Rencontre Sur La Plage.
Au cours de la seconde quinzaine du mois de juin de lannée de mon voyage à la Réunion, jétais en vacances à Saint Raphaël sur la côte varoise. Ce séjour était en partie prévu pour passer des examens de plongée avec les membres du club auquel jappartenais en région parisienne afin de pouvoir plonger des les eaux tropicales..
Les épreuves se sont déroulées au cours de la première semaine, jétais seul et autonome pour terminer le séjour. Au cours des trajets en bateau pour rejoindre les zones de plongée, javais repéré une petite plage isolée sous la route de la corniche de lEstérel.
Jy serais tranquille pour me reposer sans être dérangé par la foule des grandes plages et aussi bronzer nu dans un coin discret. Elles commençaient à sérieusement se remplir en début de mois de juin. Les premiers estivants avaient déjà pris leurs quartiers dans les campings et autres séjours saisonniers.
Le lundi matin alors que le soleil était déjà haut, jai pris la route de la corniche en direction de Cannes. Grâce aux repères pris depuis la mer, lorsque jai estimé que je devais être au bon endroit pour descendre vers la plage, jai garé ma voiture du mieux que jai pu faute daménagement. Une natte de plage pour mallonger sur le sable, une grande serviette de bain, un bon bouquin, quelques fruits et de la boisson, cest presque tout ce que javais dans mon sac de randonnée. A cet endroit, la route surplombe la mer dune dizaine de mètres et cest avec passablement de difficultés que je suis arrivé sur la plage, en fait une simple bande de sable au fond dune sorte de calanque étroite.
Il y a avait déjà un couple qui bronzait entièrement nu entre deux rochers. Ils me firent un signe amical pendant que je minstallais quelques pas plus loin. Je nétais quà moitié surpris de les trouver là car il y avait une voiture garée sur le bas côté de la route à une centaine de mètres. Adepte moi aussi du nudisme, jai également ôté mon slip de bain.
La journée sest déroulée entre des plongeons dans leau limpide, des séances de bronzage et bavardages divers. Cétait un couple de la région qui depuis longtemps avait ses habitudes sur cette plage. Francis était commerçant à Fréjus. Agé de 45 ans, cétait un bel homme à la peau mate et aux cheveux ondulés mi longs. Carole était professeur de sports dans un lycée de Fréjus et en raison des épreuves du bac, elle était libre de son temps. A 37 ans, cétait une très belle femme. Grande fille aux cheveux blonds, avec une paire de seins magnifiques, ronds et fermes, une taille mince sévasant sur des hanches généreuses. De longues jambes fuselées et légèrement musclées complétaient cette magnifique silhouette. Nous nous sommes séparés en fin de journée.
Le lendemain, je suis retourné sur cette plage et là, surprise, Carole était seule. Son compagnon me dit-elle était à sa boutique. Nus tous les deux, nous avons passé la journée comme la veille, alternant les passages dans leau et le farniente sur le sable à bavarder. La dernière fois où nous sommes allés dans leau, nous avons joué ensemble une sorte de danse de séduction faite de mouvements enveloppants, de frôlements sous leau, de projections déclaboussures. Cétait très érotique. Lorsque nous sommes sortis de leau, javais bien du mal à dissimuler une belle érection, signe de mon désir pour Carole qui, voyant mon état me dit en éclatant de rire :
Alors coquin, on a envie de me baiser ?
Pourquoi dire NON puisque cest vrai
Dès que je tai vue, jai eu envie de toi !
Se collant contre mon corps, nos lèvres se sont unies dans une série de baisers fougueux et nous nous sommes écroulés enlacés, à moitié dans leau. Carole a écarté ses jambes et dune seule poussée jai introduit ma queue dans sa chatte brûlante et humide de désir. Je voulais profiter au maximum de cette étreinte et cest sans nous précipiter que nous avons accordé nos mouvements. Des vaguelettes venaient nous lécher les jambes jusquau bassin.
Le sel de la mer donnait encore plus de saveur à nos baisers. Jétais en elle depuis de longues minutes sans débander tellement sa gaine intime était chaude. Elle ondulait du bassin, elle avait envie de jouir. Jai repris mes mouvements de va-et-vient et notre jouissance arriva bientôt, violente et dévastatrice. Je me suis écroulé sur Carole qui était tout aussi essoufflée que moi. Notre étreinte avait été tellement spontanée que nous navions pas pris le temps de nous protéger
Au bout de quelques minutes, nous sommes retournés dans leau où nous avons continué de nous enlacer et déchanger des baisers fous. De retour à nos nattes respectives, nous les avons rapprochées. Nous nous sommes allongés, enlacés à nouveau. La torpeur de la journée au soleil et de cette baise humide nous a conduits à une brève sieste (ce nétait plus lheure).
Vers 19 heures Carole me dit :
Je dois te quitter mais je reviens demain.
Jusquau vendredi nous avons fait lamour tous les jours plusieurs fois et cette semaine qui devait être du repos, ne la guère été. Mais je ne men plains pas, alors que je nenvisageais même pas de me livrer au naturisme, jai passé cette semaine dans la nudité intégrale
sans être dérangé par qui que ce soit !
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