Élise (5Ème Partie)
La queue de Martin est longue et épaisse. Elle convient on-ne-peut-mieux au minou de Élise. Autant dire que Élise na pas laissé passer loccasion. Oui
Ce nest pas tous les jours que lon rencontre un homme, qui plus est plus jeune que soi, et quil fait bien lamour. Oh
oui. Elle a bien compté en profiter. Elle a compté en profiter à fond. Elle a compté en profiter jusquau bout. Elle est insatiable, décidément. Elle a eu envie de tout donner jusquà ce quelle soit épuisée, mais surtout satisfaire, rassasiée. Elle en a voulu plus. À bout de souffle mais bien et détendue, elle a regardé Martin et ne la plus quitté des yeux. Elle a tenu à ça. Maintenir le contact visuel. Ça a été important pour elle. Ça lui a plu. Elle a été morte denvie de rester ainsi, dans CETTE configuration, les yeux dans les yeux, jusquà ce quelle jouisse de nouveau. Elle na pas ménagé ses efforts. Elle en a été même à exhorter Martin.
Les pénétrations ont été tantôt profondes, tantôt dans les premiers centimètres de sa minette. Ils ne se sont plus arrêtés. Martin a grogné de satisfaction. Élise a crié tellement les sensations étaient délicieuses. Intenses. Elle navait pas eu le souvenir davoir ressenti ça. Le plus important, ça a été ces sensations, avec Martin. Son cur a battu à mille à lheure. Elle a haleté. Sa respiration est devenue bruyante. Elle a beaucoup transpiré. Elle a désormais les cheveux collés à son front. Le plus hallucinant dans tout ça, ça a été comment elle mouille. Martin la prise avec ardeur. On ne la plus arrêté. Le sexe et les testicules ont claqué contre les fesses. Heureusement que Élise est célibataire et quelle habite dans une maison pavillonnaire
Le niveau sonore a été
Ils ont baisé désormais comme des déments. Élise nen a plus fini de crier. Elle en est arrivée à hurler son plaisir, même. Elle na plus arrêté de prononcer son prénom à lui. Tout dun coup, Élise a poussé un cri à réveiller les morts. Martin, en la pénétrant, a en fait touché un point particulièrement sensible de son vagin.
(
)
Élise est détendue. Cest paisible, comme moment. Elle est allongée donc, de tout son long, sur le corps de Martin, son bel et jeune amant. La sérénité est le maître-mot de ce moment. Ils sont coupés du monde et ils ne demandent rien à personne. Elle a joui et une fois encore, ça a été un bel orgasme. Dailleurs
En y réfléchissant
Elle ne se rappelle davoir eu un orgasme aussi intense, à la limite limite dêtre douloureux. Peu lui importe
Elle est corps-à-corps avec Martin et elle profite de son corps, de sa présence, tous deux chauds, au maximum. Elle retrouve son second souffle. Là. Cest le calme après la tempête. Enfin
Façon de parler
Parce que là, elle a une nouvelle idée. Une de plus. Elle nen finit plus davoir des idées coquines qui lui viennent à lesprit, Élise. Mais celle-ci
Bon
Daccord
Elle nest pas toute chaude, CETTE idée. Élise la réchauffe soigneusement. Ah
Ce désir impétueux, furieux de fellation
Visage contre visage, Élise frotte son nez contre celui de son homme. Elle est
taquine. Coquine. Les deux mains sur les joues de Martin, elle glousse et approche ses lèvres. Là. Elle lembrasse. Elle les retire presque aussitôt, ses lèvres. Elle lui parle. Elle lui dit quil la rend heureuse, que pour rien au monde elle ne veut que ce moment sarrête. Et elle lembrasse tout de suite après. Un baiser
Deux baisers
Trois baisers
Pleins de petits baisers
Martin, lui, se laisse faire. Il laisse ses mains prendre les fesses de la femme
et les empoigner afin de les malaxer à sa guise. Élise soupire. Elle aime quand il fait ça. Elle, ça la renforce dans lidée quelle vient tout juste de réchauffer dans son esprit inexorablement
libidineux. Les mains encore et toujours sur les joues, elle lembrasse. Et elle lui murmure de la laisser faire, désormais
Martin retient son souffle. Une main posée sur une joue, Élise retire lautre et la dirige en arrière. LÀ. Elle retire délicatement le sexe de Martin.
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)
À quatre pattes, Élise se déchaîne. Son ardeur est on-ne-peut-plus prononcée. Son envie, son désir se passent de mots. Hormis les regards quelle lance à son amant et les bruits cochons suggestifs quelle émet, elle ne parle quasiment pas. Elle nen a pas besoin à linstant-t. La preuve
Martin, cest pareil. Hormis les yeux dans les yeux et les bruits qui expriment le plaisir quil prend et quil a à se faire sucer, lui nest pas non plus expressif, verbalement parlant. Certes. Mais quand il la regarde, quand il grogne de satisfaction, en fait, il lui exprime tout ce quelle veut, meurt denvie de savoir. Ça lui plaît, cette fellation quelle lui fait
Élise na pas besoin de se le faire répéter. Elle y va de plus belle, le pénis entre ses lèvres. Elle ne pourrait pas être mieux. Sucer, pomper Martin
Elle en a tellement rêvé
Le nombre de fois où elle sest masturbée en fantasmant sur cette turlutte
Le poing droit enroulé à la base du phallus, ses lèvres descendent et remontent. Là. Elle satisfait EN-FIN ses chaudes envies de fellation. Elle aime tellement ça
Quand elle sest un peu reculée au moment où elle a libéré la queue de son vagin, Élise sest tout de suite positionnée à quatre pattes, les fesses outrageusement mises en évidence. Martin, lui, est allongé sur le dos. Sa tête repose confortablement sur loreiller. Elle le voit. Il est tout détendu. On dirait un pacha. Elle le voit. Il se laisse aller. Il grogne de satisfaction tout en la regardant. Elle le voit. Il prend du plaisir. Il dit même des jurons. Sil ne prend pas son pied là, alors elle ne sait pas ce que cest. Tout en le prenant dans sa bouche, elle le regarde. Elle est très heureuse. Elle le lui montre. Martin voit les yeux particulièrement pétillants de sa partenaire. Elle est
radieuse.
S'il savait ce que Élise a en tête, décidément
La femme a la chair de poule. Son bas-ventre lui picote de plus belle. Son esprit est
lubrique, dévergondé. Il est en ébullition. Et elle aussi, elle prend son pied. Elle a beau sucer, pomper Martin
et lui donner du plaisir
Elle en a aussi, du plaisir. Et elle le lui montre. Elle ne détache pas ses yeux de l'homme. Ce pourrait être des yeux amoureux. Ils ne sont pas ensemble, au sens «couple» du terme. Elle ne sait même s'ils se reverront à l'issue de ce week-end. Elle, ça lui dirait beaucoup. Martin est une crème. Il est adorable. Elle se le rappelle mais
Si elle était plus jeune
S'il était plus vieux
Peut-être que ça changerait la donne du tout au tout
Elle ne sait pas. Ce qu'elle sait, c'est que le sexe de Martin a bon goût et qu'elle a bien du plaisir à le prendre dans sa bouche.
Élise se régale. Le poing droit enroulé à la base du membre bien en érection, ses lèvres vont et viennent. Elles sont mouillées, juste ce qu'il faut. Elle suce le pénis. Elle aime ça. Et pour émoustiller Martin
et lui faire perdre définitivement la tête, non seulement elle ne s'arrête pas de la regarder, mais elle émet aussi ces fameux bruits cochons explicites qu'elle a commencé à faire. Elle le regarde, l'homme. Oui
C'est ce qu'elle pensait
Il ne résiste pas à ce traitement. Il y est tout sauf insensible. Il grogne, il gémit. Sa tête retombe sur l'oreiller, il jure. Elle prononce son prénom, il pose sur elle des yeux
Des yeux
? Comment pourrait-elle qualifier ce regard? Les yeux marrons, limite noisettes d'ailleurs, ne la lâchent pas. C'est comme s'ils lui disaient quelque chose en particulier. Elle
croit savoir
Et là, en plus de ces yeux enflammés sur elle, pour elle, la femme rousse voit l'un des bras de son amant tendu vers elle. En direction de son visage. Oh? Il veut
la toucher? Bonne idée, ça!
Élise
a une nouvelle idée espiègle en tête.
La main toujours enroulée à la base de l'érection proéminente et constante, la femme aux cheveux roux tend le bout des lèvres en direction des doigts qui s'offrent à elle. Là. Elle ouvre légèrement la bouche. Elle s'empare des doigts et elle se met, eux aussi, à les sucer. Elle s'en donne à cur joie. Sa bouche va et vient lentement, doucement. Langoureusement, amoureusement. Élise est on-ne-peut-plus heureuse. Elle sourit de plus belle à son amant. Lui, en retour, il la regarde. Elle a beau avoir les yeux embués de fatigue
Ils n'en sont pas moins brillants, ses yeux. Il lui parle, elle l'entend. Il lui dit que c'est «un joli spectacle qu'elle lui offre là.» Que c'est un «spectacle de premier choix.» Qu'il «aime ce qu'il voit». Elle, elle retire un instant les doigts de sa bouche. Elle respire un bon coup. Puis elle soupire. Elle lui dit qu'elle «aime ça, sucer.» Et «pas seulement une belle grosse queue comme la sienne.» Martin ne la lâche pas des yeux. En réalité, il n'est jamais rassasié de Élise. Ça tombe bien
Car elle
non plus
C'est alors qu'elle reprend les doigts dans sa bouche. Elle en profite pour leur mettre la langue. Dans le même temps, elle a les seins collés au pénis. C'est une sensation agréable
Plus qu'excitante
(
)
Élise continue de se donner entièrement. Elle prend é-nor-mé-ment de plaisir à prendre Martin dans sa bouche. Le voir allongé sur le dos
Le voir se laisser faire
Il pourrait être un pacha et la laisser le sucer sans la prendre en compte ou bien en restant passif, inactif. Il nen est rien de tout ça. Martin la regarde, Martin lui parle. Il la touche, il a une main plongée dans ses cheveux mi-longs. Tout ça, ça donne encore plus envie à Élise de continuer. Quand cest comme ça, et quelle fait une pipe à un homme qui lui plaît et avec qui elle se sent bien, elle est prête à tout donner. Elle encourage, exhorte alors son partenaire. Elle lui dit que «sa bouche est à lui.» Elle le supplie de «la lui baiser, sa bouche.» Il lui dit de «ne pas avoir peur», «que ça lui plairait bien.» Elle pose sur lui son regard de panthère. Elle est SA tigresse.
Il ny a aucun doute dans son esprit, à Élise. Si elle le regarde
Si elle lui parle
Si elle le suce comme ça, cest quelle quelle fait ce quelle sait faire. Elle a toute confiance en elle. Elle se sent
sexy. Et quand elle a senti la queue tout contre ses seins, il y a quelques minutes
Ça la émoustillée quand elle sen est rendue compte. Un jour, peut-être, elle le branlera avec
Avec sa poitrine lourde
Ah
La branlette espagnole
Jamais elle na osé, de sa propre initiative. Ah
Avec Martin
Tout est tellement possible. Si elle le lui en touchait deux mots
Il serait partant
Elle le sait. Il y a déjà fait allusion, à cette pratique, dans ses textes coquins. Élise SAIT que ce serait un cadeau des plus émoustillants quelle offrirait à lhomme si elle le faisait. Mais là
Oui, elle a beau le regarder, Martin
Ce nest pas à lordre du moment. Oh
non. Là, elle le suce. Elle suce lenvie quil a delle. Son érection, ni plus, ni moins. Là. Elle pose la paume dune main sous ses bourses. Là. Elle les caresse avec délicatesse. Martin gémit. Sa tête retombe sur loreiller
Le pénis et les testicules, cest fragile. Ça, Élise ne le sait que trop bien. Même si elle aime faire des pipes, même si elle aime les pénis, elle nen reste pas moins délicate. Là. Ses lèvres sont douces et elles coulissent avec précaution, le long de lérection. La paume de sa main, elle, est chaude, juste ce quil faut. Élise prend les couilles à pleine paume et elle les palpe. Elle les caresse. Elle est toujours à quatre pattes. Elle se donne tout entière dans cette fellation quelle offre à son partenaire. Elle se donne corps et âme. Elle sen donne à cur joie. Dautant plus que le sexe de Martin a bon goût
Elle y prend bien du plaisir, à le sucer, à le pomper. Elle meurt denvie quil jouisse. Elle a hâte. Elle va accueillir son sperme avec grand plaisir. Ça, cest sûr! Cest pour ça quelle se fait, se veut langoureuse.
Elle relâche la sucette de son amant. Il ny a pas que ses lèvres qui doivent être actives. La langue a tout autant le premier rôle, dans lart délicat de la fellation. Et là, Élise la dévoile, sa langue. Elle est bien rose. Rose comme le rose pâle des larges aréoles de ses gros seins magnifiques. Rose comme le rose foncé de sa vulve. Élise excite son cher bel amant jeune. Elle fait tout pour. Et pour ça, elle titille les zones sensibles du gland. Et ça fait son effet, direct. Voilà que Martin se remet à lâcher des jurons. Des «putain»
Des «cest bon»
Des «cest trop bon»
Ou encore des «Suce-moi encore comme ça
Tu suces trop bien, Élise»
Élise, elle, ne se le fait pas répéter. Elle va faire jouir Martin. Elle le sait. Cest acté. Il aime tout ce quelle fait. Intéressant
Elle en prend note. Et bien évidemment, elle continue. Oh
oui. Car si elle continue comme ça, il va jouir incessamment sous peu. Elle, elle a partagé sa cyprine avec lui, tout à lheure, quand il lui a fait ce fameux
délicieux cunni. Elle, elle VEUT désormais quil lui donne son sperme.
La femme donne des coups de langue pas du tout discrets au gland de lhomme. Elle se fait coquine. Elle sen donne à cur joie. Elle ne peut tout simplement pas sen empêcher. Elle est comme ça, aux côtés de SON Martin. Elle aime oser. Et elle lui offre en cadeau sa sensualité. Aussi loin que sa mémoire la ramène, non
Elle na JA-MAIS été aussi corps et âme avec un homme. Qui plus est, et surtout
aussi jeune que Martin lest. Là, ils sentendent bien, les deux. Sensuellement ET sexuellement parlant. Elle le suce
Il a du plaisir
Elle le regarde
Elle ne sen empêche, décidément. Mais elle a raison. Parce quen fait, cest ce quil plaît à Martin. Élise le touche et le séduit comme ça. Cest comme ça quelle est. Et cest comme ça quelle doit rester. Cest ce que Martin se dit. Et si Élise le devenait, tout ça, dans les profondeurs de lâme de lhomme?
Un gémissement. Et puis des mots. Élise relève la tête. Elle le regarde. Oh? Oh! Lui aussi, ses yeux sont brillants. «Encore, encore...» «Tu es émoustillante, Élise. Tu es belle...» «Prends-moi. Suce-moi. Jaime trop ça...» «Continues...» Ces paroles
Élise les entend. Et ça lexcite encore plus. Elle le regarde. Elle hoche la tête. Elle a des mèches qui tombent devant les yeux. Martin tend la main vers la chevelure. Il ny a pas de surprise. Elle SAIT ce quil va faire. Il va dégager son visage. Peut-être quil va les lui caresser, ses cheveux couleur flamme... Les rousses lui plaisent, lémoustillent. Elles sont son fantasme numéro un. Et peut-être même quil va les empoigner
Quil le fasse. Elle en a envie. Comme ça, elle va le sucer comme lui, il en meurt denvie. Elle a sa queue bien en main, la main droite enroulée autour de la garde. «Élise...» «Tire-moi les cheveux, Martin. Naies pas peur. Ça mexcite...» Martin ne se le fait pas répéter, lui non plus. Là. Sa main gauche prend fermement une mèche de cheveux couleur lave de volcan. Là. Cest lui qui guide ses lèvres, sa langue. La profondeur, le rythme. Élise le veut. Elle veut lorgasme, le sperme de Martin.
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