Regrets....

Faut que je vous raconte ce qui m’est arrivé l’an dernier, sur une plage du nord de l’Espagne.

C’était fin avril, le soleil commençait déjà à darder ses rayons plusieurs heures par jour. J’en profitais pour aller sur une petite plage que je connais bien depuis longtemps. Je me mettais en lisière de sable, faisais glisser mon slip de bain et profitais du soleil de printemps pour commencer à me bronzer intégralement. J’ai toujours aimé la caresse du soleil sur ma peau. Ca m’a toujours excité légèrement, ce qui se voyait parfaitement bien au volume de ma bite. Pas de problèmes à cette époque de l’année, la fréquentation de la plage étant quasi nulle.

Souvent, je m’assoupissais légèrement pendant je ne sais combien de temps. Ce matin là, je venais à peine de m’installer que je vis se profiler, très loin là bas au bout de la plage, une silhouette qui marchait dans l’eau, venant dans ma direction. Par un réflexe idiot, je me remis sur le ventre et observais l’inconnu qui s’approchait lentement. Maintenant, je distinguais parfaitement sa haute silhouette, barrée par une petite tache verte au niveau de son ventre, son mini slip de bain. Tout en marchant au bord des vagues, il balançait de temps à autre, de grands coups de pieds dans l’eau, comme s’il shootait dans un ballon imaginaire. Je lui donnais dans les 25 à 30 ans, belle silhouette élancée, bien découplée, une abondante chevelure noir de jais sur un visage mangé par une barbe de trois jours. Le type parfait du hipster.

Quand il fut arrivé à ma hauteur, il obliqua vers moi et vint s’allonger juste à côté de moi, à même le sable, en faisant glisser son slip de bain au bas de ses jambes.
«  - Hola ! Que tal ?
… euh...no habla espagnol
- OK ».
Il ferma les yeux , offert à mon regard. Beau torse, ventre finement musclé, belle toison, belle bite légèrement gonflée. Rarement, j’avais vu quelqu’un aussi à l’aise que lui. Il devait savoir qu’il était craquant et en jouait complètement, essayant de me déstabiliser.

Pour ça, c’est sur qu’il avait déjà gagné. Sa cuisse devait être à au moins deux centimètres de la mienne ! J’avais du mal à détacher mon regard de sa bite qui prenait très légèrement du volume. Il ouvrit les yeux et vit mon regard hypnotisé. Ca le fit rigoler, d’un rire franc. Sans aucune gêne, ik se mit à contempler ostensiblement mon cul…
« -Wonderfull !  Come to the sea !! »
Il était déjà debout. Je me levais et réenfilais mon slip. Ca le fit rire à nouveau. On courut vers l’eau. Il m’aspergeait à grandes brassées d’une eau qui n’était pas si chaude que ça. Pas frileux le gaillard. Le voyant plonger et replonger, totalement nu, je me sentis un peu ridicule et fis glisser mon slip. Il leva le pouce après m’avoir bien détaillé. Comme des gamins, pour se réchauffer aussi, on s’empoignait , de faisant couler...Nos corps se frôlaient tant et plus...Très agréable. Maintenant, sa bite était à l’horizontale. La mienne aussi. On s’était flairé, compris et reconnu. On savait parfaitement comment tout ceci allait se terminer…

Après un bon moment, je lui proposais de remonter se sécher. Arrivés à ma serviette, il la ramassa , me prit la main et m’entraîna vers les petites dunes en bordure de plage. Mon cœur battait la chamade, à la perspective de nos ébats. Je ressentais, comme à chaque fois, une boule au creux du ventre.

Il m’allongea sur ma serviette et entreprit de me désensabler du bout de ses doigts. Ses caresses étaient incroyablement légères et douces. Je broyais sa cuisse de ma main. Il parcourait mon visage, mon torse, mon ventre du bout de ses lèvres. Parfois je sentais le bout humide de sa langue qui me chatouillait. Trop trop bon. Je fermais les yeux. Il s’attardait maintenant sur ma bite qu’il caressait de ses joues, jouait avec mes couilles rasées qu’il gobait doucement, me léchais la hampe… J’avais empoigné ses cheveux et appuyais sur sa tête. Il se redressa, se mit à genoux face à moi, approcha sa bite de la mienne, colla les deux, les empoigna et commença à les branler doucement….
Il me souriait, ses yeux verts plantés dans les miens. Je sentais parfaitement bien la peau de sa bite contre la mienne, la caresse et la chaleur de sa main. Nos glands étaient luisants de mouille et de désir tous les deux. Pour ça, il savait branler ! De temps en temps, il se penchait et enfournait nos deux glands dans sa bouche … Wouaaah !! Bientôt, il se mit à me sucer, à me pomper d’une manière somptueuse. Il alternait parfaitement les périodes d’excitation et les périodes plus calmes, faisant monter mon plaisir presque jusqu’à l’explosion. Je sentais la chaleur de sa bouche sur toute la longueur de ma queue. Visiblement, il avait décidé de me faire jouir ainsi mais après m’avoir délicieusement et longuement « torturé »… Cela dura un temps infini et j’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais. Il avait augmenté la cadence de son va et vient sur ma tige brûlante. Je me mis à haleter. Encore plus vite ! Je balançais mon bassin en cadence de plus en plus vite, lui baisant la bouche de ma bite; Je sentis une onde de chaleur me parcourir tout le corps et je jouis dans sa bouche. Il ne se retira pas.
Je retombais, exténué et sombrai aussitôt dans une douce léthargie. Quand je me réveillais quelques minutes après, il n’y avait plus personne...J’eus beau chercher, appeler...rien! Comment j’avais pu sombrer à ce point pour le laisser échapper !
Je revins chaque matin, je ne le revis jamais….

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