La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 616)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°615) - LEmir Abdallah et les Princes Arabes -
Le lendemain, juste avant de sinstaller au volant de cette superbe limousine noire, Maître CharlEd avait menotté soumis Endymion MDE, mains dans le dos et lavait fait asseoir, cuisses ouvertes, au centre de la banquette arrière, afin quil puisse avoir toujours un il sur lui, via le rétroviseur intérieur du véhicule. La voiture venait tout juste de sortir du garage que déjà, lesclave MDE commençait à ressentir les premiers effets de cette crème aphrodisiaque. En lui, une irrépressible chaleur commençait à lenvahir, ses sphincters se contractaient et se relâchaient comme une mécanique finement réglée. Il se mordit les lèvres et serra les dents pour ne pas gémir et essaya de se changer les idées en regardant défiler ces gratte-ciel démesurés. La circulation était dense, bruyante sinon effrayante en plein cur de New-York. Que ces Terres Beaujolaises, calmes, vallonnées et verdoyantes étaient loin, et ce Noble et magnifique Château, et le Maître, Monsieur le Marquis dEvans, comme tout ça lui manquait... Comment ces Américains pouvaient-ils vivre ainsi ? Lesprit de soumis Endymion MDE tentait de sévader, malgré ces lancinants soubresauts ressentis, il avait maintenant vraiment limpression dêtre enculé, mais sans quaucune queue ou quaucun gode ne force ses chairs intimes, lui provoquant ainsi un manque très frustrant. Sa queue cherchait à sépanouir, en vain évidemment, son gland sécrasait contre les parois de cette cage devenue subitement beaucoup trop étroite.
La voiture bifurqua brusquement sur la droite, et au détour de ce virage dans un grand carrefour New-Yorkais, pris rapidement, le chien soumis MDE laissa échapper un râle jouissif incontrôlable. Maître CharlEd, par le rétroviseur, dévisagea sévèrement, Son chien soumis. Puis lorsque la voiture simmobilisa aux feux tricolores, Monsieur le Vicomte se retourna et donna deux magistrales gifles à Son chien soumis.
- Je tai exigé de te tenir salope !
Certains passants avaient vus la scène, lun dentre eux, un grand et mince black élancé, dailleurs frappa furtivement à la glace de la portière avant droite et leva un pouce en direction de Monsieur le Vicomte en signe dapprobation, puis il partit rapidement en souriant. Lesclave MDE, honteux et humilié, baissa la tête servilement. La voiture reprit sa route et atteignit peu après le cur de Midtown et remontait Madison Avenue. Elle sarrêta au numéro 455, juste devant le Lotte New York Palace. Un voiturier habillé impeccablement se précipita et ouvrit la portière du conducteur, tout en ôtant sa casquette avec respect :
- Bonjour Monsieur le Vicomte dEvans, heureux de vous revoir parmi nous.
Maître CharlEd saluait courtoisement lemployé dhôtel, et lui demandait de lui accorder quelques minutes. Le voiturier fit quelques pas en arrière pour séloigner discrètement du véhicule et de ses passagers afin de ne pas entendre.
- Tu descends chienne ! ordonna le Maître.
soumis Endymion MDE, tant bien que mal sextirpa du véhicule et sitôt sorti, Monsieur le Vicomte, lui ôta les menottes.
- Tu me suis, un pas derrière moi, et attention à ta conduite !
Le luxueux hôtel était simplement magnifique et somptueux, du marbre de partout, des tentures extraordinaires, des boiseries finement ciselés, des immenses verrières éclairant un hall gigantesque. Un hôtel réservé aux gens très fortunés, à lévidence lequel Hôtel Monsieur le Vicomte fréquentait régulièrement. Maître CharlEd avança vers le vaste comptoir derrière lequel se trouvait un concierge gracieux, courtois, polis et respectueux.
- Bonjour Monsieur le Vicomte dEvans, bienvenue au Lotte New York Palace, vous êtes attendu. LEmir Abdallah a pris la Suite Princière et habituelle au dernier étage, porte 250, il vous attend, nous allons vous accompagner.
Un liftier se tenait à disposition :
- Si Monsieur le Vicomte veut bien se donner la peine de me suivre !
soumis Endymion MDE concentré sur ses pulsions et besoins sexuels nen menait pas large, il tentait tant bien que mal à les contenir, même si parfois son corps le trahissait.
- Quattends tu, chien pour te prosterner aux Nobles Pieds de son Excellence lEmir Abdallah ! ordonna Maître Charled.
soumis Endymion MDE plongea immédiatement au sol et se positionna tel quon lui avait appris, les épaules au sol, tête plaquée, les reins cambrés et le cul relevé. Son cur battait, il avait du mal à respirer, il était terriblement angoissé
- Ecoute-moi bien chiennasse !
Langoisse le reprit de plus bel, en une fraction de seconde son cerveau se mit en ébullition, il craignait quon lui fasse une annonce terrible, sa cession auprès de cet Emir
fini les cachots du Château de Monsieur le Marquis dEvans, fini cette vie servile auprès de Monsieur le Marquis dEvans
.
- Ecoute-moi chiennasse, répétait Maître CharlEd.
Cette voix résonnait dans sa tête, serait-ce la dernière fois quil lentendrait ?
- Ecoute-moi chiennasse te dis-je, au lieu de chialer comme tu le fais, tu ferais mieux de te concentrer sur ce que jai à te dire. Son Excellence, Monsieur lEmir Abdallah, grand ami en personne de Monsieur le Marquis dEvans, a besoin de tes services jusquà demain matin. Tu vas lui obéir et le satisfaire en tout point, quoi quil te demande de faire, tu feras, quoi quil tordonne, tu obéiras. Je le veux, Monsieur le Marquis dEvans le Veut et il compte sur ton asservissement et ta totale docilité, pour satisfaire en tout point Son Excellence. Le Maître te fait entièrement confiance, Il sait que tu es une bonne chienne et quil peut compter sur toi. Relève-toi maintenant !
Lesclave MDE se redressait et respirait un grand coup, il se sentait soulager, lépreuve auprès de cet Emir ne durerait pas trop longtemps
. Maître CharlEd lui passa une main sur son visage pour essuyer ses larmes et lui posa un baiser sur le front, puis il quitta la pièce en compagnie de lEmir. Son Excellence revint au bout de quelques minutes seulement, accompagné dun jeune homme en djellaba. LEmir en langue arabe sadressa à celui qui devait être un servant. Le jeune homme recula de quelques pas et se tint immobile, le regard bas, juste derrière un prestigieux piano à queue de marque Steinway & Sons. LEmir, dun regard sévère sadressa encore à lui, le jeune arabe inclina un peu plus encore la tête, il posa ses yeux sur la pointe de ses pieds nus dépassant de sa djellaba
Son Excellence sintéressait désormais à soumis Endymion MDE, il le toisait de la tête aux pieds dun air hautain et dominant puis dun pas lent et mesuré, à plusieurs reprises, fit le tour de lesclave MDE. Lui ne bougeait pas, il gardait les mâchoires serrées, le regard bas, il ne bougea pas non plus dun iota, lorsquil sentit la main vicieuse de lEmir passer sur son pantalon et lui caresser les fesses.
- Bienvenue à toi mon garçon et à ces jolies petites couilles !
LEmir sexprimait en Français parfaitement, juste une petite pointe daccès avec des R roulés. Lesclave MDE inclina la tête un peu plus en guise de respect et de marque de déférence. Il se laissait palper les burnes sans broncher. Son Excellence héla son servant en lui donnant un ordre en arabe. Il savança rapidement et ôta la veste de costume de soumis Endymion MDE quil posa au dossier dune chaise, puis reprit place instantanément, exactement au même endroit et dans la même position.
- Chez moi, à cette heure, nous buvons le thé. Tu vas nous le servir ! Mourad, mon sbire ici présent va te montrer comment tu dois faire. Suis-le !
LEmir relâcha le service trois pièces de soumis Endymion MDE, mais le laissa sorti du pantalon, puis interpella Mourad dans sa langue. Le servant fit comprendre à lesclave MDE quil devait le suivre. Ils arrivèrent dans un office, et préparèrent le thé, le laissèrent infuser. Pendant ce temps, Mourad tendit un grand plateau à soumis Endymion MDE, lui montra comment il devait le tenir, sur une main seulement, puis il posa sept tasses et enfin la théière. Ils regagnèrent ensuite un vaste et somptueux salon rempli dornements orientaux. Il y avait là sept hommes arabes, tous vêtus de la même manière que lEmir. Ils étaient assis par terre, en cercle autour dune table basse, un immense plateau de cuivre finement décoré, posés sur un trépied. Installés sur un épais et moelleux tapis persan, Ils séchangeaient une chicha et fumaient le narguilé. Une musique douce et orientale apportait une ambiance de leur Pays. Tous sarrêtèrent de converser, lorsquils virent entrer Mourad et soumis Endymion MDE.
- Approche mon garçon, tient toi ici, près de moi, Mourad va nous servir, dicta lEmir
soumis Endymion MDE faisait pâle figure. Sa main portant le plateau tremblait, il se sentait particulièrement ridicule, là, immobile, tout habillé avec seulement sa nouille encagées et ses burnes sorties de sa braguette et exposées aux regards de ceux présents. Les sept hommes reprirent leur conversation, bien évidemment lesclave MDE ne comprenait rien de ce quils disaient. Il avait seulement limpression quon parlait de lui, quon le ridiculisait. Il avait également limpression que parfois des regards insistants se posaient sur sa bite et ses couilles avec en sus des grands éclats de rire. Concentré, il restait figé, maitrisant ces incessantes sensations, à la fois agréables et douloureuses mais toujours persistantes au niveau de son cul et de ses sphincters. Ce fut quau bout dun certain temps, quun des sept hommes se leva et sapprocha de lui. Il se plaça derrière son dos et commença à lui retirer lentement sa chemise de son pantalon puis il dégrafa très tranquillement chacun des boutons. Les six autres, les yeux brulants, regardaient ce striptease imposé. Il sarrêta près du col, dégagea le dernier bouton mais laissa en place le nud papillon. Il prononça quelques mots dans sa langue maternelle, à lintention de Mourad, tout en continuant bien à dégager les deux pans de la chemise ouverte, laissant entrevoir le harnais de cuir porté, puis il pinça délicatement les tétons de soumis Endymion MDE. Mourad partit rapidement et revint aussi vite, bras tendus à lhorizontal, mains offertes sur lesquelles étaient posées un sabre court au manche courbé avec une lame brillante et tranchante. La vue de cet objet terrorisa soumis Endymion MDE. Lhomme dune main sen saisit, le présenta sous les yeux de lesclave MDE. De son autre main libre, il entoura à leur base les attributs génitaux du chien soumis et porta la lame du sabre tout près de son pubis.
- Ici, les chiens désobéissants on leur coupe les couilles
ici, les chiens qui se touchent la bite sans autorisation, on leur coupe et la queue et les couilles. As-tu bien compris salope ? Le ton était ferme et dominant.
soumis Endymion MDE tremblant et apeuré hocha bien vite de la tête pour acquiescer. Alors lEmir se leva et intervint à son tour :
- Si tu as bien compris alors je peux libérer ta queue de cette cage car, moi jaime voir des bites, fussent-elles celles dun chien comme toi.
Sitôt la cage déverrouillée et ôtée, soumis Endymion MDE présenta une queue en grande forme. Elle sérigeait fièrement presque orgueilleusement, présomptueusement ! LEmir appela son servant, qui sagenouilla devant la bite du chien soumis MDE, puis déposa quelques doux baisers sur son gland violacé et totalement décalotté. Il reçut un nouvel ordre, se redressa aussitôt, se retourna, releva sa djellaba, sous laquelle il était nu, se pencha en avant en sécartant les fesses et en sappuyant contre le chibre de lesclave MDE. LEmir prit en main cette arrogante queue, la dirigea tout contre la rondelle de son servant, puis prestement, passa derrière soumis Endymion MDE, attrapa le haut des cuisses de Mourad le tira alors quau même moment il poussait lesclave MDE dun coup sec pour que les deux chiens semboitent dun trait. Mourad gueula, tant la pénétration fut brutale et sans préparation mais en guise de consolation, il reçut deux violentes gifles sur chacune de ses joues, avec en sus quelques mots injurieux moitié arabes, moitié français.
- A quatre pattes les salopes, vite ! et restez emboités sans bouger ! dicta lEmir dans les deux langues
Alors que soumis Endymion MDE, tant bien que mal chevauchait Mourad, il sentit la lame du sabre fendre larrière de son pantalon dans laxe de la couture et de son sillon anal. Des mains finirent darracher les pans découpés pour dégager son cul. Et là, sans aucun autre préambule, lEmir à genoux, releva sa dishdash et pointa sa verge érigée, tout contre le trou du chien soumis MDE et lencula sauvagement. Les coups de butoirs étaient violents, énergiques un brin agressifs sinon farouches, les couilles de lEmir claquaient tout contre les fesses de soumis Endymion MDE, qui maintenant avait la tête sous une autre dishdash et suçait une queue dune belle taille. Des mains sétaient glissées entre sa poitrine et le dos de Mourad, des doigts sagrippaient à ses tétons et les pinçaient activement, allègrement. Mourad, lui aussi suçait un hôte de lEmir assis en tailleur, lui aussi se faisant travailler les mamelons, tout en percevant activement lenculade de soumis Endymion MDE. La pénétration était telle quelle projetait en avant le bassin de lesclave MDE de telle sorte quelle rythmait la sodomie subie par le servant. En quelques secondes, tout au plus, le salon bien tranquille sétait transformé en une fresque orgiastique, où les mâles en rut saffichaient sans pudeur ni vergogne ! soumis Endymion MDE se pâmait, enculeur et enculé en même temps, il simposait, non sans mal, à retenir sa jouissance pendant tout le temps de ces coïts successifs, où chacun leur tour, les sept Princes Arabes se déchargèrent en lui, déversant leur flot de foutre.
En loque, à moitié nu, vêtements froissés et déchirés, soumis Endymion MDE, neut pas le temps de reprendre ses esprits. Il était maintenant à quatre pattes, immobile, au centre du tapis. On venait de lui poser sur le dos un lourd fardeau, une plaque de verre épaisse servant de table. Les Princes Arabes sétaient de nouveau assis en tailleur tout autour et reprenait un thé vert en attendant de passer à des choses beaucoup plus sérieuses.
(A suivre
)
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