Emencipation Galopante

Lorsque j’ai connu Laëtitia a dix neuf ans elle était vierge, moi a vingt je ne l’étais plus depuis mes dix sept ans, mais sans connaitre grand-chose aux positions et même je peux dire que je n’avais jamais mangé de chatte, seulement quelques fellations ‘arrachées’ a des filles de passage et bien sûr quelques prostituées
Elle m’a fait attendre six moi et une promesse de mariage avant de me céder après un après midi de plage en maillot de bain deux pièces, juste une heure avant de partir a ma demande elle a daigné enlever le haut, sans doute chauffée par cet acte qu’elle pensait incroyable de sa part, nous nous somment réfugiés dans une pinède prés des parkings
Je dis que Laëtitia était chauffée par cet acte mais je dois dire que moi aussi lorsque j’ai remarqué que des hommes mariées ou non louchaient sur ses seins blancs m’irritait car j’étais très jaloux et en même temps m’excitait de penser qu’ils pouvaient la ‘convoiter’
Je l’ai prise fougueusement sur un matelas d’aiguilles de pin, juste protégés par une serviette de bain, elle s’est donnée totalement, j’avais déjà eu la permission de lui caresser le sexe dans une salle de cinéma, dans cette condition pas possible de voir entre ses cuisses ne serait-ce que pour mater ses poils pubiens qui étaient très mouillés mais là c’était un vrai torrent qui déferlait dans sa toison blonde comme les blés, je l’ai prise deux fois de suite avant de nous laver sobrement a l’aide du reste de notre bouteille d’eau… j’ai omis de lui dire que j’avais entendu des branches craquer …
Ma déception a été grande lorsqu’elle a refuse de baiser le weekend suivant devant mon amertume elle a cédé, il faut préciser que nous nous voyions que le dimanche après midi a cette époque là, ensuite tous les weekends nous passions l’après midi du dimanche a découvrir tous les préliminaires possible et des positions différentes , un jour, dans son village, le bruit a couru qu’un voyeur assistait a nos ébats, vu le peu de crédibilité que les gens accordaient a cet homme la chose est passée inaperçue, mais nous avons appris a prendre plus de précautions, cette nouvelle nous a plutôt échauffés les sens …
Un an plus tard mariés et chez nous, nous nous donnions à corps perdus, a peine en voiture pour aller nous balader nous nous posions la question, a quoi bon brûler inutilement du carburant ? Nous rentrions pour baiser comme des dingues, Lætitia à mon grand étonnement devenait de moins en moins prude

- Bruno chéri, touche ….


- Mais tu n’as pas de culotte ?
- Et pas de soutient gorge, ça ce voit ?
- Non
- Alors pourquoi s’en priver ?!
- Et ça te fait mouiller !
- C’est pour toi mon amour
- Allons-nous balader dans le grand parc de la colline
- Bonne idée

De savoir qu’elle était nue sous sa robe me faisait bander, nous avons pris un sentier qui nous paraissait désert pour donner libre cours a nos fantasmes, ma main qui enserre sa taille descend lentement sur ses fesses, puis petit a petit je fais remonter le tissu afin de toucher sa chair nue

- Arrête Bruno, nous allons croiser un mec …

J’arrête mais ne laisse pas retomber le pan de robe, une trentaine de mètres plus loin je me retourne, le type nous suit, j’attire Lætitia entre deux fourrés et l’enlace pour un baiser brulant sans changer quoi que ce soit a mon comportement, au contraire je dénude carrément son beau cul, le dos au chemin elle ne voit pas l’homme qui s’est arrêté pour mater le cul nu de ma femme et dépatte sa braguette, arque-boutés l’un sur l’autre, sexe dégoulinant contre sexe bandé, elle devient folle de désir, l’homme se masturbe et s’approche a pas lents, hélas ma femme devine une présence

- Y’a quelqu’un ?
- Oui mais il ne va pas te toucher, laissons le se donner du plaisir
- Il a sorti sa bite ?
- Oui, il se branle, elle est grosse, tu veux la voir ?
- Non !non !

Malgré son refus je reprends notre baiser et imperceptiblement la fait pivoter, de trois quart elle peut voir le manche décalotté et recalotté a intervalles réguliers a moins de trois mètres d’elle, sa respiration s’accélère lorsque l’homme tente de poser une main sur sa fesse mais elle ne se dérobe pas pour éviter cette caresse, elle pousse un cri d’oiseau lorsque le contact charnel se fait

- Touche lui la queue ma chérie

Pas de réponse, alors je lui prends un poignet et l’oblige à aller vers cette pine inconnue, qui, j’en suis sûr la tente, elle maintient ses doigts crispés mais dés qu’elle ressent la chaleur ‘animale’ elle se lâche et empoigne la trique que l’homme qui lui abandonne en geignant de plaisir, Lætitia masturbe avec des mouvements désordonnés le membre collé sur sa cuisse, comment va-t-elle réagir lorsqu’il va tout envoyer sur sa cuisse ? les doigts étrangers ne restent pas inactifs, ils rejoignent les miens sur le mont de vénus poissé de sécrétions, volontairement je lui laisse le champ libre ma femme ouvre encore son compas alors qu’elle sait très bien que ce n’est plus moi qui la doigte
Petit a petit je cesse de la maintenir contre moi et l’oblige à se tourner vers l’homme, après une faible résistance elle me laisse pour faire face a son séducteur qui l’enlace a son tour, instinctivement il plie les genoux pour amener sa queue face a la vulve bouillante

- Chéri ? que me fais-tu faire ? il va me….
aaaahhhhhhhhhhhhhhhhhooooooouuuuuuuuuiiiiiiiiii BRUNO !!!!!

Ça y est, il vient de la pénétrer et je ne ressens aucune jalousie au contraire c’est moi qui devient voyeur et me masturbe frénétiquement en matant ce couple illégitime, l’accouplement ne dure qu’une minute mais ô combien intense pour tous, l’étranger grommèle un merci avant de quasiment s’enfuir la bite encore raide sortie de la braguette
Lætitia se jette dans mes bras, ses seins montent et descendent sous la respiration saccadée

- Baise-moi vite chéri …
- Je vais mélange mon foutre à celui de ton amant
- Salaud, ce n’est pas mon amant, je n’aime que toi !
- Je plaisante mon amour … Aaaaahhh merde, ça vient déjà oooooooooohhhhhhhhhhhhnnnnnnnnnnooooooonnnnnnnnnnn !
- Va-yyyyyyyy arrose moioooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiii !!

En trois minutes son vagin a reçu deux bonnes rasades de sperme épais qui coulent le long de ses cuisses avant de tomber dans l’herbe, avant même de me retirer de sa chatte je fouille dans ma poche a la recherche de mouchoirs, sans un mot chacun nettoie son sexe, toujours sans un mot nous rejoignons la voiture, même chose jusqu'à la maison où je redoute des explications orageuses

- Chérie ? ça va ?
- Bruno … allons tous les deux sous la douche, je sens l’odeur de ce type et ça me dégoute

Baiser sous l’eau c’est fantastique, la magie de l’amour reprend le dessus, j’en profite pour la questionner
- Tu as aimé mon amour ?
- Mmmmmuuuuuuuuummmmm …..
- Nous recommencerons ?
- Mmmuuum
- Répond-moi franchement Lætitia !!!
- Oouuuuuuuiiiiiiiiiiii je veux me faire encore baiser!! prends-moi fort salaud !!!
- ‘ils’ te prendront tous tes trous salope !!
- Ouuiiiii, mais comme aujourd’hui, dans la nature
- Où nous étions ?
- Si tu veux
- Combien ? deux ?
- Pour le moment un seul avec toi ?
- Une grosse queue ?
- Oui, une énorme pine de cheval !
- Tu la prendras partout ? tu le suceras ?
- OUI ! dans ma bouche, ma chatte, mon cul, aussi deux en même temps dans ma chatte !!
- Ma chaudasse adorée je te promets qu’il t’ouvrira de partout
- Laisse tout de même passer une semaine ou deux ! rrrraaaaaaahhhh ! défonce-moi !!!!!!!

La nuit a été agitée, je n’ai pas compté combien de fois j’ai déchargé, bouffé sa moule et son anus, heureusement que le lendemain était un dimanche ! le gout de l’’amour total’ encore en bouche, je plonge entre ses cuisses !
En me remémorant le site, je vois un endroit où je pourrais exhiber ma femme dans ce parc, vivement samedi prochain !, sans nous concerter je devine que ma femme n’as rien sous cette robe courte, comme pour le retour de la semaine dernière pas mot ne fuse dans la voiture, ma main entre ses cuisses compense toutes phrases inutiles, je n’ose pas séparer les lèvres vaginales pour ne pas provoquer de fuites !
Je l’emmène directement vers ce lieu discret, un banc face à un buisson clairsemé qui sert certainement de refuge a des ébats discrets, deux minutes avant qu’un homme ne nous repère facilement grâce aux cuisses découvertes, mais qui restent serrées jusqu'à notre choix sur l’individu qui auras le privilège de peloter ma femme
Pour ma part le premier arrivé ferait bien l’affaire, la quarantaine, propre sur lui ! pas très grand, râblé, je flaire en lui un mec viril, je regarde Lætitia pour avoir son approbation, un haussement de sourcils me suffit

- Il va repasser ouvre tes jambes et agrandit ton décolleté
- J’ai les miches …
- Je suis là chérie je ne te lâche pas, attention le voilà …
- M’sieurs dames ….

- Bonjour

L’homme a ralenti pour entrevoir l’entrecuisse et la naissance des seins, après avoir fait quelques mètres il refait demi-tour et se dirige vers le buisson, c’est gagné ! je prend un genoux de ma femme et le passe sur le mien rien de tel pour dégager l’entrejambe et montrer que la culotte a été oubliée, un frôlement de branches, je devine la silhouette massive a travers le feuillage, pour se donner une contenance et se donner du courage Lætitia se tourne vers moi et m’embrasse a pleine bouche, si nous voulons être tranquille il ne faut pas rester longtemps sur ce banc et rentrer nous aussi dans cet abri feuillu

- Ont y va chérie ?
- Si tu veux Bruno…ne me lâche pas la main...
- Suis-moi … Il est là, bingo ! si tu voyais sa queue …
- Tais-toi !

A quelques mètres, a demi caché derrière un arbre l’homme dépoitraillé affiche un torse d’ours comme Lætitia les aimes, il brandit une trique velue, noueuse et épaisse, un vrais démonte pneu, je me positionne et fais passer ma femme devant moi, elle se colle les bras ballants, lentement, en ne quittant pas notre gars des yeux, je remonte le bas de la robe comme un rideau de théâtre, jusqu’à dévoiler l’acteur principal : la chatte !
A sa vue l’homme fait un pas en avant, ma femme peut voir, sorti de la braguette son manche qu’il agite comme un trophée

- Écarte les pieds chérie
- Il est vraiment gros celui-là
- Mouillée comme elle est ta chatte va n’en faire qu’une bouchée, je vais lui montrer tes seins, lève les bras que le fasse glisser ta robe

Nouvelle avancée du gars devant ce spectacle inespéré…

- Elle suce la p’tite blonde ?
- Tu veux le sucer chérie ?
- Oui …
- Alors c’est le moment, je suis prêt à venir, qu’elle se mette a genoux sur ma chemise

Je lâche ma femme qui obéit, sa robe en corolle autour de sa taille ne gêne en rien n’importe quelle caresse, elle empoigne cette bite a deux mains il en dépasse assez pour lui remplir son gosier, prudente elle renifle le membre avant d’ouvrir en grand sa bouche, l’homme s’y engouffre rapidement, je m’agenouille moi aussi derrière elle pour voir de très prés ces vas et viens impressionnants, je m’imagine déjà le coulissement de ce cep noueux dans sa moule délicatement capitonnée, j’espère qu’elle ne va pas ameuter le quartier
Soudain elle hoquette et recrache la queue qui continue à spermer généreusement sur son visage et sa poitrine au lieu de se révolter elle étale cette jouvence sur ses seins et passe une langue sur ses lèvres, elle relève la tête pour quémander un baiser

- Embrasse-moi chéri, partage avec moi le gout de mon amant
- Tu es sûre ?
- C’est ça ou je me rhabille
- Approche …
- Pardon m’sieurs dames ?
- Oui ?
- Est- ce que je peux la baiser aussi ?
- Demandez-lui directement
- Madame ? puis- je pénétrer ?
- A condition que vous soyez doux, parce que votre engin me fait très peur
- Je m’enfoncerais selon votre désir, votre petit abricot est si mignon, il y a fort longtemps que je n’ai pas baisé une aussi jeune et belle femme
- A ton avis Bruno, dans quelle position ?
- En levrette, ainsi tu pourras me sucer
- Tu surveille qu’il ne me défonce pas hein ?
- Mais oui, tourne ton cul vers lui, cambre toi pour qu’il voit bien ta rondelle

A peine le cul en l’air que l’homme lui lèche la raie, d’après ses réactions la langue s’attarde longuement sur l’anus

- Pas là ! Seulement la chatte
- J’y viens … rhhhhhhhhhhhuuuuuuuoooooooo
- Bbbhhhhhoooooouuuuuu !! c’est booooooonnnnnnnnn, sa langue me pénètre comme une bite chéri !
- Ça va détendre tes muqueuses, relâche toi totalement
- Je risque de péter …
- C’n’est pas grave
- Bruno ?
- Oui Lætitia ?
- J’ai envie qu’il me baise maintenant
- Vous entendez monsieur ? c’est le moment
- Je lui aurais bien bouffé le cul encore un bon moment, ça coule de partout !
- Baisez là …

Ma femme agrippe ma main et la serre à broyer mes phalanges, l’’ours’ quasiment nu se positionne au plus prés de la vulve saillante, il frotte longuement son champignon afin d’ouvrir la fente, sa maitresse geint d’appréhension et d’impatience, soudain elle cesse d’agiter sa croupe le manche commence à aventurer dans la grotte, je ne rate pas un mouvement des amants, a la façon dont ondule le cul de ma femme je sais qu’elle y prend énormément de plaisir, dire qu’il y peu elle était prude comme une grenouille de bénitier
Des onomatopées commencent à fuser, les coups de reins prennent de l’amplitude, l’homme poses ses mains sur les poignées d’amour et tire ma femme vers lui, les corps s’entrechoquent, le clitoris dégagé de toutes protections est violemment frappé par la grosse paire de couilles, les cris montent, elle jouit sans discontinuer, pourvu qu’il ne passe personne aux alentours …
Pris par ce scène hors du commun j’en oublie de me faire sucer ! l’ours mugit et cesse toutes actions, Lætitia redouble de lamentations lorsque les jets frappent le fond de sa gaine vaginale, puis, c’est le silence, seulement perturbé par les souffles haletants, repue Lætitia se laisse tomber en avant provoquant la désunion des sexes et la fuite des glaires sexuelles, notre amis récupère sa chemise et part en murmurant un merci
Désireux de planter ma queue dans le bourbier qu’il a laissé, et par souci de confort pour elle je m’allonge et l’invite à se planter sur mon paratonnerre, elle se laisse aller sur moi, tellement éprouvée par la séance qu’il lui a infligée elle ne fait que contracter son vagin sur ma bite, quand je vois s’avancer, sorti de nulle part, un autre mec qui se masse la verge

- Continuez, ne vous gênez pas pour moi, je vous ai observé, qu’est-ce-qu’il lui a mit ce con !
- Foutez nous la paix, barrez vous ! c’est finit !
- J’aimerais bien participer …elle a une chatte bien baveuse et un beau p’tit trou du cul
- Pas question !
- Attend chéri, comment est-il monté ?
- Moyen, pourquoi ?
- Et si vous me preniez à deux ? il est de bonne taille pour mes fesses
- Tu en veux encore ?
- J’ai envie de tester la sodomie chéri, sa bite est juste comme il faut, pas trop grosse
- Quelle salope tu fais, où va-tu t’arrêter ? bon, c’est la dernière fois, remet toi en position le cul en l’air et toi tu la tire vite fait, tu a trois minutes ensuite nous partons, et cette fois tu me suce espèce de chaudasse !

Le nouveau venu ne se fait pas prier, à peine collé derrière ma femme qu’elle pousse un cri de surprise, il vient de l’enfiler sans crier gare, sa queue glisse sur la mienne, une sensation nouvelle qui n’est pas désagréable, au rythme où il est partit il ne devrait pas dépasser les trois minutes ! et moi non plus … une lamentation monte en puissance, ma femme sent l’orgasme monter, je suis au bord de lui balancer toute ma sauce quand le nouveau venus pousse un gueulement de porc qu’on égorge, sa queue frémit sur la mienne, nous jouissons tous les trois a la seconde prés
Lætitia à demi inconsciente prend les jets de nos bites
Le gars se retire sitôt la dernière goutte expulsée dans l’anus distendu, le temps que nous nous dégagions de notre étreinte amoureuse il a disparu, nous avons battu le record de rhabillage afin éviter d’éventuels prétendants a la curée!

Et maintenant ? quel va-être la prochaine étape ?

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