Hervé Et Son Maitre
Hervé et son maitre
Peu après à notre dernière soirée, jai eu loccasion de le revoir seul ; une question nautique lavait amené à me téléphoner, ce qui ma surpris car il était aussi féru en voile que moi. Peu importe, je le convie à venir prendre lapéro pour en discuter.
Coup de sonnette vers 18h, cest lui, un peu gêné ; il doit avoir en mémoire nos derniers jeux ; je nen fais pas cas et afin de le mettre à laise, je lembrasse ; cest la première fois, il est surpris, mais finalement cela le détend. La question bateau est vite réglée et comme je le pensais cela nétait quun prétexte ; je le laisse venir et enfin il se découvre. Cest dabord pour me remercier de lui avoir fait découvrir le plaisir avec un homme, puis petit à petit il me questionne sur ce sujet, cherchant à découvrir plus précisément ce que javais abordé lautre soir ;après lui avoir raconter en détail le hammam, je remarque que sa bosse est de plus en plus visible ; je nai pas beaucoup de temps car je dois retrouver Mico , chez des amis, mais jen profite cependant pour le provoquer et sortant ma queue déjà elle aussi en érection , je lui dis :
« Suce- moi » il a un instant dhésitation ; jinsiste
« Si tu veux aller plus loin, il faut que tu mobéisses » je prends des risques car cest un Monsieur dans la ville et je ne suis pas sûr quil accepte de subir et jenfonce le clou :
« Je suis prêt à te faire participer et jouer avec toi, mais il faut que tu acceptes que je sois ton maitre comme Marie est la maitresse de nini » il ne bouge pas et sa réflexion me fait penser que je suis allé trop loin. Puis subitement il se penche vers popaul, qui pendant la discussion a perdu de sa vigueur et maladroitement, il pose ses lèvres sur le gland ; le contact a vite fait de me redonner vie à ma bite et cest maintenant un cierge bien droit quil a entre les lèvres ;
« je ne sais pas comment faire » je lui prends la tête et en poussant doucement , je lui demande de la mettre au fond de sa gorge ; jai fait tomber mon pantalon et lui prenant les mains , je les pose sur mes boules ; il comprends vite et bientôt sa bouche sactive autour de mon sexe ; lui tenant la tête je me branles sur ses lèvres, pendant que sa main me tripode les couilles et que lautre a investi mon sillon et me caresse lanneau ; jai envie de jouir vite et jaccélère le mouvement, poussant le plus loin possible, et ne me retirant que quand je le sens hoqueter ; cest moi qui dirige et je veux quil comprenne que je suis le maitre et quil doit encaisser ;je ne tarde pas à jouir et lui bloquant ma queue au fond de sa gorge , je lui déverse mon jus, lempêchant de se retirer ; il doit avaler ma semence jusquau bout ; à bout de souffle, je le laisse sécarter
« Prend-moi, jai envie de toi « je comprends que jai gagné la partie
« Non, je nai pas envie aujourdhui (ce nest pas vrai) ; tu vas attendre que je tappelle et il faut que tu acceptes tout ce que jai envie et quand je le veux, sinon jarrête de jouer ! » je sais que mes propos sont durs mais jai envie quil souffre.
Suffoqué, Hervé se tait ; lui le grand bonhomme d1.95m et de 120 kilos est devenu un gamin devant la vitrine de bonbons ; il a envie mais il a peur ; je ne bronche pas, et en me reculottant, je lui fais comprendre que jen ai fini ; surpris par mon comportement, il se lâche enfin
« Daccord, je ferais ce que tu veux ! ». Je suis presque surpris de sa réponse et pour seller son accord, je lui roule une pelle, le forçant à recevoir ma langue .Il ne se dérobe pas, mais quand je le raccompagne, je ne suis pas sûr, quaprès réflexion, il ne fasse pas machine arrière ; lavenir, proche le dira. Je lespère car sa queue me défonçant lautre soir, ma laissé sur ma faim et jai à nouveau envie de la sentir dans mon anneau, mais aussi, jai envie de le posséder et de le faire prendre par dautres hommes.
Lui ayant promis de ne pas avoir de contact dans notre ville, je me suis mis à la recherche sur la toile, dun contact possible, pas trop loin et répondant à certains critères. Après moultes réponses farfelues, ou peu fiables, grâce à web Cam, jai fixé mon dévolu sur un homme de soixante ans, bonne présentation, et ancien policier ; notre conversation, débridée, mavait laissé penser que cétait notre homme. Rendez-vous est pris, même si Hervé se dégonfle, je pourrais toujours en profiter ; après en avoir parlé à nini, qui en outre, était satisfaite quil soit dominé, je lui téléphone et lui ordonne de se rendre libre pour vendredi suivant en soirée. « Pas de costume, ni cravate, tenue décontracté, je passe te prendre à16h, salut « et je raccroche.
16h, je sonne à sa porte ; va-t-il venir ? Hervé est en jean blanc et polo ; lui toujours en costume, je comprends que cest gagné ; Marie, qui nest pas au courant de mes projets, me dit sa surprise de le voir ainsi ; « je ne sais pas ce que vous allez faire, mais à priori, Hervé est partant « ; ma réponse est évasive et je lui dis de ne pas nous attendre de bonne heure ; « pas de problème, je vais téléphoner à nini ».
Sur la route, Hervé me questionne, mais je reste évasif, pas question de lui donner des indications ; je lui rappelle simplement quil doit faire ce que je lui dis. Le trajet est assez court et jarrive chez notre contact ; une jolie maison, ancienne ferme restaurée avec goût ; notre hôte est un grand gaillard, sans doute comme Hervé vers les 1.95m, assez rond, visage affable ; son accueil est chaleureux, et il nous convie à entrer ; le salon me surprend ; dans plusieurs vitrines, de vieux objets me rappellent son ancienne profession ; en effet les pistolets de tout genre, parfois très anciens, côtoient de nombreux objets de contention, à savoir vieux cadenas, menottes et autres systèmes dattache ; « ce sont des objets de collection, nous assure-t-il, ils ne sortent pas des vitrines » Hervé a un petit soupir de soulagement. Un verre à la main la conversation sinstalle ; je lui révèle alors le but de la visite : le livrer aux mains dun inconnu, sans retenue en toute obéissance, à notre gré. Un peu crispé, il comprend ce quil lattend. Phil a sorti sa queue et se caresse doucement ; il nest pas encore tendu et pourtant je suis surpris par sa taille, et je me mets à envier Hervé car sil sait bien sen servir, ce dont je ne doute pas, la soirée ne va pas être de tout repos pour lui ; elle mesure au moins 25 cm au repos et sans doute plus de 5 cm de diamètre ; Hervé est lui aussi surpris et son regard vers moi est éloquent ; « suce-le ! » lordre claque et timidement il sapproche de Phil, ses mains semparent du sexe qui prend de la vigueur et quand Phil, lui prenant la tête lui plaque son gland sur les lèvres , il doit faire un effort pour lavaler ; ressortant il sapplique à lui lécher la hampe ; sa langue parcourt le gourdin, lèche le méat puis, guidé par Phil, il l enfourne à nouveau ; le va et vient se fait plus vite et quand Phil se propulse au fond, des nausées montent chez Hervé ; le retirant par les cheveux, il lui laisse reprendre souffle pour mieux sy enfoncer ; je me branle doucement , ma queue , plus petite que nos deux comparses n en ai pas moins tendue ; Phil soudain se retire et lui dit de se dévêtir ; je suis surpris car il ne bande pas ; lui-même se déshabille et jen fait de même ; Hervé ne sait plus où il est, il attend, effaré en voyant le monstre de Phil ; en effet, il a pris des centimètres et une grosse veine bat tout le long ; son gland est turgescent et déborde de la queue.
Retournant Hervé, et le faisant mettre à genoux, je lui présente mon sexe à sucer ; il sy prend mieux ; sa bouche coulisse mieux et cette fois son sexe réagit ; il bande et il retrouve une sensation connue , celle de me sucer ; il y prend plaisir et son rythme est plus rapide ; derrière lui Phil glisse un doigt dans son sillon ; le contact surprend Hervé qui se cabre ; « laisse toi faire, tu vas connaitre ma bite dans ton cul et je te promets que tu vas aimer « , il crache dans ses doigts et les tournent dans lanneau ; celui ci est à peine ouvert, que Phil y frotte son gland , puis saccrochant aux hanche, il pousse violement son zob ; Hervé hurle sous la douleur et se débat, il a quitté ma queue et cherche à se libérer de létreinte, mais celle ci ne sarrête pas, bien au contraire, Phil continue à pousser et petit à petit lanneau souvre laissant pénétrer la tige tendue ; Hervé narrête pas de se plaindre, mais petit à petit, il ne lutte plus. Enfin les boules viennent contre le fessier ouvert ; Phil sarrête, puis doucement commence son va et vient ; la douleur doit être moins forte car Hervé commence à geindre ; une bite énorme lui défonce le cul et il semble y prendre plaisir ; maintiennent , il se fait pilonner ; avec violence, le chibre lui défonce la rondelle, ressort de létau pour sy engouffrer sans douceur ; Hervé râle sous les poussées répétitives et quand Phil accélère son enculade et jouit dans ses entrailles, Hervé crie son plaisir ; , les yeux révulsés, il encaisse les coups de butoirs qui ne semblent pas vouloir sarrêter et il gémit la tête sur le plancher ; il ne me faut pas longtemps pour prendre la place et je nai aucun mal pour le perforer ; sa rondelle est dilatée et sen écoule le sperme de Phil ; graissée ainsi, je peux me déchainer ; mes couilles lui tapant sur le fessier , et cette fois cest lui qui en réclame « plus fort défonce moi, je tappartiens » il ne me faut pas longtemps pour jouir et en grognant, je lui déverse à mon tour ; Phil, à lécart nous regarde, pensif :à quoi pense t-il ? .
Moment de repos et nous en profitons pour nous restaurer ; la conversation tourne sur les collections et Phil nous apprend que certains objets ont été trouvées dans de vieux cachots, situés sous une vielle propriété dun de ses amis ; parfaitement conservés, mais sinistres ; devant notre intérêt et ayant sans doute une arrière-pensée, il nous propose de nous les faire visiter. Sans attendre, jacquiesce et après un appel à son ami, nous prenons la route ; Hervé est silencieux, sans doute repense t-il à tout à lheure et à son plaisir dêtre possédé. Il nous faut peu de temps pour arriver et un homme nous attend auprès dune grille, ouvrant sur un parc ; 100 m de marche, il commence à faire nuit et nos deux guides prennent des lampes à larrivée dune porte souvrant sur des escaliers senfonçant sous terre ; la lumière éclaire des murs en pierre et nous arrivons devant des trois grilles, derrières lesquelles se trouvent trois cachots voutés ; le décor est à la fois superbe, et impressionnant ; ces cachots datent de la révolution ; aux murs sont celés de gros anneaux et au fond un socle de bois devait servir de couchage et fixés sur la grille à lextérieur, deux support ans doute pour les torches ; anachronique, une palliasse est jetée sur le sol.
Notre guide nous demande lors dimaginer la vie de ses prisonnier ; je dois reconnaitre que lendroit devient vite lugubre. « Et si Hervé jouait le prisonnier ? » cest Phil qui vient de parler et sans attendre, prenant ses poignets, le plaquant face contre la mur, il les attache avec des lanières de cuir sorties de sa poche ; Fred devait être au courant car sapprochant de son prisonnier, il lui passe la main sous les fesses et vient lui caresse le sexe à travers le tissu ; puis lui descend le pantalon et le slip, il lui écarte le jambes et vient le branler alors que sa deuxième main sinfiltre dans le sillon culier ; il est brutal , sa main claque sur les boules à chaque branlée et son doigt sest engagé à sec dans lanus ; la douleur doit être extrême car son cul doit sentir encore les effets de lenculade de Phil ; il se rebiffe, se retirant de lanneau, Fred lui assène une grande claque sur les fesses ; et sans attendre, il reprend possession de lanneau, engageant cette fois deux doigts directement ; malgré tout , Hervé bande et bientôt commence à gémir sous le traitement que lui inflige son bourreau ; puis il le détache , le fait mettre à genoux et lui reprend les poignets sur les anneaux inférieur ; ainsi, il offre son cul, déjà un peu dilaté ; en peu de temps Fred a quitté ses vêtements et il se présente à lentrée ; sa queue nest pas aussi grosse que celle de Phil ; longue, noueuse, nerveuse ; le chevauchant il lui plante son dard dune seule poussée, provoquant une réaction de défense chez Hervé ; passant ses mains sous la poitrine, il vient lui pincer les tétons ; la pénétration est violente ; à chaque fois le ventre de Fred claque contre les fesses ; non contant de le violer, il lhumilie en parole « tu laimes ma queue ; je vais te défoncer le cul, et après les autres vont te saillir à leur tour » ;
Phil, lui a sorti sa queue et se branle ; jai envie de lui et je viens le sucer ; sa queue memplie la bouche et je ne peux lavaler en entier ; la mienne est aussi à létroit dans sa prison et je me désape ; Phil me retourne et crachant sur sa queue, il présente son gland ; je sais quà mon tour je vais déguster ; pourtant il nen ai rien ; Phil lubrifie plusieurs fois avant de sengager dans le tuyau qui se dilate ; la douleur arrive quand son gland enfin emprisonné, mon anneau se resserre sur lui ; dune poussée il se propulse au fond, alors commence une baise qui très vite déchaine ma jouissance ; javais envie de sa queue et je ne suis pas déçu ; il me laboure avec méthode, sarrêtant quand il est prêt à jouir pour mieux me pistonner après ;je jouis en continue et ma queue crache sa semence sans quil me touche ; mes gémissements se mêlent aux cris dHervé qui maintenant gueule sous les coups de piston; ce nest pas de douleur, cest de plaisir. Soudain Phil se retire, un grand vide menvahit, il na pas jouit pour garder sa bite tendue ; en effet Fred a quitté Hervé et Phil va prendre sa place ; sans difficulté il le pénètre, lanneau est dilaté et Hervé encaisse sa grosse queue sans coup frémir ; au contraire il se rue au-devant de la pénétration « vas-y bourre moi, ta queue me remplit, je jouis « les deux hommes doivent jouir en même temps car Phil ahane alors quil est parcouru de soubresauts. Il reste en Hervé, sans bouger, et quand il se retire un flot de jute sécoule de lanneau ouvert en grand et coule sur les cuisses ; le visage dHervé est défait et comme un automate, sans un mot, il shabille :
Après avoir ramené Phil chez lui , en lui promettant de se revoir, le retour se fait en silence ; Hervé semble dormir et cest avec soulagement que nous arrivons chez lui ; la voiture de nini est encore là, sans faire de bruit nous entrons dans la chambre ; trois femmes dorment, deux dentre elles ont un gode culotte et Mico dort au milieu , mais cest une autre histoire; devant ce tableau, nous allons nous coucher dans lautre chambre ; cest alors quHervé , enfin parle : « cest la première fois que je jouis autant ; grâce à toi ; tu ne mas pas aimé ; jai envie que tu me prennes avant de dormir , fais-moi mal, donne-moi du plaisir« La queue , de nouveau tendu, je lui donne un baiser avant de lenculer ; javais gagné.
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