Pris À Mon Propre Piège

Mon épouse Laurence et moi nous livrons de temps en temps à un petit jeu afin de pimenter nos ébats. La règle est simple : les 5 premières minutes nous avons le droit de nous toucher, de nous embrasser, lécher, sucer… Ensuite nous n’avons plus le droit au contact, le but étant d’exciter l’autre au maximum sans se toucher, le premier qui jouit ou qui déclare forfait a perdu et à un gage. Nous ne faisons pas cela à l’improviste et nous prévoyons cette séance une semaine à l’avance afin que chacun puisse se préparer et affuter ses accessoires et élaborer sa stratégie, nous avons droit aux accessoires et aussi à la parole.
Notre dernière séance de jeu commença normalement, j’avais un string et un tee-shirt noir, ma femme avait une petite nuisette transparente qui laissait deviner une guêpière, des bas et un string ouvert, tout l’ensemble était blanc. Nous avons donc commencé par nous caresser, nous embrasser, nous étions debout dans notre chambre, elle s’est allongée sur le lit, et j’ai commencé à lui embrasser les seins, le ventre et je suis descendu rapidement vers sa toison. Elle m’a demandé de me mettre en 69, ce que j’ai fait rapidement et avec plaisir, elle a commencé par me lécher le gland puis à aspirer ma queue (déjà bien raide) toute entière dans sa bouche. De mon côté, je passais ma langue sur son clito, l’aspirait et introduisait ma langue dans sa chatte. Ses lèvres commençaient à gonfler et elle commençait à mouiller lorsque la sonnerie retentie.
- Déjà ?!!! mais on a peine commencé !!!
Je me redresse et me mets à genoux sur le lit, ma femme en fait autant, elle me regarde et me lance :
- Prêts à perdre une 3ème fois ?
- C’est ce qu’on va voir, ce soir, j’ai un atout dans ma manche !!!
Nous sommes toujours à genoux, elle commence par se caresser les cuisses, l’intérieur des cuisses, remonte le long de ses hanches en relevant légèrement sa nuisette, elle défait le nœud et l’ouvre largement laissant apparaitre des seins fermes et des tétons qui pointes.

De mon côté, je retire mon tee-shirt, je bande et mon sexe dépasse largement du string trop petit. Laurence continue, elle enlève sa nuisette, s’allonge sur le dos les jambes largement écartées et commence à se caresser. Je vois ses doigts glisser entre ses lèvres et faire rouler son clito, elle descend jusqu'à son orifice et tourne autour s’introduire et revient sur son clito. Je me place à son coté et commence à me branler, je sais qu’elle adore me regarder me branler tout en lui parlant, je lui dis qu’elle est belle et très bandante, que j’aimerais bien la baiser, je m’introduirais lentement dans sa chatte chaude et mouillée et la limerais jusqu'à ce qu’elle jouisse. Mes paroles portent leurs fruits, elle introduit un doigt dans sa chatte, le retire, le remet, le retire à nouveau… (son majeur est tout luisant de mouille), elle continue et en introduit maintenant deux, elle ondule et ses doigts s’enfoncent de plus en plus profond.
Je me dis que c’est bon pour moi, mais la regardé se doigter m’excite aussi et je sens ma queue se tendre un peu plus et ma sève monter. Il faut que je me calme, je ralentis mes mouvements et change de position, je viens vers son visage et tends ma queue vers sa bouche, mais elle réplique aussitôt en ouvrant la bouche et me disant :
- Vas-y chéri, viens jouir dans ma bouche, je sais que tu adore ça !
- Pas tout de suite mon amour, je peux encore me retenir
- Ah oui ? alors regarde…
Elle sort de sous son oreiller un gode vibrant d’une belle taille et le porte à sa bouche pour le sucer
- Quel dommage que ce ne soit pas une vraie queue, j’adore en avoir une bien raide dans la bouche et une autre qui me ramone la chatte
Elle introduit son gode et commence des va et vient, j’entends le moteur ronronner et le son diminuer lorsqu’elle l’enfonce profondément ! Je bande comme une bête et suis sur le point d’exploser !!! Mais je n’ai pas dit mon dernier mot, je me lève et lui dit :
- Regarde ce que je t’ai concocté, j’ouvre la porte de la chambre et fais entrer ma carte secrète.
Il s’agit d’un jeune homme que j’ai « recruté » sur le net, il est courant de notre jeu et a accepté les règles, je l’ai choisi à son gout : 25 ans, brun, grand, plutôt bien taillé et surtout avec une belle bite.
Elle se redresse et me dis :
- Ah non ! là tu n’as pas le droit, c’est de la triche !
- Mais chérie, rien dans notre règlement m’interdit de faire entrer une autre personne ! et puis tu l’as dit toi-même tu adores avoir deux queues en même temps !
- Oui, mais là justement je ne peux pas l’avoir !
- Tu déclares forfait ?
- Elle regarde notre ami, regarde la queue qu’il tient entre ses mains et me dit :
- D’accord, mais si c’est lui qui jouit, c’est toi qui perd !
- Ok, marché conclu
Laurence se met à quatre pattes sur le lit, le cul bien tendu vers notre ami, elle glisse sa main sur sa chatte et se masturbe, elle se saisit de son gode et se l’introduit lentement en gémissant. Notre ami se branle et ne perd rien du spectacle. Elle se retourne et s’allonge sur le dos, écarte ses jambes (il est face à sa chatte et a un superbe spectacle), elle retire son gode et l’engouffre dans sa bouche, elle le suce comme une vraie queue, le fait glisser entre ses seins, elle gémit et ses trémousse. Notre invité se branle de plus en plus vite, je me demande s’il va encore tenir longtemps, c’est alors que Laurence se retourne sur le ventre :
- Si seulement j’avais une bonne grosse queue dans la chatte, tu sais tu peux déclarer forfait et venir me baiser, j’ai la chatte en feu !
Je retiens notre ami qui avait déjà fait un pas en avant,
- Non n’y va pas, je te promets que le gage sera encore meilleur !
Laurence s’allonge sur le dos et vient placer sa tête entre ses cuisses sous sa queue, elle le regarde se branler, elle ouvre la bouche et s’approche de son gland
- Laisse-toi aller, viens jouir dans ma bouche, tu sais que dès la première giclée mon mari a perdu et je te prends en bouche aussitôt, tu pourras te vider les couilles au fond de ma gorge !
A ce moment-là, j’ai su que j’avais perdu, mon invité a tendu sa queue vers les lèvres de ma femme, qui s’est approchée un peu plus mais sans le toucher, il se branlait frénétiquement puis s’est arrêté net, sa queue s’est tendu et il a lâché un premier jet de sperme sur le visage de Laurence, elle a ouvert la bouche et l’a sucé avant que le second jet ne parte. Je voyais sa queue se contracter a sa base, j’ai cru qu’il n’arrêterait pas de jouir, il était secoué par des spasmes. Me femme continuait de le sucer, puis elle a ouvert la bouche laissant su sperme s’échapper entre ses lèvres et couler sur son menton et ses seins. Elle frottait sa queue entre ses lèvres, et étalait le sperme sur son visage. Cette vision m’excitait et je joui sur la croupe tendue de ma femme.

- Tu as perdu, ton protégé n’a pas tenu la distance !
Voici ton gage :
- Tu devras rester à côté de moi toute la nuit pendant que ton protégé me baise, tu n’auras pas le droit de me toucher, ni même de jouir !
Je n’avais pas le choix, j’avais perdu. Laurence a montré le chemin de la douche a notre ami, de mon côté je suis allé me rafraîchir. Au bout d’une dizaine de minute ma femme m’appelait, lorsque j’arrivais dans la salle de bain elle était les mains en appuient sur le lavabo et notre ami la queue bien enfoncée dans sa chatte ! Elle grimaçait de plaisir et me lançait :
- Tu as vraiment eu une bonne idée, je t’en remercie, je ne m’étais pas encore fait prendre ce soir !
Il la limé ainsi pendant une bonne quinzaine de minutes et dans un râle a déchargé au fond de sa chatte détrempée. Le spectacle qu’ils m’offraient m’a fait rebander aussitôt, je me branlais pendant leurs ébats.
Mon invité est resté toute la nuit, mais au round suivant ma femme a levé le gage afin de profiter des deux queues qu’elle désirait.
Nous nous sommes endormis au petit matin, me femme la chatte remplie de notre sperme. Notre invité nous a quitté a midi, ma femme la gratifiée d'une belle pipe dans sa voiture pour le remercier.