La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 617)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°616) - La perversité urophile des Princes Arabes -
Les Princes arabes, assis en tailleur, autour de cette table basse tenue en appui sur le dos de soumis Endymion MDE, sétaient remis à fumer le narguilé, tout en dégustant le thé brulant et en dialoguant bruyamment. Le jeune soumis Mourad se tenait près deux, à deux ou trois pas en retrait et soccupait de remplir les tasses à chaque fois que lune dentre elle était vide. Il gardait toujours la tête baissée. Parfois, une main baladeuse passait sous sa djellaba pour lui caresser les fesses ou lui saisir les couilles. Alors, dans la posture où il se trouvait, impassiblement et instantanément, il se laissait toucher et palper sans rien dire jusquà ce que cette main le libère de cette catalepsie contraignante. Sur un ordre qui lui fut donné par lEmir, il séclipsa un temps puis revint avec sept verres disposés sur un plateau dargent. Il les déposa sur cette table basse « humaine », puis alluma des bâtonnets dencens quil laissa ici ou là. Loliban se consumait, apportant une forme dapaisement intérieur, de sérénité et de bien-être. Cette odeur capiteuse de patchouli, semblait être loccasion dun petit rituel. Les protagonistes sétaient tus, et se concentraient sur cette odeur et ces fumées comme sils voulaient se recentrer sur eux-mêmes. Ils écoutaient presque religieusement le premier mouvement de Shéhérazade de Ravel, absolument sublime donnant des frissons de plaisir à soumis Endymion MDE. De sorte que lui, lesclave de Monsieur le Marquis dEvans en avait oublié son lourd fardeau sur le dos, lignominie de sa posture dégradante, sa semi nudité. Il se laissait envahir par ces sonorités orientales et se laissait porter par ces délices enivrants, étourdissants mais néanmoins exaltants ! A tel point quà peine réagissait-il lorsquun doigt glissa sur sa raie, récoltant du foutre séchappant de son anus, doigt qui le pénétra ensuite pour réintroduire cette intime semence au plus profond de ses entrailles.
La musique sétait arrêtée depuis cinq minutes déjà, mais tous restaient encore silencieux, ce ne fut que lorsque lEmir frappa à trois reprises dans ces mains que leffervescence reprit. Soudainement la plaque de verre posée sur le dos de soumis Endymion MDE, fut débarrassée puis soulevée et retirée. On fit se lever lesclave MDE et on lui ôta définitivement ces vêtements déchirés, ainsi que son harnais. En un instant il se retrouva debout et nu comme un verre. Mourad lui enfila une djellaba à lidentique de celle quil portait, puis lattrapa par une main et le conduisit dans une pièce à côté du salon. Là, tous deux sinstallèrent à genoux, mains dans le dos, têtes basses, regard au sol. Arrivèrent les sept Princes, tenant chacun en main, un des verres précédemment apportés par Mourad. LEmir claqua des doigts, Son servant se leva en posant une main sur lépaule de soumis Endymion MDE, geste lui faisant comprendre quil devait rester dans la posture. LEmir tendit son verre à Mourad, qui sen saisit, puis souleva sa dishdash jusquaux hanches. Un autre claquement de doigts, Mourad sapprocha alors près de lEmir, glissa son sous-vêtement sous ses couilles, attrapa délicatement sa verge flasque et présenta le verre sous le méat de cette verge. LEmir pissa jusquà moitié du récipient, puis remonta son slip et laissa tomber sa robe. Mourad alors posa le verre durine sur une tablette près de la fenêtre, puis sapprocha dun des Princes et recommença la même procédure, et ainsi de suite jusquà ce que les sept verres soient remplis durine. Pendant ce temps, lEmir sétait approché dEndymion MDE, et lui caressait sa chevelure et son visage.
- Tout va bien mon garçon ? Interrogea-t-il
Il ne laissa pas le temps de répondre, il enchainait immédiatement.
- Ton cul a déjà goûté à nos sucs intimes, maintenant cest au tour de ta bouche de gouter à nos confidentiels breuvages. Nous allons tabreuver de nos pisses, des vitamines essentielles et indispensables pour un esclave qui va subir dici peu des épreuves difficiles et éprouvantes. Ne crois-tu pas ?
La situation était terriblement humiliante. Là, dans ce luxueux hôtel, en plein New York, un esclave agenouillé et tremblant, devant sept hommes le dévisageant, vivait une situation des plus dégradantes. soumis Endymion MDE vivait au plus profond de tout son être les bassesses de son existence et de son asservissement. Là, puisque le Maître, Monsieur le Marquis dEvans et son neveu en avait décidé pour lui, il vivait laffront, le mépris et lopprobre. Ignominieuse situation vécue par soumis Endymion MDE, qui pourtant était excitée terriblement, sa queue humide tendait et tâchait le tissu de sa djellaba. Impossible pour lui de masquer son excitation, même sil était apeuré par ce que venait de lui annoncer lEmir. Des épreuves difficiles et éprouvantes, quallait-il devoir subir ? Lesclave MDE hochait de la tête pour acquiescer.
- Ce chien de Mourad va te faire prendre une gorgée de nos pisses respectives et tu vas essayer de te rappeler du goût de chacune delles.
LEmir ordonna en arabe à Mourad dapporter le premier verre contenant ses urines.
- Tiens mon garçon prend ce verre en main, non pas comme ça, prend le verre par son pied de cristal et ne le porte pas à ta bouche immédiatement, mais commence déjà par évaluer la limpidité de ma pisse, de sa transparence, de sa clarté comme si cétait un de ces excellents Beaujolais de mon vieil ami, Monsieur le Marquis dEvans. Regarde bien si elle comporte beaucoup de reflets, plus il y en a, plus ma pisse sera acide en bouche, plus elle explosera sur ton palais. Regarde maintenant sa couleur, est-elle plutôt foncée ou légère ? Interroge-toi mon garçon
Tu vois son intensité est plutôt légère. Maintenant remue bien le verre pour déterminer si mes urines sont moelleuses et sucrées ou plutôt acides et acres. Plonge ton nez dans la tulipe du verre et inspire légèrement puis plus intensivement. Remue encore le verre secoue ma pisse afin de soulever les arômes les plus volatiles. Prend une seconde inspiration afin de récupérer les arômes que tu viens de révéler. Secouer mes urines va te permettre dobtenir une meilleure vision de lintensité de ma pisse et de sa richesse. Et maintenant, seulement, prend-la en bouche et tente de reconnaitre les saveurs quelle dégage. Prend une gorgée de ma pisse, laisse-la dans ta bouche près du palais pour la faire chauffer un peu et aspire quelques bouffées dair. Et maintenant avale mon garçon, juge la qualité de ma pisse et la longueur en bouche et de sa persistance aromatique
Toutes les instructions dégradantes et humiliantes données, comme sil sagissait de déguster un grand vin du meilleur cru, avaient été suivies à la lettre par Endymion MDE. Ce traitement déshonorant, innommable, parfaitement indigne et infamant, le conduisait à linsupportable, et pourtant
il le supportait ! Il adhérait même et obéissait strictement, en tout point, et pas une fois
mais bien à sept reprises. Dès le troisième verre présenté, il accomplissait seul les directives, sans plus quaucun ordre ne lui soit donné. Il regardait, humait, secouait, ingurgitait sous les sourires vicieux et pervers de ces Princes arabes le conduisant à lavilissement, la déchéance, la dégradation et labject.
- Lui na pas le droit de boire nos urines, il nest pas suffisamment dévoué encore, tu vois Endymion MDE, tu as plus de chance que lui ! Lui (il désignait de son index Mourad agenouillé) boit uniquement nos urines lorsquelles ont été recyclées, par un esclave digne de ce nom, ce que tu es puisque tu appartiens à ce Grand et Vénéré Maître quest Monsieur le Marquis dEvans. Il ne taurait pas mis en Ses Cachots si tu nétais quune simple et minable salope.
Presque instantanément, soumis Endymion MDE gonfla la poitrine, comme orgueilleux et fier dappartenir à ce Maître tant reconnu par ses pairs. Le Prince, tout en discutant, lui massait labdomen, appuyant parfois sur son ventre et pressant sur sa vessie.
- Tu vas pisser dans sa petite gueule de chienne, je veux quil boive directement à la source. Prends ton temps, je ne veux pas quil perde une seule goutte de ta pisse dans laquelle se trouve la nôtre ! Ordonna-t-il.
soumis Endymion MDE pissa, longtemps, pas saccades, laissant Mourad ingurgité son breuvage et lorsquil eut terminé de se soulager, le servant arabe resta agenouillé, tête basse jusquà ce que lEmir lenjoigne daller à quatre pattes, baiser les pieds de chacun des princes
LEmir sintéressait de nouveau au chien soumis MDE. Il lui ôta sa djellaba, lattrapa par un bras et le fit coucher à plat dos, sur une grande table. Sitôt installé, soumis Endymion MDE fut attaché sévèrement, membres écartelés. LEmir eut une attention délicate, il lui glissa un petit oreiller moelleux sous la tête pour lui apporter un peu de confort. Il caressa ensuite le corps offert dEndymion MDE, sa main glissa sur son visage, sur sa poitrine. Au niveau des tétons, il les pinça légèrement au départ, plus vigoureusement ensuite, puis sa main continua de parcourir son ventre et descendit vers son entrejambe. Il souleva sa queue semi érigée puis ses couilles. Il passa sa main entre ses cuisses, ses doigts cherchaient lembout du plug installé entre ses reins. Dun coup sec, il larracha de son cul, entrainant chez lesclave MDE quelques cris et flatulences incontrôlables. Il tenait du bout des doigts ce plug et regarda avec attention ces traces de spermes bien visibles encore. Alors dun geste rapide, de sa main libre, il pinça les joues de soumis Endymion MDE, lui faisant ainsi entrouvrir la bouche, puis il posa le gode poisseux sur ses lèvres et le poussa à lintérieur de sa cavité buccale, jusquà ce quil entre entièrement. Lesclave MDE crut quil allait sous cette pression, mais la main tenait appuyée lobjet. Un des six Princes, se précipita alors avec un épais et large ruban adhésif, fit plusieurs tours autour de la tête de soumis Endymion MDE pour tenir scotché et en place ce plug bien enfoncé. Ce bâillon gode maintenait les mâchoires grandes ouvertes du chien soumis MDE, et senfonçait en lui profondément. Attaché, immobile, la gueule défoncée, Endymion MDE se sentait telle une proie sans défense, mais contrairement à ce qui aurait pu être logique, il ne ressentait ni crainte, ni peur, étrangement il éprouvait même beaucoup du plaisir de se sentir à la merci de sept hommes inconnus ou presque, tous prêts à lui faire subir quelques épreuves et tourments douloureux annoncés précédemment. LEmir sadressa à soumis Endymion MDE.
- Tout va bien mon garçon ?
Cette étonnante façon dinterroger soumis Endymion MDE, le mettait en confiance, oui tout allait bien, malgré ces contraintes quelques peu pénibles. Il sabandonnait, il était prêt
LEmir reprit :
- Dans mon pays, les esclaves savent quils doivent souffrir, chaque jour de leur humble existence pour pouvoir trouver une place à nos pieds. Sans nous, ils ne seraient rien, sans ces traitements douloureux, leur vie naurait aucun sens. Ils le savent tous. Leur épanouissement passe par le développement de leur masochisme. Nous nous employons donc à les satisfaire, comme eux semploient à nous apporter du plaisir. Et notre plaisir passe aussi par les s que nous leur imposons. Jaime voir un corps souffrir, jaime le voir se cabrer, se dresser, se révolter puis accepter. Ca mapporte des bandaisons terribles et des jouissances extraordinaires. Alors toi, toi lesclave du si estimé Monsieur le Marquis dEvans, tu vas éponger ma soif de jouissance, tu vas te donner à moi, comme tu le ferais pour ton Maître, je veux que tu me fasses jouir parce que tu es fait pour me donner du plaisir
Tu entends chien !
LEmir avait attrapé les couilles de soumis Endymion MDE, les pressait, les tordait et les tirait, lui faisant soulever son bassin de cette table sur laquelle il était couché. Mais la pression cessa rapidement, et des petites claques sabattirent sur ses burnes et sur sa queue maintenant parfaitement raide. Surpris, lEmir héla ses hôtes pour leur faire constater que déjà soumis Endymion MDE bandait comme un taureau. Il avait suffi de quelques petites s génitales pour lexciter complètement. Alors il passa rapidement à des s beaucoup plus vicieuses encore. Très vite, le corps de soumis Endymion MDE fut recouvert de pinces toutes plus mordantes les unes des autres, Plus particulièrement son scrotum et ses tétons étaient visés. Très vite, on lui glissa dans le cul des électrodes qui lui provoquèrent des sensations autant sublimes que douloureuses, très vite encore, lEmir enfila dans cette verge tendue à lextrême des sondes urétrales les faisant aller et venir comme sil voulait ramoner ce conduit trop étroit, alors que dautres pendant ce temps lui flagellaient la plante des pieds, la poitrine, les cuisses avec des badines souples et flexibles. Ces coups, ces décharges multiples, ces pinces électrisaient le corps tout entier de lesclave MDE, lui apportant autant de souffrance que de plaisir masochiste. Il était fabuleusement bien entre leurs mains
. Eux, avaient empoigné leur queue et se masturbaient avec une énergie folle, éjaculant, chacun leur tour sur ce corps meurtri que leur offrait soumis Endymion MDE !
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!