Dans Le Train
Dans le train :
Un récent voyage dans un train de banlieue, archi complet, où je me suis fait copieusement ploter par deux voyageurs, qui nont pas hésité à passer leurs main sous ma jupe, pour matteindre la moule (javais beaucoup de mal à ne pas extérioriser ma jouissance),puis à mentrainer dans un hôtel pour me baiser, ma fait souvenir dun voyage, il y a maintenant 20 ans ; nous étions montés jusquau triangle dor et le retour vers Bangkok devait se faire en train couchette, à savoir 12 h de voyage. Il faut dire que le wagon couchette nétait pas du niveau français ; à savoir, pas de compartiment, mais un simple couloir avec de chaque côté, une rangée de couchettes superposée, simplement fermées par un rideau, soit huit personnes. Etant arrivés de bonne heure, nous prenons deux couchettes du bas, séparées par le couloir, le reste du wagon est complété par un groupe de jeunes hollandais, tous plus blonds les uns que les autres et parmi eux deux filles ; lambiance est très sympa ; et ils proposent même des bières pour faire passer nos repas (il ny a pas de restauration prévue) ;
Arrive alors le temps dutiliser nos couchettes et sans se gêner, nos jeunes se mettent à laise, quittant une partie de leurs vêtements directement dans le couloir ; je dois dire que tous ces mecs en slips pour certains, commencent à me réveiller la chatte ; je constate que Jean ne quitte pas des yeux les deux minettes ; le tableau est charmant ; un peu par provocation (jai 30 ans de plus , mais mon corps na pas souffert de mes maternités et mes seins sont toujours aussi fiers et ma silhouette est attirante), je quitte mon tee-shirt et mon pantalon ; jai simplement oublié que je porte un string et que mon soutien-gorge balconnet ne cache pas grand-chose de mes seins, les mamelons étant au ras de la dentelle ; du coup, les regards sont sur moi et ma tension monte ; le regard de jean me rappelle à lordre et je rentre dans ma tanière, frustrée ; les lumières sont éteintes, seule une veilleuse à chaque bout éclaire le wagon ; très rapidement, je perçois des chuchotements et des mouvements dans une des couchettes ; manifestement un couple y fait lamour ; ma main se porte sur mon pubis, et mes doigts se glissent entre mes lèvres gonflées de désir ; je me triture le clito et mon envie dune queue devient prioritaire ; je me glisse hors de ma couchette et je rejoins celle de jean ; le salaud bande, comme moi il a entendu et sa queue est raide, le bout décalotté ; nous navons pas besoin de préparatif et mallongeant sur lui, je me plante sur son sexe ; cest plus quil nen fallait et ma jouissance déferle ; je me mords les lèvres mais je ne peux mempêcher de gémir et quand jean se libère dans mes entrailles, je ne peux retenir un petit cri ; nous ne bougeons plus ; autour le silence est revenu et le plus discrètement possible, je rejoins ma couchette ; je maperçois alors quun des rideaux est entrouvert et le jeune me regarde.
Jai du mal à dormir ; le sperme coule sur mes cuisses et jai le ventre en feu, autour cest le silence ; parfois un déplacement dans le wagon me surprend ; en fin le sommeil ma pris ; soudain une main sur le sexe me réveille ; ma chatte est fouillée par une main experte et très vite jai plusieurs doigts entre les lèvres ; jécarte les cuisses et la pénétration se fait plus profonde ; il me branle lintérieur de ma vulve et je sens à nouveau monter la chaleur dans le corps ; un corps pénètre sous le rideau et une queue de belle facture se présente à lentrée de ma grotte ; il me met un doigt sur la bouche pour me faire taire ; « je tai entendu avec mon copain et ma copine dort ; je vais te baiser « et dun seul coup de rein il senfonce au plus profond ; il est plus gros que son copain et je ne peux réprimer un petit cri ; il me pistonne avec force et ressortant, il me retourne, mécarte les fesses et son doigt vient à lentrée de mon cul ; il prend de ma jute et dilate lanneau ; jessaie de me défiler , mais sans conviction ; brutalement jai envie quil mencule et prenant mes deux globes, jécarte mes fesses au max ; son gland se présente et il pousse doucement mais fermement ; quand il est au fond, il sarrête pour me laisser récupérer, puis il reprend ses mouvements et enfin sa queue me laboure le cul ; jaime cela et dans ce contexte, je prends un plaisir immense ; mon cul est en feu et je sens ma chatte couler ; passant une main sous mon ventre je me caresse le bouton ; mon plaisir monte , la vague déferle et quand je sens sa jute frapper mes parois, je rugis mordant la couverture ; il ne tarde pas et jai peur que le bruit nai réveillé lentourage ; je prends mes affaires et je vais aux toilettes ; je coule de partout et jai les cuisses souillées ; une toilette rapide me permet de revenir en état et cest alors que jean sort la tête de son rideau
« Déjà habillée, dommage je taurais bien rejoint »
« Trop tard ! Ma nuit a été très bonne et toi ? « Jai dormi comme un loir ! »
« Dommage tu as manqué beaucoup de chose ! »
Il ne comprend pas sur le moment, mais quand nous arrivons à Bangkok, je quitte mes partenaires en leur donnant un petit baiser ; jean me regarde et soudain son visage séclaire
« Je pense que tu as plein de chose à me raconter ! » Un vrai baiser lui clos les lèvres !
« Tu navais quà pas dormir, heureusement il y a des jeunes qui tiennent le coup ! »
Il a compris mon plaisir ; « tes une vrai cochonne, mais je taime »
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