La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 618)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°617) - Toujours entre les mains de ces pervers orientaux -
Les Dignitaires arabes sétaient mis à table, une immense table en demi-cercle, sur laquelle ils avaient fait installer, face à eux, nu et encore poisseux de leur jus intime, soumis Endymion MDE. Il avait reçu pour ordre de divertir ces Princes pendant le temps de leur repas. Sur cette table, posée sur ses lombes et son fessier, les bras pliés en appui sur ses coudes, lesclave MDE obéissait aux ordres dictés. Là, pour lheure, il se tenait jambes repliées, cuisses écartées et laissait face à eux son trou béant de son anus bien dégagé et bien exposé devant les regards vicieux de ces mâles orientaux affamés. Un peu plus tard, un nouvel ordre était donné : soumis Endymion MDE devait se fouiller lui-même son petit trou de lope. Il glissa un doigt puis deux, toujours sur ordre, il sécarta lanus avec ses deux index, puis fit aller et venir en lui son majeur en une cadence infernale, sous les vivats et les applaudissements de son Excellence lEmir Abdallah. Mais lindécence ne sarrêtait pas là, les ordres fusaient de part et dautre, il lui fallut encore se caresser lentrecuisse, se tenir outrageusement cambré, à genoux sur cette table et tantôt se pincer et vriller ses petits tétons ou se masser la queue et les couilles, selon les volontés de ceux présents. Pire quune simple putain, soumis Endymion MDE nétait autre quune chienne en chaleur à tout faire, y compris des actes de putasserie dune vulgarité insensée. Dans cet exercice de style imposé, il avait bien du mal à se reconnaitre et pourtant malgré lui, il y prenait plaisir ! Plus de moralité, plus dhonneur, encore moins de pudeur, Il avait tout abandonné, tout
sauf son excitation !
- Approche chienne, reste sur cette table et vient à quatre pattes, près de moi ! Ordonnait lEmir.
soumis Endymion MDE avançait lentement, se déhanchant exagérément.
- Lèche mon chibre chienne, passe bien ta langue sur ma robe ! Dictait lEmir
Telle une mécanique bien huilée, lesclave MDE ne réfléchissait plus, ne pensait plus, malgré un équilibre un peu précaire, il gobait ce sexe tendu sous ce tissu de cette robe blanche, tout en se faisant triturer la queue et les burnes par une main hardie et entreprenante
Tandis quil se faisait pomper, lEmir se pencha et approcha ses lèvres près des oreilles de soumis Endymion MDE. Il lui susurra quelques mots en arabe, puis se reprit et lui fit la traduction :
- Je te réserve une surprise le chien !
Il attrapa soumis Endymion MDE sous le menton lobligeant à le regarder droit dans les yeux, seulement à quelques centimètres de son visage :
- Jen avais parlé à ton Maître, au si Honorable Monsieur le Marquis dEvans. Je lui avais annoncé que si ton comportement était conforme à ce que jattendais de toi, alors tu serais récompensé
Ces yeux anthracite et dominants séclairaient, son regard sombre silluminait avec en sus un petit sourire aux coins des lèvres des plus pervers :
- Tu es vraiment une bonne et belle salope, alors oui je vais te récompenser.
Cette main toujours accrochée à ses couilles venait subitement dexercer une douloureuse pression. Lesclave MDE ne put retenir un éprouvant gémissement, lobligeant à se cambrer plus encore et à lâcher le regard soutenu de lEmir.
- Regarde-moi chien, ne tinquiète donc pas de tes couilles, laisse-toi tripoter, tu es là pour ça, tu es fait pour ça !
Soupirant et haletant soumis Endymion MDE remit son regard imposé dans celui de lEmir. Il tremblait, tant par la douleur que par linquiétude. Que lui réservait-on ? Une certaine anxiété venait de lenvahir. Même sil tentait de rester impassible et de ne pas montrer son angoisse, il était loin dêtre rassuré. Qui plus était, cette main agrippée à ses burnes, les faisant rouler et les écrasant lune contre lautre, lobligeait à craindre les pires tourments. Il ne put retenir un cri, lorsque la pression devint insupportable.
- Combien desclaves mâles aimeraient ne plus avoir ces attributs pendants dentre leurs jambes, je suis sûr quau moment où je te parle, tu préfèrerais être castré !
La douleur était insoutenable, la peur dêtre châtré, là, sur place, en guise de récompense épouvantait soumis Endymion MDE. Des images en flash revenaient à son esprit, ce sabre, avec cette lame finement aiguisées
. Il saffaissa, à plat ventre sur la table en hurlant :
- Nooooonnnn pas ça pitié
pitié !
LEmir lui caressait la tête et sapprocha encore de son oreille, il sadressa vicieusement à lui :
- Ne tinquiète pas mon garçon, tu vas les garder tes couilles, elles nous sont trop indispensables pour te procurer de bons supplices
Et puis jai promis à Monsieur le Marquis dEvans de te rendre en entier !
LEmir ricana vicieusement puis claqua des doigts, et la main aussitôt se dégagea du bas ventre de soumis Endymion MDE. Il put reprendre son souffle et ses esprits, enfin presque. LEmir fit claquer une seconde fois ses doigts, alors trois Princes arabes se précipitèrent sur lesclave MDE, lattrapèrent tel un vulgaire objet et le transportèrent sur une table de massage. Ils le retournèrent à plat sur le dos et attachèrent ses membres aux pieds de cette table étroite, laissant jambes et bras liés pendre de part et dautre.
- Mourad ! Appela-t-il
Le servant esclave accourut, il reçut un ordre en arabe et dès que lEmir eut fini sa phrase, Mourad se précipita sur le sexe inconsistant dEndymion MDE et le suça tout en le branlant énergiquement jusquà ce que celui-ci reprenne un beau volume.
- Je préfère te voir la queue en lair, bien excité
LEmir se tut quelques instants puis caressa les mamelons de celui quil tenait bondé, puis sa main palpa le haut de sa poitrine droite, tout près de sa clavicule.
- Cest ici que je vais te tatouer mes armoiries BDSM, juste un croissant de lune surmonté de trois petits points et dune virgule. Voilà ce que sera ma récompense chien. Tu as déjà la marque sur ton cul de ce Vénérable Maître à qui tu appartiens, maintenant tu vas avoir ma propre signature ici !
LEmir appuya fortement à lemplacement prévu, à tel point que soumis Endymion MDE grimaça.
- Tu sauras apprécier cette récompense petite chienne
Seulement ceux qui le méritent, portent mes armoiries. Toi, tu en es digne, parce que tu es un bon esclave ! Et puis je suis fier que tu puisses porter Mes inscriptions indélébiles sur ton corps de salope. Peut-être seront-elles le tout début dun ornement qui, un jour, sera, si ce très Cher Ami Monsieur le Marquis dEvans le souhaite
et cest ce que jai cru comprendre
complétées par dautres signatures de Grands Dominants voulant eux aussi, inscrire dans tes chairs, ton passage entre leurs mains
Ainsi chacun de nous initiés saurons, chez qui tu tes fait loper, chez qui tu as été prêté, tout ton pédigrée noté, dévoilant au grand jour, ton circuit élaboré par ce Grand Maître quest Monsieur le Marquis dEvans !
LEmir claqua encore des doigts. Un des princes sapprocha et nettoya à lalcool lemplacement réservé à cette marque indélébile, puis un autre entreprit le tatouage, un long travail méticuleux parfois douloureux, dune taille tout à fait raisonnable, de deux à trois centimètres seulement.
La nuit était tombée sur New York City, après avoir partagé avec Mourad, au sol et à quatre pattes, une gamelle dun délicieux et nourrissant couscous, soumis Endymion MDE fut emmené dans un petit local et couché sur un matelas moelleux posés sur une table. Là, en chien de fusil sur le côté droit, il fut attaché serré, jambes lune contre lautre et tenues repliées, les mains dans le dos, un cordage tout autour de son buste. On léquipa également dune cagoule en cuir, le plongeant dans la totale obscurité, on lui mit aussi des boules Quies dans les oreilles lenfonçant dans le silence le plus total. Mourad, caressa la tête dEndymion MDE, lui posa un baiser volé sur sa tempe et quitta la pièce en éteignant la lumière. Il ne fallut pas longtemps à soumis Endymion MDE pour sendormir profondément, tant il était épuisé, malgré les différentes contraintes quil devait encore subir
A deux ou trois reprises, il fut réveillé par quelques courbatures ankylosantes presque douloureuses mais se rendormit très vite
Rêvait-il ? Sa queue coincée derrière ses jambes sétait subitement tendue suite à une agréable sensation, comme un souffle tiède sur son arrière train. Non Endymion MDE ne rêvait pas, une langue glissait maintenant sur sa raie et tendait de sintroduire dans son petit trou laissé à disposition. Une langue mais aussi un doigt effleurait son orifice intime alors quune main glissait sur sa nouille érigée et ses couilles. Dans limpossibilité de bouger, lesclave MDE ne put retenir quelques gémissements sonores. La langue, le doigt, furent remplacer rapidement par une queue, et des mouvements lents de va et vient simprimèrent entre ses chairs intimes. Une bien belle et douce sodomisation, qui réveillait tous les sens de soumis Endymion MDE et qui se terminait trop vite à son goût, par une grosse éjaculation au bout dune dizaine de minutes. Cette queue se dégageait rapidement de son cul et se logeait prestement dans sa bouche. Endymion MDE avide et gourmand la nettoya, la suça espérant ne rien perdre de cette semence. Cest alors quil sentit quon lui dégrafait cette cagoule quil portait sur le visage. Aveuglé par lintensité de la lumière du jour, il ouvrit les yeux avec difficulté et là, il saperçut que la queue quil avait dans la bouche nétait autre que celle de Monsieur le Vicomte dEvans
- Ca va Mon Chien ? Il semblerait que tu aies bien dormi ! Allez, je vais te détacher, il est lheure pour toi de regagner lAcadémie, mais aussi daller présenter tes respectueuses salutations à Monsieur lEmir Abdallah et ses Hôtes, les remercier sincèrement et chaleureusement de tous les pervers sévices quils tont fait subir.
soumis Endymion MDE, se prosterna devant eux, embrassa chacun de leurs pieds, puis enfila une simple djellaba, et une paire de babouche aux pieds. Juste avant de quitter la chambre, lEmir interpella encore Maître CharlEd :
- Tenez Charles-Edouard, ceci est pour votre Oncle, mon très cher et vieil Ami, Monsieur le Marquis dEvans.
Il ouvrit une valise remplie de dollars en grosses coupures
- Mais non Votre Excellence ! Répliquait confus Maître CharlEd
- Chut, cher Ami, ce nest rien
une pute ça se monnaye, celle qui est Votre possession en est une belle. Remercier chaleureusement votre Oncle et dites-lui tout le bien que je pense de Votre salope.
Les deux hommes se serrèrent chaleureusement les mains. Endymion MDE, humilié, bafoué et relégué au rang de pute sentit une nouvelle fois son membre se tendre sous sa djellaba. Il eut bien du mal à cacher son érection au sortir de lhôtel.
(A suivre
)
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