Une Famille Très Ouverte 2 : Une Surprise Matinale

Après cette nuit agitée mais délicieuse avec Clément je me réveillai encore engourdi par notre baise et mon orgasme puissant. Clément n’était plus à côté de moi mais j'entendis le bruit de l'eau dans la douche. Se devait être lui. J'espérais qu'il n'avait pas croisé mon frère surement resté lui aussi nu après sa propre nuit de baise.

Du coup je ne pressai pas, je me réveillais lentement.

Une dizaine de minute plus tard j'entendis l'eau s’arrêter de couler, puis quelqu'un marcher le long du couloir. Mais bizarrement les pas s'arrêtèrent avant ma chambre. Finalement ce devait être Thomas dans la salle de bain.

Mais où était Clément alors? Je pris mon téléphone et vu qu'il m'avait laissé un message : « J’ai dû partir tôt pour un truc de famille, j’ai claqué la porte comme tu m’as dit. Merci pour la soirée, et la nuit ». Je fus surpris parce qu'il me disait puisqu'il ne m'avait pas parlé de ce rendez-vous, mais après tout pourquoi pas. Du coup je me rallongeai et profitai de ce temps de repos en plus.


Mais une dizaine de minutes plus tard un bruit me sorti de mon sommeil partiel. Des gémissements. Un souffle régulier et grave provenant de la chambre de mon frère. Surpris je mis un caleçon et sorti.

Je me glissai dans le couloir sans faire de bruit puis voyant la porte entre-ouverte, j’en profitai pour observer ce qui était en train de se passer.


Quelle ne fut pas ma surprise de voir mon frère assit sur le lit, son torse viril et musclé en avant, appuyé sur les bras, et entre ses jambes écartées : Clément. Il était nu lui aussi. Une serviette de bain était jetée juste à son côté. C’était donc lui qui était sorti de la douche et pas mon frère.
Je voyais sa tête monter et descendre doucement. Clément était en train de sucer mon frère ! Et il s’appliquait en plus. A chaque fois que sa tête arrivait sur son gland et redescendait jusqu’en bas lentement, suivant la longue queue de Thomas, celui-ci poussait des gémissements graves de plaisir.

Mon frère posa une main sur la tête de Clément, caressant ses cheveux, les tirants un peu lorsque le plaisir montait en lui et appuya même sur sa tête. Clément lui fit ainsi une gorge profonde et la maintenait. Il était lui-même très excité, accroupis je pouvais voir son sexe bandé à son maximum entre ses jambes. Moi aussi je commençai à ne plus me tenir. Voir le mec hétéro que j’avais baisé la veille sucer la longue queue de mon frère, et savoir ce qui viendrait inévitablement ensuite était trop pour moi. Mon sexe gonflait de plus en plus à mesure que mon frère gémissait. Je baissai donc mon caleçon et me caressai doucement profitant de ce spectacle si surprenant et si torride.

J’entendis soudain un gémissement plus fort que les autres, puis un autre, et ainsi de suite. Mon frère arracha Clément à sa gorge profonde et sans dire un mot éjacula sur le visage de Clément, qui attendait la bouche ouverte. Et moi qui le croyais hétéro à fond…

Clément repris le sexe de Thomas dans sa bouche pour le nettoyer. Ce dernier dit alors :

- Et t’en redemandes en plus ? Je comprends pourquoi mon frère et toi faisiez plus de bruit que moi hier.
- Maintenant baise moi s’il te plait. J’en rêve depuis hier.
- Quoi ? Mon frère ne t’a pas suffi ?
- Oh que si, mais bon c’est de vous deux que je rêvais hier.
- Si c’est ça que tu veux, je te préviens, tu vas prendre. Je ne suis pas comme Romain moi.

Thomas fit mettre Clément à quatre pattes sur le lit et approcha sa bouche et ses doigts de son cul. Je le vis introduire ses doigts profondément en lui. Déjà Clément gémissait de plaisir. Heureusement ils étaient de profil par rapport à moi, je pouvais donc continuer à voir sans être vu. Thomas lécha ensuite le cul de Clément et introduisit sa langue. Il la rentrait et la sortait comme s’il le baisait avec sa langue. Rien que ça suffisait à faire gémir un Clément plus excité que jamais.

Puis lorsque Clément le supplia de le baiser, il lui dit :

- Il t’a pris comment hier Romain ?
- En levrette et sur le côté.
- Essayons autre chose alors.

Il dit à Clément de s’allonger, prit ses jambes sur les épaules et mit son gland contre son cul. Il le pénétra d’une manière que je n’avais encore jamais vue. De sa main il agita son gland comme s’il vibrait doucement et le fit rentrer lentement comme ça. Clément exultait de plaisir. En plus vu la taille de sa bite, mon frère mit très longtemps avant de l’enfoncer complètement. D’autant que dans cette position, le gland recourbé de mon frère ne passait pas du tout au même endroit que le mien la veille et encore plus profondément en lui.

Une fois Clément habitué à la sensation et à la position de Thomas, celui-ci se lança dans un rythme effréné. Il profitait de le tenir par les jambes pour aller encore plus vite. Clément hurlait son plaisir. La bête s’était lâchée. Le visage de Clément était devenu rouge de plaisir et d’excitation. Il exultait. Et moi aussi je me branlais réellement maintenant. Leurs gémissements m’excitaient beaucoup trop pour ne faire que me caresser en les regardant. Voir le corps de Clément si finement dessiné et rasé de près de partout, se faire démonter au sens propre par la bête de sexe large musclée et velue était juste génial. Je n’aurai pas parié sur le fait que le voyeurisme m’exciterait mais comment résister à cette scène digne du meilleur des pornos. « Le Minet et la Bête » ah ah.

Thomas laissa tomber les jambes de Clément sur les côtés, se rapprocha de lui et renfonça son sexe d’un coup en lui. Puis après quelques minutes encore passées dans cette position, torses collés l’un à l’autre Thomas se retira. Il s’allongea à côté de Clément et attendit. Celui-ci s’assit sur lui. L’embrassa et caressa son magnifique torse. Je le vis ensuite relever et avec l’aide de Thomas il s’empala sur son sexe, descendant jusqu’à la garde en gémissant. Il commença alors à monter et descendre doucement sur cette longue hampe. Thomas lui caressait le torse et pinçait ses tétons, ou bien le branlait. Mais il n’avait apparemment pas l’intention de lui laisser le contrôle bien longtemps. Il le prit par la taille et fit des coups de reins puissants et rapides en lui. Les ondes de plaisir remontaient dans son corps à chaque coup. Je pouvais le voir chanceler et sursauter avec elles.

Je me surpris à gémir de mes caresses et de mes doigts enfoncés en moi. Mais heureusement Clément criait beaucoup plus fort que moi.

Thomas finit par serrer Clément contre lui et dans un dernier effort plus rapide encore il jouit en lui. Je l’entendais à ses gémissements et le vis à la tension de son corps déchargeant surement plusieurs jets au fond de mon pote. Il ne tarda pas à venir non plus, gémissant une dernière fois en éjaculant sur ses fins abdos. Clément sorti le sexe de Thomas de lui et s’allongea sur lui pour l’embrasser. J’en profitai pour revenir dans ma chambre. Je les entendis sortir de la chambre et rejoindre la salle de bain. Quand l’eau coula j’en profitai pour me finir sans crainte, allongé sur le lit, en repensant à tout ce que je venais de voir.

Je mis un caleçon, un jogging et un pull puis sortis de l’appart et pris l’ascenseur. Je ne savais pas trop quoi faire. Vu le bruit qu’ils avaient fait, je n’aurais pas pu ne pas entendre. Dire que je n’étais pas là était la meilleure solution du coup. En bas de l’immeuble j’attendis.

Je vis passer Clément. Sa seule démarche suffisait à comprendre qu’il avait du mal à marcher. En même temps vu ce qu’il avait pris en quelques heures, normal.

Je remontai dans mon appart en prenant l’ascenseur. Arrivé en haut je trouvai Thomas nu sur le canapé. Je me dessapai donc comme à mon habitude. Puis nu, je me mis sur le canapé en face de lui. Sa longue queue pendait entre ses jambes comme si de rien n’était.

- T’étais où ? me demanda-t-il.
- Je suis descendu passer un truc à un pote comme qui avait oublié quelque chose hier.
- Du coup t’as dit au revoir à ton pote d’hier ?
- Il m’a envoyé un message, il devait rentrer plus tôt que prévu et est parti pendant je dormais.
- Ah d’accord.
- Dis-moi, hier vous avez été bruyants. T’aurais pu éviter, tu savais qu’un pote à moi était là.
- Oui j’aurais pu, mais bon j’en connais une qui vous en aurait voulu si je m’étais limité. Et puis je suis sûr que ça a dû l’excité ton pote, dit-il en mettant ses mains derrières sa tête dans une position qui mettait en avant toute la virilité de son corps, position qu’il utilisait toujours pour embêter ma sœur ou moi lorsqu’on parlait de sexe.
- Ah oui ? Qu’est-ce qui te fais dire ça ?
- Hier quand je suis sorti de la douche, il était dans le couloir et allait vers ta chambre, et disons qu’il a apprécié de me croiser nu et ruisselant. Et puis si tu penses que je n’ai rien entendu hier de mon côté…
- Ah tu as entendu ? Dans le fond, ça t’as bien arrangé que j’y sois déjà passé, non ?
- Oh que oui, t’as fait du bon boulot pour le préparer à ton frérot ah ah, dit-il en agitant son long sexe avec son bassin. Je savais que tu étais encore là. Je suis sûr que t’as tout vu. Enfin tout sauf quand on a remis ça sous la douche. Pourquoi t’es pas venu avec nous ?