Jouissances

"Chérie, je te promets que tu vas jouir à ne plus en pouvoir..."
J'embrasse doucement tes lèvres et redescend sur ta gorge.
Je malaxe tes seins. Mordille le téton. Pince l'autre. Tu commences à te tendre.
Alors je continue, ma langue s'échappe contre ton flanc droit, ma main caresse ton flanc gauche. Tu trembles…
Les mains contre tes hanches. Puis les caresses contre les genoux.
Tu gémis de dépit... Tu me veux agaçant ton intimité ? Patience...
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A Manon, ma muse, nos jeux et nos jouissances…


La vérité ? Je ne sais plus trop comment je t’avais entrainée dans mon lit.
Oh, je sais bien, j’ai bien vu… Il n’a pas fallu grand-chose. Tu n’étais sans doute pas la plus difficile à draguer. Moi non plus, d’ailleurs…

Le début de la première soirée ?
Un souvenir vaporeux, peuplé de jouissance… C’était bon, c’est tout ce qui me revient. Et c’est suffisant.

Le début de cette soirée ?
Je te revois arriver, bras chargés d’une pizza. On discute tranquillement, assises sur le canapé, ta semaine, la mienne. Rien de nouveau.
Nos mains qui se frôlent, nos sourires, nos corps qui réagissent. Rien de nouveau non plus.
Je perds le fil quand ta bouche prend la mienne avec passion.
On savait l’une et l’autre comment la soirée finirait. Alors, je t’entraine dans la chambre. Je me déshabille en route.
Le désir prend le dessus sur toute autre sensation, je veux ton corps contre le mien. Vite.
Je crois que tu es dans le même cas que moi, quand je me retourne vers toi pour t’enlacer, tu es aussi nue que moi.
Je souris. Me laisse tomber sur le lit. T’entraines dans ma chute.

Ta langue dans ma bouche qui joue avec la mienne. Tes mains contre mes seins. Je gémis.
Et puis, les baisers au creux de mon cou, qui me font frissonner.

Et tu descends encore. Tu lèches doucement les abdos, le nombril. Puis, tu t’attardes juste au dessus des lèvres.
J’halète. Je sens mon sexe couler. Je veux ta langue contre mon clito. Je veux tes doigts dans mon vagin.
Je veux jouir, chérie. Je veux jouir…

Mais tu restes en surface, tu me fais attendre. Que c’est frustrant…
Je sens ton index jouer avec mon anus. Je me tends vers toi.
Tes mains remontent. Tu masses mes seins, pinces mes tétons.
Enfin ! Ta langue, tes dents jouent avec mon petit bouton.
Ohhh. Je suis au bord de la jouissance !

Mes mains se perdent dans tes cheveux. Je me contracte.
Tu sens mon orgasme. Tu accélères encore.
Je suis prise de spasme. Je pousse un cri d’extase.
Mon corps se contracte brusquement.
Oh putain ! Je jouis tellement fort !

Je reste pantelante dans le lit.
Je mets du temps à reprendre mes esprits. Mon orgasme dévastateur ne m’a pas encore relâché.
Je te sens revenir à côté de moi. Je sens ta bouche embrasser la mienne. Tes doigts sont toujours sur moi. Tes bras qui m'enserrent.

Si tu savais comme j'ai jouis, chérie...

Et puis, ta main qui prend la mienne, l'amène contre tes cuisses. Tu coules, ma belle... Le spectacle t'as plu ! Tu me chuchotes que tu veux jouir, que tu veux que je te fasse jouir. Tu presses tes cuisses entre elles pour que ma main soit au plus près de ton intimité...

Je souris, j’ai une idée. Tu m’avais dit que tu voulais que je te domine ?
Je te retourne contre le lit. J'ôte ma main de ton entrecuisse, je te chevauche. J'hume tes cheveux. La main contre ton menton, je te prends la bouche avec vigueur... Et tu ne te défiles pas... J'embrasse ta gorge, ton oreille.

Je murmure : "Alors petite cochonne, on salit ses draps et ses culottes en pensant à moi..."
Je te sens sourire, à tout tour. Je me penche vers la table de nuit.
Je reprends, en te mordillant le lobe de l'oreille, "ça mériterait une punition, non ?"
Je me recule pour t’admirer. Ton regard brille d’un drôle d’éclat. Lubricité ? Excitation ? L’idée à l’air de te plaire en tout cas…

Je te prends les mains, les attachent d'un ruban de satin au bord du lit.
Tu es belle, comme ça, à ma merci. Cette vision me stimule aussi…

"Chérie, je te promets que tu vas jouir à ne plus en pouvoir..."

J'embrasse doucement tes lèvres et redescend sur ta gorge.
Je malaxe tes seins. Mordille le téton. Pince l'autre. Tu commences à te tendre.
Alors je continue, ma langue s'échappe contre ton flanc droit, ma main caresse ton flanc gauche. Tu trembles…
Les mains contre tes hanches. Puis les caresses contre les genoux.
Tu gémis de dépit... Tu me veux agaçant ton intimité ? Patience...

Enfin, j'y suis. Ouvre ton sexe de ma langue. Lape la cyprine qui déborde.
Ma langue fuit dans ton vagin. Elle te pénètre, alors que deux doigts frottent ton clito.
Ohhh, tu te cambres déjà, ma belle. J'ajoute mon index contre ton anus.
Tu jouis dans un long gémissement d'extase.


Je n'ai pas fini !
Je te pénètre de trois doigts. Je te possède. Ma langue lâche ton clito sensible. J'y reviendrai... Mais pour l'instant ma langue humide s'occupe de ton petit trou. Je m'arrête sur le périnée. Lèche l'entrée de ton anus qui se contracte sous l'effet de la jouissance précédente. Profite de cette caresse comme je l'aime, chérie.
Tu te cambres de nouveau, tu jouis, sans savoir si c'est l'effet du vas et viens dans ton vagin, ou de ma langue dans ta rondelle.

Tu as les yeux fermés, happée par ton orgasme. Je te regarde un instant, attachée, encore tendue par la jouissance. Tu n’ouvres même pas les yeux pour me chuchoter « oh putain, que c’est bon ! ».
Je souris à ta réaction. Oh, oui, que c’est bon… Mais tout n’est pas encore fini. Je sors un gros gode rose du tiroir de la table de nuit.

Je me replace entre tes cuisses ouvertes. Observe ta chatte pulser sous l’effet de nos jeux.
Je pose le gode contre ton sexe. Tu sursautes au contact du plastique.
Tes hanches se tendent vers moi. Tu vibres. Tu cherches la pénétration, que je retiens.
Tu murmures : "baise moi... Oh oui, baise moi !"
Je te pénètre lentement pour que tu profites de chacune des sensations. Je te possède, chérie... De lent, le va et viens se fait de plus en plus rapide.
J'enfonce mon index dans ton anus encore ouvert de tout à l'heure... Ma langue n'a pas le temps de frotter ton clito. Tu jouis dans un hurlement de bonheur. Tu trembles, tout ton corps se contracte. Des membres vont dans des sens désordonnés... Tu es belle, chérie, prise par ton violent orgasme.

Je colle le gode contre ton anus. Oh, ne te contracte pas, tu es prête à le recevoir au creux de tes reins... Ma langue nettoie ta mouille qui a coulé. Je rentre doucement le bout du jouet dans ton anus et j'attends. J'attends que tu me demandes la pénétration, que ton corps me le crie.
J’attends longtemps. Ma langue se perd de nouveau dans tes nymphes, une partie du gode dans ton cul.

Subitement, tu t’écris : "Kim, putain, baise moi ! Prends moi !"
Oh oui, chérie, je vais de te baiser jusqu'à te faire jouir.
Le gode s'enfonce dans ton cul, doucement. Tu te détends.
Je reprends le mouvement de va et viens. Vite, puis lentement. Ma bouche ne se décolle pas contre ton intimité brûlante.
Tu le sens, chérie ?
Tu le sens ton orgasme fondre sur toi ?
Oh ! Tu te contractes. Tu jouis fort. Très fort.
Ton corps part dans tous les sens. Tu hurles.
Tes mots sont incohérents. Ta tête rejetée en arrière.
Ta mouille dégouline.
Tu perds complètement pied. Tout n’est plus que jouissance. Tu es belle.

Et tu peines à reprendre tes esprit quand j'ôte le jouet de ton anus et que je défais le nœud qui te maintenait...
Je t'embrasse doucement. Te câline, te laisse reprendre ta respiration.
Mes mains caressent lentement ton corps.
Tu ouvres les yeux, sourire plaqué aux lèvres : « C’était si bon… Magique ! ».
A mon tour de sourire, je me love contre toi.
Tu es encore brûlante…