Quelle Journée
Quelle journée !!!!!
Il est 18h 30 je suis seule au bureau et je vous écris pour être sûre de ne rien oublier, mais comment pourrais je oublier ce que je viens de vivre.
Commençons par le début, il est arrivé à 12h 35, je lattendais avec le mot que vous maviez dicté dans mon sac à main.
Il ma emmenée dans un restaurant chinois proche du bureau ; par cette chaleur peu de monde, il a choisi une table un peu en retrait.
Au début tout est banal, on discute boulot, conjoncture, vacances (enfin la platitude habituelle des repas entre relations daffaires).
Puis vers le milieu du repas il attaque, me dit quil me trouve ravissante, quil aimerait me connaître mieux, etc.
.
Moi je suis un peu troublée pas par ce quil me dit mais parce que je connais la suite.
Je lui tends des perches (je suis une femme mariée, sage
).
Et là il me porte lestocade, il me dit que je ne suis pas si sage que ça et devant mon air surpris (je le fais bien quand je veux) il enchaîne me disant quil avait remarqué que parfois je ne portais rien sous ma jupe et que cela lavait intrigué.
Je fais loutragée, je rougis.
Il me dit que ce nest pas grave, que cela restera entre nous et quil trouve ça plutôt charmant.
Là dessus il sexcuse et part aux toilettes.
Moi je ne sais trop quoi faire, dois je continuer ce petit jeu où arrêter là. Mais je ne sais pourquoi je pose le mot sur son assiette. Il revient et à mon tour je vais aux toilettes.
Je peux à peine respirer, je suis folle sil en profitait pour nos relations de business ou sil me prenait pour une folle.
Je passe de leau sur mon visage et courageusement je regagne la table.
Là, surprise, le mot à disparu et lui me parle comme si rien nétait. Dun côté je suis rassurée mais je me demande si le serveur na pas ramassé le mot ou sil a décidé de laisser tomber cette histoire avec une fille comme moi.
Arrive le moment du café et de laddition, on va se quitter et retourner à nos affaires mais jai toujours un doute.
Après avoir payé, il me regarde dun air bizarre mi blagueur mi sérieux, me dit que le petit mot la troublé et quil suppose que je suis disponible cet après midi.
Je bafouille et acquiesces. Il se lève me prend le bras et nous allons à sa voiture.
En chemin il me questionne sur nos relations, sétonnes de nos jeux virtuels, me dit que cest un fantasme quil a mais quil na jamais eu loccasion de le réaliser.
On arrive devant un hôtel en proche banlieue, genre Sofitel.
Il va direct à la réception et prend une chambre. La fille au comptoir me regarde fixement dun air désapprobateur. Moi je baisse les yeux, jai limpression de vivre une sordide histoire dadultère.
Il revient vers moi et toujours en me tenant le bras il me porte vers lascenseur.
Dans celui ci pas un mot, ça semble interminable, jai envie de fuir, jai honte mais il est trop tard il faut que jaille au bout.
Enfin la machine sarrête il passe devant et se dirige dun pas sur, vers une porte.
Jentre derrière lui, la chambre est banale à pleurer, style fonctionnel, un papier peint passé à fleurs, un lit avec un couvre lit orange, un bureau et contre le mur un fauteuil.
Il ferme la porte à clé, ferme les doubles rideaux (oranges aussi, sans doute le décorateur est il nostalgique des années 70).
Se dirige vers la salle de bain et sy enferme.
Je suis là plantée dans cette chambre me demandant si je ne devrais pas fuir tout de suite.
Mais je me rappelle vos ordres alors je me déshabille entièrement, me met à genoux jambes écartées et pose mes mains sur la tête.
Il sort des toilettes, me regarde me dit quil me trouve très belle.
Je ne réponds rien et baisse les yeux.
Il sassoit dans le fauteuil et me fait face, il sort le mot de sa poche et le lit à haute voix.
Les mots, vos mots Maître me fouettent.
Il pose le mot sur le bureau derrière lui et me regarde.
- Ainsi vous êtes soumise et votre maître mautorise à jouer avec vous, à vous traiter en pute, en chienne, ce sont ses propres mots.
- Oui me contentais je de dire dans un murmure.
- Quelle situation !!!! vous que je trouve si désirable mais si agaçante, si hautaine je vais pouvoir vous faire ce dont jai envie.
Je ne réponds pas.
- Commençons alors, lèves toi et met toi face à moi.
Je me relève et me met face à lui les jambes écartées les mains sur la tête en position de soumise comme vous laimez.
- Tu as un corps à faire bander un mort, tourne-toi que je vois ton joli cul.
Jobéis et me tourne.
- Lenvers vaut lendroit, penche-toi en avant et écarte tes fesses avec tes mains.
Ça y est je commence à savourer la situation, jouvre mes fesses au maximum.
- Quelle salope tu fais, tu as un cul fait pour la fessée et pour le reste. Va sur le lit et met toi a quatre pattes.
Une fois sur le lit il savance vers moi me pousse la tête vers le couvre lit me met les mains sur la nuque.
- Ecarte les jambes et cambre toi.
Il caresse mes fesses, mes jambes il joue avec un doigt à effleurer le dos la nuque.
Il fait une chaleur étouffante, des perles de sueur coulent le long de mon dos.
Son doigt se fait plus précis il passe dans la raie des fesses, descend vers mon sexe, joue avec mon clitoris, je laisse échapper un soupir mais il remonte vers mes fesses.
- Tu as lair dapprécier, ton maître a raison tu es vraiment une chienne.
Et sur ce il me donne une claque sur les fesses, je sursaute mais une autre suit puis une autre et encore et encore.
Tout en me fessant il minsulte, me traite de tous les noms, je commence à avoir un peu peur.
Les coups sarrêtent, je reste en position il me caresse maintenant, cette fois son doigt senfonce dans mon sexe il commence à bouger et puis un autre entre dans mon anus et je suis vaincue, je remue vais à la rencontre de cette main qui me fouille.
- Tu mouilles salope, je veux t entendre crier que tu es une pute.
- Oui je suis une PUTE
une CHIENNE !!!!!
Jai presque hurlé, il sarrête, me prend par les cheveux et moblige à descendre du lit il me plaque sur le sol, mon ventre contre la moquette et pose son pied sur mon dos.
Jentend le bruit dune ceinture que lon défait, puis je ressens le premier coup sur mon dos, il frappe encore méthodiquement aucune partie de mon corps nest épargnée.
Je me tords de plaisir de douleur je ne sais plus.
A nouveau il mordonne de me mettre à quatre pattes il passe la ceinture autour de mon cou comme une laisse et il en tient lextrémité.
Il me promène dans la chambre ainsi, et moi comme une chienne obéissante je le suis, les yeux baissés.
Il se dirige vers le fauteuil, sassoit et me tient toujours en laisse.
- Voyons si tu es aussi chienne que ton maître le dit, lèche mes chaussures.
Je me baisse et commence à passer ma langue sur le cuir.
- Dire quhier tu négociais avec moi, sans concession et que là tu lèche mes pompes.
Insensible à cette humiliation verbale je continue mon nettoyage.
- Retire mes chaussures maintenant, après tu tireras mes chaussettes mais avec la bouche et tu lècheras mes pieds.
Sans un mot je commence à retirer les chaussures, pour les chaussettes je suis un peu maladroite et je dois avouer un peu dégoûtée mais en même temps excitée, je le fais pour vous Maître. Je lèche ses orteils un à un passe ma langue entre, les prends dans ma bouche.
- Jadore ça, suce-les comme si tu suçais ma queue.
Je continue ma caresse, mon ventre est en feu mais je nose me caresser.
Il marrête.
- Retire mon pantalon et mon slip et vite.
Jobéis et dévoile un sexe de bonne taille et qui semble prés à laction, je vais pour men saisir, mais là il me prend par les cheveux me tire la tête en arrière.
- Pas encore, tu vas lécher mes jambes, mes couilles et mon anus.
Je me baisse ma langue glisse sur ses pieds remonte jusquà ses genoux.
- Appliques toi chienne, je veux sentir ta salive.
Je mattarde plus sur les jambes, remonte le long des cuisses, ma tête est contre son sexe jai une folle envie de le prendre dans ma bouche, mais il se redresse un peu sur le fauteuil et plaque ma bouche sur son anus.
Je lèche, ma langue sinsinue il commence à gémir.
- Tu me fais bander garce, et il force ma bouche.
Enfin je suce, je lui fais profiter de tout ce que vous mavez appris. La soumise devient pendant ce court instant la maîtresse du jeu.
Il sen rend compte, me tire les cheveux et me gifle.
- Tu veux me faire jouir pour en finir vite.
Il me traîne jusquau lit, métend sur le dos.
Il entrave mes poignets aux montants du lit avec sa cravate et sa ceinture.
Il se place au-dessus de moi, sassoit sur mon ventre et commence à me malaxer les seins, à tirer sur les tétons à les pincer.
Je suis sensible et je me mords les lèvres, des larmes commencent à couler.
- Tu aimes ça, madame la responsable des achats. dit-il en continuant.
- Oui jaime ça, je suis votre chienne
Il se recule écarte mes jambes et me pénètre enfin.
Je tire sur mes liens, il membrasse à pleine bouche, me mord les seins.
Son sexe me semble énorme je bouge le bassin, je veux quil vienne.
Il se retire et me sodomise sans aucune préparation.
Mais son sexe na aucun mal à sintroduire.
Sen est trop ; il est trop excité et joui très vite dans mon anus.
Il passe alors son sexe sur mon visage et je lape comme un petit chat.
Sans un mot il se redresse, va vers la salle de bain.
Je reste là attachée sur le lit, avec le sperme qui coulent sur mes lèvres.
Il revient, se rhabille et me regarde, je nose lui demander de me détacher.
- Chère madame vous avez été au delà de mes espérances., je naurais jamais cru que la mère de famille bcbg et autoritaire était une vraie petite traînée, mais rassurez vous je resterai discret et cela nentamera pas nos relations daffaires.
Puis il se penche vers moi, me détache, membrasse.
Je me relève et me rue dans la salle de bain.
Quand je ressors il a disparu, je me retrouve seule.
Seuls mes vêtements éparpillés sur le sol témoignent de ce fol après midi.
Je redescends les jambes un peu flageolantes et commande un taxi qui me ramène au bureau.
Là un mail mattend cest vous maître vous mordonnez de tout vous dire
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