La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 608)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°606) - Un bien humiliant apprentissage -

Le chien soumis MDE avait rejoint ses congénères et tous furent emmenés à quatre pattes, en file indienne, selon l’expression utilisée ici « nez au cul » jusqu’au réfectoire. Là, ils furent séparés en trois groupes de quatre et durent se partager une même gamelle posée au sol. soumis Endymion MDE et les trois autres stagiaires soumis, à quatre pattes, culs bien cambrés et cuisses largement écartées, selon les ordres reçus, plongèrent chacun leur tour, la tête dans ce récipient et avalèrent cette pâtée, toujours la même, sans saveur et parfaitement insipide. Cette bouillie avait l’avantage d’être consistante, nutritive et pleine de protéines, permettant ainsi de rassasier rapidement le cheptel affamé. Sitôt qu’ils eurent fini le repas et avant même d’être autorisés à boire un peu d’eau, dans chaque groupe, l’un des quatre soumis fut désigné pour lécher les babines de ses trois autres congénères. A grand coup de langue, il ôta les surplus de cette pâtée restée collée sur leurs joues et nez, puis à son tour se fit ‘sucer le museau’ par un autre stagiaire désigné… Sitôt le repas terminé, les esclaves retrouvèrent leur éducatrice. Madame Jane emmena ses trois chiens soumis en salle de dressage et d’éducation. Là, la position debout et tête baissée étaient imposée et contre toute attente, Andy, Xao et soumis Endymion MDE furent libérés de leur cage de chasteté. Instantanément leurs trois queues se redressèrent mais, vicieusement Madame Jane se mit à sourire. Elle attrapa la queue raidie de l’esclave MDE et la branla tout doucement. Lui immobile, bras croisés dans le dos, lombes bien cambrées savourait cet instant, instant bien trop court, car cette main avait rapidement délaissé sa queue pour empoigner fermement ses couilles. La pression fut telle qu’il lui fut impossible de rester debout. Il tomba à genoux d’abord puis s’écroula au sol ensuite.



- Tu n’imaginais pas que j’allais te faire gicler, petite chienne !

Elle ordonna aux trois stagiaires soumis de se mettre à genoux, mains derrière le dos, et toujours tête baissée. Elle était très calme, s’était assise sur un fauteuil, jambes croisées, jouant distraitement avec sa cravache, elle voulait les voir, les regarder, les savourer, soumis à Elle. Elle s’approcha de soumis Xao, lui caressa sa peau nue du bout de la cravache, comme pour lui faire sentir l’étendue du pouvoir qu’elle entendait exercer sur eux trois. D’ailleurs pour s’assurer de leur parfaite soumission, les trois soumis durent baiser avec délicatesse la main qu’elle leur présenta à leurs lèvres. Avec une application tranquille, elle attacha des laisses à leur collier… Etrangement, à cet instant, soumis Endymion MDE se sentit vulnérable, sans défense face à la volonté supérieure de cette femme qui faisait de lui un animal qu’on contemple, qu’on caresse, dont on cherche à apprécier la valeur et il adorait ça, il était si bien d’être traité ainsi. Il se laissait dépouiller de sa dignité, acceptant même de lui offrir la démonstration de sa véritable faiblesse en gage de respect et d’admiration pour elle. Il lui retira ses bottines, comme ordonné, puis laissa le pied de Madame Jane lui soulever ses couilles. Sa queue se raidit un peu plus au contact de ce pied, il se sentit traiter comme un animal un peu sauvage que l’on allait domestiquer et cela l’excitait fortement. Soudainement, un ordre bref le tira de ses réflexions :

- A quatre pattes, les chiens.

Comme mû par réflexe, sans même s’en apercevoir, les trois soumis stagiaires obéirent. Leur cambrure était parfaite, dégageant ainsi leur fessier, laissant entrcevoir leurs génitaux balloter entre leurs cuisses. L’instant d’après, une traction sur leur laisse leur fit comprendre que les choses sérieuses allaient commencer. Madame Jane, se contenta dans un premier temps d’une simple petite promenade, une sorte d’échauffement.
Les trois soumis la suivaient un peu maladroitement, se marchant un peu dessus, s’écrasant de temps à autre une main avec un genou mal placé. Ils prirent conscience de la difficulté qu’ils éprouvaient à se déplacer en meute. Mais si l’un des trois soumis tentait de ralentir la cadence afin de mieux coordonner ses mouvements avec ceux de ses congénères, il subissait alors une traction inconfortable de la laisse sur son cou. Les trois chiens soumis devaient s’adapter au rythme et au pas de Madame Jane, et certainement pas l’inverse. Après quelques tours, l’Educatrice s’arrêta et tira sèchement sur les trois laisses.

- Aux pieds ! Lâcha-t-elle autoritairement.

Les trois soumis, têtes basses, vinrent se positionner immédiatement près des pieds de Madame Jane, comme l’aurait fait un animal, mais eux s’offraient et s’exhibaient sans honte avec une excitation qu’ils ne pouvaient dissimuler. Sur un ton de reproche, Madame Jane enchaîna :

- Il faut que vous appreniez à mieux suivre mon pas, il faut que vous vous appliquiez si vous ne voulez pas me décevoir !

Du bout de sa cravache, elle donna une tape appuyée sur le derrière exposé de chacun des trois soumis stagiaires, puis roula les trois laisses autour de sa main afin d’en raccourcir l’allonge. De cette manière, elle limitait la marge de manœuvre dont les chiens soumis disposaient et dès qu’elle se remit en marche, ils ressentirent beaucoup plus directement la traction qu’elle imprimait sur leur collier. Cette fois-ci la translation de la volonté de Madame Jane leur parvenait sans délai et ne leur laissait plus d’autre alternative que de suivre fidèlement la cadence qui leur était imposée. Madame Jane faisait fi de leur problème articulaire, de leurs genoux douloureux, ce n’était pas son souci, elle continuait à se déplacer tantôt vite, tantôt moins, changeant de trajectoire au grès de ses envies ou en fonction des obstacles, attentive aux réactions de ses trois mâles. Mais décidément, ces trois lopes ne parvenaient pas à garder un rythme assez fluide pour qu’elle soit satisfaite.
Elle s’était arrêtée de nouveau, avait saisi sa cravache et elle porta des coups bien dosés en guise de punition sur les croupes de ces apprentis chiens mâles devant se soumettre de gré ou de force.

- Appliquez-vous, on dirait trois gros porcs que je traine en laisse.

Déjà la traction sur la laisse les contraignait à reprendre leur progression. Tous trois prenaient toute la mesure de l’épreuve qu’elle leur imposait et du pouvoir qu’elle exerçait sur eux. La petite main féminine qu’ils avaient embrassée avec ferveur était en fait une main de fer. Tout en marchant en quadrupède, soumis Endymion MDE regardait cette main à laquelle il était relié. Il était comme fasciné par l’autorité de cette femme parce qu’elle représentait un mélange de charme et de cruauté auquel il était tout simplement incapable de résister. Après plusieurs tentatives ponctuées d’autant de coups de cravache sur leur cul, ils finirent par progresser sensiblement. Non seulement, ils marchaient bien mieux, leur regard fixé sur les pieds de leur Educatrice, mais ils avaient appris à exprimer leur reconnaissance pour la peine qu’elle prenait à les dresser en embrassant sa main après chaque coup qu’ils recevaient. Tous trois semblaient satisfaits et pensaient que Madame Jane l’était.

- Vous n’êtes vraiment que des minables. Vous n’avez absolument rien compris de ce que nous voulons faire de vous.

Cette voix n’était autre que celle de Monsieur le Vicomte d’Evans. Il avait assisté discrètement à cette déambulation sans mot dire, sans même que les trois esclaves s’aperçoivent qu’Il était là. Il s’approcha des trois chiens toujours à quatre pattes et s’accroupit devant eux, juste face à soumis Endymion MDE.

- Vous vous dites des chiennes et vous croyez qu’en vous trainant et vautrant ainsi, vous allez me faire croire que vous en êtes !

Maître CharlEd parlait doucement mais fermement. Il attrapa de sa main les joues de l’esclave MDE, lui souleva le visage pour le regarder sévèrement dans les yeux.


- Crois-tu salope que le Grand Maître, Monsieur le Marquis d’Evans, peut être fier de Son esclave en le voyant se trainasser et baguenauder ainsi ? Tu n’es pas là pour te balader, mais pour te faire dresser.

Monsieur le Vicomte avait très nettement haussé le ton à la fin de sa phrase, il relâcha le visage de l’esclave MDE, comme s’il était déçu et quelque peu désemparé. Il se releva pour s’adresser aux trois stagiaires soumis.

- Je veux vous voir devenir des chiennes soumises, des chiennes montrant qu’elles sont en permanence en chaleur. Hormis vos queues qui justifient de votre excitation, rien dans votre façon d’être, dans votre démarche, fusse-elle en quadrupédie, ne prouvent que vous avez envie de vous offrir. Vous n’êtes pas capable de cambrer vos reins et de tendre votre cul, lorsque vous marchez. Comment voulez-vous nous prouver que vous êtes accros à la bite ou aux enculades par des godes ceintures de vos Maîtresses. J’en ai vu aucun tirer la langue, pour expressément montrer qu’il est une vraie salope qui en redemande, comme une petite pute bien soumise.

Monsieur le Vicomte attrapa la laisse de soumis Endymion MDE et le tira près de sa jambe.

- Tu vas me faire une démonstration chien ! Montre, puisque tu dois servir d’exemple, selon la volonté de Monsieur le Marquis d’Evans, comme une lope de ton espèce doit marcher aux pieds d’un Dominant.

La cravache tomba à plusieurs reprises sur le cul de l’esclave MDE. Maitre CharlEd voulait le voir exagérément cambré, les cuisses largement écartées

- Tire la langue mieux que ça chienne, laisse ton trou du cul bien visible à chacun de tes mouvements, trémousse-toi et déhanche toi comme si ton seul but était de prouver à ceux qui te regardent que tu étais en chaleur, n’espérant qu’une chose, d’être sailli à tout moment.

A plusieurs reprises, Maître CharlEd, le fit avancer, reculer, marcher à droite, à gauche, tirant la laisse, contraignant le chien soumis MDE à obéir et à s’offrir dans une démarche grotesque et terriblement perverse et humiliante, mais tellement excitante… Il entraîna le chien soumis MDE à l’écart en ordonnant à Madame Jane de poursuivre l’entrainement et le dressage des deux autres clebs. Lorsque Lui et soumis Endymion MDE furent isolés, Maître CharlEd le contraignit encore à se mouvoir dans une démarche plus qu’outrageante.

- Regarde chien, redresse les yeux !

Maître CharlEd avait sorti sa queue de la braguette de son pantalon, elle pointait vers le ciel.

- Tu vois salope l’effet que tu me fais à te trainant ainsi à mes pieds. C’est ce que tu dois toujours avoir en tête, la satisfaction du Maître ou des Maîtresses ici. Tu dois en permanence exacerber leurs sens et les exciter, c’est ton seul objectif. Mets-toi en levrette et présente-moi ton trou de lope !

(A suivre…)

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