Accident

Nos rapports étaient plutôt tendus: je roulais en voiture quand surgissant de ma gauche un cabriolet fini sa course contre le flanc de ma voiture. Je fais comme tout conducteur dans son droit: je sors de l'auto, demande poliment malgré ma colère de remplis le constat pour l'assurance. Elle veut le rédiger: elle le rempli avec ses interprétations. D'après elle, sa voiture était déjà engagée. Je lui arrache le constat pour en rédiger un autre rétablissant a vérité. Elle se met à pleurnicher: la voiture n'est pas à elle, mais à son père qui va la gronder. Je me fous totalement de son père, après tout c'est son affaire, qu'elle se débrouille. Voyant que cet excuse ne fonctionne pas, elle emploi la séduction elle ne l'a as fait exprès, tiens donc. Elle me supplie de ne pas trop la charger. Enfin j'arrive à la faire signer: ces le principal. Galant homme je l'invite à pendre un café, là juste à coté, dans ce petit bistrot. Le temps de garer les véhicules, nous sommes assis à la seule table libre, au fond de la salle. Nous bavardons de cet accident: elle aurait pu l'éviter si elle n'avait pas trouvé son permis dans pochette surprise. Elle sourit. Elle est désarmante ainsi. Enfin elle me dit que la voiture était bien à son père qui la lui a donné. La vérité arrive quand en plus elle avoue avoir son permis depuis peu, ce qui explique beaucoup de chose: heureusement que les femmes conduisent mieux qu'elle.
Plus je la regarde, plus je la trouve attirante. Elle doit le savoir, d'où sa comédie de charme. Elle ose me demander ce qui me ferait plaisir pour la pardonner. Je ne vais pas la mettre au piquet !! Je demande simplement un baisser. Je croyais qu'elle allait m'embrasser sur la joue. Surprise: ses lèvres se posent sur ma bouche. Sa langue vient sur la mienne. Nous échangeons un vrai baiser. Un baiser qui dure un bon moment. Il s'arrête simplement pour reprendre notre respiration. Nous nous regardons, revenons encore au baiser sur la bouche.

Assise comme elle est je peux me permettre certaines chose, dont une main sur un sein. Elle pose une de ses mains sur la mienne, reste sur son appât. La position que nous avons dans le café me permet de poser une main sur son genou. Elle se laisse faire: elle m'embrasse encore. J'ai ma main sous sa jupe. Elle ne réagit pas. Alors je monte jusqu'en la où se trouve le paradis. J'écarte un peu son string et trouve sa chatte très humide, en tout cas plus humide que la normale. Je n'ai plus aucun respect pour sa pudeur, si pudeur il y a. Je monte ma main, arrive sur son entrée secrète, la doigte. Elle réagit enfin: elle soupire. Elle murmure surtout que je lui fais du bien. A mon tour de murmurer: allons chez moi.
Nous arrivons et nous nous embrassons à nouveau. Cette fois c'est un baiser qui laisse deviner la suite. Petit à petit nous trouvons positivement nus. Il ne reste sur moi qu'un caleçon et sur elle une paire de bas noirs. Elle passe sa main pour chercher ma bite plus grosse que grosse, excité que je suis. Elle me fait bander depuis un moment, quand je la branlais à fond et elle jouissait. Je laisse tomer mon caleçon. Nus ou pratiquement nus, je l'entraîne dans ma chambre. Encore un de ces baisers comme elle sait faire. Je ne veux pas lui faire de mal: je la mets le corps sur le lit, les jambes pendantes. Elle les écarte sans que je le lui demande: elle devine la suite. Ma langue la lèche depuis les genoux en remontant vers sa féminité. Je fais de fréquents arrêt: je pose ma langue sur son anus. J'y rentre facilement ma langue. Je monte encore j'introduit mon organe dans son con, trouve le point faible. Elle frémit: Je continue à lécher cet endroit quand elle se tend comme un arc en jouissant. J'y reste un petit moment avant de monter encore plus haut: je trouve son clitoris bien dur: je le prend dans ma bouche, ma langue le lèche. Elle se tend encore.
Elle se met normalement sur le lit. Je suis sur le point de lui mettre mon vit dans sa chatte. Elle n'en veux pas encore: elle se met la tête au pied, m'enjambe, pose son con contre ma bouche, prend ma queue, me suce, attend une instant que je la suce. Enfin elle commence une fellation dont je me souviendrais longtemps. Elle a une façon de prendre ma bite, de lécher mon gland en y faisant tourner sa langue, de me manger presque qui faut que je sache que je ne vais pas tenir longtemps à ce régime. Elle arrête souvent pour que je ne jouisse pas encore. C'est elle qui choisit le moment: quand elle jouit elle me fait jouir aussi. C'est une fille précieuse pour une bonne baise. Elle avale mon sperme. Tu as bon goût me dit-elle. Je lui dis que j'aime sa cyprine.
Elle me fait bander en me léchant encore. Mes couilles deviennent des jouets entre ses douces mains. Enfin, satisfaite du résultat elle me demande si j'aime embrasser les anus féminin. Drôle de question. Bien sur que j'aime. Alors elle se met à plat ventre, ouvre ses fesses à deux mains pour que son cul apparaisse. Je suis bien placé pour le voir. Avant de lui mettre la langue je préfère y mettre un, puis deux pur finir à quatre doigts. Je la sodomise à ma façon. Elle jouit encore cette fois en étant bruyante: elle cri qu'elle jouit. Comme si je ne m'en étais pas rendu compte. Maintenant je peux lui lécher le cul sans problème, ma langue peut rentrer à fond dans son postérieur. Je la sens jouir encore autour de ma pauvre langue.
Je bande de plus en plus, si ça continue je vais avoir une bite de cheval. Enfin après mes exercices de la bouche je peux la baiser. Je l'enculerai plus tard. Elle se remet sur le dos, lève bien haut ses jambes. Je me faufile entre elles pour arriver à mon but. Je pose simplement le bout de la pine sur son entrée. Je ne voulais pas y rentrer trop vite et pourtant, malgré sa position bizarre, elle donne un coup de rein. Je suis au plus profond de sa grotte. Quelques vas et vient la font jouir rapidement. A peine cet orgasme terminé, elle me supplie de l'enculer. Après tout que je jouisse dans un con ou un cul, ça m'est égal. Cette fois elle est en levrette. Elle mouille bien son anus: je lui mets vite la pine au cul. J'entame mes vas et vient. Elle les accompagne. Je sens que sa main est sur son bouton. Elle se branle, la coquine. Elle jouit plusieurs fois. Ce n'est plus une femme normale c'est une obsédée de la jouissance.
Nous prenons un instant de repos. Je remarque que son anus est resté ouvert. Il doit se faire mettre dans le cul fréquemment. Elle me le confirme. Elle a même un gode spécial pour qu'elle puisse se faire des doubles pénétrations.
A tout hasard, je demande si elle baise aussi les filles: bien sur c'est presque aussi bon que la bite dans le cul. D'ailleurs cet après midi même elle a un rencard avec une de ses amantes. J'aimerai bien participer à une baise en trio: ma question, elles n'aiment que les baise entre femmes