Ma Vie De Libertin - De Brèves Aventures - Relais Autoroutier De La Porte De Bourgogne.

Une autre lettre, quelques mois plus tard.


« Ma belle et tendre amie coquine.
J’espère que tu vas bien et que, malgré mon absence momentanée, tu fais quelques coquineries…
Mon bref voyage sur la Côte languedocienne s’est bien passé… Je n’aurai guère de temps à moi car j’ai pas mal de monde à voir et beaucoup de démarches à faire à mon retour…
En descendant vers le sud, je me suis arrêté au relai routier de la Porte de Bourgogne sur l’autoroute du sud. Cela faisait déjà une belle étape depuis Paris…
Je te rappelle que début juin, je me suis entendu avec le patron de ma boite pour obtenir un congé de trois semaines jusqu’aux premiers jours de juillet. En compensation, je serais le cadre d’astreinte pendant le mois d’août avec les quelques ouvriers chargés de la maintenance de l’outil de travail.
Malgré les tentations que j’ai pu subir pendant ce congé passé dans le village naturiste de Port Leucate, je suis resté sage. Je me suis contenté pendant ces dix huit jours de reluquer les belles (et moins belles naturistes) qui peuplaient le village en ce début de saison.
Il y avait notamment deux couples de hollandais d’une quarantaine d’années qui occupaient les bungalows voisins du mien. J’avais remarqué que ces coquins échangeaient leurs partenaires et les deux femmes me lançaient des œillades enflammées chaque fois que nous nous croisions. Si elles semblaient me trouver à leur gout, elles n’étaient pas du tout mon genre.
En milieu de semaine, voulant éviter les traditionnels bouchons du chassé-croisé de vacanciers, j’ai pris la route en début de soirée pour regagner mon lointain domicile. Tu sais que 1.100km de route en une seule fois ne me font pas peur ! Avec les inévitables haltes, je pensais arriver en fin de matinée.
J’avais pratiquement fait les trois quarts du chemin quand je me suis arrêté au relai autoroutier de la porte de Bourgogne au nord de Lyon. J’avais besoin de me dégourdir un peu les jambes et de me restaurer légèrement.


Avant de reprendre la route, je suis descendu au sous-sol où se trouvent les toilettes. Je voulais aussi me passer un peu d’eau fraiche sur le visage. Hélas, le moment était mal choisi. Les locaux réservés aux hommes étaient en cours de nettoyage. J’ai été obligé de me rendre dans ceux des femmes qui sont contigus. Il n’y avait personne. Mais je me trompais.
Bientôt je perçus venant d’une cabine des gémissements de plus en plus distincts. J’ai frappé à la porte : Avez-vous besoin d’aide ? Quelque chose ne va pas ?
Les gémissements ont cessé quelques secondes avant de reprendre de plus belle quand soudain, j’ai entendu la porte se déverrouiller et je l’ai vue s’entrouvrir.
• Oui, j’ai besoin d’aide ! Entrez et refermez la porte.
Quelle n’a pas été ma surprise en découvrant, assise sur le siège de toilettes, une jeune femme qui visiblement était en train de se donner du plaisir. Cela expliquait les gémissements entendus.
J’avais devant moi une jeune femme, trente ans environ, des cheveux roux coupés courts, d’immenses yeux verts ourlés de longs cils châtain foncé, un visage à l’ovale parfait avec un petit nez légèrement retroussé au dessus de lèvres minces.
Sa chemise entrouverte laissait voir deux seins menus d’une blancheur laiteuse avec une large aréole bistre. Plus bas, je distinguais la fourche de ses jambes entravée par le pantalon de toile tout juste abaissé et sa discrète touffe rousse. Waouh, qu’elle était bandante cette jolie coquine.
Et c’est moi qui instantanément je ne suis mis à bander comme un taureau. Il y avait de quoi ! Les naturistes de Port Leucate et le jeûne depuis quelques mois y étaient pour quelque chose. Le devant de mon pantalon de toile était déformé par une belle bosse.
Devinant mon état, cette coquine a tendu sa main droite et elle est venue masser ma bite par-dessus mon pantalon, faisant aller et venir sa main de bas en haut. Puis, s’approchant encore de moi, elle a fait coulisser le zip pour aller chercher mon bâton de chair dans mon boxer et l’engloutir d’un seul trait jusqu’au fond de sa gorge.

Cette fellation impromptue a achevé de me faire bander et à chaque va-et-vient, je m’efforçais de retenir l’éjaculation que je sentais proche. Mais j’avais envie de plus. Quelle surprise lorsqu’elle m’a demandé :
• Tu as une capote ?
• Non hélas !
• Çà ne fait rien ! j’ai ce qu’il nous faut !
Et là, ma jolie rousse sort de sa besace accrochée près d’elle un étui de préservatif qu’elle me tend. Pendant que je me couvre, elle se relève, me tourne le dos et se mets en appui contre le mur de la cabine. Le pantalon sur les chevilles, elle me présente son dos orné d’un tatouage représentant un lézard au niveau des reins. Sous sa taille étroite, je découvre les deux jolis globes charnus de ses fesses. Quand je m’approche elle dit doucement :
• Vas-y doucement, je suis étroite et tu es bien pourvu !
C’est que sans être gigantesque, tu sais que ma bite est de bonne taille, courte et trapue. Doucement je me glisse dans la fourche de ses jambes et sans tâtonner, je trouve l’entrée de son vagin dans lequel je me glisse avec précautions. Mais elle est tellement mouillée que je n’ai pas à forcer pour entrer jusqu’à ce que mes bas ventre soit au contact de ses fesses.
Nous restons ainsi, embrochés l’un à l’autre pendant quelques instants. Quand je commence mon va-et-vient, elle glisse une main jusqu’à sa chatte pour caresser son clito. Que c’est bon ! Dix mois sans faire l’amour et je tombe sur une chaude qui m’offre une jolie occasion de me vider les couilles…
Nous sommes tellement excités de la situation qu’il ne nous faut pas de longues minutes pour atteindre le point de non retour et laisser éclater notre jouissance simultanée. Lorsqu’elle achève de jouir, je me lâche à mon tour, lançant au fond du préservatif plusieurs giclées abondantes d’un sperme épais.
L’un comme l’autre nous nous sommes efs de ne pas manifester trop bruyamment notre plaisir mais il a été total.
Après avoir étanché nos fluides avec du papier toilette, nous nous sommes rajustés et, quittant la cabine, nous sommes allés prendre un café.
Nous avons bavardé pendant plus d’une heure au cours de laquelle nous nous sommes confiés l’un à l’autre comme des amis de longue date. Après avoir échangé nos coordonnées téléphoniques, nous nous sommes quittés, elle allant vers le sud et moi vers le nord.
Voila ma belle, tu connais un épisode supplémentaire de ma vie de coquin libertin.
Je t’embrasse tendrement mais comme d’habitude, je dépose quelques baisers coquins sur tes jolis seins.
Ton gros chat. »

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