Ma Femme Dominatrice M'Offre À Ses Copines
Depuis quelques temps les relations sexuelles avec ma femme ont quelque peu évolué.
Nous avons découvert que j'aimais lui être soumis et elle s'en accommode très bien. En fait elle adore jouer la dominatrice.
Nous en avons discuté librement, en toute franchise, et chaque fois que nous en avons envie nous nous amusons au jeu de la dominante et du soumis. Nous appelons ça « jouer ».
Lorsqu'elle me demande « on joue ? », si j'ai envie je réponds « oui, maîtresse ».
C'est alors elle qui mène nos ébats et j'accepte la soumission qu'elle m'impose.
Souvent je me retrouve attaché, elle me fouette avec une cravache, un martinet ou d'autres objets dont elle a fait l'acquisition. Elle adore s'asseoir sur mon visage et je dois lui lécher son sexe et son cul pendant de longues minutes, pendant qu'elle me fouette le sexe et les testicules. Quelquefois aussi elle me ligature les couilles et la verge, puis elle me masturbe ou me pratique une fellation brutale. J'adore et mes orgasmes sont foudroyants.
Dernièrement elle m'a fait vivre une expérience formidable pour moi, mais également je pense pour elle.
Elle me propose un jour de me soumettre, de me donner à d'autres femmes pour qui je serai un esclave sexuel. Ces femmes pourraient s'amuser avec moi pendant qu'elle assisterait à la scène. Cela se passerait dans le même esprit que ce que nous pratiquons d'habitude, mais en beaucoup plus fort. C'est un fantasme qu'elle a depuis longtemps, me dit-elle, et qu'elle aimerait réaliser. Elle a déjà le scénario, les femmes qui pourraient convenir, en tête. Très émoustillé par sa proposition je donne mon accord de principe.
Un soir, alors que je n'y pensais plus trop, elle revient à la charge.
«Alors ma proposition t'intéresse toujours, j'ai déjà discuté avec trois jolies femmes qui sont intéressées et je t'assure que tu y trouveras ton compte, moi aussi d'ailleurs ; ça m'excite follement et tu me ferais très plaisir en acceptant».
Sans trop réfléchir j'accepte.
«OK mon chéri c'est pour demain soir!».
Je suis surpris et un peu désemparé par la vitesse à laquelle les choses senchaînent. Le lendemain je n'arrive à rien faire, mon esprit est trop occupé par mon imagination. Ma femme ne dit rien, de temps en temps j'ai droit à un sourire énigmatique de sa part.
Le soir venu, après le dîner elle m'annonce que les personnes, mes maîtresses de la soirée, sont en route et que je dois me préparer.
« On joue ? Ou tu te décides maintenant, ou je leur téléphone et elles ne viendront pas. J'ai tout mis au clair avec elles, elles savent quel jeu on jouera et je peux te dire qu'elle sont drôlement partantes. »
- oui, maîtresse.
- Va te doucher, fais toi beau mais reste à poil !
Le ton est donné.
Me voilà propre, je sens bon et j'attends tout nu dans la chambre d'amis. On sonne à la porte, j'entends des voix féminines mais sans plus. Mon cur bat fort, mon adrénaline monte.
Ma femme revient :
« Elles sont là, ah oui, encore une chose, ce sont trois femmes que tu connais bien. Toujours d'accord ? si tu refuses elles repartent et tu ne sauras jamais qui c'était. Si tu acceptes, tu acceptes tout, décide toi. ».
ça c'est le coup fourré de dernière minute de la dominante mais je suis trop excité pour refuser.
- Il faut que je te prépare. Viens ici, je vais t'attacher une chaînette à la queue, en bon esclave que tu seras à partir de maintenant !
Je la sens particulièrement excitée.
Elle me fait écarter les jambes et fixe une lanière de cuir qui m'enserre la verge et les testicules, puis elle y clipse une chaînette avec une laisse au bout.
- Voilà, je te tiens en laisse, tu es prêt pour les présentations ; ça va être une chouette surprise pour toi, tu verras. Mets les mains dans le dos, en bon soumis, et suis moi !
Puis elle me tire par la chaînette, nous sortons pour aller vers le salon.
Le choc est terrible.
Les trois fauteuils sont occupés par Béa, Diane, Catherine.
Béa est une femme mariée, rencontrée sur un voyage. C'est une grande fille, élancée sportive, avec des yeux gris bleus magnifiques. Je ne savais pas que ma femme avait gardé des relations avec elle.
Catherine est une collègue de travail de ma femme, mariée elle aussi. C'est une femme plantureuse, blonde, avec beaucoup de charme et de sensualité.
Diane est tout simplement la sur de ma femme, ma belle sur.
Je suis mort de honte et en même temps terriblement excité de me retrouver là.
Instinctivement je mets les mains devant mon sexe bandé, j'ai envie de me cacher n'importe où.
Les femmes m'observent, le sourire au lèvres. L'ambiance est électrique. Ma femme rompt le silence :
« Voilà, je vous amène notre esclave pour la soirée, il est consentant comme vous le savez, nous en avons longtemps discuté. Nous savons tous que c'est un jeu, que s'il est bien joué tout le monde y trouvera son plaisir. Esclave, à genoux ! »
Dans un état second je m'exécute et tombe à genoux devant ces trois jolies femmes assises dans notre salon.
Béa porte une robe à fleurs, très courte évidemment. Catherine a un pantalon clair, moulant, des bottes en cuir et une blouse très ouverte sur une poitrine généreuse. Diane porte aussi des bottes très hautes, une courte jupe en cuir, des bas noirs et un pull rouge, très serré, qui fait bien pointer ses seins. C'est la première fois que je la vois habillée ainsi, mais bon, vu les circonstances...
Je commence à bander dur ce qui n'échappe à personne. Ma femme me passe la chaînette entre les jambes et tire dessus, mon sexe est tiré en arrière.
- Va embrasser les pieds de tes maîtresses, esclave.
A quatre pattes je me dirige vers Béa, lorsque je suis à ses pieds elle me passe les mains dans les cheveux et me tend ses pieds chaussés de mocassins en cuir.
L'ordre tombe de sa bouche :
- vas-y esclave
Je m'avance et je lèche ses pieds et ses jambes, des petits coups donnés sur la chaîne par ma femme mettent mon sexe à l'épreuve.
- va dire bonjour à maîtresse Diane !
Je lèche et j'embrasse les bottes de ma belle sur ; ma femme lui tend la chaînette. Diane me prend par les cheveux, écarte ses jambes et me met la tête entre ses cuisses. Elle m'ordonne de lui lécher l'intérieur des cuisses, gainées de ses bas noirs. Elle sent bon, elle porte un petit slip blanc.
- Il est à vous, moi je vais mater le spectacle depuis le canapé.
Diane s'amuse tout de suite à me r la queue et les couilles en donnant de sacrés coups sur la chaînettes. Les deux autres femmes rigolent.
Diane :
- Lèche les bottes de Catherine maintenant.
Je m'exécute, Catherine aussi ouvre ses jambes et dirige ma tête sur son sexe. Mon visage est collé à son entrejambe et elle me donne des coups de son bassin.
- tu aimerais avoir ta bouche sur ma chatte ?
- Allons réponds esclave (ma femme)
- oui
- oui qui (Diane, un gros coup sur la chaînette)
- oui maîtresse Catherine (j'ai compris la leçon)
- tu attendras encore un peu, tu y auras droit un peu plus tard
- j'aimerais voir comment il se masturbe (Béa)
Diane rend la chaînette à sa sur et va s'installer dans son fauteuil, à côté des deux autres.
- Tu as entendu ! allez, vas y lève toi et branle toi devant elles, dit ma femme
- tu commences doucement, (Béa)
Je me relève, je suis à un mètre de trois femmes qui me regardent droit dans les yeux puis elles baissent le regard vers ma queue, bandée à mort.
Et puis je me lâche, c'est bon d'être là, c'est un de mes plus gros fantasmes que ma femme, ces femmes sont en train de m'offrir. J'empoigne ma verge et je me branle doucement en fermant les yeux.
- Tu es obligé de nous regarder (Béa, c'est elle qui mène ce jeu là)
Ma femme tire sur mon sexe, j'ouvre les yeux et je me masturbe.
Voyant cela Diane l'imite et m'offre une vue splendide sur son entrejambe. Pour ne pas être en reste Catherine déboutonne sa blouse et me montre la naissance de ses tétons.
- Accélère, m'ordonne Béa.
Je m'exécute, mes couilles battent contre mes jambes, mon sexe devient humide et émet un petit bruit en cadence avec mes mouvements de poignet. Je ne tiendrai plus très longtemps et je le signale. Catherine me dit d'arrêter et de venir devant elle. Elle m'agrippe les testicules, les tire vers le bas et me donne des grandes gifles sur ma verge, de droite à gauche.
- voilà qui va te calmer, recommence doucement, on veut profiter du spectacle.
Je me remets en position et je fais ce qu'on m'a dit. Diane ouvre ses jambes au maximum, elle me fixe et mime le geste d'un mec qui se branle (moi). Elle me sourit.
- plus vite, ordonne-t-elle, surtout ne jouis pas, viens devant moi dès que tu es au bord.
Je m'exécute, au bord de l'orgasme je m'arrête et me présente chez maîtresse Diane. Elle me gifle le gland à toute volée, main droite, main gauche, ma femme tire violemment sur la chaînette.
Puis je dois continuer.
Les femmes font des commentaires, me donnent des consignes.
Je dois marcher autour de la pièce, en me masturbant. Plus vite, doucement, arrête, recommence.
Un moment je dois mettre les mains sur la tête et donner de violents coups de bassin pour agiter ma queue.
Ma femme s'amuse avec la chaînette en continu.
La consigne est donnée, je dois me masturber jusquau bord de lorgasme et me présenter à une des trois maîtresses. Chacune me calme à sa façon, des gifles sur la verge, des testicules tirées, pressées.
Béa m'interpelle, sa robe est remontée complètement, elle a une main dans sa culotte.
- Maintenant tu te finis, tu nous dis quand tu viens.
Je me remets à la besogne, ma femme se rapproche et se met à côté de moi.
Ça ne dure pas longtemps, je préviens mes maîtresses ; un long jet de sperme part sur le sol, suivi d'un autre.
- Tenez le bien!ordonne ma femme.
Comme des furies les trois se lèvent, Diane et Béa m'enserrent les bras, Catherine me saisit aux jambes, comme pour un placage ; elles m'entraînent au sol. Dans le même temps ma femme se saisit de ma verge encore dure et la serre très fort ; Diane se couche sur moi, sa poitrine est sur mon visage, je sens ses seins à travers le pull et le soutien gorge, ses cuisses maintiennent mon bras.
Catherine s'agenouille sur mes cuisses et me maintient au sol, Béa immobilise mon autre bras. Et le doux supplice commence ;
Ma femme me serre la verge très fort à la base, d'une main, en me décalottant douloureusement ; de l'autre elle me masse le gland avec sa paume. Du sperme continue de couler mais je ne débande pas, le traitement est efficace et dure de longues minutes pendant lesquelles je me débats tant bien que mal, c'est de plus en plus douloureux, mais en même temps excitant. Je sens les corps de ces femmes sur moi, surtout la poitrine de ma belle sur sur mon visage. De temps en temps la main qui me masse le gland m'administre une masturbation vigoureuse, puis le massage reprend de plus belle. Les testicules me font mal, mon bas ventre irradie, ça me remonte dans tout le corps. Bientôt, à bout de forces je m'abandonne complètement, incapable de bouger, complètement vidé (dans tous les sens du terme).
Alors mes maîtresses me lâchent et se relèvent, elles sont debout autour de moi et se congratulent en rigolant.
- alors ça t'a plu, cette masturbation post orgasmique ? me demande Catherine.
- réponds à ta maîtresse, ordonne ma femme
- oui maîtresse Catherine, c'était très fort mais très bon.
- Tant mieux, me fait ma femme, ce n'était que le début. Tu nettoies tout, tu te douches et tu nous attends ici, à genoux. Tu seras puni pour t'être branlé comme un con devant mes copines.
Et elles sortent de la pièce en papotant.
Je fais ce qu'on m'a ordonné et j'attends sagement au milieu du salon, à genoux, épuisé, tremblant mais comblé.
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