Tranche De Vie Dans La Soumission - 1

Voici quelques moments vécus il y a quelques temps et que je souhaite partager avec vous.

Je vous ai déjà parlé d'Alain, cet homme d'âge mûr, rencontré chez des amis communs. Piégé dans un mariage sans amour, il avait trouvé en moi le réceptacle de sa frustration sexuelle et de ses passions.

Un jour, il m'a appelé, extatique, pour m'annoncer que le divorce avait finalement été prononcé, aux torts de son ex ; il gardait la maison. Il m'a demandé de venir le rejoindre et on a baisé tout le weekend non stop. Je n'en pouvais plus mais lui était insatiable.

Au fil des semaines, il m'invitait souvent pour coucher mais se trouvait déçu quand venait le moment pour moi de rentrer à la maison.

Finalement, il m'a demandé de m'installer chez lui, pour quelques temps. J'étais surpris, puis réticent puis j'ai finalement accepté. Pourquoi? Parce qu'il m'a reparlé de la fois où il m'avait mis une cage de chasteté au pénis durant plusieurs jours et des plaisirs éprouvés. Il m'a confié qu'il voulait recommencer mais sur une période plus longue. A posteriori, j'ai éprouvé beaucoup de plaisirs a être encagé et l'idée d'aller plus loin m'a séduit.

Je suis donc venu m'installer chez lui et il m'a remis la cage de chasteté au pénis. En aucune façon la cage ou mon encagement n'a affecté ma vie académique ou personnelle en dehors de la maison. Mais au niveau sexuel, le changement fut radical. Une fois l'étape du port de longue durée atteinte, la cage ne me quittait que quelques jours par trimestre.

Et quand il voulait du sexe, je devais me soumettre à ses désirs : passer sous la table du petit-déjeuner pour la pipe matinale, ou dessus pour qu'il m'encule et se soulage en moi, pendant les pubs à la télé, et bien sûr le soir au lit ; il aimait me prendre en levrette dans le lit conjugal, me fesser et m'insulter en m'appelant par le nom de son ex femme.

Parfois, j'initiais moi-même le rapport en m'agenouillant à 4 pattes devant lui, cambrant le dos pour faire ressortir mes fesses – je ne me laissais pas de son énergie sexuelle.

Au contraire, cela renforçait ma libido, déjà bien exacerbée par la cage. Il m'arrivait même de fricoter avec d'autres hommes et de leur dire que la cage était le signe de mon appartenance à mon maître. Ce n'était pas vrai mais l'idée, pour eux, de baiser un soumis, et pour moi de prétendre en être un, décuplait notre plaisir.

Je n'étais pas le seul à aller voir ailleurs. Il lui arrivait d'inviter des prostituées – souvent très jeunes (à peine 18 ans, il me semble). Et je devais assister à leur séance. Il les aime très salopes, pas farouches. Je les voyais se dévêtir, glousser et venir s'agenouiller pour le sucer puis s’asseoir sur lui et faire glisser son pénis en elles. Elles se déhanchaient avec ferveur et passion tout en hurlant de plaisir. Il les insultait, les giflait, les fessait et elles en redemandaient.

Il me regardait alors et je comprenais qu'il me faisait passer un message : il me punissait car il voulait que je sois aussi salope qu'elles, que son pénis et son plaisir soient au centre de l'attention. J'assistais alors à la leçon, excité par ce que je voyais et frustré par la contrainte de la cage. Je me rongeais le frein et ils le voyaient bien. Cela amusait généralement la fille régulière qui connaît bien la situation. D'ailleurs, elle n'hésitait plus, une fois qu'il avait joui en elle, à me faire allonger et à frotter sa vulve ou son anus sur mon visage pour me faire les nettoyer du sperme.

C'est elle qui a montré au vieux comment me traire, c'est à dire me faire éjaculer sans érection et sans orgasme malgré la cage. Cela est rendu nécessaire à cause de la cage qui m’empêche de bander et d'éjaculer. Dès lors, quand il y a un trop plein, un filet de liquide séminal coule de mon sexe et indique qu'il est temps de ma traire : il me fait mettre à 4 pattes sur la table basse avec un bâillon dans la bouche. Il insèrent ensuite une sorte de crochet dans mon anus qui vient masser ma prostate. Au bout de 10-20 minutes, ma respiration s'accélère car je ressens une sensation très similaire à une envie d'uriner mais c'est du sperme qui s'écoule, sans orgasme, ni érection ; le sperme coule comme d'un robinet dans une coupelle placé en dessous de moi et que je dois lécher.


Il n'y a aucun plaisir physique à ressentir lors d'une traite, mais un fort plaisir mental de soumission
quand on se sent traité comme un animal que l'on doit traire.

Il a commencé à souhaiter que notre relation évolue vers une soumission totale de ma part et à tout instant – que je devienne sa chose. J'aurais certainement dû y mettre un terme avant de perdre le contrôle, mais j’aime cette frustration au niveau du pénis qui décuple le plaisir anal quand son sexe me pénètre alors que mon pénis est lui emprisonné dans une cage et ne peut bander. J’aime être la source et le réceptacle de son désir sexuel inextinguible, et j’aime me sentir à sa disposition pour le faire jouir.
J’aime aussi que, couchant avec d’autres hommes, la vue de la cage accentue leurs ardeurs, tandis que je leur dis appartenir à mon maître. Peut-être me possède-t’il déjà. Après tout, à chaque pénétration de son pénis, je ressens un plaisir physique mais aussi mental à l’idée que sa queue est à sa place, en moi. Je ressens de la gratitude quand il me traite et vide mes bourses. D’ailleurs, à chaque traite, il exige que j’accompagne chaque pénétration par un « merci ». Au fil des semaines, ces « mercis » sont devenus sincères tant j’appréciais qu’il prenne soin de moi en me vidant les testicules. C’est alors avec passion et gratitude non feinte que je le remerciais de cette attention.
Au final, je ressens un plaisir différent quand il jouit en moi ou sur mon visage parce que je me sens marqué par cet homme dont la semence me pénètre.
Pourrais-je pousser le plaisir à son paroxysme et le laisser me dominer totalement ? Il contrôle déjà mon pénis dans sa cage. Abandonner ce qui reste semble dérisoire à coté du plaisir qui m’attendrait si je le laissais faire…

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