Satine Et La Sororité « Beta, Zêta, Gamma » 4
Satine et la sororité « Beta, zêta, gamma ».
-Oh ouuuiii ! Suce-moi! Aaaggggh! Lèche mon clito! Aaahhh ! Bouffe ma chatte, fais bien jouir ta soe
!
Merde ! Jai failli trahir notre secret. Mais Patrice ne sest rendu compte de rien et continue de lécher, de sucer, y ajoutant même ses doigts quil pousse dans létroit canal intérieur de ma grotte damour. Jen frissonne et coule sur ses doigts pendant quil titille mon clitoris entre ses lèvres. Il le suce doucement mais avec force, bavant dessus, en même temps quil coulisse ses doigts rapidement dans et hors de ma fente. Je sens monter lorgasme du plus profond de mon être, annonçant ma future jouissance, durcissant encore mes mamelons et contractant mon vagin, des sensations affolent mon corps. Je me mets à jouir de façon incontrôlable, je ne sais pas si cest parce que mon frère broute ma chatte.
- Unnggh! Lèche-moi bien ! Bouffe-moi la chatte ! Je jouis, je jouuuiiiiis !"
Suite :
Tout le monde nous regarde mais je men fous. Ma chatte sous des spasmes incontrôlés coule comme une fontaine, donnant à mon frère de quoi se désaltérer, de quoi lécher et sucer abondamment. Mais ça ne semble pas le gêner et il continue de sucer mon clito et à me faire jouir, mamenant au summum de mon orgasme. Il me faut presque une minute pour que les spasmes ne sapaisent et que je redescende sur terre. Mais ce que je veux dans mon sexe, cest une envie que je nai jamais ressentie aussi fortement quaujourdhui. Je veux une bite !!! Mais pas nimporte laquelle
Celle de mon frère ! Lénorme colonne de chair géante de Patrice dans ma petite chatte !
Mais Audrey donne de nouvelles directives :
-Changement de position ! Cest maintenant les hommes qui vont sasseoir sur les chaises et les filles qui vont dabord les branler et les sucer avant de sempaler sur leur bite. Vous gardez les couples déjà formés ! Préservatifs obligatoires.
Aussitôt dit, aussitôt fait
Audrey s'approche de moi en abordant un air arrogant et envieux.
- Eh bien, tu as de la chance toi, le poney pout toi toute seule. Laisse-moi quand même tester la marchandise.
Audrey étreint la grosse queue sans aucune hésitation, mon frère grogne de contentement.
- Oh oui, quelle est superbe, je branle enfin cette merveilleuse teub grosse et dure. Ajoute-t-elle dans un souffle.
Ses fins doigts s'enroulent autour de la hampe, la soupèsent et commencent à la caresser. Quelle vision étrange de sa main délicate glissant le long de ce sexe disproportionné, cette teub lourde qui sous ses caresses gonfle et grandit encore, se dressant doucement, fièrement.
Audrey est comme dans un état second, centimètre par centimètre, la verge semble doubler dépaisseur, sa main ne peut plus en faire le tour, cela semble plus gros que son poignet, et ça lest, putain !!! Le plus impressionnant, c'est ce gland énorme, ce gros champignon qui coiffe cette matraque.
Elle sactive maintenant avec plus de vigueur. Ses deux mains courent sur lincroyable colonne de chair de mon frère. Je remarque le trouble profond sur son visage, son regard rivé sur le magnifique pieu, ses lèvres entrouvertes témoignent de lenvie quelle a de le sucer, sa respiration est haletante mais elle arrive à se dominer et me passe avec regret le « témoin » en murmurant « Quelle est grosse ! Elle doit être bonne ». Dun coup de reins, Patrice porte son gland à lapproche de mes lèvres luisantes dès que magenouille entre ses cuisses, les effleurant. Son gland épais vient à la rencontre de ma bouche béante et je tente de happer cette verge tendue quil me refuse encore, je suis excitée au plus au point.
-Tu veux la sucer ? Eh bien, Vas-y, pompe-moi !
Il met une main dans mes cheveux et attire ma tête. Je m'approche donc et saisis cette bite douce, chaude et si dure à la fois qui se tend vers moi.
-Jespère que tu apprécies le morceau.
-Oui ! Je vais le manger ! Jacquiesce, tout en ne pouvant m'empêcher de branler Patrice.
Son gland mafflu frotte sur mon visage et répand ses odeurs comme un mâle marque sa femelle.
Je mouille déjà très fort et le prends en bouche en gémissant de bonheur.
- Ah ! Une vraie suceuse de queue ! Tu mavais caché ce talent.
Jai un peu honte mais il est vrai que jaime vraiment sucer et jaurais pu continuer pendant des heures, jusquà sentir son liquide pré-séminal à lodeur musquée et forte. Japprécie la texture de sa verge, jen ai les sens en ébullitions. Je lui lèche les testicules comme si je devais les nettoyer. Il me fait baisser la tête pour que je lèche son trou du cul. Je suis tellement excitée que je jouis en me masturbant de mon autre main pendant que jexécute la manuvre. Mais Patrice en veut plus.
-Quattends-tu Satine ? Tu es la seule à ne pas avoir enfourché ta monture. Viens sur moi en enfile-toi ma grosse queue. Je sais que tu en crèves denvie même si je suis ton demi-frère.
Je grimpe sur lui et massois sur lui en lui tournant le dos, rampe sur ses cuisses et att son énorme trique qui palpite sur son estomac. Je descends ma main, saisissant le mandrin à la base et dirige le gland gonflé vers ma chatte offerte. Je gémis et dois me mordre la lèvre inférieure pendant que je sens la grosse queue entrer en moi, écarter mes lèvres intimes jusquà la déchirure pour faire pénétrer cette incroyable épaisseur par ma fente. Son énorme bourgeon défonce les pétales de ma fleur qui s'écartent sous la pression et sa bite commence à s'introduire, lentement. Je frissonne de tout mon corps à ce contact ueux.
-Putain ! Je ne te croyais pas aussi serrée après léchauffement de tout à lheure! Sétonne-t-il.
Je pousse fermement, faisant disparaitre son gland et le début de sa hampe dans ma grotte. Son bélier prend lentement possession de mon fourreau qui ne peut lui résister et abdique progressivement sous ma poussée.
Je nai pas le temps de réaliser que le sexe de mon demi-frère est bien au chaud dans mon vagin, tel un conquérant, et jen ressens aussitôt toute la puissance qui sen dégage quand il prend possession centimètre après centimètre du terrain conquis.
-Oh qu'elle engin tu as, une véritable bite de cheval. Elle nest peut-être pas aussi longue que celle de tes copains blacks, mais elle est beaucoup plus épaisse.
Tout en douceur, Je continue de baisser mes fesses, faisant pénétrer avec difficulté sa poutre de plus en plus loin dans mon vagin étroit, il m'incite avec un plaisir évident :
- Tu sais que
tu peux tenfiler plus profond Satine, enfonce-toi et ramone ta petite chatte serrée aussi profondément que tu peux !
Patrice me force à mettre mes mains sur ses épaules et mes pieds sur ses cuisses pour pouvoir monter et descendre sur son soc. Je commence à me limer, dedans et dehors, enfonçant son gros membre un peu plus à chaque fois que je plie les genoux. Je baisse la tête, regardant vers mon ventre, observant le va-et-vient de ma vulve sur ce piston. Je le vois à lintérieur et à lextérieur de ma chatte quand je me soulève trop. Quelle vision ! Je me cambre et agite mon petit cul rond, poussant ma chatte palpitante à la rencontre de lénorme bite de Patrice. Mon corps se rebiffe et je souffre quand les derniers centimètres disparaissent en moi et que ses couilles butent contre ma vulve.
Il me pénètre jusqu'à la garde et donne de légers coups de reins tout en douceur. Mon Dieu que c'est bon ! Je naurais jamais crû que cette queue énorme qui va et vient dans mon vagin me remplirait aussi complètement. Je crie de plaisir car l'effet est incroyable et planant. Je réalise au bout de quelques minutes que nous sommes les seuls à encore copuler, les autres ayant déjà atteint le nirvana et nous regardant.
- Oooohhhh mon Dieu! Nooonnn !!!
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!