Saga Familiale ( Suite N°2)
En 1929, la fille d'Odile, Fanette se marie, par amour avec Jean, non plus à Paris, à Marseille, juste avant de partir pour la Tunisie. Jean est nommé là bas comme fonctionnaire à la Résidence Générale, (en gros le Gouverneur). Bonne situation, belle villa dans une banlieue chic. Leur nuit de noce est merveilleuse sur le bateau. Ils se connaissent un peu. Ils ont beaucoup pratiqué le touche pipi, chose courante à l'époque, même s'il ne l'a jamais faites jouir, par contre elle sait fort bien le branler. Les temps ont changés depuis le mariage de sa mère. Ils savent comme baiser pour y trouver chacun leur compte. Peu de temps après la connaissant mieux, Jean la fait jouir. Commence alors une période de baise extraordinaire. Ils ne s'interdisent rien: elle lui demande de la lui mettre au con, à sa bouche. Au cours d'une soirée chez une amie, celle-ci lui demande si elle aime la sodomie. Fanette ne sait que répondre, son mari de l'a jamais demandé une telle chose. Le soit même elle Jean pourquoi il ne lui a jamais mise au cul. Par simple soucis de ne pas l'avilir. Avilir sa femme en lui refusant de l'enculer ne plait pas du tout à Fanette. Aussi elle lui demande de le faire dès le soir même.
Jean qui n'a jamais trop aimé enculer une fille doit se plier à la demande de son épouse. Aussi, dès qu'il bande, Fanette lui prend la bite et a dirige vers son anus. Elle a prit la précaution de le mouiller avec sa salive. Elle se cambre offrant ainsi son anus à son mari qui la lui rentre petit à petit. Fanette sert les dents en regrattant presque de l'avoir provoqué. Et puis les vas et viens ont raison de la douleur dans son cul. Elle commence à sentir un début de jouissance: malheureusement Jean jouit dans son cul juste avant son propre orgasme. Elle le lui reproche un peu. Il s'en excuse en lui permettant que la prochaine fois il la fera jouir ainsi. En attendant il lui prend le bouton dans la bouche, le suce un tout petit moment avant qu'elle lui dise avez fort qu'elle jouit.
Enfin elle peut dire ce qu'elle pense de la sodomie à son amie. Cet après midi, là au début de juillet, elles font comme mes autres: la mer n'est pas loin, elles en profite pour aller piquer une tête. Les maillots étaient pour les femmes remarquablement pudiques, même si elles ne l'étaient pas ment en privé. C'était des maillots une pièce, cachant le meilleur des femmes, à savoir le haut des jambes et le haut des seins. Parfois, elles trouvaient des endroits déserts où elles osaient baisser le haut du maillot. Elles pouvaient montrer ainsi leur sein. Une fois, pour s'amuser son amie lui caressait un sein. Il en fallait peu à Fanette pour être excitée. Elle prenait la main et la forçais à rester sur son sein. Comprenant ce que voulait Fanette, l'amie du coup lui embrassait le sein, le suçait un peu. Fanette prenait l'autre main de son amie et la plaçait entre ses jambes. Cette main cherchait un endroit pou passer dessous et l'ayant trouvé commençait à caresser le con de Fanette qui se laissait aller sur le dos, fermait les yeux en se laissant branler. Ce n'est qu'après sa jouissance qu'elle rendait compte de ce qu'elle avait demandé sans le dire.
Elles rentraient chez Fanette qui pour se faire pardonner ne savait pas trop quoi faire. La seule chose demandée était de rendre la caresse. Aussi sans pudeur elle passait sa main sous la robe de son amie, que la laissait faire, pour aller sur son clitoris. Elle la faisait jouir. Qu'elle suite donner à cette relation, soit l'oublier, ce qui était impossible, soir recommencer.
Le soir Fanette ne parlait pas de sa relation avec sa nouvelle amante. Jean, comme chaque soir voulait la baiser. Il était simplement étonné de l'ardeur que mettait son épouse pour baiser. Elle le voulait partout à la fois, dans sa bouche, dans soin con, dans son cul, dans ses mains. Bref il aurait fallut que Jean possède je ne sais combien de bite pour la contenter. Il arrivait quand même à la lui mettre par devant et par derrière. Elle en voulait plus. Sans le prévenir, pour la première fois elle osait se masturber devant lui. Elle arrivait sans le vouloir à le faire bander encore une fois. Elle le voulait dans sa bouche: elle préférait le goût du sperme à celui de la cyprine. Elle était enfin comblée quand en se masturbant encore, elle avait la queue de son homme dans la bouche. Elle arrivait à contrôler sa masturbation assez pour qu'ils jouissent ensemble. Elle dégustait le sperme.
Le temps passant Jean devenait responsable d'un contrôle civil (l'équivalent d'un sous préfet) toujours à Tunis. Cette montée en grade le mettait à l'abri de tous soucis matériels. Pourtant il fallait recevoir les personnes d'un certain rang. Fanette de consacrait à cette nouvelle missions. Son amante venait de temps en temps pour qu'elles se fassent reluire ensemble.
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