La Première Fois Avec Nos Amis
Herve et marie prologue
Avec les grosses chaleurs, nous avons téléphoné à des amis qui ont une piscine et avec nos maillots en poche, nous sommes arrivés pour passer la journée au frais ; laccueil de Marie est toujours aussi démonstratif et cest avec deux grosses bises quelle nous reçoit ; cest une grande femme de 60 ans, assez forte, mais élégante, avec deux gros seins qui tiennent difficilement dans les bonnets de son maillot ; Hervé, son mari dévoué, est un chef dentreprise , grand (2m), sympa, sportif , toujours accueillant ; direction la terrasse à lombre, en bordure de la piscine ; nous faisons connaissance alors avec leur ami (Claude)de passage et qui profite comme nous du bien-être de leau.
Nous sommes très à laise avec nos amis, ayant fait de nombreuses sorties en mer, et leur ami semble lui aussi très décontracté ; très vite nous sommes en tenue de bain et Nicole a mis pour loccasion un mini deux pièces et sa jolie poitrine (95b) a du mal à tenir dans les balconnets ; dailleurs très vite ils ressortent de leur logement et Marie lui fait remarquer que dhabitude , elle nen mettait pas sur le bateau ; sitôt dit sitôt fait et les deux flotteurs sont libres ; je remarque que Claude louche un peu sur son anatomie, ce que je comprends car cest vraiment une belle femme et jen suis fier ; Marie a imité nini et ses seins sont libres ; je suis toujours surpris de leur tenue, car malgré son âge et leurs tailles, ils sont toujours aussi fermes ; je lui en fait la remarque et en la taquinant, je lui dis quelle a dû se les faire refaire « tes un salaud et si tu ne le crois pas, tu nas quà vérifier me dit-elle, faussement vexée » ; je n'ai pas le temps de le faire car Claude , plus rapide, les teste « ils sont vrais « tout le monde plonge et pendant une bonne période, nous profitons des joies et des jeux dans leau ; je remarque cependant que Claude est souvent collé à Marie et je comprends vite que ses mains ne sont pas inactives sous leau ; ma queue ne tarde pas à grossir et se sent à létroit ; je me rapproche de nini qui chahute avec Hervé et je me colle contre son dos « mais tes gros mon cochon « , je reste un peu bête car Hervé a dû entendre, car il rigole
« Mais tu nes pas le seul « je suis surpris, mais en le voyant sortir, le slip tendu, je comprends
« si je comprends bien , tu étais en train de te faire peloter « nini me prend la main et la dirige vers son sexe et je découvre que son slip est baissé et mon doigt trouve une moule bien mouillée ; je regarde vers Marie accoudée sur la margelle et manifestement elle se fait prendre par Claude, seul son regard trahit son plaisir ; jen profite pour sortir ma queue et jenfile ma moitié dun seul coup de rein ; surprise , elle boit la tasse et se raccrochant sur le bord, elle encaisse et se cambre pour mieux recevoir mon chibre ; jessaye dêtre le plus discret possible, mais Marie nous regarde et nen perd pas une miette, puis ses yeux se ferment et elle pince ses lèvres, étouffant ainsi sa jouissance ; nini aussi prend son pied ; très à laise , Marie sort de leau et je maperçois quelle est nue et je découvre une jolie toison finement taillée ; elle sinstalle sur sa serviette et les cuisses entrouvertes , se fait sécher ; doù je suis , je peux découvrir le rose de ses lèvres doù coule encore le sperme.
Hervé caresse le pubis de Marie, nini, à plat ventre, se fait passer du lait solaire par Claude, plus souvent sur les fesses dailleurs. « Cela ne te gêne pas « cest Herve qui vient de parler ; sa main courre toujours sur le ventre de sa femme ; celle-ci me tend la main pour que je mapproche ; « pas le moins du monde, et je trouve marie très à mon goût » me mettant à genou près deux, je prends un sein et je titille le téton
« Cela fait longtemps que jai envie de toi , me dit Marie, et Hervé est daccord » sa main a pris en charge mon sexe et elle me branle doucement, je suis vite en érection, et je me présente devant sa bouche ; elle lenfourne et sa main me serre les couilles ; je suis au max et ma queue sactive dans sa bouche, mais je ne veux pas jouir ainsi et je me retire ; « si Hervé est daccord, écarte les cuisses, je vais te prendre » ses jambes souvrent et son sexe est béant devant moi ; je nai pas besoin de le lubrifier, il coule déjà ; Hervé a pris ma place dans sa bouche et je suis surpris de la taille de son sexe, 28 à30 cm, mais surtout très large ; je suis bien membré mais je suis largement battu ; peu importe, je menfile puissamment entre les deux lèvres et sans ménagement, je la baise ; elle remonte ses jambes et se pose sur mes épaules ; ma queue senfonce et mes couilles tapent sur son fessier ; elle halète, délaissant la queue de son mari qui se branle avec vigueur ; à côté de nous Claude na pas perdu de temps , la tête entre les cuisses de nini, il lui lèche la chatte, avec au moins deux doigts à lintérieur ; je lentends gémir, je la connais, elle adore de faire sucer et elle ne va pas tarder à jouir. Hervé nous quitte et se dirige vers eux, la hampe dressée ; mettant nini à quatre pattes, Claude senfile dans la chatte et Hervé en profite pour se faire sucer ; mais elle ne peut rentrer en entier , il en reste bien la moitié dehors et elle a bien du mal à lui faire une sucette ; il se branle à la fois entre ses lèvres et à la main ; cette vue me stimule et cest à grand coup de piston que je laboure le sexe de Marie « baise moi fort, jai tellement envie de ta queue » en même temps je pétris ses seins et je tourne ses pointes entre mes doigts ; à chaque coup dans sa chatte, ses seins tressautent ; à côté de nous , nini prend son pied et ses cris de jouissance mexcite encore plus ; je me retiens de jouir et quand je le sens monter, je marrête au grand désespoir de marie ; elle ne peut se retenir et de sa vulve coule un filet de mouille et soudain elle se tend, enfonçant ma queue au plus profond et dans un long feulement elle crie sa jouissance ; sans est trop pour moi et je lâche enfin de longs jets de sperme qui viennent sécraser au fond de son ventre ; vaincu, je mécroule sur elle ;
A côté de nous, Hervé a remplacé Claude et nous pouvons voir la chatte dilatée au max qui engloutie le pieu ; il ressort de temps en temps, puis dun grand coup de bassin se replace dans lantre béante ; pour nini, cest une jouissance continue et à chaque coup de butoir, elle hurle son plaisir « putain tes gros, tu me remplies, défonces moi » ; Hervé la besogne à grands coups, il lui bloque le bassin avec ses mains et à chaque fois cest 30 cm qui la défonce ; quand son gland turgescent sort, une coulée de cyprine sécoule sur ses cuisses ; sans ménagement , comme un bucheron il cogne contre ses fesses ; les yeux fermés , elle se laisse aller à son plaisir ; à chaque butée sur son col, elle nest plus que plaisir et ses cris excitent marie qui maintenant se masturbe en les regardant ; et dans un dernier coup de butoir , il éjacule, lui remplissant à nouveau la chatte ; marie sest approchée delle ; nini na pas le temps de récupérer, elle la caresse et lui plaque un fougueux baiser, puis sa main descend jusqu'à sa toison et elle la pénètre ;ses doigts la fouillent et cest deux, puis trois doigts qui sinsinuent dans le sexe ; petit à petit les doigts vont de plus en plus loin et cest maintenant la main qui essaie la pénétration ; nini est tendue, les fesse décollées de la serviette viennent au-devant de la saillie et dun seul coup la main disparait ; cest la deuxième fois que je vois Mico fistée et ma bite se tend à nouveau ; les doigts lui fouillent le ventre ;elle geint sous la domination de la main et quand son plaisir éclate cest un véritable hurlement qui nous surprend ; épuisée elle sécroule après avoir reçu un giclée de sperme sur le visage .
Le départ de Claude calme le jeu et cest tranquillement que la fin daprès-midi se passe ; Mico récupère et nous nous baignons sagement. Devant un apéro, nous discutons de lAm et cest ainsi que nous apprenons que depuis longtemps, ils avaient envie de nous, sans oser en parler ; Claude avait déjà fait lamour à Marie et Hervé avait apprécié de voir sa femme possédée devant lui. Il nen faut pas plus pour que redémarrent les hostilités ; marie pose sa main sur la cuisse de nini et devant le bon accueil, elle sempare de ses seins ; sa bouche se pose sur un téton, pendant que ses doigts agacent lautre ; elle se laisse faire, la caresse lui plait et quand une main descend vers son sexe, elle écarte les cuisses ; les doigts lui titillent le clito et il nen faut pas plus pour que son plaisir monte. La bouche délaisse les seins et vient se glisser entre les cuisses, et la langue remplace le doigt ; elle sinfiltre entre les lèvres et lui fouille la fente ; elle écarte ses cuisses au max et se livre totalement ; les yeux clos , elle laisse le plaisir lenvahir et quand Hervé lui présente son sexe, elle met un certain temps avant de le sucer ; elle recule devant la grosseur et sa langue part plutôt à la découverte de son gland dont elle titille le méat, puis descend vers ses couilles ; Hervé se branle car elle est plus absorbée par le travail de son amie ; sa chatte témoigne de son plaisir et marie peut boire sa liqueur ; sa position tend son postérieur et ses rondeurs mattirent ; larrivée de mes doigts dans sa raie la fait sursauter, mais quand jécarte son maillot, son fessier se cambre, moffrant une vue plongeante sur ses lèvres ; jengage ma bite dans sa moule déjà toute humide et sans difficulté ; la cramponnant par les hanches, je la besogne sans ménagement ; son vagin est large ( vue la queue dHervé, il vaut mieux) et pour mieux la sentir ,, jeffectue des petits cercles avec ma queue « cest bon continue, jaime comme çà » sa mouille sécoule autour de ma queue et je menfonce au plus profond ; entre deux soupirs elle se redresse et regarde son mari « putain Hervé il me baise tout au fond, jaime sa queue ; continue à fond » ; il écarte marie de sa position et présente le monstre à lentrée de la chatte de nini ; cest sans mal qui la possède tellement marie la dilatée ; lui prenant les hanches, il lui remonte le bassin et cest à grands coups quil lui ramone la chatte ; encore sous le plaisir avec marie, elle encaisse les coups sans frémir, et pourtant à chaque pénétration, il doit lui cogner le fond de son col ; puis elle jouit, jouit et réjouit ; cest un râle continue qui sort de sa bouche et elle sabandonne à son plaisir
Excité par le plaisir de la voir se faire prendre, je baise marie et je lui caresse le sillon ; mon doigt senroule autour de son anneau et le mouillant à sa chatte dilatée, je lenfonce sans difficulté ; elle doit se faire sodomiser souvent car son anneau souvre très vie et je change ma queue de lieu ; mon gland senfonce facilement, et quand , dune seule poussée, je lencule , elle a à peine un petit cri ; je la prends doucement, mais cela ne lui convient pas « plus fort, jaime » et elle projette ses fesses en arrière ; à ce rythme , je ne résiste pas longtemps et je me répands dans ses entrailles « encore, continue » il me faut encore un moment avant que son plaisir éclate bruyamment ; sur ses cuisses, le sperme souillé sécoule et nous partons prendre une douche, laissant nos deux conjoints à leur joute ; leau chaude nous ravigote et cest en douceur que nous nos lavons mutuellement ; jaime son corps et cest larrivée de Hervé soutenant nini défigurée par le plaisir qui arrête nos caresses.
Il y a plusieurs suites à cette journée
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