Série Insolite. Épisode 5 : De La Photo Érotique « Marty Kiss » Passe Au Porno. Partie 2/3


Lors de la première partie, je vous ai expliqué comment en 1977, Martine qui avait tant rêvé de devenir mannequin c’était retrouvée à faire des photos érotiques, alors qu’elle n’avait que 22 ans. De fil en aiguille, non seulement elle faisait ce qu’elle désirait mais en plus, elle prenait beaucoup de plaisirs sexuellement parlant. Pendant plus d’un an, toutes les séances se terminaient par une partie de sexe sauvage, avec ce photographe. Hubert était gâté par la nature, sa verge faisait rêver beaucoup de femmes de tout âge. De sous-vêtements aux différents déguisements telle : bonne-sœur, soubrette, policière, infirmière, doctoresse, prostituée tout y passait et cela lui allait à chaque fois très bien. Sa photo préférée fut celle où Martine prenait une douche avec sa petite culotte blanche et une large chemise blanche ouverte, laissant apparaitre par transparente sa toison et sa poitrine dénudée, ses tétons pointant à travers le tissu.

En attendant, tous les soirs, son docteur venait essayer de satisfaire sexuellement Martine dont l’appétit était immense. À ce rythme-là, Patrick s’essoufflait, malgré toutes les sortes de pilules contre les troubles érectiles qu’il avalait avant de venir baiser sa jeune maitresse. En un semestre, il avait perdu quatre kilos alors qu’il n’était déjà pas gros. Pourtant il jouissait trois fois tous les jours malgré son âge avancé, il crut un moment qu’il avait retrouvé sa prime jeunesse. Cependant cet homme ne pouvait plus être à la hauteur des attentes de cette jeune femme dont il s’était épris. Après six mois intenses, il était épuisé, il ne bandait plus. Vexé de son impuissance, il avait quitté Martine du jour au lendemain. Ce n’était pas les amants qui lui manquaient, elle n’avait qu’à lever le petit doigt pour trouver un sexagénaire de bonne position sociale qui était prêt à lui lécher les pieds. Afin de mieux les dominer, elle les choisissait de cet âge-là.

En début d’année 1979, le responsable d’un magazine très érotique, désirant s’attacher des services d’un jeune modèle féminin, avait chargé Hubert de lui trouver la perle rare.

Naturellement, celui-ci pensa à « Marty » pour faire ce genre de séances de photos. Il savait qu’elle ne lui refuserait rien et comme il l’avait pensé, celle-ci ayant besoin de mettre de l’argent de côté, fut toute heureuse de poser nue et d’avoir un homme à ses côtés. Il était convenu sur le contrat qu’il n’y avait aucune pénétration, ses lèvres, sa chatte ou son cul touchaient à peine les pénis en érection de ses partenaires masculins. Pendant un an, Martine fit ce genre de photos très érotiques dans des poses tellement réelles que le lecteur ne pouvait pas s’imaginer que les deux partenaires faisaient semblant de baiser. Elle était assez fière lorsque certains admirateurs la reconnaissaient dans la rue.

En juillet de la même année, Martine du haut de ses 24 ans s’était laissée séduire par le propriétaire d’un hôtel restaurant où elle se rendait régulièrement avec ses amants. Michel était un homme marié de 58 ans et avait prévu de faire un séjour à l’hôtel en bord de mer pour les congés d’été avec sa femme. Sachant que sa maitresse n’avait rien prévu pour ses vacances, celui-ci lui proposa de prendre une chambre dans le même hôtel. Martine avait prévenu Hubert, son agent photographe qu’elle prenait ses congés et qu’elle ne reprendrait les séances qu’en septembre. Dans le même temps, le responsable d’un magazine pornographique en vogue fit une commande spéciale à Hubert. Le client exigeait « Marty », dans des séances photos beaucoup plus osées sur une plage.

Cela tournait à la pornographie, néanmoins Martine était bien mieux rémunérée et au point où elle en était, une bite au bord ou dedans, ce n’était qu’une question de centimètres, lui avait dit Hubert. Ce contrat étant assez alléchant, elle accepta ce genre de clichés mais avait donné ses exigences et c’était l’occasion de concilier l’utile à l’agréable. Hubert était descendu un week-end, Michel avait accepté de jouer le jeu et fit en sorte de se libérer de son épouse. À 10 heures, les serviettes étaient posées sur le sable de la petite plage privée de l’hôtel au milieu des rochers, l’endroit était magnifique.
Marty ne portait que son petit slip de bain retenu par deux lacets sur les hanches et Michel un maillot très court et moulant laissant apercevoir son beau sexe.

Hubert avait convoqué deux voyeurs septuagénaires qu’il plaça dans son champ de vision et prenait en photo la petite chatte de la jeune femme, sur sa serviette, écartant son string d’une main tout en se faisant masser les seins par Michel qui lui bisait le cou. Puis se fut différentes poses, Hubert mitraillait les deux amants sur la plage en pleine action tout en conservant devant son objectif, les voyeurs qui se masturbaient. Michel se mit à la lécher d’une langue gourmande, depuis l’anus en remontant jusqu’à son clitoris. Ensuite, il pénétra ses doigts, dans sa fente avant de s’attaquer à sa rondelle étoilée qui s’ouvrait sous ses caresses.

Deux doigts fichés dans l’anus de Martine, Michel fouillait sa chatte avec la langue, de longs filets clairs ruisselaient à l’intérieur de ses cuisses. Hubert ne put s’empêcher de faire quelques gros plans sur la belle érection du restaurateur qui était véritablement à l’étroit. Sa queue de bonne taille semblait vouloir déchirer son petit slip de bain, Martine vint la libérer avant de l’avaler. Après que le partenaire ait baisé la chatte de sa belle sur la plage, Marty ne simula pas, elle atteint son orgasme en laissant expulser toute sa jouissance, à plusieurs dizaines de centimètres atterrissant sur le sable chaud. Hubert fit approcher les deux voyeurs et les plaça de chaque côté de Michel qui méritait de se faire vider les bourses.

Marty à genoux devant lui, descendit doucement son maillot et ses 17 cm en pleine érection se présenta devant sa bouche. La jeune actrice l’avala dans une fellation dont elle avait le secret pendant qu’elle masturbait les deux queues des septuagénaires. Bandant suffisamment elle abandonna les deux vieux et avant que Michel explose dans sa bouche, elle se mit à quatre pattes afin qu’il honore sa rondelle.
La prise de vue de cette sodomie fut parfaite. La séance de photos prit fin lorsque les deux voyeurs et Michel se répandirent abondamment sur ses reins et le dos de Marty, après s’être branlés énergiquement. Hubert qui bandait comme un cerf, sortit son sexe et vida ses couilles dans le gosier de son actrice préférée, sans que celle-ci ne puisse lui refuser.

Cette séance de photos pornographiques ne passa pas inaperçue, de nombreux clients de l’hôtel majoritairement masculins étaient venus comme spectateurs. Ce fut l’effervescence dans l’établissement, tout le personnel des serveurs aux cuisiniers en passant par le Directeur de l’hôtel désirait saluer Martine. Lors du déjeuner, Michel et son épouse furent invités à la table de l’équipe de tournage où « Marty » signa de nombreux autographes. Ce jour-là, la femme du restaurateur avait compris qu’elle était cocue, cependant elle n’avait pas crié au scandale, elle voulait protéger ses arrières car elle savait qu’avec ses 55 ans et son physique, elle ne rivaliserait pas avec cette jeune actrice.

De la photo au film X il n’y eut qu’un pas à franchir, « Marty Kiss » son nom de scène, ne fut jamais une star du porno, elle tournait souvent mais comme elle avait certaines exigences, elle n’avait que des seconds rôles qui lui convenaient et toujours avec des hommes de plus de 50 ans qu’elle choisissait pour leur beau sexe. Elle tourna des romans photos puis des clips vidéo, elle fit quelques longs métrages où elle jouait le rôle d’une infirmière ou d’une soubrette faisant le plus souvent des fellations en gorges profondes à son partenaire très âgé ou en prenant du plaisir en se masturbant et en jouissant abondamment. Cela dura jusqu’en juillet 1985, elle venait d’avoir 30 ans, lorsqu’elle fut éprise d’un homme de soixante ans qu’elle rencontra lors du dernier tournage.

Jacques était un homme charmant, il était le producteur du film mais avait pris très au sérieux le rôle d’un voyeur qu’il s’était lui-même donné.
Dès le premier jour, Martine avait craqué pour cet homme qui lui faisait penser à son seul grand amour. Ce fut un vrai coup de foudre, lui en était déjà amoureux, il l’avait déjà remarquée depuis longtemps, ce fut la raison pour laquelle il l’avait exigée dans son film. Le soir à la fin du tournage, lorsque Jacques l’invita au restaurant de son hôtel, elle n’en espérait pas tant, elle était toute joyeuse. Une fois installés au bar, il l’avait embrassée et dès ce baiser qui lui déclencha une forte émotion, elle sut immédiatement que c’était le deuxième homme de sa vie.

Jacques commença sans aucune timidité à la tripoter sous la table, elle adorait ses caresses audacieuses. Elle fut à deux doigts de jouir lorsqu’il glissa sa main dans sa culotte tout en la fixant droit dans les yeux. C'était tellement bon et le fait d’être dans un lieu public, cela augmentait son excitation. Une fois dans la chambre, il l’effeuilla de sa robe, enleva son soutien-gorge et sa culotte la laissant uniquement en bas et porte-jarretelles et l’allongea sur le lit. Après un baiser passionné, il lui avait caressé tout le corps, tout en l’embrassant en partant du cou, descendant sur sa poitrine, s’éternisant sur chaque sein, suçant délicatement chacun de ses deux tétons.

Cela faisait cinq minutes qu’ils se trouvaient dans cette chambre d’hôtel, pourtant à ce moment précis, la main de Jacques s’étant posée sur son intimité, elle jouit immédiatement une première fois. Il continua à jouer de ses doigts et continuait sa progression avec sa bouche, sur son ventre, sur son pubis puis sa tête plongea entre ses cuisses qu’elle écarta. Sa langue suça son clitoris pendant que ses doigts s’insinuèrent dans sa fente mouillée de désir. Elle posa ses mains sur sa tête et jouit de nouveau fortement : « Oh ! C’est trop bon. » C’était bien la première fois qu’elle rencontrait un homme aussi doué, en seulement dix minutes Jacques était parvenu à lui faire prendre deux orgasmes magnifiques. Et ce n’était pas fini, la nuit ne faisait que commencer et s’annonçait bien longue.

Martine n’avait jamais connu de si beaux préliminaires. Désirant rendre la pareille, elle se devait d’apporter autant de plaisir à son homme. Elle se releva sur le lit et s’approcha de Jacques pour un baiser plein d’amour et lorsqu’elle voulut lui enlever la ceinture de son pantalon, il lui dit :
— Attends ma chérie, je n’ai pas encore fini, je veux que tu prennes le maximum de plaisir.

Jacques sortit une mallette où se trouvait plusieurs sextoy, il alluma un vibromasseur et le posa sur son clitoris. N’ayant pas l’habitude, ça l’excitait doublement, son petit bouton gonflait, elle commençait à bien apprécier, elle se cambra et ferma les yeux. Après plusieurs minutes, le vibro devenait efficace, elle sentait son clitoris grossir et se durcir et des vagues de plaisir montaient dans son ventre. Tout en l’embrassant, Jacques continuait à la caresser avec cet engin qui vibrait. Il suçait et aspirait son téton pendant que l’appareil fonctionnait et lui faisait monter une nouvelle vague de plaisir. Elle explosa une nouvelle fois en criant : « Oh Oui ! ah… »

Puis pendant près d’une heure, Jacques sut utiliser plusieurs objets qu’elle ne connaissait même pas, des plumeaux, des boules de geisha, des plugs et petits pénis, elle ne savait plus le nombre de fois où elle avait atteint l’orgasme, mais cela lui semblait incalculable. Elle jouissait et jouissait encore, elle n’avait jamais connu cela auparavant et Jacques était un expert en la matière, il jouait avec elle, il l’embrassait, la caressait et utilisait de nouveau ses sextoy. Elle était trempée de mouille, elle gémissait, elle ne voulait pas que cela se termine.

Puis pendant plus d’un quart d’heure, il reprit le malaxage de sa poitrine doucement, ses mains étaient douces, elles caressaient lentement ses seins, elle appréciait beaucoup puis il lui pinça un peu plus fort les tétons qui durcirent immédiatement sous ses doigts, elle en frissonnait de bonheur, elle était comme sur un nuage : « Maintenant, ma chérie, il temps de passer aux choses sérieuses. » Martine pensa qu’il allait enfin la prendre mais au lieu de cela, il sortit de sa mallette un magnifique phallus, elle aurait juré que c’était un vrai, tellement il était réaliste, mesurant 20 cm et 4 cm de diamètre, il était veiné et son gland également moulé, rappelait au mieux la verge humaine.

Une heure durant, Jacques baisa Martine avec ce magnifique engin, plus vrai que nature. Ayant au préalable préparé son anus avec un plug, ce phallus la sodomisait puis lui prenait la chatte et recommençait, elle jouit encore trois fois avec cet engin, elle n’en pouvait plus, elle était totalement épuisée. Après sa dernière jouissance, elle récupérait allongée sur le dos, lorsqu’il éteint la lumière pour se dévêtir et vint se mettre à genoux entre cuisses pour se masturber. Elle sut que tout était fini lorsqu’elle ressentit sur son ventre, la douce chaleur de son sperme qu’il avait éjaculé.

Martine venait de vivre une de ses plus belles nuits d’amour, elle était exténuée et s’était effondrée dans un sommeil profond. Le lendemain au réveil, elle était heureuse en ouvrant les yeux de voir Jacques la regarder, il l’embrassa tendrement et lui souffla à son oreille :
— Tu es si belle et encore plus, quand tu jouis, je t’aime Martine.
— Je t’aime aussi mon amour. Répondit-elle en s’accrochant à son cou avant de poursuivre son baiser.

Jacques la serrait dans ses bras, elle désirait refaire l’amour, son amant la faisait vibrer mais lorsqu’elle passa sa main sur son entrejambe, il eut un moment de recul. À ce moment-là, Martine fut très intriguée, en repensant à la veille, où il n’avait pas eu l’occasion de la pénétrer et de son refus. Elle pensa tout de suite que Jacques lui cachait quelque chose. Elle lui posa franchement la question afin de connaitre les raisons de son comportement aussi étrange. Ce fut avec une grande difficulté qu’il lui avoua qu’il était très gêné. Étant donné qu’il avait un sexe ne dépassant pas les dix centimètres en érection et qu’il n’avait aucune résistance, il avait un énorme complexe et que c’était la raison pour laquelle, il ne s’était jamais marié :

— Je ne veux pas te perdre ma petite chérie.
— Je m’en fous mon amour, tu crois que je vais te quitter pour ça ? Tu m’as tellement prouvé ton amour hier soir. Tu sais le phallus factice ressemble beaucoup à celui de Pierre mon Mentor mais je ne l’adorais pas pour son sexe.
— Tu es jeune, comment puis-je te satisfaire ?
— Tu apprécies me voir jouir et tu m’as fait tellement de bien avec ton jouet que cela me suffira mon amour.
— Appelons-le : Pierre dans ce cas. Qu’en dis-tu ?

À partir de ce jour, ils ne se quittèrent plus, Jacques était adorable et très aimant, il cédait à tous les caprices de sa princesse. Étant assez fortuné il arrêta ses activités professionnelles pour vivre en permanence aux côtés de sa petite chérie. Il demanda à Martine de venir habiter dans sa superbe villa près d’Orléans et un mois plus tard, à la rentrée de septembre, ils partirent pour faire leur premier tour du monde. Bien entendu, il emmena avec lui sa mallette secrète où « Pierre » était le jouet préféré de sa dulcinée. Martine ne pouvait plus s’en passer, après six mois de voyage, lorsqu’ils atterrirent à Paris, ils passèrent la nuit dans l’appartement parisien que Jacques possédait.

Quelques semaines plus tard, il lui avoua que les tournages des films X lui manquaient, ce n’était pas le cinéma porno en lui-même mais c’était de la voir jouir dans les bras d’un autre homme qui l’excitait énormément :
— Tu n’aimerais pas avoir des amants en ma présence ? Tu sais j’ai toujours été un voyeur invétéré et aujourd’hui je suis un candauliste averti.
— Tu ne m’aimes plus mon amour ? Tu veux que je te sois infidèle ? Jamais de la vie
— Si au contraire, je t’adore tu seras toujours ma petite chérie. Ne me répond pas tout de suite, réfléchis.

Je continuerai à vous raconter la suite dans un prochain récit.

Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Martine, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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