La Gêne Et Le Plaisir - Partie 2
Jenny est une étudiante qui profite d'un week end prolongé dans sa colocation vide pour s'adonner à une séance de découverte du selfbondage en solitaire. Son colocataire Damien fait irruption en pleine action, et vient pimenter l'expérience. Il lui propose alors un jeu de rôle de Maitre et Soumise pour le reste du week-end, en lui promettant discrétion et le droit de lui rendre la pareille à la fin du week-end. Jenny accepte avec une réserve feinte, et Damien la laisse entravée sur son lit, le temps d'aller mettre sous clef ses papiers, ses clefs et son ordinateur, pour officialiser sa soumission.
Damien revint enfin. Sans dire un mot, il sortit une clef de sa poche et déverrouilla ma ceinture de chasteté. Elle était encore bien humide cyprine et exhalait une forte odeur.
- Quelle petite cochonne, tu en as mis partout, jusque sur tes draps. Maintenant voyons voir où tu as caché luf.
Me plaquant sur le lit, il décolla le scotch, mécarta les cuisses et introduisit doucement mais fermement ses doigts dans mon vagin. Je soupirais daise. Il retira luf et me le présenta.
- Une vraie petite trainée qui aime se faire des frayeurs toute seule
Cest dégoutant, regarde-moi ça.
Il essuya luf avec mes cheveux. Je protestais. Il me punit dune petite tape sur le sexe, qui mexcita terriblement. Javais très envie quil me fasse lamour brutalement.
- Eh non, petite soumise, ce nest pas pour tout de suite. Jai plein didée de jeux, avant.
Il détacha les menottes sur mes chevilles mais laissa mes poignets liés. Avisant le carton remplis de mes nouveaux accessoires de jeux, il fouilla dedans. Il en sortit victorieusement une laisse. Jeu soudainement envie darrêter. Me faire trainer en laisse par mon colocataire si provocateur, cétait trop. Mais quelque chose me retint de linterrompre. Il accrocha la laisse à lanneau du collier un ruban de cuir solide sur lequel était écrit « esclave ».
- Si bien trouvé, commenta-t-il.
Ensuite il sortit de sa poche un tissu détoffe noir. Je reconnu la culotte que javais abandonnée dans lentrée.
- Regarde-moi ça, dit-il en me la collant sous le nez. Sens donc ton odeur de petite chienne en rut. Toute la journée, tu nas pensé quau moment où tu tattacherais sur ton lit, et tu as bien mouillé à cette idée.
Ma culotte sentait une odeur forte dhormone, de sexe. Cétait humiliant quil ait touché à ma lingerie et encore plus quil lait reniflée. Je sentis mon sexe produire une grande quantité de cyprine alors quil me forçait à sentir le morceau de tissu. Il me lenfila lui-même, et avisant mon sexe bien humide, il me caressa les cuisses. Mon désir de lui monta encore dun cran.
- Une vraie petite chienne, toute prête à se faire prendre, dit-il en me pinçant le menton. Jappelais peut-être quelques copains, je ne suis pas sûr de pouvoir te suffire, ma belle
Je le foudroyais du regard. Il se leva, et tirant sur ma laisse, me força à le suivre. Il memmena dans la cuisine et me fit assoir à la table.
- Toutes ces émotions ont dû tépuiser. Tu vas boire un peu avant de reprendre.
Cest vrai que javais la bouche sèche. Jaccueillais cette intention avec soulagement. Il sortit du frigidaire une bouteille dun litre. Détachant mon bâillon, il me fit boire en penchant la bouteille à la hauteur de mon visage. Je bu goulûment, et nous appréciâmes tout deux la symbolique érotique du geste. Arrivée à la moitié de la bouteille, je lui fis signe que je métais suffisamment abreuvée. Il me fit signe de continuer à boire. A la fin de la bouteille, je lui dis que javais plus soif, mais sortant une deuxième bouteille du frigidaire, il me fit encore boire. Je craignais le pire pour la suite que voulait-il me faire, et pour combien de temps, pour mhydrater ainsi ?
Je bus au total deux litres deau. Avant que jai pu dire un mot, il me rebâillonna et tira sur la laisse.
- Parfait, il fait encore bon, dit-il en sortant dans le jardin, à larrière de la maison.
Celle-ci jouxtant un bois touffu, personne ne pouvait nous voir lorsque nous nous trouvions au jardin, à moins de passer par la forêt, mais nous ne voyions que très rarement des visiteurs. Ce jardin à labri des regards offrait un endroit de rêve pour faire la fête pendant les belles saisons.
Descendant maladroitement javais toujours mes talons les marches du perron à sa suite, je me demandais quels étaient ses projets. Avisant la clôture du jardin, il y attacha ma laisse, ce qui mobligeait à rester accroupie, la laisse étant attachée trop court pour que je puisse me redresser. Je le regardais tirer un transat dans la partie ensoleillée du jardin, sans comprendre. Bâillonnée, je nétais pas en mesure de demander plus dinformation. Il sétendit sur le transat et sortit son téléphone. Il appela un ami et bavarda longuement avec lui.
Jeu rapidement très envie duriner. Les deux litres deau se manifestaient. Je tentais de gémir à travers le bâillon boule pour attirer lattention de Damien sans être entendue de son interlocuteur, mais il mignora superbement.
Je compris alors que tout était calculé, et désespérais de mon innocence. Il mavait fait boire autant dans le but de minfliger la davoir à attendre, attachée. Je serrai les cuisses et tentai de prendre mon mal en patience. Mes jambes me lançaient, mes épaules étaient raides et douloureuses, et ma vessie pleine se manifestait à chaque instant par une douleur lancinante. Le fait de me retenir duriner avait toujours sur moi un effet excitant. Mais je ressentis pleinement le ridicule de la situation une étudiante de vingt et un ans, attachée à la clôture de son jardin, par son colocataire dominateur qui refusait de la laisser aller uriner.
Damien finit son appel et vint enfin sintéresser à moi. Il sapprocha et saccroupit pour être à ma hauteur. Caressant ma poitrine du bout des doigts, il me demanda :
- Alors, on a envie de faire un petit pipi ?
Je gémis pour lui répondre, en indiquant de la tête la maison.
- Ah mais non, les chiennes ne vont pas aux toilettes, à ce que je sache. Elles urinent dans la nature, comme tous les animaux. Tu vas donc devoir me faire un joli petit pipi à lendroit où tu te trouves.
Je protestais avec véhémence. Il me planta là et rentra dans la maison. Il ressortit avec mon appareil photo reflex, que javais reçu de mes parents à mon anniversaire. Je paniquais.
- Ne tinquiètes pas, je ne les montrerais à personne, tu seras la seule à les voir à la fin de notre week-end. Ça nous fera des petits souvenirs !
Il sassit à deux mètres de moi et me prit en photo dans cette position rabaissante, attachée comme un chien. Il attendit ensuite, me fixant, lappareil à la main. Je compris quil nattendait quune chose. Je narrivais pas à me résoudre à muriner dessus. Cétait trop. Trop sale, trop extrême, trop dégradant. Et en même temps, cette excitation omniprésente depuis le début, si tentante, exacerbée par le poids de ma vessie gonflée
Au bout dun certain temps, ne pouvant plus me retenir, je sentis soudain lurine commencer à sécouler. Je poussais un petit cri dhorreur et me dandinais ; jécartais les jambes pour ne pas mouiller mes chaussures. Damien ne loupa pas loccasion, mitraillant toute la scène. Lurine commença par inonder ma culotte qui sassombrit et me colla à la peau. Puis lurine transperça le tissu et commença à sécouler en jet et en rigole le long de mes cuisses. La miction me soulagea tant quelle me fit leffet dun acte sexuel. Je mabandonnais à cette action si primitive mais si agréable, fermais les yeux, sans pouvoir ignorer les clics de lobjectif de mon appareil photo. Jurinais longuement javais plus de deux litres à évacuer, après tout et me délectais presque de la situation. Lorsque jeu fini, je ressentis profondément la honte de mon action. Lodeur de lurine était très forte et mentourais ; ma culotte me collait salement à la peau et lurine séchant sur mes jambes me grattait.
- Tu vas garder la même culotte ces trois jours, je ne veux pas que tu oublies un seul instant la vulgarité et la saleté de tes actes.
Je gémis. Le regard mêlé de moquerie et de dégout quil madressait me rendait folle. Il me détacha de la barrière et me tira vers la maison. Mes jambes me lançais, jétais ankylosée davoir gardé la même position pendant si longtemps.
- Tu aimes les films pornos, ma belle ?
Jhaussais les épaules, peu rassurée.
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