Lendemain De Partouze

J'ai mal partout. Je me réveille avec ces drôles de douleurs. Je repense à la nuit dernière. Invitée de dernière minute par un ami de toujours, avec qui nous faisions l'amour parfois, j'allais chez des amis communs. Comme souvent je ne sortais que peu de vêtue. Je n'aime pas tellement porter de sous vêtements qui me semblent surtout un effet de la civilisation judéo-chrétienne. Après tous la nudité était de règles dans pas male endroits ceci dit, j'aller passer une soirée comme je les aime: beaucoup de monde, des hommes et des femmes en nombre pour me permettre d'avoir le choix. J'aime baiser aussi bien un homme qu'une fille. J'arrive un peu en retard: j'y retrouve mon ami qui me présente comme la reine des baiseuses. Pour montrer qu'il dit vrai il me demande de le sucer pour commencer. Je suis prise à froid, pourtant j'adore faire des pipes. Je le prends en bouche, tout le monde regarde, surtout les hommes. Je décalotte son gland avec les mains, alors que normalement je le fais simplement avec mes lèvres. Je suce juste ce qu'il faut pour qu'il jouisse. Si j'avale son sperme c'est plutôt par habitude que par besoin.
Je ne sais pourquoi, aujourd'hui je ne me sens pas en grande forme pour baiser. Je sais que d'ici un moment j'aurai le bas ventre avec ce creux qui me pousse à chercher l'orgasme. Je commence par le début: je me déshabille pour être comme les autres. Je sais que de nombreux regards sont posés sur mon corps. Enfin quelque un semble s'intéresser de plus près à moi: un couple d'une trentaine d'année, sans doute marié, qui vient vers moi. C'est l'homme qui s'approche le premier, m'embrasse, remplacé rapidement pas madame qui en profite pour me caresser les fesses. Je vois la bite du mari enfler. La vue de son épouse avec moi l'excite au plus haut point. Je vais faire tout ce qu'il faut pour l'exciter encore au moins jusqu'à ce qu'il jouisse pour qu'il me laisse libre de m'amuser avec sa femme.
J'ai toujours la langue de la fille dans ma bouche.

Il n'empêche que je fais signe à son homme de venir. Il doit penser qu'il va me la mettre quelque part. je prend sa queue à pleine main, je la caresse lentement pour qu'elle enfle encore un peu. Je l'ai toute en main. Je le branle au début doucement pour finalement aller très vite pour qu'il jouisse. Quand son sperme part en longues giclées sur moi, sa compagne me fait comprendre que j'ai bien agi.
Enfin seules !!! Nous nous consacrons à nos plaisirs: nous sommes seins contre seins, ventre contre entre, pubis bien collés. Nous pouvons nous asseoir sur une petite banquette qui a du en voir d'autre. Je la regarde de plus près: elle est très belle, avec juste des lèvres plus sensuelles que celles des autres. Je les lui mordille, elle me laisse faire, pendant qu'elle part à la découverte de mon corps. J'aime ce genre de fille qui semble n'avoir peur de rien pour jouir. Elle caresse mon sein le lus proche, avec une habileté diabolique. Elle arrive très vite à faire durcir les tétons. Ce n'est pas une débutante: elle prend les choses en main: me voila esclave de ses désirs. Elle pose une main sur ma cuisse, la montre très lentement vers ma fente. Elle me fait mouiller grave. Quand elle arrive vers mon entrejambe, elle n'hésite pas un seul instant: elle me caresse le tour de l'anus. Elle le fait avec tellement de maestria qu'il me semble qu'elle doit le faire depuis longtemps. Elle continue jusqu'à ce que je me cambre pendant un orgasme extraordinaire. Elle n'enlève pas son doigt, elle me le rentre dans le cul, directement. Elle me fait partir encore très vite. Je murmure des "encore, oui, c'est bon". C'est vrai qu'elle sait bien de donner du plaisir, mieux qu'un homme normal. Elle continue encore à occuper ma fente: elle me doigte juste un petit moment, juste le temps de me faire jouir, avant de me caresser lentement le clitoris, trop lentement au début, en l'effleurant à peine, pour aller plus vite en y appuyant un peu plus. Inévitablement je jouis encore. Enfin c'est à mon tour de lui faire du bien.
Je lui caresse non pas l'anus, j'y rentre directement. Elle jouit enfin. Je met trois doigts dans sa vulve, les fait aller et venir comme si je la baisais. Elle non lus ne résiste pas à mes caresses, surtout quand je lui masturbe le clitoris, avec mes deux doigts, comme pour moi. Enfin nous arrêtons notre baiser pour reprendre un peu de souffle. Nous désirons de jouir de nos clitoris collés l'un à l'autre. Nous sommes mi assises sur le tapis, les cuises bien ouvertes pour que nos clitoris entre en contact. Nous prenons un réel plaisir à cette caresse rare entre fille. Nous ne sommes pas rassasiées: nous prenons le position du 69. C'est moi qui suis la première sur son con. J'ai son clitoris dans la bouche et deux doigts dans son cul. Elle ne peut rien me faire, sa tête pourtant entre mes jambes remue dans tous les sens, prise par le plaisir que je lui donne, elle ne peut plus bouger, jusqu'à une jouissance que je reçois en pleine bouche. Enfin elle semble se réveiller d'une longue immobilisation. Je sens sa bouche sur mon con. Sa langue me fouille partout. Que c'est agréable une langue de fille sur le con d'une autre fille. Nous jouissons quand son mari est à nouveau en forme. Il nous regardait depuis un moment en nous encourageant par des mots pas très flatteurs: nous sommes aux choix des truies, des putains, des gouines (ça c'est vrai) des garces qui n'aiment pas les hommes (ça c'est faux). Il ne sait trop où mettre sa queue. Je lui demande de venir me la mettre au cul. Je me retrouve avec la langue de sa femme sur mon con et sa bite au cul. La situation est des plus excitantes pour ceux qui nous regardent depuis un moment. Comme celui qui m'encule me jouir dans l'anus, un autre vient prendre sa place. Me voila encore avec ne autre bite au cul. J'aime bien de faire sodomiser, surtout quand une fille me suce. Je continue à donner ma langue à la moule de cette jeune femme, je continue à recevoir sans protester deux ou trois pines de plus.
J'arrive à me dégager.
Je suis la proie de deux femmes plus mures quoique toujours sensuellement excitantes. Elles décident de me baiser. Je les aide de mon mieux: nous sommes engagés dans une partie à trois entre femmes. Si les eux s'occupent de mes seins, mes mains sont dans leur berlingot. J'agite mes mains pour les faire jouir comme je sais. Si ne ouit rament l'autre est bien plus lente. Nous nous associons avec l'autre femme pour la faire jouir autrement, si je reste sur son con, l'autre n'hésite plus, elle lui met la main au cul, la caresse avant d'y mettre des doigts. A ce moment là enfin elle jouit.
Je ne sait ce qui passe par la tête de celle qui vient de jouir:elle me pince les seins, à tel point qu'elle me fait crier de douleur. Pour me calmer, elle les embrasse tendrement. N'empêche que j'ai mal aux seins.
Je laisse tomber ces cinglées pour chercher un homme: j'ai besoin d'une queue dans mon vagin. Je trouve un couple, à croire que je suis abonnée aux couples. Je fais des avances. C'est l'homme qui me veut. La femme qui l'accompagne me regarde comme un bête curieuse: je vais lui voler son bien. Pourtant je ne veux surtout pas les séparer. J'explique clairement ce que je désire: me faire bien baiser par son homme sans pur autant la tenir éloignée puisque je veux aussi la sucer.
Comme ça c'est d'accord. Je me couche sur le dos, j'ouvre mes jambes et sans caresse inutile j'écarte mes cuisse, prend la pine, la dirige vers mon sexe, elle y rentre facilement tellement je suis mouillée J'invite sa nana à venir sur ma bouche. Le lui bouffe la chatte en entier. Je choisis ainsi les endroits où elle réagit le plus les lèvres et le bouton. Je m'attache à lui donner le plaisir maximum. J'y arrive: elle avoue que c'est la première fois qu'elle trouve du plaisir avec une autre fille. En attendant je jouis beaucoup avec cette bite qui dans mon sexe me semble bien plus grosse que ce que je croyais. Elle me fait jouir. Pourtant elle me fait plutôt mal quand elle sort. J'ai pris une queue trop grosse dans mon con.

Je rentre chez moi, au petit jour en ayant mal aux sens, au con et au cul. J'ai mal au fesses à causes es coups que m'a donnée un sadique pendant qu'un autre me baisait, et surtout à la langue fatiguée de sucer des clitoris ou des bites.

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