Epilogue Chantal Mon Épouse

Chantal mon épouse (4)

Comme je le racontais dans le dernier texte, leur relation dura pendant quelques mois,
Ils se voyaient vite fait, soit dans la voiture, de temps à autres au bureau, à deux où trois reprises entre midi à l'hôtel du Centre Routier à proximité de l'entreprise.
Au travail justement des bruits couraient sans précisions de l'heureuse élue, mais il était facile de deviner qui elle était....
Je m'était lassé de cette relation et ses écarts ne me passionner plus vraiment, elle s'habillait toujours sexy pour lui plaire et répondre à ses attentes, quelques soirs je lui demandais de me parler de ce qu'ils faisaient, elle me racontait de façon un peu superficielle ses parties de jambes en l'air mais ma libido était tombée.
Moi même, j'étais occupé avec une jeune mère célibataire et de ce fait je n'ai pas fait attention au fait que notre couple vacillait.
C'est à notre retour de vacances, qu' elle m'a fait remarquer que depuis deux mois nous n'avions plus de relations et que René finalement la satisfaisait, il lui avait apporté une expérience variée que trop jeune je n'avais sans doute pas encore ?
Le soir de mon anniversaire, ils s'étaient retrouvés près de la zone commerciale après qu'elle soit allée dans une grande enseigne du sport cherchait mon cadeau. Elle me raconta que dans l'après midi il lui avait proposé de se voir, elle avait accepté mais en lui disant toutefois qu'elle devait se rendre dans ce magasin mais qu'après elle était d'accord.
Il lui a demandé qu'elle retire sa culotte avant de rentrer dans le magasin et que si possible elle aille trainer du côté des chaussures afin de s'exhiber un peu, vous savez là où les bancs sont dotés de miroir incliné laissant aux audacieux la possibilité de se rincer l'œil.
Sa nature exhibitionniste fit qu'elle se plia à la demande avant de le retrouver et lui narrer son expérience.
Elle retira son string sur le parking, ferma la portière et se dirigea dans le magasin.

Cela était facile puisque le matin elle s'était habillée d'une robe légère boutonnée sur le devant, les jambes nues en ce début Septembre et d'un ensemble sous vêtements bleu en dentelle.
Après avoir rapidement trouvé mon " cadeau " elle déambula dans le rayon des tennis et autres chaussures, elle avisa un jeune ado en plein essai de basket, il allait être sa victime !
Elle fit semblant de s'intéresser à des tennis en bas de rayon, ce qui l'obligea à se pencher sans toutefois plier les genoux, sa robe remonta sur ses fesses dévoilant un peu plus ses cuisses. Faisant dos au banc et au miroir tout en étant face au gamin dont le regard se porta immédiatement sur la glace qui lui réfléchissait une image qu'il n'avait du voir que dans des revues spécialisées. Elle pris son temps tout en jetant un œil discret à ce jeune qui lui matait sous la robe et ce jusqu'a ses fesses. Elle écarta délicatement ses cuisses tout en faisant attention aux autres consommateurs qui auraient pu s'apercevoir de son manège et crier au scandale. Il n'en fut rien, ils étaient tout les deux, lui scotcher sur le panorama de cette femelle qui lui montrait ses parties les plus intimes. Elle imaginait l'érection qui devait prendre forme dans le slip de ce gamin et aurait aimé voir aussi l'image qu'elle lui offrait !! Elle le fixa, il en fut gêné et rougis, elle le rassura en lui souriant et en lui disant " c'est cadeau ", le soir même la vue de cette femme et de ses secrets ont certainement hanter ses rêves.
Elle passa en caisse, en sortant du magasin elle tomba sur René qui l'attendait et qui lui dit : suis moi !
Ils se dirigèrent à deux pas sur un chemin qui longe l'autoroute, quelques haies et leurs voitures leurs permirent de se cacher des automobilistes qui passent à vive allure à cet endroit.
Appuyée sur un des véhicules, elle lui narra l'épisode du magasin comme il le lui avait demandé, finalement il prenait mes fantasmes à son compte.....l'exhiber lui dopait sa libido.

Face à elle, il déboutonna entièrement la robe et lui retira, puis ce fut le tour de son soutien gorge qu'il déposa négligemment sur le capot de la voiture, il ne lui restait plus que ses chaussures. Il la prit dans ses bras tout en explorant son entrejambe qu'elle ouvrit afin qu'il puisse constater que cet épisode l'avait émoustillé et que maintenant elle souhaitait qu'il la prenne ainsi dans la nature. Ils s'embrassèrent, ses mains parcouraient ce corps qui n'avait plus de secret pour lui, elle s'activait sur la fermeture de son pantalon, le monde autour d'eux n'existait plus. Il bandait, elle s'agenouilla et sortie l'objet de ses désirs, fit glisser sa langue le long de son membre avant de l'emboucher. Les deux mains de chaque coté de sa tête, il donnait le rythme, sa queue glissait dans cette caverne humide, percutant le fond de sa gorge, lui donnant quelques haut le cœurs. Ne voulant pas jouir dans sa bouche, il la releva et la coucha sur le capot, il baissa son pantalon jusqu'aux chevilles et directement investit sa chatte bien humidifiée à la fois de la fellation qu'elle venait de lui prodiguer mais aussi du souvenir de ce petit jeune qui l'avait mâté au magasin et qui l'avait excité. Le bruit de la circulation à quelques mètres d'eux lui permis d'extériorisée le bien être que lui procurait René chaque fois qu'il percutait le fond de sa matrice. Il la besogna quelques minutes tout en l'insultant sur le comportement qu'elle venait d'avoir avec cet adolescent sur sa demande. Ne pouvant résister plus longtemps au bien être que la contraction de ses muscles vaginaux sur sa queue lui faisait, il s'enfonça au plus profond de son ventre et elle sentit les salves de sperme tapissaient le fond de sa matrice ce qui déclencha en elle un orgasme violent. l'enserrant de ses jambes, elle l'empêchait de se retirait afin qu'il se déverse totalement en elle. C'est bon mon René lui dit elle, mets moi toute ta semence, engrosse moi, j'ai arrêté la pilule comme tu me l'a demandé, j'ai hâte d'être enceinte de toi, même si je ne le garderai pas.
C'est là, le soir de mon anniversaire que j'ai appris qu'elle ne prenait plus de contraception depuis un mois sur sa demande.
Lorsqu'elle me confessa cette décision, je lui ai demandé c'est quoi cette histoire ?
J'en ai trop envie, je me ferai avorter à temps, juste sentir en moi le fruit de notre relation.
Tu es folle ma pauvre, mais si tel est ton désir tu assumes !
Ce soir là, mon anniversaire fut vite expédié, un repas, le cadeau et rien de plus, d'ailleurs je me demande si elle souhaitait que j'aille mélanger mon foutre à celui de René !
Quelques jours plus tard, elle me demanda si il lui était possible de découcher prochainement, elle m'expliqua que René avait un salon sur Paris, qu'il partait le lundi et revenait le jeudi en fin d'après midi, mais que pour sa femme il ne rentrerait que le vendredi, lui permettant ainsi de passer une nuit avec elle. Je ne voyais pas comment lui interdire.
Deux semaines plus tard, elle rentra du travail, investit la salle de bain, prit sa douche, se parfuma et enfila ses plus beaux sous vêtements, une robe noire courte offerte par son René des chaussures à talons haut. C'était ce soir qu'ils allaient passer une première nuit ensemble, elle semblait très excitée à cette idée. Avant de partir, je lui ai redemandé si elle était sérieuse avec cette intention d'être enceinte et c'est avec son plus beau sourire qu'elle me confirma son désir, espérant que cette nuit soit la bonne, que tout coïncidé pour que ce le soit.
Pour moi ce fut une nuit blanche. J'attendais le lendemain soir avec anxiété.
Elle me raconta sa soirée et la nuit qu'elle venait de passer.
Il lui avait donné rendez vous au Sofitel, il l'attendait, nu et bandé, dès qu'elle le rejoignit dans la chambre, il se jeta sur elle, sa robe fut retroussée rapidement, lui écarta son string et planta sa mentule au fond de sa chatte, depuis le Lundi il attendait ce moment, il la pistonna rapidement et s'épancha au fond de sa chatte dans un cri libérateur, elle jouit en ressentant au fond de ses entrailles le flot de sperme qui remplissait son utérus.
Ils restèrent soudé l'un à l'autre un moment, lui sur elle, leurs bouches collés. Tu es peut être entrain de me faire un lui souffla t-elle à l'oreille, je suis en pleine ovulation. Il la serra fortement contre lui en lui disant c'est le plus joli cadeau que tu puisses me donner.
Peu après, ils allèrent manger, mais avant il lui demanda d'être nue sous sa robe, elle se déshabilla devant lui, retirant soutien gorge et son string maculé de leur accouplement, puis renfila la robe, ses tétons pointaient sous le fin tissus et il était facile de distinguer qu'elle ne portait plus de culotte, son porte jarretelles se dessinait sur ses hanches. Je fais pas trop pute ainsi lui demanda t elle ? Non ma chérie, c'est pour moi que tu le fais.
Quand ils firent leur entrée au restaurant, quelques mâles posèrent leurs yeux sur ma femme, enviant certainement l'homme qui l'accompagnait. Elle ressentit une certaine fierté à susciter l'envie chez tous ces prédateurs.
Durant le repas le serveur ne se priva pas de regarder les cuisses gainées de soie que lui dévoilait Chantal sur demande express de René, ainsi que le décolleté qui laissait entrevoir le galbe de ses seins en toute liberté sous la robe.
Avant le dessert il lui demanda d'aller aux toilettes et que si un audacieux lui faisait des avances, qu'elle donne une suite favorable à la demande. Tu veux que j'accepte tout ? Non pas tout mais une petite faveur....
Elle se leva et comme il lui demandait se dirigea vers les toilettes, le regard des hommes seuls se portèrent sur sa silhouette, elle fit celle qui ne voyait rien et une petite angoisse lui tenaillé le ventre. Les hommes sont bizarres se dit elle, mais sa réflexion fut de courte durée car comme le souhaitait René un individu qu'elle avait repéré et qui n'avait cessé de lui jeter des regards durant le repas lui fit face. A peine fut elle dans le local qu'il la prit par le bras et l'emmena dans le toilette réservé aux handicapés. Il la plaqua contre le mur et il lui dit : tu es une professionnelles ? tu m'excites ainsi que tous les mâles du restaurant depuis plus d'une heure, je voudrai bien voir ce que tu portes sous ta robe. Il recula, elle prit les pans de sa robe et la remonta sur ses cuisses, passa la lisière des bas, puis lui dévoila son sexe, encadré de son porte jarretelles. Tu es plus pute que je n'imaginais lui dit il. Elle porta une de ses mains sur la bosse qui déformait son pantalon et elle lui dit : je peux juste te soulager à la main où avec ma bouche, décide toi vite ! Retire ta robe, je veux te voir sans, et c'est ainsi qu'elle se retrouva en talons haut et porte jarretelles devant un inconnu pour une première fois, elle s'assied sur la cuvette, ouvrit le pantalon et dégagea un membre bien bandé.
- Tu as de la chance que mon homme soit pervers.
- Discutes pas et suce moi !
Elle prit le membre en bouche et le suça jusqu'a ce qu'il durcisse prêt à éjaculer, il la releva et positionna son sexe sur sa chatte, elle lui dit: non, pas de pénétrations, il essaya quand même mais ne parvint qu'a mettre le gland à l'entrée de son nid douillet, quelques secondes à peine et des jets de sperme fusèrent entre ses cuisses, heureusement car elle était prête contre toute volonté à s'enfiler sur son bâton de chair, elle s'essuya avec du papier et se rajusta. Pendant ce temps l'audacieux avait remonté son pantalon et tourné les talons, heureux du cadeau dont elle venait de le gratifiait.
Elle retrouva René, tout sourire, persuadé de ce qu'elle venait de faire.
Raconte moi, lui dit il ?
Pas ici, attends que nous soyons dans la chambre, tout ce que je peux te dire c'est qu'il s'en fallut de peu qu'il ne tapisse mon petit nid d'amour.
Ils regagnèrent la chambre, aussitôt il la déshabilla, lui faisant garder uniquement sa parure de dentelle et les bas. Son doigt s'insinua dans son antre, elle était pleine de cyprine.
- Tu es contente de toi, de t'être donnée à un inconnu comme une catin ?
- C'est toi qui me la demandait, c'est pour te faire plaisir que j'ai accepté même si il est vrai, j'ai faillit me laisser aller complètement, au moment où il a positionné sa queue à l'entrée de ma chatte, il m'a fallu penser à toi pour ne pas me glisser entièrement sur son membre et le laisser se vider en moi.
- N'empêche que tu as aimé te soumettre.
- Bien sûr, c'est pour cela aussi que je ne prends plus la pilule et que je suis en pleine période d'ovulation, c'est pour toi et que pour toi.
René cette nuit est peut être la seule que nous passerons ensemble, donnons nous l'un à l'autre sans retenues.
La nuit fut courte en sommeil pour les deux amants.
Elle n'a pas compté le nombre de fois où il est venu s'épancher en elle, sa bouche, son ventre et ses reins furent meurtris par les pénétrations dont il la gratifia, le matin elle téléphona au bureau pour informer qu'elle ne viendrait que l'après midi et ils gardèrent la chambre jusqu'a midi.
Quelques semaines plus tard elle a attendu ses règles qui ne sont pas venues, elle était contente de lui annoncer que cette nuit avait permis de réaliser un fantasme qui ne put être amené à son terme, mais ils avaient concrétisé leur relation.
Dans les mois qui suivirent, il fit avec elle ce que moi même lui avait suggéré de faire quelques temps plus tôt. L'épisode du restaurant avait dopé la libido de René qui finalement s'amusait à la soumettre à d'autres hommes. Elle a multiplié les aventures soit sous la contrainte soit par simple désir. Dans ces différentes relations elle a connu un autre homme, puis encore d'autres et nous avons divorcé entre temps...
J'observe un peu sa vie, elle est toujours célibataire à ce jour....et ne travaille plus avec René.



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