La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 609)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°608) - D'étranges sensations jouissives –

soumis Endymion MDE pensait et espérait se faire enculer. Il avait écarté largement les cuisses, cambré exagérément ses reins de telle sorte à bien exposer son fessier et dégager son sillon anal. Son petit trou bien chaud s’offrait au regard de Maître CharlEd et attendait impatiemment le contact de cette queue outrageusement gonflée se poser tout contre son orifice déjà entrouvert pour être rempli, possédé profondément. Monsieur le Vicomte, lui, prenait son temps, il se branlait doucement, faisant rouler son prépuce entre ses doigts pour bien décalotter son gland violacé. Avec son index replié, il récupérait une goutte de liquide pré spermatique s’échappant de son méat et la déposait sur son gland turgescent en se massant tranquillement. Il alla même à se laisser gémir doucement, tant il s’offrait et s’accordait du plaisir. Le chien soumis MDE, toujours plus impatient, avait envie de cette queue, de se faire prendre comme une bonne chienne en chaleur. Alors, il remuait du cul, telle une salope endiablée, tentant de faire comprendre sinon supplier, qu’il avait une envie folle d’être pris, là sur le champ, immédiatement. Pour la première fois peut-être, il eut l’impression que cette sodomie escomptée devenait un besoin vital. Il voulait se faire fourrer et enfourner, se faire défoncer. Ses sphincters étaient prêts à accueillir tel un divin présent, l’engin raide et brûlant du Maître. Monsieur le Vicomte avait parfaitement compris les manigances de Son chien soumis MDE et de le voir ainsi se trémousser l’excitait terriblement...

- Tu as envie de prendre ma grosse pine dans ton petit cul de salope, n’est-ce pas le chien ?

Le chien soumis MDE hocha de la tête de haut en bas, langue pendante.

- Parle salope tu y es autorisé… supplie-moi, dis-moi que tu la veux ma grosse queue.

soumis Endymion MDE tout en continuant à se tortiller dans tous les sens, allant même jusqu’à feindre une sodomie en faisant basculer très vite son bassin d’avant en arrière, ânonnait :

- Ooooohh oui… ooouuuiiii Maître, je … oui, je vous en supplie Maître, ooouuuuiii enculez-moi, s’il vous plait Maître, prenez moi jusqu’à la garde…

Monsieur le Vicomte d’Evans, un petit sourire vicieux au coin des lèvres, prenait un plaisir évident à entendre Son esclave MDE le conjurer et lui requérir une belle et forte enculade.

Il était également satisfait de le voir se métamorphoser, de le voir abandonner ces valeurs éducatives d’homme libre et parvenir à un stade d’une dimension différente, intégrant parfaitement son statut d’esclave. Sa rééducation était en marche… Maitre CharlEd aimait voir soumis Endymion MDE lâcher prise et consentir à n’être qu’une vraie chienne authentique et lubrique, il était fait pour ça. Il devait d’ailleurs consentir, de gré mais jamais de force, à s’afficher sans la moindre retenue, sans pudeur ni tabou, dans l’immoralité, la débauche et la totale dépravation. C’était l’éducation qu’on lui donnait ici, dans ce centre, elle commençait à porter ses fruits ! soumis Endymion MDE implorait toujours, tant et plus, alors que Monsieur le Vicomte se branlait plus énergiquement encore. Il haletait et poussait des gémissements bloqués par une respiration de plus en plus oppressante. Il poussa un « aaahhh… ! » fort et puissant alors qu’au même moment il éjaculait abondamment par spasmes successifs. Son foutre épais tomba et s’écrasa dans le creux des reins et la raie anal de l’esclave MDE puis glissa lentement entre ses sillons.

- Tu le sais très bien petite salope, ma grosse queue se mérite ! J’estime que tes efforts en ta qualité de chienne lubrique ne sont pas encore satisfaisants et suffisants. Tu dois progresser et me montrer mieux encore ta volonté de te dépraver. Tu es là pour ça, ne l’oublie pas. Redresse-toi chien, et viens te mettre à plat ventre sur mes cuisses.

Monsieur le Vicomte d’Evans s’était assis, son pantalon toujours baissé à ses chevilles, il tapa sur ses jambes en disant :

- Allez dépêche-toi le chien, vient ici, ne fait pas cette tête…. La frustration ne peut pas te faire de mal, au contraire même elle te fait grandir dans ta slavitude !

Endymion MDE n’avait pas débandé, sa queue raide perlait, il avait une envie irrésistible de se branler, surtout que sa bite était à l’air libre, sans contrainte de la cage de chasteté, la frustration lui semblait plus terrible encore ! Là, à portée de mains, sous son regard, sa tige terriblement droite, réagissait et se cabrait en soubresauts réguliers, comme si elle voulait se donner en spectacle comme si elle voulait le narguer.
Rarement soumis Endymion MDE n’avait ressenti une telle excitation, il eut l’impression de ne plus rien maitriser du tout, ou tout au moins que ce bout de chair tendu contrôlait tout, tout son être… il s’installa néanmoins sur les genoux de Monsieur le Vicomte comme ordonné en essayant d’oublier, en essayant d’accepter cette terrible frustration imposée. Sitôt en place, Maître Charled lui écarta les fesses à deux mains pour bien dégager son petit trou. Il passa un doigt sur sa corole humide puis la pressa un peu pour tester son élasticité.

- C’est bien le chien, ta petite rondelle s’assouplit correctement tout en gardant une bonne tonicité, c’est ce que je veux !

soumis Endymion MDE sursauta un tant soit peu, lorsqu’il sentit quelque chose de froid, visqueux et épais se poser sur son orifice.

- Allons le chien, pourquoi réagis-tu ainsi, tu ne dois pas bouger, ni t’inquiéter. Je vais tester sur toi cette crème. Elle a soit disant des effets magiques.

L’esclave MDE se laissait doigter sagement, sans retenir ses gémissements de plaisir, son excitation était repartie de plus belle… si bien même qu’il ne put se retenir. Il frottait son sexe contre la cuisse chaude et velue du Maître, cherchant évidemment à se faire gicler. Maître CharlEd ne fut pas dupe, il cessa immédiatement de doigter l’esclave MDE et lui infligea une longue série de claques, de fessées plus exactement, jusqu’à ce que son cul devienne écarlate.

- Tu ne voulais tout de même pas me souiller de ton impure semence, espèce de chienne ! Tu vas le payer cher, fais-moi confiance !

Monsieur le Vicomte reprit son travail, soigneusement il appliqua cette crème sur les parois et sphincters de l’anus de Son chien mâle soumis. Il s’intéressa également à masser longuement sa prostate, enfin il créma son orifice avec patience et détermination. La crème ne produisait aucun effet, tout au plus, une sensation de fraicheur, mais rien de bien magique ! Maître Charled entreprit alors d’attacher solidement soumis Endymion MDE, un bondage tout à fait contraignant, lui empêchant tout mouvement.
Il était lié de la tête aux pieds, couché à même le sol, sur le côté droit, en position fœtale, queue et couilles bloquées, elles aussi liées et passées derrière ses cuisses maintenues serrées. Impossible pour lui de faire le moindre mouvement, ni même de sursauter, y compris lorsque la longue lanière du fouet claqua une première fois sur ses cuisses.

- A chaque instant, je veux que tu me montres que tu es une chienne affamée de sexe, mais tu entends, il t’est formellement interdit, sans autorisation préalable, d’utiliser ta queue pour jouir.

Le fouet claqua à plusieurs reprises sur le corps de l’esclave MDE, il geignait tant et plus sinon criait lorsque la morsure de la lanière devenait plus incisive. Les cinq derniers coups portés furent d’une extrême intensité, arrachant des larmes à soumis Endymion MDE. Mais au même moment, il sentit son corps vibrés, comme secoué par des spasmes incontrôlables. Il eut cette sensation étrange, jamais vécu jusqu’ici, son rectum soudainement se contractait et se dilatait, il se resserrait et se relâchait, se durcissait et s’assouplissait, avec de surcroit une sensation d’une douce et agréable chaleur. Ses plaintes se transformèrent vite en cris jouissifs, oui des cris, eux aussi incontrôlables. On eut dit un cerf bramant tout ce qu’il savait, à tel point que Maîtresse Ella et s’en inquiéta lorsqu’elle passa dans le couloir jouxtant la pièce dans laquelle le Maître et Son esclave se trouvaient.

- Mais que se passe-t-il ici ?

Son époux, sourire aux lèvres, l’embrassa tendrement pour la rassurer puis il l’informa qu’il testait sur le chien mâle MDE les bienfaits de cette crème aphrodisiaque. Soumis Endymion MDE était maintenant terrassé par des tremblements de plus en plus violents et bien qu’attaché ses mouvements devenaient saccadés et parfaitement incontrôlables. Il percevait des décharges extraordinairement jouissives dans son cul, avec des sensations insolites. Il se mit à claquer des dents à sortir et tirer la langue, à haleter, sa bite était gonflée comme jamais, il essaya de s’assoir pour frotter sa nouille tendue contre le sol.
Bien sûr, il n’y parvint pas ! A le regarder, on eut dit qu’il devenait fou, fou allié de sexe, totalement dépravé… Alors pour calmer ses ardeurs, Monsieur le Vicomte alla chercher un stagiaire soumis et lui ordonna d’enculer sauvagement soumis Endymion MDE...

(A suivre…)

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