Journal D'Une Pucelle Provisoire
Lundi 1er juillet
Me voilà donc, moi, Marie-Charlotte, 18 ans tout juste, enfin arrivée dans le cottage de la famille anglaise qui va m'accueillir pendant quelques jours. Deborah et Peter, mes hôtes, étaient venus m'attendre à la descente de l'Eurostar. J'avoue ne pas avoir tout compris ce qu'ils m'ont dit, ce qui me montre l'étendue des progrès qu'ils me restent à accomplir dans la langue de Shakespeare et de Martin Amis (que je préfère). Comme mon prénom est un peu compliqué pour eux, ils ont décidé de m'appeler Mary. En échange, Deborah m'a demandé de l'appeler Debbie. A première vue, ils ont l'air très sympas. Debbie est une grande femme aux cheveux blond vénitien et à la peau constellée de taches de rousseur, rondelette et typiquement britannique. Peter est sec comme un coureur de demi-fond, avec des cheveux ramenés en catogan. Ils ont un côté baba cool qui me plait bien. Pas du tout le genre de ma famille, soit dit en passant, puisque nous habitons Passy. Ce qui m'a surpris, c'est que Debbie portait par dessus son jean une espèce de tunique légère avec rien dessous. Difficile d'échapper à ses gros nichons. Si ma mère avait vu ça, elle m'aurait demandé de rentrer tout de suite à Paris. Peter a un gros tatouage sur le biceps, ce qui n'est pas non plus le genre de mon père. Mais je m'en fous. Je suis en vacances. Et le cottage est vraiment bien, très anglais avec plein de fleurs autour. Ma chambre est mignonne, une vraie bonbonnière, avec une bouilloire électrique, des sachets de thé et une tasse. Les deux gamins du couple vont bientôt partir chez leurs grands-parents, ce qui m'arrange car je me voyais déjà jouer les nounous. Demain, ils vont m'emmener voir un peu de pays, Stratford upon Avon pour commencer, la ville de Shakespeare à ce qu'ils m'ont dit. Je raconterai tout ça dans mon journal que je commence aujourd'hui.
Jeudi 4 juillet
Déjà le quatrième jour. Je n'ai pas vu le temps passer.
Dimanche 7 juillet
Quelle journée ! Elle fera date dans ma mémoire. Aujourd'hui, il faisait un temps dégueu et mes hôtes ont décidé de rester à la maison. J'ai bossé mes cours par correspondance le matin et l'après-midi, on a commencé une partie de monopoly. Et puis, soudain, après s'être gentiment chamaillés pour une histoire d'achat et de vente, mes hôtes se sont encore embrassés et pelotés puis ont tout laissé en vrac pour aller dans leur chambre.
Lundi 8 juillet
Je n'ai pas pu résister. Quand après le déjeuner, Debbie et Peter ont gagné leur chambre soi disant pour faire la sieste, je me suis glissée dans le cellier et déplié l'escabeau. Ils finissaient de se déshabiller en s'embrassant. Debbie a saisi le sexe de Peter et l'a porté à sa bouche. J'ai pu voir comment une femme procède à une fellation. J'avais l'impression qu'elle suçait une glace sauf que celle-ci grossissait, grossissait... Peter avait l'air aux anges et caressait la tête de sa femme. J'ai regardé ses fesses, très poilues, très bombées. Puis il s'est allongé et Debbie est venue sur lui mais, attention, à l'envers. Tête bêche, quoi. Elle a continué à le lécher et le sucer pendant que lui fourrait sa tête entre ses cuisses. Je ne voyais pas trop ce qu'il faisait mais j'imaginais, surtout que Debbie avait parfois le derrière qui frémissait. Le mien aussi, d'ailleurs. J'avais très chaud dans le bas du ventre. Ils sont restés ainsi pendant un bon moment. Et puis, Debbie s'est dégagée et toujours en lui tournant le dos, elle a pris le sexe de Peter et la dirigé vers son vagin avant de s'empaler lentement. Pénétration en direct live, spectacle totalement inédit pour moi. Comment faisait-elle pour ne pas avoir mal en se mettant un engin pareil dans son intimité, j'avoue que ça m'échappait. Non seulement elle n'avait pas mal mais elle se l'enfonçait entièrement en elle et se mettait à aller et venir frénétiquement, remuant son popotin avec allégresse tout en se caressant les seins. Puis elle s'est mise accroupie, et jambes fléchies, s'est empalée à nouveau. J'ai pu ainsi nettement voir la pénétration du sexe de Peter dans celui de Debbie. Hyper réaliste ! Cette croupe semblait jouer avec ce pieu comme pour l'exacerber.
Jeudi 11 juillet
Peter a quitté la maison depuis une semaine. J'ai appris qu'il travaille sur une plateforme pétrolière off shore et ça peut expliquer la frénésie sexuelle du couple dans les périodes où il est présent. Du coup, je souffle un peu. Plus tentée d'aller jouer les voyeuses dans le cellier, et pour cause. Avec Debbie, nos relations sont devenues plus intimes. Elle se balade à poil devant moi comme si j'étais naturiste. Mais je ne vais pas m'aligner. Trop pudique, ou pas assez libérée, comme ou voudra. Mon milieu ne m'a pas préparé à ça et mon lycée encore moins. Quand je pense à notre éducation sexuelle, je rigole. Deux ou trois vagues dépliants, sans commentaires. A voir la giclée de sperme de Peter, on comprend parfaitement ce qu'est l'éjaculation masculine. Et quand je revois Debbie rassembler le sperme étalé sur son ventre, le mettre sur ses doigts et s'en lécher les babines, alors je me dis que la semence a d'autres usages que la fonction reproductive. J'avoue que tout cela me laisse à penser. Surtout le soir dans mon lit. Je revois la bouche de Debbie remplie par le membre viril de Peter, sa langue titiller le gland, sa main lui presser les testicules et j'en conclus qu'on peut faire l'amour autrement que par la pénétration. Mais je revois aussi le sexe de Peter coulisser dans celui de Debbie avec la régularité d'un métronome, entrer et sortir, sortir et entrer, et provoquer à chaque fois des exclamations de Debbie. Ce corps sec, tatoué et pointu du mâle qui besogne cet autre corps charnu, laiteux et ouvert de femelle dans un contraste saisissant, ça me met dans tous mes états. Je me masturbe désormais tous les soirs en repensant à ces scènes de luxure. J'en rêve la nuit et je me réveille avec un mal au bas ventre. Je dois faire une drôle de tête au breakfast car Debbie me demande si je ne suis pas malade... Je commence à mieux parler avec elle. Elle se débrouille en français, ce qui facilite un peu la communication, mais je m'efforce d'échanger dans sa langue. Elle m'a demandé si j'ai un "boy friend" et je lui ai dit "no". Si j'avais déjà "made love" et j'ai encore dit "no, I am virgin". Elle a eu l'air stupéfaite. "What ! At eighteen years old ?" Eh ben oui, à 18 ans, pucelle... J'ai dû avoir l'air navré et elle m'a demandé si j'avais été gênée de les entendre "fucking". J'ai encore dit "no" et elle a eu l'air soulagée. Elle m'a dit qu'elle adorait faire l'amour et même baiser (fuck) et que Peter lui manquait terriblement. "A very good lover". J'avais compris, merci. Cela me promet encore de belles séances quand il va revenir. Mais cette atmosphère érotique m'a pris le cerveau. J'ai sorti de ma valise ma mini jupe, mon bustier et mes sandales à talons hauts. J'ai rangé le jean et les baskets. Envie d'être sexy.
Samedi 13 juillet
Mon éducation sexuelle a encore franchi un palier aujourd'hui. J'étais partie faire une course en ville et au retour, j'ai vu que Peter était rentré. Son sac encombrait le vestibule. J'arrive dans la cuisine poser le panier à commissions et les deux tourtereaux étaient en train de s'embrasser à pleine bouche. Peter s'est interrompu pour me saluer, a regardé mes jambes sous la mini et a continué à peloter Debbie. J'ai voulu me retirer mais Debbie m'a jeté d'une voix rauque, que je ne lui connaissais pas : "stay here and look !" Que pouvais-je faire d'autre que rester et regarder ? Alors, j'ai vu Peter retrousser la robe de Debbie, lui caresser ses cuisses dodues, remonter jusqu'au slip, glisser un doigt dedans tandis que Debbie déboutonnait la braguette de Peter, en sortait son engin et faisait coulisser sa main dessus. Ils se sont ainsi mutuellement masturbés un petit moment en se titillant la langue et je m'attendais à ce qu'ils gagnent leur chambre, comme d'habitude, après m'avoir initiée à leurs préliminaires. Je me trompais. Peter a assis Debbie sur la table de la cuisine et lui a retiré son slip. "Lick my pussy", a dit Debbie. J'ai vite compris ce que cela voulait dire. Peter a pris une chaise et s'est mis à table, sauf que son assiette était l'entrecuisses poilue de Debbie. Elle m'a pris la main pour me rapprocher et dit encore "look, look !" J'ai donc regardé la langue de Peter jouer avec la fente de Debbie, troussée sur la table. En d'autres temps, j'aurais trouvé ça sale, indécent. Mais là, non, peut-être parce que Debbie avait l'air de savourer le moment. Elle gémissait en se mordant les lèvres, les cuisses autour du cou de Peter. Curieusement, je me sentais plutôt à l'aise, mieux en tout cas qu'en haut de l'escabeau, comme si je participais à leurs jeux, en toute franchise cette fois. Puis Peter s'est redressé, en pleine érection. Il s'est débarrassé de son pantalon, de son caleçon, de sa chemise et même de ses chaussettes. De voir cet homme tout nu (et quel homme) juste devant moi m'a remplie d'une onde de chaleur dans tout le corps. Debbie a fait passer sa robe par dessus sa tête et a ouvert grand ses cuisses sur la table : "fuck me, fuck me hard !" a-t-elle lancé à Peter, tout en me tenant toujours la main pour que je ne me sauve pas. Alors, Peter lui a saisi les cuisses, l'a pénétrée lentement et s'est mis à la labourer de son gros pénis. "Look, look" répétait Debbie, qui avait l'air très excitée par ma présence. J'étais fascinée par le travail du pénis, par le bruit mouillé des deux sexes joints, par le jeu de jambes de Debbie qui frottait et pressait le corps de son mâle. Puis entre deux râles de plaisir, elle me lança : "caress him". J'ai cru avoir mal entendu mais elle répéta : "caress him, his cock, his buttocks, his balls". Et pour bien me faire comprendre, elle plaça ma main sur ses fesses puis sur son pénis en mouvement et encore ses fesses puis ses testicules. Je me laissais faire. Et je me suis mise à caresser... Surtout les testicules. J'ai adoré sentir dans ma main ces deux boules bien fermes et bien vivantes. Quand il a senti que je le caressais à cet endroit, Peter s'est mis à accélérer le rythme. J'avais l'impression de participer à leur coït. Complètement écartelée et étalée sur la table, Debbie s'est mise à beugler des "come come !" et des "fuck fuck !" qui m'ont littéralement électrisée. J'étais à deux doigts d'enlever ma culotte et de m'asseoir à côté d'elle pour que Peter me prenne à son tour. Mais quelque chose m'a retenue. Un reste de pudeur, ou de blocage, comme on voudra. Peter a éjaculé, Debbie a joui, j'ai lâché les testicules et je me suis masturbée sous ma mini en gémissant. Debbie l'a vu, a souri et a dit : "good, good, you make progress..." Et dire que mes parents m'ont envoyée ici pour progresser... en anglais !
Dimanche 14 juillet
Et voilà, ça y est, j'ai perdu mon pucelage ! Et le jour de notre fête nationale en plus ! Et je ne l'ai pas fait exprès. Tout s'est passé très simplement, très naturellement. Comme il faisait beau, l'après-midi, on est allé au bord de la mer et on s'est baigné dans la Manche. Brr, elle était froide, mais je me suis fait violence car mes hôtes se baignaient sans la moindre réticence. J'ai pu encore admirer la plastique impeccable de Peter, en particulier ses organes génitaux bien moulés dans son maillot. Depuis la veille, je ne pensais qu'à ces attributs que j'avais palpé sans la moindre vergogne. Dans son bikini, Debbie était vraiment sexy mais, j'ose le dire, c'est moi que les mecs regardaient dans mon deux pièces minimaliste. Bref, je me sentais archi mûre pour quelque chose de grand que je n'osais me formuler. En rentrant, Debbie et Peter sont allés prendre une douche pour s'enlever le sable et le sel et m'ont invitée à en faire autant. Quand je suis sortie de la douche, ils m'ont appelée. Ils étaient nus sur leur lit. "Keep your clothes off", m'ont-ils dit. Et je me suis mise à poil moi aussi. Debbie m'a expliqué que Peter était d'accord pour que je ne sois plus une "virgin". La situation était très troublante mais ils ont été très gentils, très prévenants, et je me suis laissé faire. Peter est venu poser son museau entre mes cuisses après les avoir léchées à tour de rôle. Sa langue contre ma vulve m'a procuré une sensation inédite et je me suis abandonnée à elle. Puis Debbie a sorti un tube de gel et après avoir branlé Peter puis recouvert d'une capote, a enduit son sexe de la crème, en particulier le bout. "Cool !" m'a-t-elle dit avec un doux sourire. Peter s'est mis sur moi, bras tendus, entre mes cuisses et j'ai senti le bout de son sexe se frayer millimètre par millimètre un petit passage, se retirant, rentrant... jusqu'à ce qu'enfin, je sois pénétrée. Sur le coup, j'ai crié. J'avais eu un peu mal et il s'est retiré à nouveau puis est rentré encore, cette fois plus profondément. Alors, un intense bien être m'a envahie. C'était comme si j'attendais cette présence depuis longtemps en moi. Il m'a fouillée tranquillement puis de plus en plus vite et j'ai suivi la cadence comme je l'avais vu faire par Debbie. Je sentais sa petite main qui caressait les bourses de Peter entre mes cuisses. Mais au moment où je sentais monter quelque chose de fort, de nouveau, qui était sans doute l'orgasme, Peter s'est retiré. J'étais un peu déçue, d'autant qu'il a renversé Debbie sur le lit, l'a pénétrée aussitôt et lui asséné de grands coups de reins, bien plus violents que pour moi. J'en ai conclu qu'il avait ménagé mon intimité toute fraiche et je lui en suis reconnaissante, c'était très délicat de sa part. Debbie, elle, était bien plus habituée à son gros calibre et ils ont joui ensemble très vite. Ils s'entendent merveilleusement au lit. Ah si je pouvais trouver plus tard un Peter...
Mercredi 31 juillet
Me voilà dans l'Eurostar, prête à repartir à Paris. Quand je repense à ce mois de juillet, spécialement les dernières semaines, je considère que j'ai changé d'ère. J'étais partie jeune fille, je reviens jeune femme. J'étais partie pucelle, je reviens initiée aux choses du sexe au terme de ce qu'on pourrait appeler un stage intensif. Je ne suis sans doute pas la première à avoir laissé son pucelage en Angleterre, mais à ce point, on ne doit pas être légion... Dès le lendemain de ce 14 juillet historique pour moi, Peter, Debbie et moi, on s'est mis à jouer. Des jeux un peu spéciaux, cela va sans dire : tous les trois à poil sur le lit conjugal, à se suçoter, se léchouiller, se caresser etc. J'ai appris qu'on pouvait faire l'amour à trois. Enfin, disons plutôt baiser puisque c'est le mot français qui correspond à "fuck". Peter étant l'homme unique, on cogitait avec Debbie des positions où il pouvait nous satisfaire en même temps. N'empêche : on se bousculait un peu pour s'empaler sur son pieu dressé. Debbie a été une très bonne prof. J'ai vite appris le cheval, si j'ose dire. Tellement que j'avais tout le temps envie de baiser. Il faut dire que Peter avait viré sa capote et j'ai senti tout de suite la différence dans mon déduit tout frais ouvert. C'est sans doute pour ça que j'étais si sensible. J'ai vu Debbie se faire sodomiser en direct live mais j'ai décliné la proposition car pas encore assez mûre. Cela viendra en son temps. Pendant une semaine, Peter a donné tout ce qu'il a pu et est reparti sur sa plateforme complètement lessivé. Debbie a compris qu'il me fallait un mec absolument. Elle a passé deux ou trois coups de fil à des potes et j'ai vu débarquer Bryan, un grand mulâtre de 40 ans, divorcé et autant en manque que moi. Après quelques simagrées de circonstance, Debbie nous a laissés seuls et on est allé au lit. On n'en est quasiment pas sorti pendant deux jours. Debbie nous rejoignait parfois mais sans pénétration pour elle, juste des petites caresses, en particulier sur les bourses de Bryan. Puis on s'est revu le soir et la nuit jusqu'à mon départ. J'étais folle de son corps et il me manque déjà. Vais-je le revoir ? Je l'espère mais je n'en sais rien. Quoi qu'il en soit, je n'aurais pas perdu mon temps ici. Je sais désormais ce que veut dire fuck, pussy, buttocks, balls, cock... Qui a dit qu'on n'apprend pas l'anglais en un mois ?
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