Avoir La Majorité C'Est La Liberté ...

j’ai tous juste dix huit ans et demi, j’ai un bon job, je jubile, je vais pouvoir acheter ma première voiture d’occasion bien sûr mes moyens sont quand même limités !
Posséder un véhicule était pour moi un fantasme très important, c’est un lieu privilégié, un cocon intime, sans doute dût au fait que c’est dans une voiture que j’ai perdu ma virginité avec un garçon de vingt ans
Je pourrais innocemment montrer mes cuisses en roulant comme les femmes qui relatent des péripéties croustillantes dans certaines revues
J’ai repéré la voiture de mes rêves chez un concessionnaire de ‘la marque au lion’, ainsi que me l’a conseillé mon père qui est mécano, un petit cabriolet rouge de toute beauté, je pourrais rouler la crinière au vent, les cuisses bien ouvertes pour aérer ma choupinette libre de toutes petites culottes !
Mais il me faut d’abord négocier avec le vendeur, je dois essayer de faire baisser le prix, pour cela j’ai mis tous les atouts de mon coté, savamment maquillée, talons hauts, jupe a godets qui vole au moindre coup de vent et un décolleté ravageur, mon cœur bat lorsque je fais le tour de ce petit bolide, je caresse la carrosserie comme je caresserais les fesses d’un amant imaginaire, poser mes fesses nues sur ces sièges qui sentent bon le cuir … Aaaaaaaaaaah quel pied… je suis penchée a l’intérieur pour éprouver de la main la douceur du pommeau de levier de vitesse car c’est aussi un fantasme inavouable … lorsqu’une voix me fais sursauter, j’espère que mes fesses étaient bien recouvertes car je sentais l’air sur mes reins…

- Puis-je vous renseigner mademoiselle ?
- Oh ! vous m’avez fait peur !
- Excusez moi c’est involontaire, elle est belle n’est-ce pas ? c’est une première main, garantie six mois
- Le prix aussi est beau ! c’est négociable ?
- Hélas non, asseyez vous au volant …

Je n’avais pas vu arriver ce type d’une cinquantaine d’année, portant très bien le costume cravate, Étienne, c’est marqué sur son badge, sûr de lui, en me parlant il examine mes formes comme s’il expertisait une bagnole !
Galant homme il m’ouvre la porte, il est aussi rouge que la carrosserie, il tire sur son nœud de cravate et dépatte un bouton, ma respiration s’accélère, je dois tenter le tout pour le tout tant pis si je passe pour une pétasse, je pose une fesse sur le siège et laisse une jambe dehors, s’il s’avance un peu il verra la couleur de mon string et peut être une lèvre qui s’est échappée je le sens a la couture rêche sur ma vulve, pour l’instant c’est mon décolleté qui l’accapare, normal, il est juste au dessus du balcon, j’att le volant , que je suis bien dans ce véhicule … il me le faut a tout prix … ( a tout prix je ne parle pas d’euros ! ) ma jupe dévoilent mes cuisses lorsque je pose mes pieds sur les pédalent, l’homme tousse et se racle la gorge

- Cette voiture est faite pour vous mademoiselle, c’est peut être le financement qui vous préoccupe ?
- Je ne veux pas faire de crédit, je ne dispose que de cinq milles euros et elle fait six milles
- Affirmatif …voulez vous voir le moteur ? laissez moi ouvrir le capot … pardon, la tirette est là ….



Il se penche sur mes genoux, sa tête est tout prés de ‘mon capot’ ! s’il a bon odorat il peut sentir les arômes que dégage ma chatte, de loin ont pourrait croire qu’il veut passer sa tête entre mes cuisses, et cette pensée me fais mouiller, hélas ça ne dure qu’un instant, je dois descendre pour mater la mécanique a laquelle je ne pige que dalle, mais je vais faire comme si ! j’ai entendu parler papa de certaine pièces mécaniques
Flanc contre flanc la chaleur diffusée par son corps me trouble, si j’en crois sa réaction je ne suis pas la seule, il accentue la pression l’animal, accrochée a la calandre je découvre une sorte de carapace qui cache le fameux moteur

- C’est l’alternateur là ?
- Non mademoiselle ? il est placé ici, penchez vous …attention a ne pas tomber !
- Merci de m’avoir retenue ! vous pouvez me lâcher à présent …

Si j’affirme que ses mains soutiennent mes nichons je ne mens pas, sans parler de cette bosse qui pousse sur mes reins

- Les talons aiguilles ne sont pas recommandés et même interdits pour la conduite ! remontez au volant, je vais vous expliquer le fonctionnement des accessoires
- Bien sûr …

Il monte côté passager, je remarque sa braguette pointée vers le haut, il commence son blabla et me demande si j’ai des questions ? tu parles ! j’en ai une qui me brule les lèvres !

- Elle a les sièges couchettes ?
- Heureusement ! et électriques de plus !
- C’est où ?
- Vous permettez, les boutons de fonctionnement sont coté portière

Je me colle au dossier car Étienne se penche carrément sur moi, son visage tourné entre mes cuisses ouvertes, ma chatte baille de bonheur, sa main tâtonne a côté de ma cuisse et mon dossier part en arrière, je me retrouve allongée dans une position délicate comme lorsque je m’offre a mon copain et lui toujours sur moi, sa main posée négligemment sur mon genou remonte en palpant l’intérieur de ma cuisse, son souffle chaud irradie ma motte, avant que je n’ai eu le temps de le repousser sa bouche s’est collée a ma chatte, une langue dure et pointue se fraie un chemin entre le string et mon vagin, mon clitoris est bousculé, malgré mon envie d’extase je garde les pieds sur terre

- Si nous parlions finances avant d’aller plus loin ?
- Ah toi tu ne perds pas le nord, pour cela nous devons voir le chef des ventes… merde, qu’est-ce que je vais faire de cette érection ? ….

- Vous vous la mettez sur l’oreille, nous verrons selon les résultats obtenus
- Allez finissons-en, vient avec moi
- Attendez que je remette ma petite culotte en place
- Montre moi ta chattoune avant … bordel quel abricot juteux ! dépêchons nous !

Je dois trottiner derrière lui tandis qu’il téléphone a voix basse avec son chef, mon string poisse sur ma fente, mes seins sont tout dur, j’ai hâte de terminer cette transaction pour faire l’amour avec ma voiture ! deux fauteuils cossu sont là pour cuisiner les acheteurs indécis, l’homme d’une quarantaine d’année me dévisage comme s’il voyait au travers de mes vêtements, a coup sûr il est au courant de ma ‘démarche’ avec son vendeur

- Alors cette petite 207 rouge vous intéresse ? vous avez fait le bon choix, comment voulez vous financer les six milles euros ?
- Comme j’ai déjà expliqué je ne dispose que de cinq milles, soyez indulgent c’est ma première voiture
- D’après Étienne vous seriez prête à un sacrifice ?
- Qu’entendez-vous par ‘sacrifice ‘ ?
- Déposez votre petite culotte sur mon bureau et rassoyez-vous les fesses à l’air
- C’est tout ?
- Bien sûr que non, c’est pour montrer votre bonne foi et baisser de cinq cent …
- D’accord…

Je me lève et devant les yeux médusés des gars je passe mes mains sous ma jupe et fais descendre mon string que j’envoie sur le bureau et m’assied en prenant soin de relever le tissu, ma moule va surement tacher le velours du fauteuil mais je m’en moque
Le chef hume longuement le triangle maculé de mes sécrétions encore chaudes avant de le lancer au vendeur qui s’étouffe avec

- Sent moi ça, c’est du nectar pour nos papilles, tu l’as léchée ?
- Pas eu le temps !
- Alors bouffe lui le mille feuille, je vais me faire sucer, ça vous va jeune fille ?
- Pour cinq cent ? oui, mais ça ne va pas plus loin
- Cinq cent de plus et ont te baise ?
- Tous les deux ?
- Bien sûr, pose tes jambes sur les accoudoirs, rassure toi tu n’es pas la première à faire cet exercice !
- Vous arrivez à gagner de l’argent ?
- C’est notre problème, en attendant suce moi ce beau sucre d’orge, va fermer la porte Étienne

Un beau membre décalotté au bout cramoisi dépasse de la braguette, une perle suinte du méat je la récupère de la langue avant qu’elle ne tombe, le vendeur cherche la meilleure position pour me faire minette, j’avance mes fesses bien au bord afin que sa langue me pénètre comme un sexe, le doigt dans l’anus n’était pas prévu mais ça me fais tellement de bien que je ne dis rien, de toute façon avec la bouche pleine ce n’est pas facile de parler !
Ce n’est que soupirs, halètements, clapotis et bruits de sucions avant que je coule dans la gorge d’Étienne, pour en finir au plus vite j’astique la bite tendue à craquer qui sursaute dans ma main annonçant l’éjaculation imminente, la dernière giclée a peine avalée le veneur s’assied dans l’autre fauteuil une queue large au bout pointu et rouge maintenue a la verticale

- Vient t’assoir sur ce pic ma beauté et donne ton cul a mon chef
- Attendez ! je ne l’ai pas essayée ?
- Le mécano se chargera de ça, enfonce toi sur ce phallus et penche toi que je vois ton anus… mmmuuuuummm, bien !
- Allez-y doucement c’est ma première double
- A mon avis chaudasse comme tu es ce ne sera pas la dernière !

Je m’enfonce lentement sur la verge qui remplit totalement mon vagin, a peine assise sur le pubis que l’autre cogne a mon cul, en position de puissance comme il est placé je vais la sentir entrer, effectivement, il me semble être ouverte en deux, pour ne pas hurler de douleur je pense a ces mille euros d’économisés !
A voir la synchronisation des mouvements ce n’est pas leur première fois à trois ! mon entrejambes est a la fête
Il me tarde d’être seule dans ma voiture pour faire plein de saloperies ! ma première expérience sera de m’enfiler sur le levier de vitesse… évidement ce serait mieux en roulant a cause des vibrations ! a moins que … le mécano ? Mais oui !
Excitée par cette pensée je me démène sur mes amants afin qu’ils se vident les bourses et que je puisse sortir de ce bureau, le vendeur me gratifie enfin des puissantes giclées avant de cesser tous mouvements, le chef en profite pour me sodomiser a la vitesse d’une machine à coudre, je ne croyais pas possible de mouille du cul portant je suis de mieux en mieux lubrifiée
Soudain, il cogne brutalement une fois, deux fois …trois fois et c’est le Vésuve qui crache sa lave dans mon fondement en le faisant gonfler, la queue d’Étienne dé de mon vagin qui se vide sur lui, le chef se retire, je me laisse glisser afin de poser les pieds sur le carrelage

- Tient, essuie toi les fesses avec ça, je préviens le mécano, pendant ce temps je prépare les papiers, bon essayage !
- Merci ! a tout de suite
- C’est ça ….
tu récupère ta culotte au retour
- Si vous voulez …

A l’extérieur le jeune mécanicien en bleu maculé de cambouis m’attend a coté de la voiture qui tourne déjà, a première vue il est plutôt séduisant …

- Bonjour, c’est vous qui voulez essayer cette 207 ?
- Oui !
- Vous ne pensez pas conduire avec des talons hauts ?
- Haaaaa ….
- Ce n’est pas grave je vais prendre le volant, montez
- Vous prenez la rocade ?
- Oui à cette heure-ci c’est cool… vous avez de belles jambes dites donc !
- Excusez moi ma jupe est un peu courte …
- Inutile de tirer dessus, j’aime voir les cuisses des clientes !
- Charmante maison ! le personnel est bien éduqué !
- Personne ne s’en plaint ! vous pourriez me montrer la couleur de votre petite culotte ?
- TIEN ! elle est en poils !
- Merde alors ! je suis soufflé !
- Regarder quand même la route
- Booof je fais des rallies, ça ne me fais pas peur de mater un cul !!
- Puisque nous en somment là je vais vous demander une faveur
- Dites toujours ?
- Je vais me hum… sur le levier de vitesse
- Vous allez quoi ???
- Je vais me faire baiser par le levier de vitesse !
- Je ne le crois pas ! vous alors, vous acheter une bagnole pour vous servir de gode ? ! bon, mais après c’est moi qui prend le relais ?
- D’accord, maintenez cette vitesse, le pommeau vibre à la perfection

Après avoir déposé de la salive sur le chrome c’est un vrai numéro d’équilibriste que j’entreprends, le froid du levier rafraichit mes lèvres, lentement le rond du pommeau est avalé par mon vagin, puis il entre d’un coup bien au fond de ma choune, je trouve difficilement le point d’équilibre afin de ne pas passer accidentellement une vitesse inadaptée

- Si tu veux te tenir voici ma bite !
- Merci … huuummm elle est belle !
- A disposition pour ta chatte !il y a une aire de repos à deux kilomètres, nous ferons demi-tour
- Ça va j’aurais le temps de jouir… accélère … hhhhhhhooooooooooooooouuuuuuiiiiiiiiiiiii ! ENCORE ! ENCORE !
- Quelle belle salope, tu t’es fait troncher par les mecs pour avoir un rabais hein ?
- Oui !oui !oui ! tu va me finir sur le parking
- Lâche ma queue sinon je vais décharger dans tes doigts, voici un coin tranquille descend et prend appuis sur le capot

A demi couchée sur la carrosserie le mécano relève ma jupe sur mes reins et me fait écarter les pieds, son manche n’a aucune difficultés à pénétrer ma grotte trempée, il me secoue a grand coups de reins avant d’arroser généreusement mon utérus, ça dégouline jusqu’à mes chevilles, j’aurais bien mérité mes mille euros de rabais !

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