La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 607)

Rex au Château - (suite de l'épisode N°591) - Période précédant son arrivée au Château - La naissance de Rex -

Quand Rex ouvrit les yeux, il essaya d’analyser sa situation. Les nausées étaient certainement dues au changement hormonal, l’implant commençait à libérer ses hormones et sur son corps à réagir. Il sentit que son sexe était mou mais toutefois gonflé. Lui qui se réveillait très souvent en érection, c’était une sensation nouvelle, son sexe n’avait pas pris sa vigueur virile mais il était toutefois gonflé et sensible, surtout le gland. Il sentait aussi que ses tétons étaient très sensibles, plus que sensibles même, ils étaient douloureux. Etait-il possible que les hormones fassent si vite effet ? Malgré tous ses symptômes Rex sentait une sensation diffuse de désir, au plus profonds de ses entrailles, il avait envie de sexe, de sexe à outrance, de se sentir pénétré, possédé, besogné. Il se rappela soudain son inquiétude, Rex avait un travail confidentiel dans les renseignements généraux, et s’il ne communiquait pas lundi au plus tard avec sa hiérarchie, il se pourrait que les choses tournent mal pour Céline et Sébastien. Il fallait donc qu’il la prévienne. Il chercha à se lever mais à sa grande surprise, il était attaché au lit. Il se sentait faible. C’est Sébastien qui, entendant les bruits, arriva le premier. Il s’assit à son chevet et dénuda son corps d’une main rapide en faisant glisser le drap qui le recouvrait.

- Tu es réveillé ma belle chienne ?... Je suis content, tu sembles réagir au traitement, bientôt tu seras une petite chienne en chaleur. Céline dort encore car nous avons fait l’amour tard hier, mais ça ne t’intéresse plus les femmes, hein ? Toi tu as besoin de mâles maintenant. Avant de te détacher, je vais t’équiper pour ta nouvelle place. Aujourd’hui, tu commences ta vie de chienne, mais laisse-moi t‘ausculter avant.

Rex n’avait plus de tonus musculaire, il n’avait presque rien mangé depuis 2 jours et son corps était fatigué par ce bombardement hormonal.

Sébastien pinça le bout de son sexe turgescent et Rex ne put retenir un cri aigu tant la douleur le surpris. Sébastien sourit :

- C’est bien ça, ton clito réagit, il est sensible. Je vois tes tétons d’un rouge écarlate, ça doit tirer, hein ?

Rex hocha la tête. Sébastien ne se contenta pas de sa réponse et les pinça eux aussi pour obtenir la même réaction. Il marmonna sa satisfaction et nota le résultat de ses tests cliniques dans un carnet posé sur la table de nuit.

- Ecarte bien les jambes maintenant Rex, je veux voir ta chatte

Rex offrit son intimité et Sébastien tranquillement prit un speculum dans le meuble situé à côté de la porte, il le lubrifia et ouvrit le cul de sa chienne :

- Supeeeeeeer Rex, si tu pouvais voir ça, tu serais fier, tu es une belle femelle ma chienne, je suis fier tu sais. Je vais réduire un peu la dose d’hormone, je vois que tu réagis plus que je ne l’attendais.

Puis, Sébastien lui enfila un bâillon-boule avec une autorité évidente, ensuite il détacha les jambes puis lui relia et lia autoritairement les chevilles sous les cuisses de sorte que Rex n’avait plus le choix dans ses mouvements, la position debout lui était désormais interdite et pour finir, il lui enfila des mitaines de « dog training » qui lui finissaient les mains et lui faisaient des pattes de chien. Ceci fait, il détacha Rex et parti. Rex était seul, les jambes attachées, repliées, contre ses cuisses, les mains contraintes par des mitaines de dog training, une boule dans la bouche. Il sentait les hormones transformer son corps, il avait peur mais il était « bien », étrangement bien. Rex sentait encore le pincement sur son gland tellement sensible. Il le regarda et constata que son gland était gonflé, violacé, une étrange douleur presque agréable irradiait de cette partie de son corps. Le reste de son pénis était à contrario presque atrophié. Il se sentait devenir femelle, il se dit que son gland devenait « clito » puis il se dit que non, tout ça était fou et que ce n’était pas possible… Une bouffé de chaleur le fit haleter, il avait envie de quelque chose mais il ne savait pas quoi, ses seins tiraient et étaient douloureux, sans s’en rendre compte il se cambrait allongé en chien de fusil encore sur sa couche. Il avait aussi envi d’uriner, depuis son réveil et cette envie devenait urgente…

Rex descendit péniblement et marcha à quatre pattes jusqu’au salon où Sébastien était tranquillement installé dans un fauteuil et consultait sa tablette à regarder internet. Sébastien ne leva pas le nez de sa tablette, Rex, était à ses pieds désormais, il ne savait pas trop comment faire. Puis il comprit, il était un chien, oui il était devenu un simple et il devait se comporter comme tel. Alors Rex vint se coller à ses pieds pour se manifester, il sentait son odeur, c’était la première fois qu’il y faisait attention. Sébastien venait de se lever et n’était pas douché, il sentait une odeur de mâle, chaude et puissante. Rex avait envie de son sexe, il en oubliait son envie d’uriner et il se mit à sentir ses jambes comme un véritable chien puis à remonter et à coller son nez sur le pantalon de Sébastien. Il avait envie de le sucer mais le bâillon-boule l’en empêchait, il sentit son gland gonfler/tirer, il sentit ses tétons devenir sensible et il avait envie de lui, envie de le recevoir, envie d’être baisé. Alors Rex se tourna et lui présenta sa croupe, lui montra son cul, il était indécent mais il ne pouvait contenir ce désir, cette pulsion de soumission. Sébastien leva enfin le nez de sa tablette et passa la main sous son pyjama en regardant cette petite chienne faire son spectacle. Il était amusé. Rex avait envie de ce mâle, il le désirait de tout son corps, il voulait une saillie sauvage, virile, puissante en lui, il voulait lui appartenir. C’était fort, c’était animal, plus qu’une envie, c’était un besoin… Sébastien saisi le programme TV sur la table basse et asséna avec virulence un coup sur le cul de Rex. La puissance du coup claqua sur les fesses de Rex à lui faire une marque rouge. Rex ne comprenait plus, pourtant il lui offrait sa croupe. Il avait envie de cet homme, de lui appartenir, ce coup n’avait fait que décupler son désir, il ne savait plus que faire, il était là devant lui, le cul en l’air, bien exhibé près à être sailli. Puis Sébastien cria et faisant déferler une correction sur le cul de sa chienne :

- Putain, mais tu es déjà en chaleur la chienne, tu vas apprendre la bonne manière, oui ?

Les coups pleuvaient, Rex se sentait humiliée, à sa place, il avait besoin de se faire recadrer. Oui il était enfin sa place et cela l’excitait encore d’avantage. Et pourtant ses coups le terrorisaient, car son mâle alpha le corrigeait. Il exhiba encore plus la croupe en l’air en cambrant un maximum ses reins en se mettant en levrette, le visage sur le sol et offrit son arrière train à son courroux… Rex ne se rendit pas compte tout de suite de qu’il faisait sous lui, la peur, le plaisir, tout se mélangeait et le liquide chaud, son urine coulait sans s’arrêter à mesure que les coups tombaient la flaque de pisse s’étalait sur le carrelage froid. Son visage à plat sur le carrelage dans son urine, son mâle qui lui donnait la correction, il aimait ça, même qu’il adorait d’être traité de la sorte, ça l’excitait mentalement, oui c’était une jouissance mentale. Quand les coups s’arrêtèrent de pleuvoir, Rex avait l’abdomen en feu, il voulait recevoir ce mâle encore plus qu’avant, alors il se cambrait encore et encore dans l’espoir de l’exciter... C’est Céline qui mit fin à la scène, réveillée par les cris, elle prit Rex par le collier et le mit dehors par la fenêtre du jardin. Il se retrouva sur le gazon, le visage couvert d’urine, et fort excité. Il écartait les jambes avec peine pour frotter son gland sur le gazon, il avançait le bassin pour se donner du plaisir, il n’avait que ça en tête. Il lui était impossible de penser à autre chose. Quand à force d’effort et de contorsions, il finit par jouir sur le sol, juste en frottant son gland douloureux sur le gazon, il lança quelques grognements et réussi enfin à se calmer. Il se sentait être devenu un chien et il s’exaltait de son nouvel état …

Après avoir repris son souffle suite à tous ses intenses efforts physiques pour arriver à la jouissance, il regarda autour de lui. Le jardin était calme, il n’y avait personne et aussi la faim se rappelait à son bon souvenir et lui tiraillait l’estomac. Quand tout d’un coup, il aperçut tout au fond du jardin une petite cabane d’un mètre de haut et autant de large ressemblant à une niche de chien. Il en n’aurait pas prêté plus attention que cela s’il n’avait pas vu distinctement la pancarte apposée sur le devant au petit faîtage du toit de la niche où il était inscrit en grosse lettres majuscules : ‘’REX’’. Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre que cette niche lui était donc destinée. Il s’approcha en rampant tant bien que mal et trouva une longue chaîne arrimée à la niche et à son autre extrémité un mousqueton. Rex compris vite qu’il devait relier ce mousqueton à son collier de son cou et ainsi être attaché à la niche comme un véritable chien (l’animal). Mais ce qui l’attira encore plus c’est la gamelle emplie d’une bouillie qui l’attendait à proximité de la niche et comme il avait une terrible faim, il ne se fit pas prier pour au plus vite avaler ce contenu fort calorifique composé de pommes de terre et de viande hachée mélangée. Une autre gamelle, mais celle-ci emplie d’eau se trouvait à côté. Il put ainsi se sustenter à volonté et, bien entendu, il avala tout cela à quatre pattes. Il ressentait une sensation extrêmement bizarre qui pour le quidam paraîtrait dégradante au plus haut point d’être ainsi traité comme un chien attaché à sa niche. Eh bien pour Rex, il ressentait plutôt un plaisir incroyablement excitant de se trouver dans une telle situation. Il jubilait même dans son esprit, jamais il ne s’était senti aussi bien, aussi à sa place de n’être devenu qu’une chienne en chaleur et traité de cette manière.

La fraicheur de la température lui rappela néanmoins que tout ne serait pas ‘’idyllique’’ dans ce qu’il était devenu alors il s’approcha de la niche pour s’y abriter quand il aperçut à l’intérieur de celle-ci une couverture, laquelle il s’empressa de la mettre sur ses épaules afin de se réchauffer. Et c’est ainsi qu’il resta bien couvert dans la niche… Ca faisait environ une bonne demi-heure qu’il s’était endormi car la fatigue et la digestion ayant eu raison de lui, qu’il fut réveillé avec la sensation qu’on le tirait en avant. Lorsque Rex ouvrit les yeux, effectivement la chaîne était tendue et tirée par un l’homme grand et costaud qu’il ne connaissait pas. Rex prit alors peur et le temps de quelques secondes, il résista en essayant de rester dans la niche, quand l’homme sévère, lui dit d’un ton autoritaire :

- Vient ici le chien, c’est Céline qui m’envoie et qui me dit que je peux m’occuper de toi, user et r de ton corps, que tu es devenu le parfait petit toutou, alors approche à mes pieds, si tu ne veux pas que je te sorte à grands coups de pieds …

Rex, rassuré par le fait que ce soit Céline qui envoie cet individu, sortit de la niche en baissant la tête et en silence.

- Tourne-toi et en levrette, le cul bien relevé, la tête plaquée au sol, montre-moi bien ton cul que je profite de ton trou de chien…

Rex obtempéra tout de suite car l’idée de se faire saillir lui traversa de suite l’esprit et l’excita de nouveau fortement. L’homme déjà bien excité par la situation, ne tarda pas à sortir son sexe déjà bien dressé et c’est sans ménagement, ni préambule et ‘à sec’ qu’il encula Rex doucement tout d’abord puis petits à petits à grands coup de boutoirs avant d’éjaculer dans le trou de lope de Rex. Celui-ci avait d’abord eu mal puis la douleur de cette sodomie s’était transformée en plaisirs … Il était heureux d’avoir été baisé ainsi, la naissance de Rex avait eu lieu …

(A suivre …)