La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 613)

franckdocile au Château - (suite de l'épisode précédent N°612) -

Arrivés tous les deux ensemble à la zone commerciale, je suis cet homme qui se dirige derrière l’immense bâtiment d’une grande enseigne commerciale, là où entre trois haut murs blancs sont entassés multiples cartons d’emballage, dans d’immenses conteneurs, visiblement destinés pour la déchetterie. L’homme gare sa moto derrière les hauts conteneurs et ainsi nous sommes à l’abri des éventuels regards indiscrets. Il se met en appui sur sa moto, défait sa ceinture, ouvre sa braguette, descend son pantalon sur ses chevilles, ce qui laisse apparaître un vieux boxer noir. Il pose sur moi un regard narquois et me dit de me mettre au travail et de lui montrer ce que je sais faire. Alors, je me mets alors accroupis entre ses cuisses et commence à lui masser la bite à travers son boxer tout en regardant l'excitation monter dans son regard et en sentant sa verge monter et grossir dans son boxer. Il ne faut que quelques secondes pour obtenir une bite extrêmement raide et gonflée. Tout en lui caressant le haut des cuisses, je lui enlève son boxer et sa queue raidie se tend tout proche de mon visage comme si elle savait que ma cavité buccale était sa destination. Alors, j’ouvre grandement mes mâchoires pour accueillir ce phallus et commence alors un long travail de succion en faisant aller et venir ma bouche sur cette queue laquelle je suis si content d'avoir trouvée. Je masse de temps en temps ses couilles avec mes mains, d'autres fois je m'appuie avec mes mains sur ses cuisses pour n'utiliser que mes lèvres et ma langue. Toujours est-il que je ne m'arrête pas de sucer goulûment, avec une intensité, un rythme, une cadence presque effrénée jusqu'à obtenir ce que je recherche, c’est-à-dire une éjaculation buccale.

Ce moment arrive enfin quand il lâche simultanément un long râle rauque exprimant sa jouissance et de longues giclées de sperme chaud dans ma bouche que je prends soin de bien retenir dans celle-ci.

En éjaculant, de sa puissante poigne, le motard me plaque fortement la tête contre son bas-ventre, ce qui ne m’empêche pas, de ma main, de lui caresser sensuellement la bite avec mes doigts. Je fais bien attention de ne pas avaler son précieux nectar comme le Maître me l’a ordonné. L’homme relâche sa pression, me regarde d’un air quasi dominateur, tout en réajustant son boxer et son pantalon :

- Tu es une bonne petite pute ! Dommage que tu ne veuilles pas que je t’éclate ta rondelle, je suis certain que tu dois, tout de même aimer te faire enculer, espèce de lopette … Aller, maintenant casse toi, tu m’as bien fait jouir, j’ai pu me soulager les couilles… barre toi salope …

Alors, sans dire un seul mot, je me retourne et m'en vais la bouche pleine de sperme. Je suis très content d'avoir réussi ma mission et je pense que le Maître sera fier de moi car le plus important pour moi est de le satisfaire avant tout… Je n'ai plus qu'à retrouver le chemin du Château. Je dispose en plus d'une belle réserve de temps, vu que nous sommes encore loin de minuit. Je me dirige vers le centre commercial dans le but de trouver facilement un bus de ligne qui pourra me rapprocher ou me conduire à Blacé. Bien qu'il m'arrive de l'oublier par moments, le liquide que je retiens dans ma bouche est extrêmement humiliant dans la mesure où cela me rappelle inexorablement la pipe que je viens de faire il y a quelques minutes. Le goût du sperme est donc permanent même s’il se mélange à ma salive, ce qui n’est pas évident de ne pas tout avaler. Je ne sais pas si les gens que je croise se doutent de quelque chose, s’ils ne se posent pas ce genre de question : ‘’Pourquoi cet homme se balade t’il ainsi en ayant quelque chose dans la bouche ?’’ Non, ils ne peuvent pas s'imaginer, je me fais des idées... Cela me rassure de constater que personne ne fait cas de moi, que tous vont et viennent sans se préoccuper des autres...

Je trouve facilement un bus et après un petit changement de bus, je me retrouve rapidement au petit village de Blacé, au cœur de cette magnifique région du Beaujolais au relief si verdoyant par ses forêts, mais aussi par ses nombreuses vignes fournies sur des coteaux pentus.
Le clocher de l'église m'indique 21h, ce qui me laisse serein pour la fin du parcours que j'entame à pieds. Je repère le centre du village et m'oriente facilement vers la sortie. Il me suffira maintenant de retrouver le chemin sur la gauche qui m'amènera directement au Château du Maître, Monsieur le Marquis d’Evans. Je me sens à ce moment très fier d'avoir su mener à bien cette mission. Je pense que le Maître ne pourra être que satisfait de mon après-midi. Cela me met en joie. Après avoir parcouru quelques centaines de mètres après Blacé. Je vois deux chemins semblables, distants d'à peine quelques mètres et presque parallèles même s’ils vont à l’opposé comme les deux branches d’un V. Cela m'avait complètement échappé à l'aller et je suis totalement incapable (surtout après les émotions vécues cette après-midi) de me souvenir lequel des deux chemins est celui que j'ai emprunté pour quitter le Château. Comme j'ai un doute sur le bon itinéraire, je décide de m'engager sur le premier puis de revenir vérifier le second et peut-être que cela me permettra d'en reconnaître un des deux. Après avoir effectué quelques encablures sur ce premier chemin, je ne reconnais vraiment rien lorsque j’arrive à un cul de sac, le chemin se terminant par une clôture de barbelés laquelle donne sur un pré entouré de bois. Je décide donc de rebrousser chemin pour m'engager sur le second chemin. Celui -ci ne me rappelle guère grand-chose non plus. Je choisis de revenir sur la route départementale pour vérifier s'il n'y aurait pas un autre chemin plus loin car à l’évidence ce n’est pas l’un des deux que j’avais pris à l’aller.

Après avoir marché 5 bonnes minutes, à la sortie d’un long virage, j’aperçois dans la ligne droite de la route un autre chemin qui me fait penser que c’est le bon. A l’intersection, il y a là dans le talus, une vieille et massive croix en pierre, elle est montée sur un haut socle lui aussi tout en pierre ancienne et à moitié envahie par la mousse. Je m’approche pour y lire une inscription presque effacée mais datée et gravée à même la pierre.
‘’Croix de mission année 1845 érigée en honneur de Saint-Sauveur pour le souvenir de nos défunts malades du choléra de 1834 à 1837. Donation du bienfaiteur et mécène Monsieur le Marquis Jean-Baptiste-Benoit d’Evans à la commune’’. J’apprends ainsi qu’un des ancêtres du Maître s’appelait donc Jean-Baptiste-Benoit, celui du milieu XIX ème siècle… Je n’avais pas remarqué cette croix à l’aller mais je choisis tout de même de prendre ce chemin en pensant que je finirais bien par avoir une vue un peu dégagée qui me permettra de me corriger si je me rends compte que j'ai fait une erreur. De toute façon, je ne vois aucun autre chemin et je ne veux pas plus m’éloigner du village car j’évalue qu’à l’aller, j’en étais pas si loin. Je m'engage donc sur ce chemin et après avoir marché une bonne dizaine de minutes, je ne cesse de m'enfoncer dans les bois, pour ne rien arranger la nuit commence à tomber. Je m'avance en perdant progressivement la confiance qui m'habitait toute à l'heure car je ne suis plus sûr maintenant de réussir à rentrer à temps aux pieds du Maître avant minuit. Me laissant aller dans mes doutes, la tête basse, le cerveau en ébullition pour essayer de trouver une solution, je suis soudain attiré par un bruit de moteur en direction opposée à celle que je suis en train de prendre. Je pense que cela ne peut venir que du Château car je sais que le domaine forestier du Maître est immense et qu'il n'y a rien d'autre entre celui-ci et le village, que ces Terres vont jusqu’à bourg de Blacé. Je me serais donc trompé de chemin ? Je décide donc de quitter ce chemin et d'essayer de rejoindre l’endroit d'où provenait le bruit. Après quelques mètres, je me sens complètement perdu et j'avance au hasard dans aucune direction, à travers les bois et les branchages. Je me sens vraiment nul sur ce coup là. Quel imbécile ! Ce doit être mon jour de chance car au plus bas de mon désespoir et au bout de cinq bonnes minutes de marche, sur ma gauche, une voix rauque m'interpelle.

- Eh ! Toi là-bas ! Viens ici !

Quelle joie.
En levant, les yeux en direction de cette orée que je n’avais pas vu à cause du début de l’obscurité de la nuit bientôt tombante, orée juste à quelques mètres où il y a cet homme que j'aperçois et qui n’est pas seul, un homme est avec lui. Il s'agit en fait de deux chasseurs, me semble-t-il. Je sors du sous-bois et j'arrive à leur hauteur.

- Qu' est- ce que tu fais là ? Sur les terres de Monsieur le Marquis ?

C'est à ce moment précis que je me rends compte de l'impossibilité de répondre la bouche pleine du précieux sperme mélangé naturellement de ma salive...

- T'as pas de langue toi ? Réponds !

En mettant le sperme bien au fond de ma bouche, je bouche légèrement les lèvres pour essayer de prononcer.

- Je cherche le Château, je me suis perdu.

Cela est bien entendu incompréhensible et les chasseurs parlent entre eux.

- Il a la bouche pleine, je ne comprends rien.
- Mais Gérard, tu vois bien que c'est celui qu’on cherche. frankcdocile, un des chiens de Monsieur le Marquis. On l’a géo-localisé par ici ! Regarde l’écran sur ton portable, il clignote en vert, ça ne peut-être que lui, la géo-localisation ne se trompe pas…

L'air dubitatif, le dénommé Gérard se tourne vers moi :

- C'est bien toi frankcdocile ?

Je hoche la tête positivement. Les chasseurs discutent entre eux à voix basse puis se tapent dans la main en souriant puis Gérard s'adresse à moi.

- Crache ce que tu as en bouche tout de suite sinon je le dis à Monsieur le Marquis… (J'obéis à regret) … C'est bien t'es une bonne petite chienne. Tu as bien sucé et tu voulais ramener le petit sperme au Maître pour lui faire plaisir comme un bon chien qui ramène un nonos. Me dit-il en ma caressant les cheveux comme on caresse un chien.
- T'inquiète pas on va-t'en redonner du sperme dans ta bouche de pute … et plus qu'il n'en faut... A poil et vite, on va bien s'amuser avec ton cul et ta bouche de salope de suceuse, on sait que t'aimes ça et que t'as pas le droit de nous désobéir...

Alors, je me déshabille au plus vite….

(A suivre …)

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