle femme ; le gland ainsi coloré, son sexe prend de la vigueur et cest un sexe de belle facture que je découvre ; court, épais, tendu ; il se retourne alors vers la foule et montre son gland rougi ; un grondement monte et une sourde mélodie envahie la place ; mallongeant sur la couche, il se penche sur moi et prenant son sexe à pleine main il le présente à lentrée de ma grotte et dune seule poussée, il me perfore le ventre ; même préparée, je ne peux retenir un cri de surprise couvert par le brouhaha des indigènes ; puis il se retire et à nouveau montre son sexe enduit de crème ; je comprends quil prouve sa possession de mon corps ; la mélodie sest amplifiée, obsédante et quand à nouveau il me possède, il rythme ses coups de butoir selon les à-coups de la mélodie ; possédée, enivrée par la boisson et les sons, je ne me maitrise plus : je jouis et quand , rapidement dailleurs, il se répand dans moi, la chaleur de sa semence me fait hurler je suis sienne, je suis offerte devant tout le monde et jy prends du plaisir, et de ma chate coule le flux de mon démentiel plaisir. Il se retire alors , une goutte de sperme perlant su son méat ; il le montre ainsi à tous, signe de sa force ; une clameur sélève alors ; brutalement il me retourne et le sexe toujours bandé, il se présente sur mon anneau, de la même façon, il me pénètre, sans préparation ; je ne peux retenir un hurlement de douleur, couvert à nouveau par les cris de la tribut ; cette fois la saillie est beaucoup plus longue, plus possessive ; il me sodomise avec violence, ses couilles frappant à chaque fois mes lèvres ; je ne suis que jouissance ; je ne suis plus contrainte , je moffre ; il ne me comprends pas , mais sans doute e par la boisson, je mécarte les fesses pour une plus grande saillie ; quand enfin il jouit, je ne sais plus où je suis ; seul mon corps réclame ; je ne suis pas rassasiée.
Une rumeur monte brusquement ; et un mouvement de foule se produit ; je découvre alors larrivée dun homme affublé dune sorte de masque, portant dans une main un bâton et dans lautre une chandelle allumée. Il porte encore son pagne mais il est tendu à lhorizontal ; en arrivant près de moi, il jette ses ornements et arrache le bout de tissu ; apparait alors un membre bandé, pointant vers le ciel, de taille démesurée ; je ne sais si cest ma vue qui est brouillée, mais il doit faire au moins 30 cm, et certainement plus de 6 de large ; le gland décalotté est encore plus gros ;il est parcouru de spasmes ; son rictus est effrayant, et ses incantations me font peur ; ma jouissance a disparu et quand son sexe sapproche de mes lèvres, je me contracte ; avec un hurlement, il senfonce entre mes lèvres, sans arrêt, jusquau fond de ma chatte ; la brulure est intense ; les chaires distendues par le chibre, jessaie de me défendre, mais ses paroles gutturales me paralysent soudain ; sa main se promène au-dessus de mon corps , sans me toucher et subitement, je nai plus mal, au contraire une douce chaleur monte dans mon ventre, et je sens ma vulve shumidifier ; contrairement au chef, il nest pas brutal, bien au contraire, il me possède avec douceur, profondément, me faisant doucement monté en jouissance ; il est sûr de lui et ses yeux me transperce, mettant à nu mes pensées ; je deviens sa chose, je suis à lui et il le sais ; il ne me prend pas il sinvestit dans mon corps ; sa queue comprimée au début a gagné le combat ; je ne subits plus je me donne , je moffre à son pouvoir et quand après un long moment de possession, il répand sa semence, je repense aux règles de la tribut « prendre les femmes en mesure dengendrer » et dans mon corps soudain jai envie quil me féconde ; un profond frémissement me parcourt le ventre et je me sens pleine.
Quand je reprends conscience, je suis dans sa case, et à sa merci ; mon envie est entière et ouvre mon triangle, offrant à sa vue et à sa queue, le chemin de mon désir. Toute la nuit, jai subis, ou plutôt jai été prise par cet homme, sans doute plein de pouvoir, car je nai jamais vu son sexe pendant ; contrairement au chef, il ne ma pas sodomisé, mais plusieurs fois, 5 ou 6 fois à mon souvenir, il ma remplit de sa semence, poussant à chaque fois un cri de victoire ; sans pouvoir le comprendre , je me suis offerte à lui, profitant de sa raideur permanente pour jouir, avec toujours cette sensation quil me féconder à chaque fois.
A mon réveil, je me retrouve dans ma case, Phil, inquiet auprès de moi ; il na aucun geste équivoque et je lui en sais gré ; ses questions sont plutôt portées sur mes souvenirs et je dois reconnaitre que le souvenir de la nuit est encore présent, et je lui avoue que je ne regrette rien, bien au contraire, mais je ne lui traduis pas cette sensation que jai eue .puis à nouveau je replonge dans un profond sommeil.
Les jours suivants, jai pu constater que lintronisation avait porté ses fruits ; laccueil des hommes a changé et je peux enfin commencer mes recherches ; grand changement aussi la nuit car plusieurs nuits, les hommes du village sont venus mhonorer, parfois plusieurs la même nuit ; seuls mes compagnons semblaient me respecter, trop à mon gout, car javais envie de faire lamour avec Phil, je crois que je commençais à éprouver des sentiments pour cet homme plein de charme et toujours à mes petits soins. Le séjour arrivait à sa fin, et avant de lui appartenir, je voulais effec une dernière démarche.
A la tombée de la nuit, profitant de labsence de mes acolytes, je pris le chemin de la case du sorcier ; je voulais retrouver cette douce sensation, mais aussi ses nombreuses pénétrations ; à ma vue, il repoussa la compagne sur sa couche, et mallongeant à sa place, il me caressa le ventre, tout en me faisant boire sa potion ; leffet fut immédiat et à nouveau mon corps fut parcouru dune étrange chaleur, ma vulve shumidifiant immédiatement. Je me suis offerte, donnée, soumis à ses nombreuses possessions, moffrant même à une sodomie qui me laissa lanneau dilaté comme une pièce; et à chaque éjaculation, la même sensation : celle dengendrer. A mon retour, Phil mattendait, doux et prévenant ; je me blottis dans ses bras « fait moi lamour, à partir daujourdhui, je suis à toi et personne ici ne pourra plus me prendre. Je viens de me faire saillir par le sorcier, jai aimé tout en souhaitant quil mengrosse. Si tu le veux encore je suis à toi, tout en sachant que je suis peut-être pleine. »
Cest sans regret mais le contrat professionnel remplit et pleine despoir que jai quitté le tribut. Aujourdhui,, grâce aux résultats obtenus ,lors de cette aventure, je suis responsable dun laboratoire, Phil est mon mari et jai un magnifique fils de 25 ans
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