Lundi Soir....

Chantal mon épouse (3)

A peine sommes nous rentrés de chez nos amis et que nous nous sommes couchés et que j'ai harcelé mon épouse pour lui faire revivre ses deux dernières journées pour elle et mon plaisir et aussi pour ne pas faire baisser notre libido.
Toutes ces situations, cette soumission et abandon totale de Chantal pour le plus grand plaisir sexuel de son patron, du sien (quoiqu'elle en dise) et avec mon consentement.
A chaque fois j'ai pu jouir des différentes postures auquel elle s'est prêtée.
Nous avons même évoqué de quoi pourrait être fait ses prochaines rencontres.
Ce lundi, elle s'habilla comme elle avait l'habitude de le faire sans apporter une touche plus sexy à ses effets, sous vêtements blancs, collants couleur chair, robe bleu marine arrivant un peu au dessus de ses genoux et des chaussures à talons.
Elle me quitta tout en me disant : à ce soir !
penses tu qu'il te retarde ? lui ai je demandé,
je te téléphone si c'est le cas.
En fin d'après midi, à peine rentré, le téléphone sonne, je décroche,
- Peux tu récupérer F....., je suis retardée,
- Où es tu ?
- A Auchan,
- je vais faire quelques emplettes, René ( son patron) m'a demandé si je pouvais repasser au bureau une fois les autres partis,
- et tu penses rentrée vers quelle heure ?
- j'en sais rien, il a envie de me voir !
- il a surtout envie de te baiser comme ces derniers jours, et toi ?
- pour ne rien te cacher, je suis très contente qu'il m'ait demandé de repasser, j'en ai très envie, depuis Vendredi, je ne m'explique pas mais il me fascine !
- Ok à plus tard, sois prudente, j'ai hâte que tu rentres et que tu me racontes tout,
Elle raccrocha puis rentra vers 21H30.
Ce dont elle ne m'avait pas fait écho au téléphone, c'est que dans la journée il l'avait convoqué dans son bureau, elle s'était posté debout près de lui à l'abri des regards extérieurs.


Tout en faisant semblant de lui expliquer je ne sais quoi, il avait profité de cette proximité, sa main avait glissé sous sa robe, remontant le long de ses cuisses, elle avait volontairement écartées ces dernières pour lui donner un accès plus aisé à son intimité, ce dont il ne s'était pas privé, regrettant au passage le port des collants ne l'autorisant pas à aller flatter son sexe humidifié par la caresse audacieuse.
Sur son visage, il était facile de voir que les dernières heures qu'elle venait de passer l'avait plus que satisfaite.
Debout près de moi, j'ai passé ma main sous sa robe, elle glissa sur la soie des bas dont elle venait de faire l'achat au supermarché avant de le rejoindre. Puis j'ai senti la douceur de sa peau nue avant de poursuivre et ressentir la moiteur de son entrejambe.
Je lui en ai fait la remarque et elle me dit : tu vas être content de moi, tu n'as pas encore tout vue.
Elle me lança le sac du supermarché, à l'intérieur s'y trouver ses sous-vêtements et son collant. Perplexe je m'interrogeais sur le morceau de tissus poisseux que j'avais tripoté quelques secondes plus tôt.
Elle compris de suite mon interrogation et m'expliqua ce quelle avait fait au supermarché.
Ce matin lorsque nous avons convenu avec René du rendez vous de ce soir, il m'a dit regretter d'avoir opté pour des collants et qu'il me préférait avec des bas. Du coup en voulant en acheter j'ai vu au rayon lingerie une magnifique guêpière avec un minuscule slip assortie et je me suis autorisé à l'acheter. Tout en me parlant elle retira sa robe. Je suis resté scotché en voyant son corps drapé de cette ensemble dentelle noire et mauve, du minuscule slip qui en dévoilait plus qu'il n'en cachait et des jarretières qui soutenaient ses bas.
Pffff ! il fallait que je la prenne tout de suite, sans autres préliminaires. Je l'ai courbé sur la table, baissé sa culotte et glissé ma queue entre ses jambes. Je fus aspiré dans sa grotte, lubrifié par les traitements qu'elle venait de subir, je nageais dans le sperme de son patron.

- C'est comme cela qu'il t'a prise ? à la fois excité et vexé !
- On peut dire cela....
Lorsque je suis rentrée dans son bureau, j'ai de suite retiré ma robe, il était dans son fauteuil, il m'attendait sa queue dressé, le pantalon baissé sur ses chevilles. Quand je lui ai dit que je venais d'acheter ses sous vêtements à l'instant pour lui plaire il m' a traité de petite salope.
Au lieu de m'offusquer c'est l'inverse qui se produisit en moi.
Je me suis approché et quand je fus à porté de ses mains il me fit pivoter et me courba sur son bureau comme toi, sans autres préliminaires. Il baissa ma culotte et positionna son sexe sur ma petite rondelle, j'étais dans un tel état d'excitation que mon muscle anal s'ouvrit le laissant m'investir les intestins. J'étais heureuse de me soumettre à son envie, de lui appartenir, d'être son jouet sexuel !
Je le sentais en moi, il se retirait et réinvestissait mon conduit anal avec vigueur. Pendant un long moment il s'amusa ainsi, la sensation ressentie me faisait planer. Sa queue grossissait de plus en plus, je me doutais qu'il n'allait pas tarder à me souiller de sa semence.
Lorsqu'il fut sur le point de non retour, il se cabra au fond de mes reins et j'ai sentis les jets de foutre investir mes intestins. Tu n'imagines pas comme c'était bon !
Après cela, nous sommes restés collés l'un à l'autre. Il me gratifiait de petit bisous dans le cou. C'est attendrissant comme il est doux après avoir joui.
Tout ces propos décuplèrent mes sens.
Quelques aller-retour au plus profond de son nid d'amour et je marquais mon territoire en éjaculant au plus profond de sa chatte.
Puis nous sommes aller dans le salon, je voulais connaitre la suite de leur joute.
La suite est ce qu' elle m'en a raconté.....
Il se retira me laissant un sentiment de vide dans mon corps, le trop plein de sperme s'écoula sur mes fesses et le long de mes cuisses.
Il s'est assis dans son fauteuil les jambes bien ouvertes, son sexe pendait, je me suis agenouillée et avec ma langue j'ai nettoyé les traces de sperme et de cyprine visibles sur son membre avec le souhait de le refaire bander.
Car si lui venait de prendre du plaisir en me sodomisant, moi je restait sur ma faim et comme Samedi je voulais qu'il vienne dans mon ventre.
Il me laissa faire, se positionnant même sur le rebord du fauteuil. Les jambes ainsi bien écartées je me suis exécutée à lui prodiguer une somptueuse felation. Cela lui faisait de l'effet car son sexe reprenait des dimensions très honorables. J'en était fière, avec sa main il me plaquait contre ses attributs tout en m'encourageant verbalement parfois avec des mots crus. Il glissa d'avantage sur son siège, lorsque je prenais en bouche ses testicules je sentais que son intention était de me faire aller encore plus loin dans l'exploration dans sa raie fessière. Voulant absolument le contenter, être chienne parmi les chiennes, je le masturbais d'une main, ma bouche était emplie de son gland et de mon autre main, majeur dressé et humidifié par le sperme qui s'écoulait de mes intestins, je caressais son œillet pour l'assouplir. La caresse lui plaisait bien, j'ai cherché à perforer son muscle qui résistait mais n'y suis pas parvenue. J'ai alors plongé mon nez dans son sillon jusqu'a son orifice anal, ma langue vint titiller l'entrée de sa grotte, il écarta ses fesses pour me permettre de mieux investir ce tunnel, tout en m'encourageant à le sodomiser avec la langue. Je voyais que mon traitement lui plaisait bien et moi même y trouver beaucoup de plaisir. Je suis parvenue à pénétrer son intimité et rien ne me dégoûtait, son sexe prenait une dimension phénoménale, je sentais qu'il allait jouir et je voulais absolument boire son jus. Le travail conjuguait de ma langue et de ma main finit par avoir raison de sa retenue. Quand il fut sur le point de jouir, j'ai entouré de mes lèvres son sexe tout en plongeant un doigt dans son cul, il se laissa aller et des salves chaudes emplirent ma bouche. J'ai continué mon action déglutinant jusqu'a la dernière goutte.
Il était vidé et satisfait.
Je me suis redressée et assise sur son bureau les jambes bien ouvertes.
Je le laissait récupérer, je voulais ma part de jouissance. Son regard se portait sur mon sexe que j'avais découvert en glissant ma culotte sur le coté, je me suis mise à me caresser sous ses yeux, plongeant un voir plusieurs doigts dans ma chatte en feu.
- J'attends que tu reprennes des forces lui ai je dit, j'espère qu'il te reste des munitions j'ai tellement envie de te sentir en moi, de sentir ton sperme jaillir au fond de moi.
Nous sommes restés un long moment face à face, il se délectait de me voir si cochonne.
Il a ouvert une bouteille de champagne et deux coupes, nous avons trinqué à notre relation. J'étais toujours en sous vêtements et je lui ai demandé de se dévêtir également ce qu'il fit puis il s'est approché de moi, nous nous sommes enlacés tout comme Samedi midi. Tout en nous embrassant ses mains parcouraient mon corps, il malaxait mes seins au travers du tulle de la guêpière, les miennes essayaient de redonner de la vigueur à son membre.
Après quelques gorgées de champagne, de multiples baisers et d' innombrables attouchements, son sexe repris la consistance nécessaire à honorer mon nid d'amour, mais avant cela je voulais qu'il boive à cette source. Toujours assise sur le bureau, la culotte sur le coté, il s'est agenouillé et sa bouche vint au contact de ma chatte, sa langue glissa le long de ma fente, s'enfonçant dans les replis baveux, récupérant le nectar qui s'en écoulait, titillant mon bourgeon dressé tel un petit sexe.
Je l'encourageais : René t'arrête pas c'est trop bon.....
Entre deux mouvements de sa langue, il me traitait de garce, salope et autres mots doux qui décuplaient mon plaisir.
Mes râles s'amplifiaient, des ondes de bien être parcouraient mon corps, je capitulais et dans un feulement non retenu je jouissais, sa langue labourant mon minou.
Il se redressa de suite et planta sa mentule au fond de mes ovaires, j'étais enfin comblée, il me saisit aux hanches et tout s'enchaina, ses coups de queue me transperçaient. Par moment il se retirait et attendait que je le supplie de réinvestir ma chatte. J'étais sa chose et il voulait que je le sache et l'accepte.
Je sentais l'orgasme venir, le suppliait de me défoncer, de m'engrosser.
J'ai dû perdre connaissance au moment où il me submergea, les yeux révulsés, le corps vidé.
J'ai quand même ressenti les quelques jets de sperme qu'il déversait au plus profond de mon utérus.
C'était bon la présence de son sexe en moi, ne se retirant pas de suite, attendant que je revienne à moi et comme plus tôt me faisant des bisous dans le cou.
Petit à petit son sexe finit de s'extraire de sa prison chaude et humide. Il remit ma culotte en place, soit il ne souhaitait pas maculé son bureau soit il voulait que je garde en moi sa semence....je n'ai pas posé la question !
Nous sommes restés enlacés encore un long moment tout en continuant à laisser nos mains glisser sur nos corps.
Puis à regret en regardant l'heure, il a fallu que nous nous rajustions, chacun de nous devant retrouver sa moitié, car si toi tu en jouis, il n'en est pas de même pour lui.
Voilà tu sais tout de notre soirée, j'apprécie que tu ne m'interdises pas de me laisser aller dans ses bras et de jouir avec lui....
Nous sommes montés dans notre chambre, sans qu'elle puisse se changer, j'ai profité aussi de cet ensemble sexy et de son corps, la contraignant à dormir avec !
Leur relation a duré longtemps, souvent au bureau où dans sa voiture.
Il y a eu aussi une demande spéciale de René à mon épouse.....je vous relaterai cette épisode lors d'une prochaine confession.







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