Zurro Est Arrivé Héhé!

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Pugilat, rasoir, le charme de l’inattendu. Vengeance involontaire
-Mais regardez-moi ces deux empotés. Si vous voulez mon aide, il faut me raconter où vous en êtes. Vous avez conclu ou^pas? Toi, cousine tu résistes ou tu collabores ? Un accueil trop froid lui aura glacé le sang. L’as-tu repoussé as-tu serré les cuisses ou opposé tes doigts en grilles de prison devant ton amusoire. Il ne faut surtout pas se chamailler ou s’engueuler au lieu de s’embrasser. Tout joue, la bonne santé, les bonnes dispositions psychologiques, l’absence de soucis, la conscience de faire mal, de tromper le mari et les remords consécutifs possibles peuvent gâcher l’atmosphère et il n’y a pas meilleur baromètre qu’une quéquette d’homme pour capter les contrariétés d’une femme amoureuse. Julie as-tu été assez aimable avec ton petit copain, l’as-tu souhaité assez fort? Tu étais montée bien décidée à l’essayer avant de l’adopter. As-tu su l’attirer en toi.

- Mais c’est lui. Il m’a sauté dessus comme un crevard, a essayé de me prendre à la hussarde. Je ne veux pas n’être qu’un morceau de barbaque jetée à un doberman. J’exige des égards, de la délicatesse, des sentiments, des échanges et du partage.

- N’avais-tu pas tout ça avec Jean ?

- Avec du plaisir en prime. Jean n’a pas besoin d’aide pour savoir me faire jouir.

Elle exprime toute sa rancœur en quelques mots choisis. L’intention de se venger , de faire payer les dégâts ressentis dans son cœur étonne la cousine:

- Qu’est-ce que tu fous là, alors?

S’il n’était pas trop tard, ce dialogue me ferait du bien. Quel est finalement le rôle de Victoire? Elle prend la défense de notre couple. Je m’y perds. J’ai failli laisser tomber le caméscope, tant elle me surprend. Sent-elle que Julie empiète sur ses terres, peut lui ravir le coach ? Deviendrait-elle jalouse? Sa réaction reste fugace.

Elle revient aussitôt au problème de l’instant:

-Donc, vous en êtes comme deux gosses à vous dire « J’voudrais bien , mais j’peux point. C’est marrant non ? Allez, remise des pendules à zéro. Vous allez vous concentrer. Le garçon positive et se répète tout bas

- Je réussirai, je veux la baiser, je la baiserai. Je l’aime, je la prends, je la saute, je la conduis à l’orgasme. Ma queue sera forte, creusera, fouillera les recoins de son con, sans pitié, lui montrera ce qu’elle est capable de déclencher dans le ventre et le cerveau d’une femme qui en demande. Elle en redemandera.

- Toi, Julie tu te dis :

-Je l’ai voulu, j’ai trop attendu, je suis prête à faire tout ce qui sera nécessaire pour me donner et le recevoir. Quoi que Victoire ordonne je fonce, je transmets des ondes positives et j’oublie Jean . Après je saurai qui j’aime le plus.

La conclusion est désespérante. Un choix bien orienté par les complices me renvoie sur la touche. La réponse n’aura plus de signification. Tout l’art des amants vient de l’origine de la question. Le séducteur suit sa méthode : il a découvert un cul, un corps, a été saisi d’une forte attirance, bande lorsqu’il le voit ou pense à lui et a déployé ses filets. Julie sera son plus fin poisson. Jadis Victoire a été supplantée par Julie dans mon cœur, elle rame depuis longtemps pour détruire la tache de notre bonheur insupportable. Chacun poursuit son but et la victime sera le mari, le type qui a préféré un jour, cette femme qui veut s’éloigner de moi à grands « coups de queue de son coach. »

- Au moins, poursuit Victoire, as-tu utilisé les moyens dont tu disposes ?

- Peut-être. André a voulu que je le masturbe et ton entrée surprise a mis fin à l’exercice.

- Ce n’était pas très réussi. As-tu au moins pensé à compléter la masturbation par une fellation? Tu lèves les épaules. Ben, il doit pas rigoler tous les soirs ton Jean..

- Je ne vois pas pourquoi.
Je n’ai jamais eu besoin de traitements spéciaux pour le rendre apte à me faire l’amour. Entre nous, ça marche bien, alors ici je suis prise au dépourvu.

- C’est pourtant simple.. Place-toi de l’autre côté d’André, regarde. Je l’entoure de ma main gauche, elle monte et descend. Ma droite recueille son sac de billes et par un jeu de doigts ininterrompu je fais rouler ses testicules l’un contre l’autre. Enfin je pose ma bouche sur le gland, je le mouille, le réchauffe. Vois ces lueurs dans ses yeux. Il apprécie. Bon accentuons l’avantage, je laisse coulisser ma bouche comme un manchon et j’abreuve sa plante de ma salive.

- Ah ! Tu as des larmes aux yeux.

- Ce n’est rien, c’est le bonheur d’avoir perçu un frémissement. C’est facile, prend le relais. Descends, monte, va jusque tout en bas, fais le tour de la base en donnant des coups de la pointe de langue rapides à la jonction de la tige et du réservoir. Bien, remonte d’un jet jusqu’au sommet et englobe de nouveau la tête. Ça vient, pompe et écoute . Dès qu’il deviendra ferme, jette-toi sur le dos et ouvre-toi, il te sautera dedans.

-Mes mâchoires, dur, dur de garder la bouche ouverte

-Hé, supporte! Il n’est pas très gros.

Jusque là Julie aurait pu plaider la passivité. André avait pris l’initiative, lui avait inséré quelques rares centimètres de chair ramollie dans le vagin. Cette fois elle l’engloutit dans sa bouche, tout entier. Il disparaît derrière les lèvres et ressort quand elle repart en plongée vers le scrotum en peau de chagrin. Ses mâchoires en pâtissent, c’est insuffisant pour stopper les hochements de tête de l‘avaleuse de verge. Elle met une certaine rage à la masturbation simultanée. Victoire les presse :

- Hé, grouillez, Richard va rentrer et m’appeler. On change de méthode. En route pour un soixante-neuf, vous irez plus vite au but. André sur le dos. Julie assieds-toi sur son visage. Recule un peu. Fourre lui le nez dans la raie du cul, puis avance de manière à sentir ce nez à l’entrée de ton sexe, contre le périnée .
Les odeurs et la mouille l’aideront . Bouge de tous côtés et retourne lui sucer le sexe. Prends les grands moyens, tourne sur sa face.
Qui gémit de plaisir? C’est Julie, parce qu’ André lui bouffe la chatte.

Victoire clame son enthousiasme :

-Victoire, continuez à cette allure, vous allez gagner . Dernier effort: Julie tu viens coller ton ventre au mien, mais tête-bêche, je vais entretenir le feu dans ta chatte et tu goûtes à la mienne; je mérite aussi quelques gros frissons. C’est pour m’encourager à exciter André dans ma bouche. Tu comprends mon bonhomme? Tu passes derrière les fesses de ton amoureuse, tu atts ses hanches, tu t‘y accroches. Tu auras vue plongeante sur son abricot et sur le cratère de son trou du cul. Cela devrait augmenter ton désir. Et tu viens me présenter ton flûtiau, je saurai souffler dedans et le réveiller. Fais-moi confiance, le moment venu, je le recrache et avec mes deux mains je l’expédie où il faut dans Julie.

- Ah! Non, pas dans mon cul, hein.

- Je sais viser, il n’aura qu’à appuyer pour s’enfoncer. Pas facile avec vous !En route


-Attention, c’est bon. Fusée prête décollage dans les environs de la lune.

-L’orientation des corps ne me permet pas de saisir l’image de la pénétration. Les yeux de Julie, illuminés sont assez éloquents. J’y lis le bonheur du réconfort après l’effort, long et intense, le soulagement de la réussite et l’incrédulité : elle n’espérait plus quand sous la poussée terminale de la verge ses yeux semblent quitter leur orbite. Oh très peu, un instant très court. Aussitôt elle affiche une terrible déception . Victoire est aussi déçue :

- Eh ! Bien, ça n’aura pas duré. Tu as déjà quitté son vagin. Alors ce sera le dernier essai. Deux mouvements d’aller retour incomplets, rien de plus: tu fais pitié aujourd’hui. Ma malheureuse cousine, ce n’est pas un bon jour pour toi. On recommence, mais si son truc s’effondre encore, tu devras remettre à plus tard.
Patience
- Je serai patiente.

Allez y comprendre quelque chose. Le mec a été nul d’un bout à l’autre, dans le rapport sexuel. Archi nul ! Plat, raplapla, une limace trouverait l’orifice du con, pas lui ! Égal à un escargot baveux, mou et gluant. Il a réussi l’introduction de la séance, a calé au passage à l’acte, a déçu les deux femmes, pourtant Julie sera patiente avec lui. Elle s’est ouverte une fois encore, pattes en l’air, l’œil mouillé; la déconvenue la guette. Et moi, plus elle se soumet, plus elle attend le miracle d’une improbable érection, plus elle m’humilie, me traîne plus bas que terre. J’ai eu droit à quelques compliments de sa part. J’aurais mieux aimé être dénigré, sali verbalement du début à la fin, pour comprendre, traité d’impuissant, de mauvais mari, j’aurais voulu entendre sur mon compte pis que pendre. Ce qui me tue c’est l’incohérence, c’est qu’elle manifeste pour moi quelques marques d’estime et se roule ensuite sous ce sale type. Elle dit en somme: Jean est bien, je choisis l’autre qui est mauvais. A ses défaillances elle a opposé mes qualités de mari attentif, prévenant, toujours prêt comme un bon scout à la rendre sexuellement heureuse. Il est nul, je suis bon, elle le préfère, elle patientera quitte à me mentir pour pouvoir s‘unir à lui. Pourquoi ? Le vase est plein, il déborde. Je n’ai plus rien à attendre d’elle. Jamais plus je ne pourrai
envisager d’aimer cette folle aux deux visages. Rester, c’est résister. Partir c’est aussi résister. Je n’ai plus aucun désir de résister, toutes mes raisons de résister sont mortes . Elle m’a dégoûté de l’amour, elle continue en piaffant sous l’homme usé, à me dégoûter d’elle. Je n’ai plus rien à faire ici. Je peux partir, rentrer chez moi, discrètement. Elle ne saura rien, par moi, de ma présence et de ma double activité de témoin voyeur et de voyeur à caméscope. L’autre mollusque n’osera pas lui révéler de peur de la fâcher le rôle honteux qu‘il m‘a attribué.

Depuis quelques minutes je m’ennuie devant l’appartement de Victoire et je tourne le caméscope dans mes doigts. Arrive un grand gaillard, Richard le cocu de la cousine de ma femme, jovial comme toujours

- La bonne surprise, Jean, tu nous rends visite. Viens boire un coup. Victoire ne t’a pas fait entrer? Je ne sais pas, elle file un mauvais coton en ce moment. Où est-elle ?

- Je venais chercher Julie, mais votre porte est close. J’ai cru entendre des éclats de leur voix là-haut au dernier étage. Ca chahute on entend des rires bizarres.

- Oh ! Putain, elle est remontée chez ce dragueur. Ça va barder . Putain de salope.

Je viens, sans calcul,de lancer une fusée folle de 120 kilos dans l’escalier. Quatre par quatre Richard avale les marches , atteint le troisième, pousse la porte sans tourner la poignée et se met à hurler au milieu d’un fracas de casse. Des voix de femme crient, on casse du bois, de la vaisselle. J’entends des coups sourds. Richard cogne et vocifère.

- Tiens salaud, pourri. Qu’est-ce que tu fous à poil au lit avec ma femme et celle de notre cousin. Je t’avais prévenu. Encaisse ça, vlan et va sécher sur la barre de la rambarde. Richard n’a pas pu deviner que le coach sportif était sur les genoux. Richard giffle et baffe, frappe, tape et crie comme un démon.

- Les claques résonnent dans la cage d’escalier, Victoire se défend, prend des coups et se retrouve à sécher à côté du corps inerte d’André sur la barre de la rambarde. Je ne frappe pas les femmes. Richard a d’autres valeurs et administre une fessée sonore à la mienne aussi

- Petite pute, tu entraînes ma salope dans des partouzes chez ce baiseur. Y en a marre de voir défiler dans l’immeuble toutes les putains de la ville. Tu montreras tes fesses à Jean et il verra que j’ai l’esprit de famille. Qu’est-ce que je vois là. Vicieuse, tu t’es rasée la foufoune. C’est donc toi qui a rasé Victoire. Folles excitées du cul.

- Non, c’est lui, geint. Julie terrorisée par la grosse main levée au dessus de sa tête

- Qui lui ? Cette loque. Il s’en repentira
Tu vois la tondeuse, les ciseaux, le rasoir, le tube de crème à raser. Je mets le pantin sur cette chaise. Tu as cinq minutes pour lui faire le maillot et une coupe à zéro. Allez, exécution.

L’ordre s’achève en fessée bruyante.

- Plus vite. Plume-moi cet oiseau et si tu traînes, je le circoncis à sec ton baiseur. Oui, tu rases tout, Tu es coiffeuse, non ? Accélère, après tu réserves le même sort pour Victoire.

D’une gifle encore il impose silence à Julie. Les voisins ne savent pas pourquoi ces brutalités. Ma femme sait ce que Richard lui reproche. Sa position sous André, lors de l’arrivée de Richard dans la chambre ne laissait pas de doute sur la nature des activités qu’on pratiquait « dans ce bordel » Victoire pend toujours sur la rambarde et ne bouge pas dans l’espoir d’être oubliée d’ici la fin de l’orage. Son corps recule.

- Allez Julie, rase cette autre putain. Le crâne d’abord puis rafraîchis le ventre, moi aussi j’aime la moue de la vulve bien rasée.Ah, si t’étais pas ma cousine !

Victoire a tort de vouloir appeler au secours. La boîte à claque la soumet

Pour l’information du voisinage Richard lance de sa voix tremblante de fureur;
- Ta gueule pouffiasse, je t’avais avertie. Explique-moi ce que tu faisais à poil dans le lit de cet indien avec sa bite dans la bouche.

-C’était pour Julie.

Laquelle a pris le dernier coup provisoire et a crié.

- Ho, les voisins, méfiez-vous, ce type saute vos femmes. Il faudra le bannir ou vous serez tous cocus.

Il a suffi de brancher innocemment ce cousin par alliance. Désormais la réputation d’André va enfler. Celle de Victoire ne vaudra guère mieux sur le quartier. Et celle des voisines qui aurait aimé faire bibliquement connaissance avec le beau gosse du troisième, attendra une meilleure occasion. Richard m’a partiellement vengé, de façon inattendue. Deux crânes rasés brillent par-dessus la rambarde où les corps tassés sont mis à sécher comme du jambon sec. La voisine du second étage a voulu jeter un coup d’œil vers le dessus. Mal lui a pris de faire la curieuse. Un filet d’urine de Victoire lui a rincé l’œil. Derrière le liquide, un grand sac à main plane vers son étage et s‘écrase à mes pieds. Richard adresse un dernier ordre à sa Victoire en larmes

- - Ecrase-toi, salope. Rends à ta cousine ce qu’elle vient de te faire, plus un poil ! Ca achèvera votre ressemblance de putes.

- Non, pas possible

- Ferme-la ou je t’envoie rejoindre ton sac à main.

Je ne résiste plus à l’envie de déguerpir avant de voir débarquer la brigade qui lutte contre le tapage. Je pars sans bruit, bouleversé.






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