Le Marin. La Parisienne En Vacances. (14/14)
Cest après avoir raccompagné Gislène à qui jai mis un dernier coup de sexe avant quelle continue son voyage de noces avec ce lourdingue de Benoît, plus amoureux de ses moteurs américains que de ces fesses, que je roule au volant de la Mercédès de Véronique.
Mon amie, non je dois dire maîtresse sest prise au jeu que nous avions une fois de plus instauré en trichant au 4.2.1 avec Gaëlle, la sur de Robert, le beau marin pécheur mon copain.
Je roule depuis quelques minutes quand je traverse Plouharnel et où je vois un panneau Ploernel 8.
8 kilomètres et du temps devant moi par ce bel après-midi de dimanche, Didier mon mousse semble devoir prendre racine chez Louise et Gaëlle jusquà ce que nous repartions pour notre prochain tour du monde de novembre à mai dont nous venons davoir les grandes lignes.
Départ de Lorient, le 22 novembre pour Brest retrouver la Jeanne darc qui fait son carénage, réparation dans la marine, Dakar où je suis allé lan passé, Curaçao dont à part mélangée dans un cocktail, je suis dans limpossibilité de si.
Cristobal, idem à part Tonton Cristobal chanté par Pierre Perret, lan dernier, je suis dans limpossibilité de dire ou cela est placé sur la carte.
Canal du Panama, Valparaiso au Chili.
Jai hâte de voir lîle de Pâques avant Tahiti en janvier.
Honolulu, il faudra que je regarde sur une carte car à part le nom que jai déjà entendu, je suis là encore dans limpossibilité de dire où cela se trouve.
Los Angeles où jespère passer un séjour aussi fou que lan passé à San Francisco dans le village hippie.
De nouveau Panama Houston autre ville américaine où je verrais plus de moteur de voiture américaine que Benoît à qui je viens de dire adieu nen approchera dans toute sa vie.
Fort-de-France où lan dernier, jai laissé doudou dit dont et que jaurais plaisir à retrouver.
Tenerife avant Naples et retour à Lorient pour nous le 30 mai 1969.
Je rêvasse à toutes ces escales, toutes ces rencontres que je vais faire lorsquune Simca aronde me coupe la route en grillant un stop.
Le coup de frein doublé dun grand coup de volant à droite engage la Mercedes sur la route de Ploemel, je vois là un signe du destin et je continue ma route sans aucun but précis que de voir ou mon fils va passer sa jeunesse.
Mon fils car dans mon esprit, je nai aucun doute que la petite grosse que jai baisé et même dépucelé à Languidic lan passé sest retrouvé engrossé par moi au point dappeler son Victor, prénom marqué sur mon bachi.
Arrivé dans le village, je passe devant la boulangerie, car son père a dit quelle avait épousé le fils du boulanger de Languidic et quils sétaient installés à Ploemel où ils ont remplacé le boulanger ayant vendu son affaire.
Ce que jai oublié, cest que le commerce de boulangerie est nécessairement fermé le dimanche après-midi et lorsque je passe devant un rideau baissé.
Je fais un tour jusque devant léglise qui doit avoir été construite comme beaucoup dautres en France, il y a bien longtemps au moment où tous les dimanches la totalité de la commune venait à la messe le dimanche.
Aujourdhui depuis lannée dernière en mai 68, tous ont changé et la plupart des habitants préfèrent les grasses matinées crapuleuses quà aller faire des bondieuseries.
Au moment de repasser devant la boutique, jarrête la voiture rêvant que mon fils habitait derrière les murs de cette petite maison construite comme toutes les autres dans la région en granite avec des toits dardoises.
Je remets le contact lorsque la porte sur le côté de la boutique souvre et une jolie jeune fille en sort en poussant un landau.
Cela aurait pu être ma petite grosse avec mon fils, mais cette beauté pouvait difficilement être la jeune fille que javais conduite derrière léglise pour la dépuceler.
Lorsque je repense à la culotte de la nénette, on aurait pu en mettre deux comme cette jeune femme à lintérieur.
De plus je lai baisé, il y a un an et mon fils doit marcher à cette heure.
Dun coup ma bévue me saute aux yeux, je lai sautée, il y a un an et elle a porté l neuf mois.
Jai étudié jusquau brevet avant de mengager et je sais que 12 moins 9 cela fait trois mois doù la possibilité quil est trois mois.
Cest au moment où elle passe non loin de moi que je comprends que cest bien la jeune fille du cafetier à Languidic, car sous son il, elle a un grain de beauté aussi gros que celui que je lui ai vu lan passé.
Avant que je réagisse, elle passe sans me regarder.
Je la suis du regard dans le rétroviseur et je la vois tourner à droite.
Il faut que jen aie le cur net aussi, je la suis et au bout de 200 mètres, je la vois prendre un chemin le long dun ruisseau.
Quel idiot dinsister, le joli petit cul qui se tortille devant moi est impossible à appartenir à ma pucelle.
Arrivé vers une petite étendue deau, je la vois prendre sous la nacelle du landau une couverture quelle étale au sol.
Elle est de dos par rapport à moi et je profite dun bosquet pour me cacher, évitant davancer.
Le plus drôle dans tout cela cest que jignore si lan passé, nous avons changé nos noms.
Comment linterpeller sans lui faire peur surtout au fond de ce chemin où aucune personne passe ?
Elle prend le bébé dans ses bras et je lentends dire.
Victor, tu es dégoûtant, je viens de te changer avant de partir et tu as déjà rempli ta couche.
Que marrive-t-il, la jeune femme sortant de la boulangerie, le grain de beauté sur la joue, et le prénom Victor, tout concorde même les seins encore plus développés que japerçois après quelle est changée le petit et quelle se prépare pour lui donner la tétée.
Je fini par approché ce qui lui fait peur.
Mais vous êtes.
Je vois quelle cherche un nom quelle ignore.
Oui, Christian le jeune marin qui lan passé t'a fait lamour pour la première fois.
Cest mon fils.
Tu es fou, je suis marié avec le boulanger près de léglise et cest le père de mon .
Pourquoi las-tu appelé Victor sil est de lui.
Car cest le prénom du grand-père de mon mari.
Pourquoi mens-tu, ton père nous a dit hier lorsque nous nous sommes arrêtés prendre un verre avec des amis, quil ignorait pourquoi tu avais à toute force le prénommé comme cela, je sais, cest à cause de mon bachi avec le nom de mon bateau.
Tu lui as dit que tu étais le père, il va me .
Donc, je suis bien son père.
Pendant cette conversation un peu surréaliste, Victor sans savoir quil est lenjeu, continue à téter sa maman.
Jen ferais bien autant, mais il fait savoir être raisonnable.
Je massieds auprès deux et jécoute ce quelle va me dévoiler.
Bien sûr que tu es le père et sans la prévenance de Loïc, la petite Aurélie aurait été une fille de rien.
Il savait depuis quil était petit quune malformation de ses testicules lempêcherait davoir des s.
Cest lors de sa période de trois jours quun médecin militaire sest aperçu de lanomalie de ses testicules en les tâtant comme cest dusage.
Il lui a fait passer des examens et il la réformé.
Lorsque je lui ai dit que javais fauté avec toi et que mes règles étaient absentes, cest lui qui ma proposé de faire croire à tous quil était le père et voulait mépouser.
Tu aurais dû me prévenir, jaurais assumé.
Merci, mais cela a été assez dur avec mon père quoique Loïc est un garçon du village, je vois sa réaction si jétais arrivée enceinte avec un étranger.
Je peux te poser une question.
Tu as tous les droits.
Puis-je être direct ?
Je te le propose, jai horreur des faux-fuyants.
Quas-tu fait de ton gros-cul, jai cru que tu étais une autre, ton joli grain de beauté, et tes gros seins mont persuadé que cétait toi ?
Merci pour mes seins, Victor les apprécient, regarde comme il me suce, si cétait un autre, je suis sûr que je mouillerais.
Quant à mon cul, dès le début de ma grossesse, la gynéco que jai rencontrée a constaté mon embonpoint.
Après des examens, javais une déficience glandulaire et avec un traitement nouveau et un régime adapté à cause de ma grossesse, jai perdu 25 kilos et me voilà.
Et sexuellement avec ton mari, ça baigne.
Un ange, jai énormément de plaisir, car sil est incapable de me donner un autre , il bande normalement et je méclate avec lui, car je crois que, foncièrement il maime même sil sait que mon cur a été vers un autre.
Tu maimes encore.
Ton fils a fini prend le dans tes bras pour quil fasse son rot.
Jai nettement limpression quAurélie se défile, prendre Victor dans mes bras outre le fait que jignore, comment il faut le tenir et les sentiments qui montent en moi, cest la panique lorsquune remontée de lait éclabousse ma chemisette.
Tu vois, il se venge que tu laies abandonné.
Cest un bien, joli rot, je vais te le confié toutes les fois, il faut que jattende un temps fou pour pouvoir le coucher, avec la boutique, cest épuisant.
Donne-le-moi, je peux le coucher.
Cest avec bien du regret que je lui redonne et je me relève pour enlever lobjet des dégâts de mon fils.
Aurélie ayant terminé les seins toujours à lair me faisant bander va au bord de leau pour nettoyer la coulée de lait.
La berge est plus haute que leau et légèrement glissante, car à cet endroit il semble quun pécheur ait piétiné et la fait remonter.
Je la vois piquer une tête sans inquiétude, car il y a juste vingt centimètres deau.
Dans le mouvement, je saute à leau pour la récupéré.
Nous sommes trempés tous les deux et dans les bras lun dans lautre.
Lorsque notre regard se croise, il est trop tard, nos bouches se trouvent pour la première fois, car au bal seul nos parties intimes mimportaient.
Nous sortons de leau, nos vêtements trempés volent et cest nu que nous chutons sur la couverture.
Christian fait nous notre fille, Loïc sera aux anges, nous lappellerons Christine.
Cest comme cela que je pénètre le sexe dAurélie. Je la pénètre, car même si nous sommes trempés, elle mouille comme le fait une femme amoureuse.
Nous roulons sur la couverture et elle me fait voir quelle a bien évolué dans la connaissance du sexe, car autant derrière léglise, elle a subi mon attaque même dans sa rosette alors que là au pied du landau de mon fils, cest elle qui mène le bal sans André Verchuren pour marquer le tempo.
Je dois serrer les fesses pour éviter de jouir trop vite et risquer de la décevoir.
Lorsquelle démarre sa jouissance, je lâche les chiens et je la remplis de mon sperme.
Nous sommes en osmose et nous sommes sur dun simple regard que je viens de mettre ma fille en gestation.
Au-dessus de moi Victor semble apprécié quune petite sur vienne égayer sa vie.
Ha re, ha re.
Nous passons laprès-midi pour une seule fois en famille et pour assurer la naissance future, nous recommençons une nouvelle fois à remplir le vagin dAurélie.
Il est lheure de nous quitter, car elle tient à être chez elle pour la prochaine tétée de Victor.
Cest auprès de la Mercédès que je les quitte après une petite tape sur la joue de mon fils.
Je les vois me regarder dans mon rétroviseur et dès que la route tourne un moment, jai envie de faire demi-tour surtout lorsque je sens sur mon épaule lodeur du lait rejeté par mon fils qui suite à la chute dans leau de sa maman a mal été enlevé.
Je reste lucide car bientôt je reparts pour six mois en mer avec Didier et leur avenir est certainement plus douce dans ce petit village breton qui pourrait être celui où vivaient Astérix et Obélix.
Épilogue :
Nous revenons de notre tour du monde plein danecdotes à raconter.
Robert et Véronique sont mariés depuis Nöel et si vous allez voir le retour des chalutiers, vous pourriez voir la seule femme pilotant lun deux avec tous ces hommes déquipage qui se garderaient bien de lui manquer de respect.
Elle a vendu tous ses bien même la Mercédès et la barre quelle a dans ses mains est celle du dernier chalutier neuf de la flotte de Lorient.
Dider attend avec impatience la fin de son engagement pour venir aider les filles à tenir leur restaurant.
Quant à moi dimanche dernier après avoir été promu quartier-maître chef avec une solde ayant beaucoup évolué ce qui ma permis dacheté une Fiat 850 speeder rouge je me suis rendu à Languidic trainé dans le café ou Aurélie a vécu sa jeunesse avant de partir à ploemel.
Jai demandé à son père des nouvelles de sa fille et il a été très fier de me dire quil était grand-père dune adorable petite-fille et quune fois de plus sa fille les a surpris en lappelant Christine
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