Je Dépucelle Le Fils De Ma Meilleure Amie. La Suite.
JE DÉPUCELLE LE FILS DE
MA MEILLEURE AMIE.
2ème partie.
Je veux quil me sodomise.
Résumé de la 1ère partie :
Je mappelle Julie, je suis une belle femme qui adore le sexe, surtout avec des jeunots. Jai dépucelé Claude, le fils de ma meilleure amie.
Claude est dune timidité maladive mais cest un diamant brut de 17 ans avec une queue impressionnante.
Je lui ai fais découvrir ce quétait le corps dune femme et il ma comblée avec sa queue dâne.
Je lui ai promis de revenir ce soir pour quil me fasse subir un autre plaisir que peuvent connaître aussi-bien les hommes que les femmes.
Mais vu ses proportions peu communes, il va falloir que je me prépare sinon je vais déguster.
Le soir est enfin venu, avant de rejoindre Claude dans sa chambre je me mets en condition avec un gode de bonne taille. Je sais que je vais souffrir malgré que mon cul nen soit pas à sa première bite.
Une fois bien chaude et le cul assoupli, je vais me glisser dans la chambre de Claude.
Je le trouve assoupi dans son lit. Je mapproche et tire doucement le drap qui couvre son corps.
Je redécouvre avec admiration les proportions parfaites de cet adolescent. Il va en faire craquer des filles...
Mais ce qui va peut-être lhandicaper avec elles, cest cette verge si impressionnante qui va en rebuter plus dune.
Elle repose entre ses jambes épousant de belles bourses bien pleines pour finir alanguie sur le drap.
Je me glisse entre ses jambes écartées et me saisis de ce dessert royal. Doucement, très doucement, je fais glisser ma main sur ce serpent qui prend doucement vie sous mes doigts.
Régulièrement, je libère sa verge pour constater les résultats de mon labeur, toujours collée contre ses bourses, elle relève la tête en un léger arrondit.
Après quelques minutes defforts, elle se redresse à lhorizontal atteignant pratiquement sa taille définitive.
A chaque caresse, je sens sa verge qui prend du volume. Des veines saillantes forment un lacis enchevêtré sous la peau fine.
Quand enfin je libère à nouveau son phallus, il est devenu si raide quil retombe sur son ventre, cachant son nombril. Je suis de nouveau choquée malgré nos galipettes de laprès-midi par les dimensions de ce manche de pioche.
Son sexe a une grosse tête bulbeuse et la hampe devient de plus en plus grosse en sapprochant de son pubis.
Curieuse, je me suis muni dun mètre de couturière pour en avoir le cur net et entoure la hampe à sa base avec mon mètre.
Mon dieu cest pas vrai
19 cm !!! Ça fait quoi en diamètre ? Elle est vraiment énorme !!! Ça va être du sport de se glisser ça dans le fion !!!
Je mesure aussi sa longueur, elle fait 26 cm de long
Cest pas possible !!! Je ne la voyais pas si grande mais son épaisseur inusitée me donnait limpression quelle était beaucoup moins grande.
Je lève un peu les yeux et vois Claude qui me regarde en souriant, il me demande perplexe:
-Jespère que cest à ton goût, tu trouves peut-être que je ne fais pas la maille ?
Je lui rétorque aussitôt :
-Pour faire la maille, tu nas rien à craindre avec un éperon pareil, cest un véritable monstre que tu te trimbales, mon garçon !
Et ma bouche reprend de nouveau possession de ce mandrin magnifique.
Ma langue lèche avec application toute la longueur de sa hampe en finissant par gober ses ufs chargés de sa laitance.
Je mapplique dans une fellation ou je ne peux absorber que son gland énorme.
Cette constatation maffole un peu en pensant que je veux me faire enculer par un membre de cette longueur, et que dire de la grosseur ?...
Quel contraste avec la virilité de mon mari avec son membre ridiculement court par rapport à ce que je tiens dans mes mains.
La vue de ce jeune et colossal membre viril à quelques centimètres de ma bouche me fais perdre toute retenue. Je lui enfile un préservatif, le diamètre est si imposant que même la taille XXL du condom compresse la base de son rostre.
Je me relève et monte sur le lit pour chevaucher son corps, dos à lui, en lui montrant mon petit trou qui frémit dimpatience.
Les sens exacerbés, je ne peux résister au désir de frotter mes fesses contre ce membre que je tiens fermement à la base.
Je me contrôle difficilement en sentant sa force virile si près de mon anus, mais je me retiens ne voulant pas déchirer mon petit trou sous la poussée sauvage de cette colonne de granit.
-Aller Claude, comme promis je veux que tu me sodomise avec ton défonce-cul mais avant il faut que tu me prépares avec tes doigts !
Je vois que Claude hésite alors je prends son poignet et colle ses doigts masculins sur mes fesses déjà frémissantes.
Il appuie doucement son majeur contre ma collerette déjà humidifiée par mes préparatifs qui souvre sous la pression. Étonné par lintrusion de son doigt sans aucune peine dans mon anus, il s'enhardit alors, et enfonce entièrement son majeur dans mes entrailles.
Perplexe mais rassuré par mes gémissements, son index vient se joindre à son majeur dans ma rosace déjà perforée. Je lance ma croupe en arrière pour lencourager à découvrir mes entrailles mystérieuses.
Je cambre brusquement mes reins, lançant furieusement ma croupe à la rencontre de sa main, lincitant à aller plus loin. Ces doigts me pistonnent l'anus déjà bien dilaté, déclenchant une longue plainte qui s'échappe de mes lèvres.
Désirant savoir jusquà quel point il a élargi mon cul, il plonge trois doigts dans ma chatte dégoulinante et une fois quil les a bien lubrifiés, déterminé, il les enfonce dans mon anus nen revenant pas de ce quil ose entreprendre.
Claude se rend compte de la souplesse de cette partie de mon anatomie complètement étonné de la facilité avec laquelle ils agitent ses 3 doigts dans mon fion tandis que de son pouce sest glissé dans mon vagin trempé pour titiller sensuellement mon clito.
Je suis étonnée de son audace mais très heureuse de ses initiatives.
-Claude, cest le moment de passer à lacte mais il faut que tu lubrifies abondamment ta queue et mon illet avant de me prendre !
Javais tout préparé et il sacquitte minutieusement de cette tâche avant de présenter son monstre à mon petit trou.
Il met une main sur ma hanche et je le sens pointer son gland sur mon anus. Je plie les genoux et je sens mon derrière souvrir sous la pression.
Jusque-là tout va bien et je me dis
« Détends-toi ma petite. Cest le moment le moins agréable, tu vas déguster mais tu la voulue ».
Jentreprends lintromission dans lanus de son gland .Je me baisse aussi doucement que possible mais je suis si tendue que je ferme le passage tellement jai peur quil me déchire. Mon Dieu, il est vraiment énorme !
Je sens quil s'énerve de ne pas y arriver.
La pénétration est plus difficile quil croyait.
Je ne sais pas si certaines d'entre vous ont tentées une telle expérience avec un pieu si énorme, cest assez délicat.
Il y a une telle différence de taille entre son gland et ma rondelle. Jamais cela ne rentrera.
Je glisse le bout de son gland sur le centre de mon trou. Je me recule vers ce bélier tendu qui pousse sur mon sphincter pour lenfoncer.
Mon cratère s'élargit quand jarrive à introduire enfin son gland et que mon anus emprisonne sa queue, il souffle fort et essaie de s'enfoncer plus profondément en constatant.
- Comme cest étroit, putain que tu es serrée par là !
Je sens mes parois sélargir quand je continue à me baisser et quil senfonce plus profondément en moi, ouverte comme jamais, et javoue ne pas prendre de plaisir tellement cette intrusion est douloureuse.
Sa bite progresse doucement mais sûrement dans mon anus, s'enfonçant toujours davantage.
Jarrête la poussée un instant comprenant que je ny échapperai pas. Mais en même temps, je nai pas envie darrêter.
Il minterroge, anxieux :
- Julie
tout va bien ? Tu as mal ? Tu veux arrêter ?
Je lui réponds dans un long râle :
-Ça va aller, jen ai vu dautres
Bien que
Ne tinquiète pas. Le plus dur est fait. Mon corps va enfin connaître la totalité de ton pénis. Mon petit cul va avoir lhonneur de goûter aux derniers centimètres de ton engin !
Il mencourage :
- Allez, tu y es presque !
Après un instant dhésitation, je recommence à enfoncer sa matraque un peu plus en moi, je suis investie par son énorme verge fichée en moi comme un tuteur mempêchant de tomber.
Les muscles de mon anus doivent céder et laisser entrer en moi la base massive de la colonne de chair, ils se contractent comme pour lexpulser.
Je suis paralysée, complètement possédée par cette incongruité qui remonte dans mon ventre défrichant des terres vierges.
Je sens mes fesses écraser ses bourses. Ça y est, il est entièrement en moi.
Je ne bouge plus, il sest redressé et a pris avec douceur dans ses mains mes seins pour les caresser tendrement.
Petit à petit, la douleur laisse place au plaisir. Au bout dun moment, je décide de reprendre les choses en main. Je pose mes pieds sur ses cuisses et mes paumes sur son torse et commence lascension de son rostre ne gardant que le gland en moi
La situation est sous mon contrôle et de plus en plus agréable. Je fais aller et venir dans mon anus son énorme sexe me poignardant jusqu'au bout en retenant en moi mes hurlements de plaisir.
- Aaaaaaah, cest bon
Mon Dieu
Tu me dépucelles à nouveau le cul !
Je vois dans la glace de larmoire son jonc vigoureux sortir de moi, puis se renfoncer jusquà la garde.
Sa grosse queue a tellement alésé mon cul quil me pénètre facilement maintenant, cest fascinant !
Sentant l'orgasme le saisir soudainement, il me prend par les hanches et membroche d'un violent coup de reins, je sens son corps se cambrer frénétiquement, comme électrisé avant de s'immobiliser.
Un geyser puissant de sperme lubrifie mes intestins en saccades violentes et répétitives.
- Aaahhh
ouiiiiii
OOOhhhh mon chéri ! Remplit moi ! Encore
Ouiiiii comme çà
. Ooooohhhhh
.
Ses puissantes giclées de semence virile dans mes entrailles déclenchent en moi un orgasme d'une rare violence. Un long cri inhumain méchappe, la jouissance me fait tellement me cabrer que son pieu séchappe de mes reins complètement dévastés.
Je bascule sur le coté mais Claude ne lentend pas comme ça, il commence à prendre des initiatives, le puceau, et jaime çà !
Il se lève, la queue toujours raide, me force à magenouiller sur le lit et pénètre mon illet encore dilaté avec force jusquau fond puis s'arrête, comme pour me laisser le temps d'apprécier.
Il reprend le rythme de ses pénétrations, s'enfonçant, et se retirant... Je pousse des cris de plaisir à chacune des poussées de son gourdin qui me lime comme jamais me remplissant complètement.
Je prends un pied incroyable et suis vite de nouveau au bord de lorgasme, je contracte mes muscles sur cette grosse verge jusquà lexplosion de mes sens. Quand enfin le plaisir arrive, je gémis lorsquun flot de mouille séchappe de mon sexe en manque de bite.
La pulsation de son membre quil menfile à fond me rend folle. Il grogne et ahane sous leffort, mon amant fougueux, me pilonnant infatigablement, variant les plaisirs en changeant de trou pour rassasier aussi ma chatte tout en prenant des précautions pour ne pas me blesser.
Je naurais pas cru pouvoir encaisser aussi facilement un tel organe mais je suis excitée comme une pucelle qui découvre sa première bite.
Les coups de boutoir de ce jeune animal fougueux sont douloureux mais ne font que décupler mon plaisir ! Jaurais voulu quil me lime encore pendant des heures mais je sens son excitation atteindre le maximum quil puisse accepter !
Il sest mis à accélérer le mouvement, je pense quil est au bout, je veux quil jouisse ! Je lencourage en criant de toutes mes forces :
-Jouit mon petit poulain, vide tes couilles en moi ! Ouiiiiiiii, ooooooh, putain je pars, ouiiiiiiiii, oooooooooh , encore, ne tarrêtes surtout pas ! Défonce-moi !
Je suis devenue folle de dire de telles choses mais je ne peux plus me retenir. Un flot brûlant inonde mon vagin en fusion, mais ce petit con na toujours pas cracher, champion le puceau, il apprend vite !!!
Claude devient hystérique et mencule maintenant par des poussées dau moins vingt centimètres.
La sensation est extraordinaire bien quun peu douloureuse quand son manche de pioche si large défonce mes fesses, la sensation dêtre si bien remplie suivie du vide quil laisse en se retirant pratiquement est dantesque! Jamais je nai connu ça !
Je suis maintenant toute à lui complètement relâchée sous ses coups de boutoir.
Quelle sensation dextase ! Je gémis, je râle, en larmes de douleur quand son rythme saccélère encore jusquà devenir dune brutalité inouïe, Paul se défoule complètement. Il me défonce comme un damné ne se rendant pas compte par son manque dexpérience quil y va trop fort.
Mais je ny tiens plus, je veux voir ce défonce-cul expulser tout son jus !
Je mextrais avec difficulté mais autorité de son rostre, cest quand même moi la patronne bordel !!!
Je retire le préservatif et le prends en bouche avec difficulté tout en le branlant des deux mains avec vigueur.
Je memploie avec un tel brio quil éjacule à peine la verge sortie de ma bouche.
Son sperme séchappe du méat avec violence, ah la jeunesse !
La première giclée de sperme est un véritable jet. Elle me frappe le visage avec une puissance que je n'aurais pu imaginer. Mon visage se recouvre de sa gelée épaisse.
Puis aussitôt, une deuxième tout aussi abondante, tout aussi violente minonde les cheveux et termine sa course sur les draps.
Je continue à masturber cette lance dincendie, orientant comme je peux les jets...
Une troisième giclée sajoute sur mon visage qui se retrouve sous une couche épaisse de crème.
Jouvre la bouche pour accueillir la quatrième giclée dont le volume de sperme ne tarit pas, ses expulsions sont toujours aussi copieuses.
Comment ce jeunot peut-t-il avoir des testicules aussi pleines ?
Deux autres plus espacées finissent par me remplir la bouche, javale ce met de reine en appréciant le goût exquis tout en sentant sur mon visage malgré sa viscosité son sperme dégouliner avant de chuter sur les draps copieusement tachés.
Je continue ma masturbation et arrive encore à obtenir deux contributions qui n'émettent plus qu'un filet de foutre. Je le regarde dans les yeux et le complimente :
-Tes un putain détalon, tu es un sacré reproducteur mon garçon doté dune belle queue aussi prolifique et quel tempérament de feu tu as! Jenvie et je plains la femme que tu choisiras, elle va salement déguster mais tu va la faire grimper aux rideaux !
-Ta mère va être contente de moi !
Perplexe, Claude me regarde sans comprendre avant que je lui avoue que jai agis à la demande de sa mère.
Ca la tellement mit en rogne quil sest vengé en me reprenant encore deux fois dans la nuit.
Quest ce que jai pris !!! Mais que cétait bonnnn !!!!!
Lélève apprend vite est va bientôt en savoir autant que son maître.
Ou devrai-je plutôt dire, que sa MAÎTRESSE
..
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