La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 610)
franckdocile au Château - (suite de l'épisode N° 594) -
Après une nuit récupératrice et une matinée à somnoler dans le chenil, j'entends vers midi des bruits de pas venant en ma direction. Et effectivement, le Majordome Walter s'approche de la grille et m'ordonne d'approcher.
- Le Maître a envie de s'occuper un peu de toi aujourd'hui, comme tu t'es bien débrouillé hier soir lors de la réception
Tiens, voilà une petite lettre dans laquelle, il t'explique ce que tu vas faire aujourd'hui.
- Merci, Walter.
Jai à peine prononcé ces mots de remerciements que je reçois deux magistrales gifles qui me font presque tomber de ma position agenouillée :
- Espèce de chien mal éduqué ! Tu dois mappeler Monsieur ou Monsieur Walter mais jamais Walter tout court, je ne suis pas à ton service, cest le contraire !
Ta compris, le chien mal poli ? Tu seras puni pour cet affront
- Ou
Oui, Mon
Monsieur Walter, répondis-je en balbutiant et rouge de honte mais aussi par les traces des gifles
- Aller, maintenant, la chienne en chaleur que tu es, va me sucer pour me faire gicler dans ta bouche de petite pute et ensuite, tu liras cette lettre car là tu me fais perdre mon temps, alors fais-moi vite jouir, aller la pute, au travail et suce bien, salope !
- Oui
bien
Monsieur Walter
Je défais alors le ceinturon de Monsieur Walter puis après avoir baissé son caleçon, je prends donc en bouche le sexe déjà dressé du Majordome qui donne de petits coups de reins pour bien prendre possession de ma cavité buccale et jen suis déjà tout excité autant quen imaginant le contenu de cette lettre. Le Majordome ne tarde pas à éjaculer au fond de ma gorge en dépais flots de sperme tout en mempoignant mes cheveux pour plaquer mon visage. Et après avoir tout avalé, cest avec un restant de sperme coulant aux commissures de mes lèvres que je me mets à lire la missive, toujours agenouillé :
« Le chien, Comme ton comportement d'hier a été satisfaisant, j'ai décidé de poursuivre ton éducation.
Les sentiments se mélangent en moi, d'une part je suis excité d'être autorisé à baiser comme un homme libre mais d'autre part, je sens que je suis vraiment soumis au Maître car je vais devoir séduire et baiser avec des personnes pour Lui et en plus cette histoire de sperme dans la bouche jusqu'à mon retour est vraiment humiliante. Je laisse de côté mes sentiments (comme me l'a appris le Maître) pour réfléchir à l'aspect logistique de la « mission » en me posant ce genre de question :
Comment procéder ? Vais-je être habillé ? Comment ? Aurai-je un moyen de me déplacer ? Aurai-je de l'argent ? Ou vais-je aller pour rencontrer des femmes ? Et des gays ? Comment vais-je faire pour me déplacer entre ces endroits ?
etc
Trop d'incertitudes persistent dans mon esprit alors il faudra que j'improvise le moment venu.
- Voilà tu as tout ce qu'il te faut. Je vois que le Maître a été généreux avec toi aujourd'hui, ça veut dire qu'il attend de toi que tu le divertisses. D'après moi, ne t'avise pas de le décevoir, ça pourrait être terrible pour toi. Ah, oui, avant que je n'oublie, il t'est interdit de parler de ce Château à qui que ce soit lors de ta mission, sinon tu ne remettras plus jamais les pieds ici !, Est-ce que tout est clair ?
- Oui Madame Marie, jai bien tout compris
Elle m'accompagne, en traversant limmense parc, jusqu'aux grilles du Château et me souhaite bon courage avec un large sourire teinté de perversité.
Me voilà donc devant la propriété du Château, équipé d'une caméra et d'un micro et géo-localisé, et de 500 euros pour obéir avant minuit.
Me voilà enfin sur une petite route départementale et j'aperçois un village à 800 mètres en contrebas que je décide de rejoindre dans un premier temps pour me repérer. Sur le chemin, je me dis que je pourrais trouver ce que je cherche dans un sex-shop ou dans un bar gay, ce soir, et que pour cela il faut trouver la plus grande ville possible. Le village se nomme Blacé et me semble vraiment petit, ça ne conviendra pas, mais c'est un bon point de départ. Au centre du village, le carrefour indique la ville de Villefranche-sur-Saône à 25 km et celle de Quincié-en-Beaujolais à 28 km dans l'autre direction. Je n'aurai pas les moyens de faire les deux et aucun moyen de savoir laquelle est la plus intéressante... Je cherche du regard une personne susceptible de me renseigner et après quelques dizaines de secondes d'hésitation je repère un arrêt de bus à quelques encablures de là... Sur la carte du trajet du bus, il est indéniable que Villefranche-sur-Saône est le centre de ce canton et je décide de prendre le bus pour m'y rendre
Après une quinzaine de minutes dattente le bus arrive enfin.
- Bonjour, Mademoiselle, veuillez m'excuser de vous importuner mais je cherche un endroit agréable pour boire un verre avec une magnifique jeune femme. Pourriez-vous m'aider ?
- Désolé, Monsieur, je suis mariée et vous ne manquez pas de toupet
- Pardonnez mon audace, mais
désolé, pour vous
- Comment ça désolé pour moi ?, me répond elle, piquée dans sa fierté.
- Ben, je vous demande gentiment de m'indiquer un endroit car je ne suis pas de la région, et le fait d'être mariée vous empêche de me répondre... j'en déduis que votre vie doit être bien triste et que vous vous mettez beaucoup de barrières... mais mon but n'est pas de polémiquer avec vous, je vous souhaite une bonne journée...
Je lui fais un large sourire d'apparence sincère et poursuis mon chemin, comme si nétait
. Visiblement ma dernière phrase l'a touchée dans son orgueil de femme libre puisque je l'entends rebrousser chemin et me rattr.
- Attendez
Je
je m'appelle Virginie, et j'ai choisi de me marier avec un homme que j'aime et ce mariage ne me met pas de barrière mais au contraire me rend heureuse, me dit-elle d'une voie douce et posée.
- J'en suis heureux pour vous et aimerais dans ce cas vous offrir un verre dans ce bar que j'aperçois là-bas et que je ne connais évidemment pas, sauf bien sûr si vous avez un autre bar à me proposer.
- Peut-être que jen nai simplement pas envie, me répond-elle d'un air faussement hautain.
- Peut-être en avez tout simplement envie, sinon vous mauriez laissé poursuivre mon chemin
mais vous mettez des barrières ? Je vous trouve passionnante et sublime et me ferais un plaisir de poursuivre cette petite discussion.
Elle est vraiment touchée dans sa fierté, et flattée, je pense aussi par mon approche et au final elle accepte de partager un verre avec moi dans ce petit bar. Sur le trajet, nous faisons plus ample connaissance et je me dis qu'il ne faudra pas laisser passer cette chance inouïe et qu'il faudra continuer de mélanger ces flatteries et provoquer son orgueil de femme libre pour conclure l'affaire
En pénétrant dans le bar, je vois que derrière le coin de rue se trouve un petit hôtel dans lequel je me verrais bien poursuivre l'après-midi. Je commande d'emblée deux coupes de champagne en lui demandant si ça fait partie des boissons qu'elle a le droit de boire.
- Sachez, Frankc, que le fait d'être mariée ne m'empêche pas de choisir ce que je veux boire ou faire. (Je crois que je suis sur la bonne voie.)
- Je n'en doute pas, vous venez de me le prouver en acceptant de boire un verre en ma compagnie. Je m'étais à moitié trompé sur vous, je vous prie de m'en excuser.
- A moitié ?
- Oui, je pensais que vous étiez une femme splendide avec un corps qui a l'air superbe mais que votre condition de femme mariée vous empêchait d'être ouverte à de nouvelles expériences.
- Je vous remercie pour le compliment mais je n'ai jamais dit être ouverte à de nouvelles expériences.
- Je pensais que deux êtres libres comme nous deux, qui ont visiblement une attirance physique l'un pour l'autre, et qui ont visiblement un peu de temps libre dans leur après-midi pourraient s'autoriser à se donner du plaisir mutuel. N'étant que de passage dans la région cette relation resterait unique et on aurait tous les deux gagné un pur moment de plaisir sans faire de mal à personne, vu que personne ne sera jamais au courant de qui va se passer dans la chambre du petit hôtel que j'ai aperçu dans la rue d'à côté...
- Vous n'avez pas froid aux yeux quand même, vous croisez une femme dans la rue et 10 minutes plus tard vous lui proposez de vous suivre dans la chambre du premier hôtel que vous voyez ... La vie serait si simple quand même ...
La façon dont elle vient de prononcer cette dernière phrase me laisse penser que ce refus de façade n'est pas aussi catégorique que ça n'en a l'air.
- Nous ne nous rendons effectivement pas la vie aussi simple mais je ne vois pas quel pourrait être le problème dans cette situation.
- Nous nous sommes juré fidélité, mon mari et moi !
- Avez-vous bien fait ? N'est-ce pas ennuyant ? N'avez-vous jamais eu envie de vous laisser aller un peu ? De passer les barrières ?
- Si
Si bien sûr, avoue-t-elle
Ma vie sexuelle est moins passionnante qu'avant et l'envie existe mais je crois que ce serait mal de faire ça...
- Je vous promets de passer un super moment puis de disparaître à tout jamais de votre vie.
- Je ne sais pas.
- Laissez- vous aller, ça ne fera de mal à personne. Si ça se trouve, votre mari a déjà fait pareil de son côté.
Je recommande une deuxième tournée de champagne. Si elle accepte cette deuxième coupe, ça voudra dire qu'on finira l'après-midi à l'hôtel. Elle accepte. La deuxième coupe est bue très rapidement et la conversation se tourne vers le côté organisationnel de la discrétion qu'elle exige. Je me dirige ensuite à lhôtel du coin de la rue et je réserve une chambre au nom de Mme Murat. Et il est convenu quelle me rejoindra 5 minutes plus tard. Je l'attends dans la chambre et à ce moment mais j'ai très peur qu'elle change d'avis, que le fait de la laisser seule la fasse cogiter et que la morale la ratt. Mais il n'en est rien, elle toque à la porte et se jette sur moi pour m'embrasser à pleine bouche. Je la prends par les fesses pour la soulever, elle enlace ses jambes autour de moi. On s'embrasse goulument. Je la bascule sur le dos sur le lit, ce qui me met sur elle
(A suivre
)
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