Le Voyage Scolaire En Espagne
Le voyage scolaire en Espagne
Je vais vous raconter le voyage scolaire que jai fait en Espagne. Javais à lépoque 16 ans et jétais donc en classe de 1ère. Etant en S, lespagnol nétait pas une matière très importante et pour tenter de motiver les troupes, la prof avait eu lidée de nous faire chatter avec des élèves espagnols de notre âge. Le principe étant de rendre le cours plus interactif. Je tiens quand même à préciser que notre prof rendait le cours attractif à elle toute seule ! Elle avait à peine la trentaine, typée espagnole, brune avec des yeux marron. Environ 1m65/70 avec des jolies formes. A vu de nez je dirais 90C mais cest surtout son gros cul bien ferme qui faisait sa force dattraction. Inutile de dire que lorsquelle écrivait au tableau, lensemble de la classe était attentif !
Pour en revenir à son idée pour rendre les cours plus intéressant, le principe était que chaque élève français ait un correspondant espagnol. Surement par peur quil y ait des dérives, nous ne pouvions pas nous voir, ni échanger des adresses mails ou facebook
Nous voici donc au jour du premier chat. La prof nous explique ce que je viens de vous raconter et pour nous motiver encore plus, elle annonce quelle a obtenu les accords et les financements pour que nous allions rencontrer nos correspondants en cours dannée. Elle nous attribue alors nos correspondants avec lesquels nous allons échanger toute lannée. Je tombe sur une fille qui sappelle Catalina.
Nous commençons donc à dialoguer tant bien que mal. Après plusieurs séances, nous arrivons à échanger assez facilement bien quil nous manque souvent du vocabulaire que nous prenons le temps de chercher. Au fur et à mesure de nos conversations, jen apprends davantages sur elle. Je découvre que ma correspondante à lair dêtre une sacrée coquine. Elle me dit coucher avec pas mal de mecs et de filles. Nous avons donc un point commun : nous sommes accros au sexe.
Cest finalement en avril que nous nous rendons en Espagne. Les quatre bus partent du lycée pour de nombreuses heures de routes. Nous partons à 18h car nous devons récupérer des élèves dans un autre lycée qui nest pas vraiment sur notre route alors que le voyage est déjà long. De plus, la prof souhaite que nous nous arrêtions visiter certains lieux une fois en Espagne. Tant quà parler espagnol, la prof aurait pu trouver une ville à la frontière ! Pour passer le temps, nous nous occupons comme nous le pouvons : discussion, musique, jeux
Après un arrêt pour manger, nous reprenons la route pour la nuit. Au fur et à mesure que les kilomètres passent, de plus en plus de gens sendorment. Je discutais depuis un moment avec Romain, mon meilleur pote, lorsque celui-ci a profité du fait que la place à coté de la prof soit libre pour aller lui parler. Je regarde alors autour de moi et je vois que la fille assise à coté dEmilie sest endormie. Emilie me voit et je lui fais signe de venir. Je suis assis au fond du bus, sur le coté droit. Il ny a personne dautre que moi dans cette dernière rangée car les autres préfèrent les autres rangs où lon peut allonger le siège pour dormir.
Emilie se faufile jusquau dernier rang du bus et elle sassoie à coté de moi. Pour ceux qui nont pas lu mon récit « La nuit du réveillon » Emilie est la fille la plus cochonne du lycée.
Elle me taille une super pipe et je dois prendre sur moi pour ne pas faire de bruit. Tout en gardant une main sur sa tête pour lui imposer mon rythme, jutilise mon autre main pour la doigter de nouveau. Elle fini par se redresser et elle me dit à loreille : « Je veux ta bite en moi ». Nous ne disposons pas de beaucoup de place malgré quil ny ai personne dautre dans le dernier rang du bus où nous sommes car si nous dépassons des autres rangées de sièges, nous allons immédiatement être grillé par la première personne qui regarderas derrière.
Lorsque je me réveille, nous avons passé la frontière. Je vois Romain qui est allongé sur lautre partie de la rangée. Il est lui aussi réveillé et jengage donc la conversation avec lui :
«
- Tes allé faire quoi devant avec la prof ?
- Lui demander des trucs sur le voyage et lui parler.
- Te moques pas de moi tas essayé de la draguer !
- Bah tranquillement vers la fin mais pas trop non plus. Juste des trucs gentils !
- Comme quoi ?
- Je lai félicité et remercié davoir organisé tout ça et il est possible que je lai un peu complimenté sur sa gentillesse et son physique.
- Tu lui a rien fait dautre ?
- Non devant cest pas très discret de toute façon. Mais elle a pas fermé la porte non plus ! Par contre toi derrière tu tes pas ennuyé ! (Il me montre le string de dEmilie qui est resté par terre)
- Tu ma laissé tout seul alors fallait bien que je moccupe !
- Taurais pu écouter de la musique ou dormir comme tout le monde.
- Mais tu sais bien que je suis pas comme tout le monde. Et puis javais trop envie de baiser.
- Tu las carrément baisé dans le bus ?
- On sest caressé, elle ma sucé évidement et après je lai sauté.
- Cest vraiment une salope cette fille ! La preuve elle part sans son string et elle sen rend même pas compte !
- Tas quà aller lui rendre si tas peur quelle senrhume ! »
Nous arrivons sur une aire de repos et la prof annonce que lon sarrête une heure pour manger. Tout le monde descend du bus. Je suis juste derrière mon pote lorsquil aborde Emilie en lui montrant son string.
«
- Eh Pipelette, tu as oublié ça derrière.
- Ah bah rend le moi !
- Tu rêves ! Je suis pas ton père, je traine pas derrière toi gratos pour te rendre tes affaires.
- Alors on va aux toilettes et on règle ça !
- Tu vois ma petite Pipelette, tu sais analyser le juste prix de mes services ! »
Je les vois qui se dirigent vers lintérieur de la station service. Je reste avec un groupe damis et nous allons acheter de quoi manger. Après manger, je vais pisser et me laver les mains. Lorsque jentre, je constate que Romain est toujours occupé avec Emilie grâce aux sons qui sortent de lune des cabines. Je commence à soulager ma vessie toute en écoutant et cest alors que jentends une troisième voix. Je crois reconnaitre lun des mecs de la classe. Etant dun naturel curieux, je ne peux mempêcher daller voir de qui il sagit. Jentre dans la cabine voisine de la leur et je regarde par-dessus la paroi. Je vois alors Maxime, qui est dos au mur avec Emilie sur sa bite. Romain et derrière elle et il lencule sauvagement. Ils lui font une double pénétration qui la font couiner de plus en plus fort. Je serais bien allé les rejoindre mais à trois dans une cabine, ils sont déjà bien assez serrés ! Et puis il ne reste plus quune dizaine de minutes avant notre départ. Alors que jallais sortir des toilettes, la porte souvre violement et je vois celui qui doit être le responsable de la station entrer. Les cris dEmilie sarrêtent net et bien que je ne comprenne pas tout ce quil me dit, je comprends quil me demande ce qui se passe ici. Comme je ne veux pas balancer mes camarades et pour quils naient pas de problème, je lui réponds que je nen sais rien. Il commence à fouiller toutes les cabines. Jen profite pour partir rapidement et rejoindre le bus. Je reprends ma place et jattends le départ. Mais ce départ va être quelque peu différé. En effet, au moment de lappel, trois personnes manquent à lappel. Je vous laisse deviner de qui il sagit ! La prof commence à sinquiéter et cest à ce moment que nous voyons nos trois camarades arrivés escorté par le gérant et un employé. Comme les portes sont ouvertes nous entendons toutes la conversation entre le gérant et notre prof (qui nous est traduit par une fille dune autre classe qui est bilingue).
«
- Cest à vous cette bande dobsédé ?
- Ceux sont mes élèves oui. Quon t-il fait ?
- Une partouze dans les toilettes de ma station service. Cest inadmissible !
- Je suis confuse et désolée.
- Vous pouvez, plein de clients se sont plaints ! Reprenez votre salope et vos deux connards et dégager dici !
- Montez immédiatement dans le bus vous trois ! Comment puis-je me faire pardonner ?
- En partant, je ne veux rien dautre. Ah si, je ne veux jamais vous revoir ! »
Les bus repartent donc vers notre prochaine destination, un village du Moyen-âge. Notre prof décide de séparer nos trois zozos. Elle fait assoir Romain à coté delle. Je suis sur que ça larrange et peut être que son numéro de charme de hier a bien marché en fait ! Maxime est assis vers lavant et elle dit à Emilie daller à sa place qui est plus dans le fond. Elle traverse donc le bus sous les railleries de tout le monde :
«
- Alors Pipelette, tu as bien mangé ?
- Salope, tu as bien pompé à la station ?
- Si tas encore faim, jai ma bite !
- Ils tont prise ensemble ?
- Pipelette elle est accro à la quequette ! »
Tout le monde sarrêtent lorsquun prof accompagnateur nous engueule et quand Emilie sassoie, plus personne ne fait attention à elle. La monotonie de la route reprend mais elle sarrête rapidement pour moi. Comme la prof a déplacé deux personnes, il est logique que deux autres personnes doivent changer de place. Cest ainsi que je vois une fille venir sassoir dans la rangée du fond à la place de Romain. Je lai déjà croisé mais elle est en L et donc je ne la connais pas. En la regardant arriver, je remarque quelle a un certain charme bien quelle ne soit pas une bombe. Cest une rouquine aux yeux bleus. Elle est petite, environ 1m60. Elle a de jolies petits seins et un cul bien proportionné avec son corps. Elle porte un jean moulant avec un haut et une veste quelle enlève en sasseyant à une place de moi et elle me regarde à travers ses lunettes. Puis elle sort un livre et commence à lire. Je lui dis quelle peut sassoir à coté de moi et que je ne vais pas la manger. Elle me dit que ma réputation me précède et quelle est très bien où elle est. Elle ma lair coincé et pas très sympathique. En plus, elle est timide car elle est devenue toute rouge en parlant. Ca me fait une moyenne avec Pipelette ! Même si elle nest pas une bombe, elle a un certain charme et je tenterai bien de la décoincer. Jentame donc la conversation mais ce nest pas simple. Malgré tout au bout dune dizaine de minutes, je sais quelle sappelle Amandine et quelle a 16 ans. Mais elle veut lire tranquille et elle se déplace à lopposé de la rangée. Je la matte sans me gêner et ma bite en devient dure. Elle déforme même mon jean. Je remarque quelle jette parfois des regards vers moi et plus particulièrement vers la bosse de mon jean. Je remarque aussi quelle bouge pour faire bomber sa poitrine et quelle écarte un peu les cuisses (faudrait juste lui expliquer que ça serait efficace si elle était en jupe !). Nos regards finissent par se croiser et je perçois un trouble chez elle. Nous arrivons dans un petit village dont le nom ma complètement échappé. Cest là que nous allons visiter un château et je dois dire que cela mennui à lavance. Dautant plus que ce château na rien dextraordinaire. Il est en ruine et lunique intérêt de ce village (enfin ce qui len reste) est quil y a des semblants de reconstitutions historiques de scènes de la vie quotidienne.
Nous descendons donc du bus. Les profs nous laissent nous promener dans ce village comme bon nous semble mais ils nous demandent de participer à un maximum dactivité et de regarder un maximum de reconstitutions. Je déambule donc dans les rues et je me dirige vers les remparts pour prendre de la hauteur et sortir de la foule. Cest alors que je vois Amandine qui sapproche de moi. Elle est seule mais je remarque quelle à un cahier et un stylo et quelle prend des notes. Lorsquelle arrive à ma hauteur, jentame la conversation et elle sassoie à coté de moi :
«
- Tu voulais pas me voir dans le bus tout à lheure mais maintenant tu me poursuis !
- Non cest juste que je voulais prendre de la hauteur pour faire un croquis de la ville.
- Un croquis de la ville ?
- Oui pour pouvoir mieux comprendre lagencement de la société de lépoque.
- Ah ok ! Je croyais que tu venais ici pour moi.
- Non cest surtout le point de vue qui mattire.
- Tu veux plutôt dire que tu voulais retrouver le point de vue que tu avais dans le bus !
- Comment ça ?
- Arrête de faire ta coincée ! Jai bien vu que tu regardais ma bite dans le bus.
- C'est-à-dire que ça attirait lil. Je suis pas habitué à voir des sexe si gros.
- Parce que tu en as déjà vu, cest déjà bien. Tout le monde doit croire que tu es vierge !
- Non je ne le suis pas. Jai tenté lexpérience cet été avec un ami pendant une soirée. Jétais loin de mes parents et des gens que je connaissais alors javais pas peur du regard des autres. Et javais envie de tenter lexpérience. Jai lu plein de nouvelles érotiques qui mavaient donné envie dexplorer ma sexualité.
- Bah là tu es loin de ta famille et tu es séparée des gens qui pourraient te juger par un rempart alors tu risques pas grand-chose.
- Jai lu un récit une fois dune princesse libertine du Moyen-âge qui mavait beaucoup touché et depuis je rêve de prendre la place de cette princesse !
- Je suis pas un prince mais on est dans un château et vu les regards que tu mas lancé, je suis sur que tu as envie de sexe (je pose ma main sur sa cuisse en lui disant cela).
- Oui javoue que ça me manque beaucoup depuis lété dernier. Et cest vrai que javais des aprioris sur toi mais tu me plais alors je crois que je vais me laisser tenter mais il faut être très discret !
- Elle faisait lamour où quand elle voulait être discrète ta princesse ?
- Lendroit le plus attirant cétait dans une tour.
- Vas dans la tour là bas. Jarrive dans cinq minutes comme ça personne ne nous verras y entrer ensemble. Et ce sera loccasion de faire une reconstitution historique de laccouplement ! »
Pendant quelle se dirige vers la tour, je ne peux mempêcher de mater son joli petit cul. Jattends donc un peu puis je me dirige à mon tour vers cette fameuse tour. Cest lune des rares à être encore intacte. Lorsque jentre, je tombe sur un escalier. Deux choix soffre à moi : monter ou descendre. Alors que je regarde vers le haut, je vois un soutien gorge dans lescalier. Décidément, cette Amandine me surprend de plus en plus. Elle nest peut être pas si coincée que ça ! Je prends donc le soutien gorge et je monte. En arrivant en haut, je trouve Amandine qui est en train de prendre des notes. Je mapproche delle et je me place à sa gauche. Doù nous sommes, nous surplombons la ville. Je décide alors de lui mettre une main aux fesses. Elle ne dit rien et continue de prendre des notes comme si de rien nétait. Son cul est très agréable à tripoter. Il est bien ferme. Doù nous sommes, des gens pourraient nous voir. Je décide donc de maccroupir et je baisse son pantalon. Elle porte une culotte pas très sexy et qui fait plus quado coquine mais ce nest pas grave car je lui enlève rapidement. Je me place entre ses jambes et jentame un cunni. Elle est toujours dans la même position que lorsque je suis arrivé mais jai le sentiment que sa prise de note nest plus très efficace. Elle se laisse enfin distraire et sa chatte dégouline. Elle pose son cahier et prend appui sur le mur du rempart car ses jambes commencent à trembler de plaisir.
Ma langue joue avec son clito pendant que mes mains parcourent son corps. Je lui dis quil est grand temps que la princesse se serve de mon épée. Je massois sur un créneau de la tour. Amandine baisse mon pantalon et englouti ma bite comme une affamée. Elle commence à me sucer. Elle y met de la bonne volonté mais elle ne suce pas très bien. Surtout quil y a seulement quelques heures, ma bite était dans la bouche de Pipelette ! Je reste assis à me faire sucer pendant quelques minutes. Jai même loccasion de faire signes à un groupe de ma classe qui passe en bas de la tour avec la prof. Sauf quà cet instant, jentends la prof dire quils nont quà monter eux aussi. Nous nous rhabillons donc rapidement avec Amandine et nous reprenons lescalier. Nous descendons tout en bas de la tour. Nous arrivons dans une pièce extrêmement sombre. Japerçois une grande table. Amandine rebaisse mon pantalon et sagenouille mais comme elle suce mal et que jai encore la bite dure, je préfère la sauter. Je la fait donc sallonger sur cette table. Jécarte ses cuisses et jenfonce ma bite dans sa chatte. Elle est très étroite. Elle hurle de plaisir. Comme je ne sais pas sil nous reste beaucoup de temps, je la bourre vigoureusement. Elle couine assez fort et comme je sais que les autres vont certainement emprunter le même escalier pour monter dans la tour, je ne veux pas quils puissent entendre ses cris. Je lui mets donc sa culotte dans la bouche. Jagrippe ses cuisses et je pose ses jambes sur mon torse. Je la baise violement. Mais elle semble apprécié puisquelle jouie rapidement. Les contractions de son vagin machèvent et je jouis dans sa chatte. Je laide à se relever et à shabiller puis nous remontons. Arrivé à hauteur de la porte du rempart, elle membrasse et part. Je lui dis que jespère quelle a pris des notes de ce quil se passe dans les tours !
Je remonte alors au sommet de la tour où je trouve le groupe que javais vu tout à lheure. Je vois que Romain narrête pas de suivre la prof comme un petit toutou. En plus il fait le fayot ! Je suis certain quil fait tout pour se la faire. La prof engage alors la conversation avec moi :
«
- On te croyait perdu. Tu sors doù ?
- Je suis allé voir en bas mais il fait sombre et y a rien à voir.
- Cest parce que tu ne sais pas quoi chercher !
- Faudrait déjà y voir !
- Jai une lampe torche allons y. »
Nous descendons donc là où jai baisé Amandine. Avec un peu de lumière, je remarque quen fait il y avait pas mal de choses à voir. La prof semble émerveillée jusquau moment où elle tombe sur la capote que nous avons laissé sur place. Pour détendre latmosphère je dis :
«
- Je ne savais pas quil y avait déjà des préservatifs à cette époque !
- Ne sois pas idiot, ce lieu sert visiblement de chambre à coucher pour certains. Jespère que ce nest pas encore mes élèves.
- Je nai vu personne dautre quand je suis descendu.
- De toute façon, il est lheure de rentrer. Tout le monde au bus ! »
En remontant, je suis juste derrière la prof et jai une superbe vu sur son gros cul qui dandine sous mon nez. Cela me fait bander. En arrivant au bus, je retourne à ma place. Mais je remarque quAmandine sest assise à sa première place. Elle semble gênée en me voyant et mévite du regard. Ce nest pas grave, elle ma au moins permise de me vider les couilles. La prof souhaite préparer la prochaine étape avec lun des autres profs et Romain a donc le droit, à sa plus grande tristesse, de venir sassoir derrière.
«
- Fait pas cette tête, tu es triste de venir tassoir avec ton meilleur pote ?
- Je préfère les nibards de la prof au tiens !
- Tu las toujours pas baisé depuis le temps que tu lui tourne autour et que tu fayottes ?
- Non et jai constamment la bite dure ! Entre son odeur, ses yeux, sa voix, ses seins et son cul, cest impossible de débander !
- Bah passes à lattaque.
- Faut que je trouve le bon moment et le bon endroit.
- Dans la tour cétait un bon endroit si tu avais voulu.
- Quest que ten sais ?
- Je suppose cest tout !
- Ah je comprends, tu nes pas monté la haut pour la vue et encore moins pour prendre des notes !
- Et tu veux que je fasse quoi dautre ?
- Tu tes tapé la rouquine je suis sur ! Me fais pas croire que cétait pour discuter du Moyen-âge.
- Je voulais savoir comment les gens baisaient au Moyen-âge ! »
Je lui raconte alors tout ce que je viens de vous raconter. Le voyage se poursuit. Nous nous arrêtons de nouveau pour visiter une Cathédrale. Mais a part Romain qui a trouvé la prof intéressante, il ny avait pas grand-chose de palpitant. Nous étions tous groupé, donc impossible de baiser. Et par respect, je naurais pas baisé dans ce lieu de toute façon. Le voyage reprend et nous arrivons enfin à Valladolid. Nous allons jusquau lycée de nos correspondants. Lorsque nous arrivons, nous sommes invités à aller dans le gymnase ou des rafraichissements nous attendent. Puis nos correspondants arrivent pour nous récupérer et nous emmener chez eux. Nos profs nous appellent donc les uns après les autres et chacun découvre avec plus ou moins de joie son correspondant. Certains sont déçus et disent que les descriptions quils ont eues ne correspondent pas à la véritable personne. Cest ainsi que jen viens à penser quil se peut que ma correspondante ne soit ni la beauté ni la cochonne quelle a prétendu être. Je suis dans mes pensées lorsque jentends mon prénom. Je mavance donc vers les profs et je suis alors rassuré. Je vois une jolie brune sortir du groupe despagnols lorsque le prénom de Catalina est appelé. Je dévisage cette fille. La taille et le poids quelle ma annoncé semble correspondre. La beauté de son cul na pas été exagérée mais elle ma menti sur ses seins. Elle a une jolie paire de seins. Certes ils ne sont pas énormes mais ils ont lair très ferme. Elle porte une jupe très courte et un top moulant et décolleté. Elle na pas forcement un très jolie visage mais elle a beaucoup de charme. On se fait la bise et on discute un peu. Je ne suis pas le seul à la trouver mignonne car jentends un prof qui nous accompagne dire que je suis bien tombé.
Nous sortons donc du lycée pour aller chez elle. Sa mère nous attend dans la voiture. En la voyant, je comprends pourquoi Catalina trouve quelle na pas de gros seins. Sa mère a une poitrine énorme. Mais le reste de son corps et aussi proportionnellement plus gros ! Il faut dire quavoir quatre s nest pas ce qui aide le plus à garder la ligne. De toute façon, cest sa fille qui mintéresse. Nous arrivons chez elle et elle me fait visiter la maison. Elle me montre ma chambre qui est en fait un bureau au rez de chaussé. Mais au moins jai une chambre pour moi tout seul et si jamais il y a des ronfleurs dans cette famille, je ne les entendrais pas puisque je suis à lécart des autres chambres. Catalina me montre sa chambre et nous restons un long moment à discuter (plus ou moins facilement). Nous échangeons aussi quelques contacts physiques comme des mains qui se frôlent ou qui se posent sur des épaules. Le courant passe bien entre nous et nous sommes attirés lun par lautre. Mais le temps passe vite et il est déjà temps daller manger, bien quil soit 22h30. Après manger, je passe par la douche et je retourne dans ma chambre. En descendant, je croise Catalina qui me dit de ne pas mendormir trop vite et qui me dépose un bisou sur la joue.
Je suis en caleçon, allongé dans mon lit depuis une quinzaine de minutes lorsque jentends la porte souvrir doucement puis se refermer tout aussi doucement. Grâce à la lumière de la Lune, je vois Catalina qui sapproche de moi. Elle porte une nuisette très sexy. Elle grimpe sur le lit avec sensualité. Elle se place à cheval sur moi et savance lentement en frôlant mon corps. Sa main sattarde un peu sur ma bite qui est déjà bien dure. Je suis rassuré sur un dernier point : cest vraiment une cochonne. Lorsque sa tête est à la hauteur de la mienne, elle me sourit puis nos bouches sont comme attirées lune par lautre. Nos lèvres entrent en contact et nos langues font de même. Elle se laisse tomber sur moi. Ses mains caresses mon visage, mes cheveux et mon torse pendant que les miennes caresse ses épaules, son dos, ses fesses et ses cuisses. Ensuite, je fais glisser les bretelles de sa nuisette tout doucement le long de ses épaules. Enfin sa poitrine est libre. Jen profite donc pour caresser ses seins. Mes lèvres quittent les siennes pour se poser sur ses seins que je lèche avec plaisir.
Catalina se redresse et après avoir bien profité de mes caresses, elle embrasse mon torse et se dirige lentement vers ma bite. Elle menlève rapidement mon caleçon et me branle doucement. Je constate quelle est habituée à se taper des bites car elle est très habile. Je constate aussi rapidement que cest une excellente suceuse. Elle bouffe ma bite tout en jouant avec mes couilles. Elle suce quasiment aussi bien que Pipelette. Je profite de cette délicieuse pipe. Avec ma main je caresse ses jolis seins. Cela doit lui donner des idées puisquelle place ma bite entre ses deux nibards. Elle entame alors une bonne branlette espagnole, ce qui est la moindre des choses vu le contexte ! Après plusieurs minutes, je la tire vers moi et nous nous embrassons à nouveau. Puis je la bascule sur le dos et je me place sur elle. Je lembrasse encore puis ma bouche parcours ses épaules, ses seins, son ventre et jarrive devant sa chatte toute lisse. Jentame alors un cunni qui semble lui procurer énormément de plaisir. Elle ondule et pousse des petits gémissements de plaisir. Puis elle me supplie de la prendre. Je me place sur elle et je menfonce doucement. Nous sommes en missionnaire. Elle enroule ses jambes et ses bras autour de moi puis je la bourre violement. Nous sommes très excités et elle me demande daller encore plus vite. Je la saute maintenant sauvagement et nous finissons par jouir intensément.
Elle continue de me serrer contre elle. Nous nous embrassons un long moment et comme je bande toujours, jai envie de la baiser encore une fois. Cette fois, cest elle qui prend les choses en main. Je suis allongé sur le dos et elle se place au dessus de moi. A ma grande surprise et pour mon plus grand plaisir, cest son cul quelle présente à ma bite ! Elle me tourne le dos et sassois sur ma queue. Elle est habituée à se faire enculer car ma bite entre aussi facilement que devant. Elle sagite sur moi un long moment puis nous basculons sur le coté. Avec une main je joue avec ses seins pendant que mon autre main agrippe ses hanches. Je la baise comme une brute. Elle couine vraiment très fort. Finalement, jinonde son cul et nous nous endormons dans cette position. Le lendemain, cest sa mère qui vient nous réveiller. Elle ne semble pas gênée ni surprise de trouver sa fille nue dans les bras dun mec quelle ne connaissait pas il y a un jour. Nous allons à son lycée et nous prenons par aux divers activités qui sont organisées, principalement des visites. Nous navons pas loccasion de baiser dans la journée car nous sommes toujours en groupe et il nest pas simple de sisoler. Malgré tout, elle nhésite pas à me tenir la main ou à se coller à moi. Evidement, je pense quaussi bien du coté espagnol que du coté français, tout le monde sait ce que nous avons fait durant la nuit.
Le soir, nous baisons de nouveau. En fait, nous passons plusieurs jours à suivre le même programme : visite et baise. Je pourrais vous raconter chaque journée en détail mais mon récit ressemblera alors plus à un Kâma-Sûtra sans image quà un récit. La veille de notre départ, une soirée est organisée dans le lycée. Lorsque je vois la tenue de Catalina, je bande instantanément. Elle porte une robe qui couvre à peine ses fesses et qui dévoile la moitié de sa poitrine. Elle fait très salope mais quelle est belle. En marchant dans le couloir qui nous mène à la grande salle, je passe une main sous sa jupe pour vérifier ce que je pense et effectivement, elle ne porte pas de string. La soirée se déroule normalement et bien quil sagisse dune soirée « scolaire » les espagnols ne semblent pas gêner de distribuer de lalcool, ce qui ne plait pas trop à nos profs. Mais malgré tout, ils sont les premiers à en profiter. Catalina se frotte à moi en dansant. Nous nous embrassons et je tripote son cul sans retenu. De toute façon, nous ne sommes pas les seuls à sêtre rapproché ! Au bout dun moment, elle mentraine dehors. Nous sommes dans une sorte de grand jardin. En avançant, on peut entendre et voir des couples qui sont déjà en train de baiser. Catalina mentraine jusquà une petite fontaine qui est dans le fond du jardin. Elle sagenouille devant moi et elle me suce directement. Après un long moment, elle prend appui sur la fontaine et bombe son cul. Je me place derrière elle et je la saute sans retenu. Elle couine de plaisir. Après cinq minutes passées dans sa chatte, je décide dinvestir son cul. Je lencule violement. Nos corps se heurtent, ses cris deviennent plus fort et finalement lorsque je sens que je vais jouir, je la retourne et je gicle sur dans sa bouche. Elle nen perd pas une goutte. Elle se redresse, elle membrasse langoureusement et je la serre dans mes bras. Elle me dit que cest la dernière fois du voyage que lon baise. Elle est assez triste et moi aussi mais comme on dit, toutes les bonnes choses ont une fin. Comme nous repartons tôt le lendemain matin (qui est en fait dans deux heures) nous partirons directement après la fête. Catalina me dit quelle préfère rentrer chez elle et achever ce séjour sur ce bon souvenir. Nous échangeons nos numéros, elle membrasse une dernière fois et rentre chez elle.
Je retourne à lintérieur bien que je nai plus tellement envie de faire la fête. Je cherche mon pote Romain mais je ne le trouve pas. Comme je le cherche depuis un moment, je remarque que je ne vois pas non plus notre prof. Je me dis alors quil a peut être réussis finalement. Lorsque je vais aux toilettes, jai la confirmation de ce que je pense. Jentends une femme couiner et je reconnais immédiatement la voix de notre prof. Jutilise la même technique quà la station service et je découvre mon pote entrain denculer le gros cul bien bandant de notre prof. Celle-ci est appuyée sur les toilettes. Elle est totalement nue, tout comme Romain dailleurs. Lui il est derrière elle. Il saccroche à son cul et je vous garantis quil la prend à grande vitesse. Il lui met plein de fessés, ce qui semble exciter la prof. Je peux voir ses seins aller davant en arrière à chaque fois quelle se prend un coup de bite. Finalement, elle sassois sur les toilettes et mon pote gicle sur son visage et ses seins. Puis ils sembrassent langoureusement. Là, la prof lui dit : « Je ne pensais pas quun gamin de 16 ans pourrait mieux me baiser que mon mari ».
Je quitte rapidement la pièce et lheure du départ est déjà là. Nous reprenons donc la route pour de nombreuses heures. Nous avons repris nos places habituelles. Malgré la fatigue, lexcitation de la fête ne nous aide pas à dormir. Nous discutons donc avec Romain.
«
- Finalement tu as réussis à te la faire la prof !
- Comment tu sais ça ?
- Je suis allé pisser et jai entendu sa voix alors je suis allé vérifier !
- Sale mateur va. Tas pas filmé au moins ?
- Non !
- Cétait long et laborieux pour la séduire mais ça valait le coût. Quest ce quelle est bonne !
- Ca je nen doute pas. Mais tas gouté aux produits locaux au moins ?
- Non ! Désolé mais moi jétais hébergé chez Diego, pas chez la salope du coin.
- Ca cest clair que cest une salope. Tous les soirs je lai sauté pendant des heures !
- Taurais pu faire tourner !
- Tavais qua demander, je taurais pas dit non et elle non plus.
- Jétais trop occupé avec Eva.
- Ah tu appelles la prof par son prénom maintenant ?
- Je connais le fond de son cul alors on va pas faire de chichi !
- Et son mari tu vas faire du chichi avec lui ?
- Il a qua bien la baiser et elle ira pas voir ailleurs ! Et ta rouquine, elle voudrait pas revenir derrière ?
- Je lai pas revu depuis que je lai baisé et elle avait pas lair chaude pour le refaire.
- Tu lui as pas fait prendre son pied ?
- Si mais je crois quelle était hyper excitée alors elle sest lâchée mais cest une coincé et elle est toute gênée quand elle me voit maintenant. Tas quà appeler ta Eva si tas besoin de baiser !
- Ou refait venir Pipelette plutôt !
- Vu quon la monté dans le bus en la portant, ça métonnerait quelle soit en état de sucer.
- Quelle pute celle la, jamais dispo quand on a besoin !
- Je te dis, il te reste que la prof !
- Cest trop risqué ici.
- Au moins y a pas son mari !
- Toute façon on a déjà planifié un rendez-vous pour baiser quand on sera arrivé. »
Nous finissons par nous endormir. Lorsque je me réveille, nous avons passé la frontière. Je vois Emilie qui revient des toilettes où elle a du passer une bonne partie de la nuit à décuver. Cest alors que Maxime lui lance : « Pipelette, tu as raté la station de ton pote. Je suis sur quil aurait été content de te voir ! ». Romain me confirme ce que je pense, pour quils les laissent partir, le gérant de la station lui a demandé une pipe quelle lui a faite avec plaisir. Après de longues heures, nous arrivons enfin à notre lycée. Nos parents nous attendent pour nous récupérer. En récupérant mon sac, je vois Romain qui lance un regard complice à la prof qui est avec son mari avant de lui lancer un : « cétait vraiment géniale Madame, merci beaucoup ». Son mari semble se réjouir du succès de sa femme. Si seulement il savait quil nest plus le seul à la sauter. Je retrouve ma mère dans la foule et nous rentrons à la maison.
Depuis, je discute régulièrement avec Catalina et il nous est même arrivé de nous revoir et pas seulement pour amélioré notre vocabulaire ! Amandine, si tu lis mon récit, jespère que tu las aimé et quil ta rappelé de bons souvenirs même si nous navons jamais eu loccasion de rebaiser ensemble. Je salue aussi Eva, mon ancienne prof, qui a toujours une relation avec Romain et qui je le sais, lit mes récits. Comme dhabitude, vous pouvez me contacter par mail ou rejoindre le groupe de fans sur Facebook. Je vous remercie pour tous vos messages de sympathie. A bientôt pour de nouveaux récits.
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