Sexe Rapide : Le Confessionnal

Préambule

Josie
Souvenez-vous ! ... (sexe rapide 01) Comment, pour occuper notre attente dans un bouchon, j'ai pris son orgasme à Jenny "ma femme". Pour arriver a mes fins, je l'ai excitée avec plusieurs de nos sextapes, dont une audio dans un confessionnal lors d'une cérémonie religieuse. Vous y êtes ? ... Je vous avais promis ... Voilà donc raconter "à deux voix" le souvenir de ce " Quick sex" mémorable.

Le confessionnal ...

Jenny
Josie est "une affamée de sexe", toutes les occasions, les endroits les plus insolites, éveillent en elle ses sens les plus coquins. Comme en ce beau samedi de la fin mai, ou nous sommes invitées au mariage de Céline et Damien un couple d'amis.

Alors que nous sommes dans le narthex, Jo' m'att par le bras, me tire à l'écart, derrière un pilier du bas-côté de l'église, et me chuchote à l'oreille qu'elle à envie de me gouiner dans le confessionnal. Bien sûr, je "la rembarre". Mais comme elle a de la suite dans les idées, qu'elle connait mon côté "joueuse", même si je suis moins délurée, elle sait que je vais la suivre dans son délire.

Josie
Dans cette pénombre ambiante, je la tire par la main, à pas de loup, jusqu'au confessionnal dissimulé par des rideaux dans un coin de la chapelle latérale. Je pousse la porte de la loge du prêtre, qui s'ouvre en grinçant légèrement. Dans l'isoloir qui sent l'encaustique, nous parvient de la nef le brouhaha du mariage. J'enlace Jenny et je l'embrasse goulument au moment même ou retentit la musique pour l'entrée des mariés.

Jenny
Jo' me fait asseoir sur le banc et prend place à côté de moi. Nous sommes un peu à l'étroit et très proche de la croisée du transept ou les mariés ont pris place, face à l'autel. La bénédiction du prêtre à déjà bien débuter, quand maintenu par le cou, collé à sa bouche, mes seins dans les siens, sa langue qui me fouille avec voracité, provoque en moi des décharges de plaisir.

Le noir, l'atmosphère feutrée, l'odeur aigre, me font transpirer d'une étrange moiteur érotique. Malgré la peur, mon excitation monte. Je retiens ma respiration, quand du dos de la main, Jo' effleure ma cuisse d'un mouvement lent et sensuel pour conquérir "mon espace privé". Je ne vais pas tarder à mouiller le siège du curé.

Je me raidis, lorsque sa main se faufile jusqu'à ma petite culotte de satin blanc bordée de dentelle. Elle saisit mon sexe de toute sa paume, marque une pause, je reprends mon souffle. Je manque pousser un cri quand elle commence à le masser, doucement, puis plus fort. Je n'arrive pas à croire ce qui m'arrive, là, dans une église, avec tous ces gens que l'on connait pour la plus part, à quelques mètres de nous et qui peuvent nous entendre, nous surprendre. "Ces jeux interdits" font frémir mon corps d'une exaltation que je n'avais jamais connue.

Jo' tire ma culotte, reprend possession de mon corps ... Je sens à ses caresses qu'elle éprouve du plaisir et une certaine satisfaction à me dévergonder. Le regard fixé sur la porte, cachée par les rideaux, figé sur le siège, je joue les petites filles effrayées, mais elle me connait trop bien et sait que j'attends malgré mon inquiétude. Dans cette obscurité mon sexe mouillé accueille sa main chaude et douce. Ses doigts se délectent de ma mouillure. Je m'abandonne alors que retentit le chant du psaume et qu'elle caresse mon bouton entre force et volupté. Mes hanches, mes fesses, bougent en rythme, pour en demander encore, et encore !

Deux doigts ouvrent ma fente en chaleur, y trouvent refuge, avant de me pénétrer avec ardeur. Mon bassin par sa danse obscène, l'invite à aller plus loin, plus profond. À ses mouvements qui deviennent vite, plus rapides, plus saccadés, ses halètements plus prononcés, je perçois sa surexcitation, qui fait aussitôt croitre mon plaisir. Une jouissance que je veux faire durer malgré le temps qui nous est compté.

Josie
Je suis prise à mon propre piège, je voulais seulement lui prendre son orgasme.
Mais là, je suis dépassée par mon propre plaisir, dans cette odeur de mouille, mélangée à nos parfums et à la cire d'abeilles du confessionnal, je coule, j'en ai plein les cuisses, la raie du cul, car je ne porte pas de culotte sous ma robe longue, et en haut mes seins sont au diapason avec leurs tétons dressés ... Il faut que je jouisse !

Des bribes de l'échange du consentement des époux me parviennent comme dans un rêve. Quand je la fais asseoir sur mes genoux, sa chatte qui dégouline me poisse. Elle se colle lascivement à moi, une main derrière mon cou, l'autre remonte entre mes cuisses et va directement ou il faut. J'ai failli crié quand elle atteint ma chattoune...

Jenny
Jo' s'est ressaisi, et ouvre à la hâte ma robe. Je sens sa respiration saccadée dans mon cou. Ça m'excite encore plus. Elle baisse sauvagement mon soutien-gorge pour découvrir mes petits nénés qu'elle prend à pleines mains, les presses, les tritures. Saisie la pointe de mes tétons, les pince, les tire. Je ressens cette caresse jusque dans mon clitoris. Mon souffle s'affole, dans un spasme lent, emportée par le plaisir, ma tête part en arrière.

Josie
Ça sent le vieux, le cul ! Notre ardeur à toutes les deux redouble d'intensité, nous savons qu'il faut faire vite, le confessionnal craque, la peur de se faire découvrir, là, à moitié nue, dans cette prière de stupre, de luxure, décuple notre jouissance, dont nous sommes obligés de taire l'expression orale qui exprimerai notre bonheur.

... Sa main est posée sur mon sexe, j'écarte les jambes, et la folie s'empare de moi quand elle m'enfonce le majeur dans le vagin et branle mon clitoris de la paume de sa main

Jenny
Malgré l'inconfort, j'ai envie qu'elle me pénètre, une envie tellement forte qu'elle pourrait me faire défaillir. Je veux ses doigts en moi ! Dans un souffle, je le lui murmure. Sans répondre, elle me pénètre ... Et ma raison m'abandonne une fois de plus. Je lui suce le lobe de l'oreille pour m'éviter de crier mon plaisir.
Jo' "me ramone" avec une telle fougue que plus rien n'existe autour de moi. Tout le mariage peut nous découvrir, ça m'est égal ! Tout ce qui existe pour moi en ce moment se trouve entre mes cuisses, dans mon ventre ... Cette boule !

Elle s'enfonce de plus en plus profond, je la sens haleter, au bord de la jouissance elle aussi ... Et l'absolution vint comme une détonation ! ... Un plaisir fulgurant s'empare de moi, envahit mon ventre, incontrôlable. La jouissance se répand dans mon être comme une onde électrique. Je ne peux contrôler une plainte, furtive. D'une main, elle me bâillonne pour m'éviter de crier. Je tremble, frémi, me tortille, m'évaporant toute entière dans cette volupté ...

Josie
Ouh là là, quel orgasme ! ... Jamais je ne l'ai vu partir ainsi ! ... Quant à moi, même si elle a arrêté de me masturber sous l'emprise de ses spasmes, serrée contre elle,l'explosion de sa jouissance fut tellement contagieuse, que son orgasme déclencha le mien.

Nos corps retombent épuisés, rassasiés. Nous sommes comme inconscientes sur le siège du prêtre.. Combien de temps ? Je l'ignore, nos orgasmes ont été tellement violents qu'ils ont aboli la notion du temps et de l'endroit où nous sommes ...

Mais les premières notes de " l'Allegro Vivace de Haendel " me ramènent à la réalité. Cette musique signifie qu'il nous reste peu de temps avant de rejoindre la foule des invités. Je fais signe à Jenny qu'il faut nous ressaisir, car les mariés sont certainement, avec les témoins, en train de signer le registre et vont ressortir rapidement.

Jenny cherche sa culotte, mais elle ne la retrouvera pas, je l'ai mise dans ma pochette. Qui sait, peut-être que je profiterai d'elle de nouveau, par exemple pendant le repas, d'une main baladeuse sous la table. Mais pour l'instant, je suis surtout craintive de ce qui nous attend. Car si nous avons su rentrer en catimini, pour ressortir, on peut se faire surprendre ! Surtout dans l'état où nous sommes.


En "quatrième vitesse", nous remettons de l'ordre dans nos tenues, retouchons coiffure et maquillage comme l'on peut. Je range mon smartphone que j'avais allumé pour enregistré ce quick sex. Puis quand nous jugeons que nous sommes présentables, nous sortons comme nous sommes rentrées, à pas de loup, pour nous mêler, sur le parvis, à la foule des invités qui congratule les mariés ...

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