Ma Vie De Libertin - Les Fillles Du Minitel Rose Et Du Net - Marie.

Marie

Cette histoire est un joli souvenir qui date du début des années 2000. Au début de l’été, je descendais passer quinze jours de vacances en Espagne dans une station balnéaire bien connue au nord de Barcelone où je devais retrouver mon amie Naïma, qui elle, venait du Maroc.
Dans la mesure où je n’étais pas spécialement pressé et que j'avais quand même pas mal de route à faire, j'étais parti avec l'intention de faire escale le jeudi et le vendredi dans la région de Clermont-Ferrand où j'avais retenu une chambre d'hôtel en périphérie sud puis, en repartant de bonne heure le samedi matin, j’arriverais à destination sensiblement en même temps que mon amie.
Je voulais aussi en profiter pour visiter cette région que je ne connais pas mais que j'ai traversée bon nombre de fois depuis une quinzaine d'années pour me rendre à côté de Perpignan ou au Cap d’Agde où j’allais me livrer aux joies du naturisme...
Le premier soir j'ai diné au restaurant jouxtant mon hôtel et je me suis couché de bonne heure en prévision du lendemain consacré à plusieurs visites touristiques dont une en fin de journée où je voulais découvrir le centre ville historique.
C'est en arrivant sur la Place Jaude que je me suis rappelé qu'une des animatrices rencontrée au printemps précédent sur un site érotique peuplant le Mintel rose (c’était les tous débuts de ces sites) m'avait dit un jour travailler dans une maroquinerie du centre ville de Clermont. Il y en avait justement une sur cette place.
Après avoir regardé les vitrines, je suis entré pour y faire une petite emplette. Il y avait deux vendeuses mais elles étaient déjà avec des clients, une grande blonde décolorée d'une cinquantaine d'années et une brunette un peu plus jeune dans laquelle j'ai tout de suite reconnu la femme avec qui j’avais bavardé à plusieurs reprises et fait des coquineries en échangeant des propos très chaud via les écrans du Minitel…
Un peu plus jeune que la blonde (une vendeuse, je l’ai su plus tard dans la soirée), c'est une jolie femme aux cheveux d'un noir soutenu taillés en carré tombant sur les épaules avec une petite frange sur le front.

Ses yeux marron, rieurs et très légèrement maquillés et une bouche aux lèvres bien dessinées la font paraitre un peu plus jeune que l'âge qu'elle avoue. Vêtue d'un long sweet-shirt marron serré à la taille par une large ceinture et d'une jupe assortie, je devinais sa belle poitrine et ses hanches accueillantes.
Lorsqu'elle s'est tournée vers moi pour s'enquérir de ce que je souhaitais, je lui ai indiqué ce que je voulais. Elle a contourné le comptoir pour se diriger vers un présentoir situé au centre du magasin pour en sortir plusieurs portefeuilles afin que je puise les examiner avant de faire mon choix définitif.
Elle portait des bas fumés à couture et des chaussures à talons hauts qui affinaient sa cheville. Vue de dos, sa silhouette était faite de jolies courbes. Je me souvenais avec délices des photos coquines qu’elle m’avait envoyées après de multiples échanges sur le « Minitel rose » qui d’ailleurs n’allait pas tarder à céder la place au même genre de site sur internet.
Tout en examinant les objets que Marie me présentait, nous avons commencé à bavarder sur un ton léger et je me suis fait connaître par mon pseudo et en lui disant le sien. Elle a rit discrètement et nous avons continué notre conversation. C'était presque l'heure de la fermeture. Je lui ai offert de prendre un pot ensemble ce qu'elle a accepté sans difficulté.
Mon choix étant fait, j'ai payé et quitté le magasin. Moins de dix minutes plus tard, précédée de peu par la blonde, Marie sortait par une porte jouxtant la boutique En fait, c’était elle la propriétaire de ce commerce…
Bras dessous, bras dessus, comme deux amis de longue date, nous nous sommes dirigés vers un restaurant que j'avais repéré au passage. Nous nous sommes installés dans un coin discret de cet établissement très cosy et confortable où nous avons continué à bavarder tout en dinant légèrement.
La soirée s'écoulait lentement, très agréable. Nous échangions des souvenirs de rencontres en clubs, lieux que l'un et l'autre nous fréquentons de temps à autre. Marie me racontait comment lors d'une virée au printemps à Saint Cyr sur Mer, elle s'était fait prendre en double pénétration par son mari et une noir bien membré qui l'avait sodomisée longtemps jusqu'à la faire partir deux fois de suite sans sortir de son anneau plissé.
De mon côté, je lui disais qu’à mon âge, ma préférence allait plutôt vers les femmes "couguar" dans son style et leur expérience en matière de sexe sans complexe. Par contre de temps à autre, je ne dédaignais pas honorer une jeunette qui m'excitait particulièrement, mais je ne descendais que très rarement en dessous de la trentaine d’années…
Ces propos coquins n'étaient pas sans conséquence, ma bite était légèrement bandée dans mon boxer et Marie devait être chaude aussi car elle ne cessait de croiser et décroiser ses jambes, faisant crisser le nylon de ses bas. Mais elle a achevé de me faire monter lorsque j'ai senti un de ses pieds venir se poser sur mon entrejambe. Heureusement la nappe couvrant la table masquait son manège. L'invitation à passer à quelque chose de plus sérieux était sans équivoque. Comme le repas était terminé, c’est en quittant la brasserie que Marie m’a dit :
• Dis-moi où est ton hôtel que je t'y retrouve !
Nous avons repris nos voitures dans deux parkings situés non loin l'un de l'autre et une demi heure plus tard Marie arrivait dans ma chambre.
J'avais eu le temps de prendre une douche rapide. Nous nous sommes enlacés et posant mes mains sur ses hanches je me suis collé à elle. Immédiatement elle a entrepris de masser ma bite par une danse lascive du bassin. Je suis parvenu à défaire la ceinture qui marquait sa taille et en remontant son sweet-shirt, je suis allé agacer le bout de ses seins généreux au travers des bonnets du soutien gorge :
• Oui, vas-y ! Agace mes tétons, tu sais combien ils sont sensibles aux caresses !
J'avais un avantage sur elle, je ne portais que mon boxer. En se dégageant, elle a fait passer par dessus sa tête le sweet-shirt et dégrafé la jupe qui est tombée à ses pieds. Je savais qu'elle aimait la belle lingerie. Elle portait ce soir là un ensemble noir dont le haut des bonnets était orné d'une bande de tissu imitant le pelage d'une panthère tout comme le devant de son string. Un serre taille noir avec des jarretelles maintenait ses bas. Je retrouvais entre mes bras cette femme chaude et coquine que j'avais pu amener plusieurs fois à la jouissance sur le site coquin.
Là ce ne serait pas un contact virtuel. Toujours chaussée des ses hauts talons, Marie massait de sa main droite mon sexe de plus en plus érigé. Puis elle a descendu mon boxer et embouché ma bite. Sa bouche était chaude :
• Hummm ! C’est bon ! Quelle suceuse tu fais !
Je voulais lui rendre sa caresse. Je me suis dégagé et je l'ai couchée sur le dos en travers du lit. J'ai ôté son string en me suis mis en position de 69 au dessus d'elle. J'avais devant les yeux sa chatte rasée avec le capuchon du clitoris assez développé et des lèvres vaginales larges et bien dessinées. En frottant parfois ma barbe entre ses cuisses, j'ai déployé tout mon art du cunnilingus et je l'ai amenée une première fois à la jouissance en la pénétrant uniquement avec deux doigts.
Je m'étais retenu. En basculant sur le dos, j'avais la bite dressée comme un I. A sa demande, j'ai enfilé rapidement un préservatif et Marie est venue me chevaucher en amazone. Lorsqu'elle a été empalée sur mon sexe, elle a libéré ses seins et j'ai pu à nouveau les caresser, pinçant légèrement les bourgeons pour les faire saillir.
Elle faisait d'elle-même les mouvements de va-et-vient, la tête rejetée en arrière. Parfois elle s'arrêtait et c'est moi qui d'un mouvement du bassin faisais coulisser ma bite dans sa chatte. Soudain Marie s'est tétanisée. Au même moment, je lançais au fond du préservatif quelques bonnes giclées de sperme. Que c'était bon de jouir ainsi en même temps.
L'un et l'autre nous étions un peu essoufflés tellement notre séance de baise avait été intense. Sans que je sorte de sa chatte, Marie s'est allongée sur moi. J'ai passé mes bras dans son dos pour la maintenir. Nous sommes restés ainsi de longues minutes jusqu'à ce que mon sexe sorte naturellement du sien.
Elle a retiré elle-même le préservatif plein de cette giclée abondante que je lui avais servie. Elle l’a noué et glissé dans un mouchoir fin :
• Preuve que je me suis fait baiser ce soir !
Nous nous sommes partagés la petite bouteille de Champagne qui était dans le réfrigérateur et nous avons bavardé encore quelques temps. Puis nous nous sommes séparés. Marie devait rentrer chez elle à quelques kilomètres de là où l'attendait son mari auquel elle allait conter cette aventure en lui présentant la capote pleine.
Nous nous sommes revus à plusieurs reprises sur le site où elle s’exhibe désormais mais il n’y a plus eu de rencontre réelle. D’ailleurs, ces animatrices n’aiment guère faire ce genre de rencontre… car il y a trop de risques de chantage ou autres problèmes. Comme elles le disent volontiers, elles sont là pour notre plaisir et le leur… et rien d’autre !