Plaisir Intense

Je rentre à l’appartement, fatiguée après une longue journée de travail. Il fait nuit, l’air est froid et sec, je marche aussi vite que mes escarpins me le permettent, j’ai toujours peur que des hommes louches m’abordent simplement parce que je porte une jupe et des talons. J’arrive devant mon immeuble, rentre et prend l’ascenseur. Quand j’ouvre la porte de l’appartement, il est là, face à moi sur le canapé, il m’attend. En me voyant, son regard change. Il est sombre, enflammé. Immédiatement mon corps répond, la chaleur s’y répand, surtout là, en bas.
J’essaie de reprendre le contrôle sur mes pulsions. Je quitte mon manteau dans un mouvement beaucoup plus sexy que voulu.
« Garde les, m’intime-t-il lorsque je m’apprête à retirer mes chaussures, tu es si sublime comme ça… »
Il se lève et s’approche de moi, nos yeux se croisent, la chaleur dans la pièce monte encore d’un cran. « Je t’ai attendue longtemps, j’ai eu le temps de penser à beaucoup de choses que je pourrai te faire, dit-il en m’enlaçant.
J’avais beaucoup de travail, mais maintenant je suis toute à toi. », je réponds, espiègle.
J’ai très envie de lui, une tension sexuelle règne dans la pièce et je suis déjà trempée. Moi aussi j’ai pensé à lui toute la journée, ses caresses, ses doigts sur ma peau frémissante, son membre dur en moi, nos mouvements désordonnés, nos soupirs, nos cris de jouissance intense…
Alors que je me perds dans mes pensées lubriques je me sens voler puis mes jambes heurtent la table sur laquelle il m’allonge avec douceur et fermeté à la fois. Empressé, il remonte ma jupe jusqu’à ma taille et je vois s’afficher un sourire espiègle sur son visage quand il s’aperçoit que je ne portais rien en dessous.
« Petite cochonne, dit-il en approchant son visage pour m’embrasser, doucement, il pause simplement ses lèvres sur les miennes. Sa langue vient lécher ma bouche mais j’en veux plus. Je l’embrasse fougueusement en passant mes mais dans ses cheveux et en enserrant mes jambe autour de sa taille je me presse contre lui.

Il att mes mais et les plaque au-dessus de ma tête, murmure à mon oreille : « Je vais te baiser toute la nuit ! »
Un soupir s’échappe de ma bouche, le désir est à son comble, j’ai envie de lui, maintenant ! De sa main il sort un de mes seins de son écrin et commence à le caresser, il pince le téton, tire légèrement dessus, c’est trop, je me cambre et plaque ma chatte trempée contre son bas ventre avec un gémissement. Alors il se dégage et lentement, beaucoup trop lentement il détache sa chemise puis retire son pantalon et son boxer. Sa bite est fièrement érigée, prête à me pénétrer comme j’en ai tant envie. Mais il en a décidé autrement, il frotte son membre contre ma fente et vient titiller mon clitoris bien gonflé. C’est bon, très bon mais j’ai besoin de plus, je le veux en moi. Il rentre enfin deux doigts dans ma chatte brulante. Je fais des vas et viens avec mon bassin « Oh s’il te plaît viens… » Je gémis. Il me doigte profondément et rapidement mais je veux son sexe épais et long, si bandé.
Il retire ses doigts et les suce, je gémis de frustration mais ce geste est tellement érotique ! « Tu es si bonne… » Il lèche ses doigtes et vient sucer mes seins, lécher mes tétons, les mordiller, un petit cri m’échappe. Son manche est toujours posé contre mon bourgeon et fait de lents vas et viens. Le plaisir est tellement intense que je pourrai avoir un orgasme avant qu’il me pénètre. Sa bouche descend sur mon ventre, vient embrasser l’intérieur de ma cuisse. Je relève le bassin pour presser ma chatte dégoulinante contre sa bouche. Il passe sa langue contre mon clitoris puis l’aspire, le suce. Il suce plus fort et plus violemment encore, je tire ses cheveux pour qu’il continue, la sensation est tellement intense que j’ai un orgasme foudroyant. Alors que je crie de plaisir il entre sa langue dans mon trou béant, profondément et lèche mon plaisir avidement.
Malgré mon premier orgasme j’ai toujours ce besoin de le sentir en moi. Il se redresse et passe la langue sur ses lèvres en me regardant : « Bon, je pense que tu as assez attendu, et moi aussi. »
Il place ses mains sur mes hanches et je sens son sexe plus bandé que jamais placé à l’entrée de ma chatte. A ce simple contact je gémis déjà. Alors, il pousse d’un coup tout son membre en moi, brusquement, ses couilles claquent contre mon cul, Il me pénètre violemment et je cris de plaisir. Il se retire tout aussi rapidement, replace son sexe à l’entrée de mon vagin et m’empale à nouveau dessus, en s’enfonçant en moi brutalement. Chaque fois qu’il se retire c’est un déchirement mais la brutalité de ses pénétrations est jouissive. Il recommence deux ou trois fois puis accélère le rythme avec toujours la même puissance, nos corps se percutent, il me retient par les hanches pour que je ne glisse pas à l’autre bout de la table à chaque assaut. On ressemble à des bêtes sauvages, enivrées de plaisir, dans cette baise enfiévrée. Il me martèle encore quelques coups et je jouis, fort, emportée par un orgasme long et intense. A ce moment il se repend en moi, poussant un long râle bestial. Après un ou deux vas et viens de plus, il s’étend sur moi, et, nos corps haletants, il me dit : « Ce n’était qu’un début… »