Hot Désir

Cet homme, humm…. Il fait partie de ceux qui dégagent quelque chose, une chose si indescriptible qu’elle peut s’emparer et se saisir de tout ton être en même temps. Un ami nous a présentés car cet homme devait m’aider pour résoudre quelques affaires personnelles. Le problème a été que dès que je l’ai vue, je suis tombée sous son charme. Il avait cette façon de faire comme si je n’étais pas là, c’est à peine s’il leva les yeux pour me regarder. J’étais confuse, je ne savais que penser, aucun homme ne s’était jamais comporté de la sorte avec moi. Son nom, Franco, ancien nageur et ancien joueur de base-ball, 1m80, une barbe plutôt sexy, brun des yeux foncés qui vous transpercent de mystère, mexicain. Un vrai latino, sexy, un tantinet macho et hautain, le défi était posé. Nous nous sommes revus quelques fois pour des histoires de papiers, et nous sommes même devenus amis. Lors de chaque visite, toute très amicale, je ne pouvais m’empêcher de noter que mon désir ne cessait d’augmenter. J’étais irrésistiblement attirée par lui tel un aimant, je ne pensais plus qu’à une chose, le voir encore et encore. Je tiens à préciser que je suis en couple depuis plus d’un an, épanouie en ménage mais l’attraction physique, charnelle, sexuelle est quelque chose qui ne se contrôle pas. L’appel de la chair. Un dimanche après-midi, nous commençons à nous échanger quelques mots, toujours très amical mais j’ai senti au ton employé sur les messages que notre relation virait de bord. Il a commencé à être très direct, qu’il avait très chaud, qu’il était encore dans son lit, qu’il ne pouvait pas se lever comme ça, qu’il aimerait que je sois à ses côtés, qu’il est tout shave, tout dur… moi, mon envie grandissait de mon côté, mais j’esquivais les allusions, me caressant les seins , ils devenaient tout durs, ma main a lentement glissé sur mon ventre pour atteindre mon entrejambe en se faufilant sous ma culotte, je sentais la chaleur qui émanait de tout mon corps, une chaleur brûlante, j’étais sur le point de craquer et de lui envoyer une photo de ma poitrine à moitié dénudée et lui demandant de venir m’aider, mais prise d’un moment de lucidité, je lui ai envoyé, « ça suffit pour aujourd’hui, nous devrions ne plus aborder ce thème, ce n’est bien pour aucun de nous ».

Autant vous dire que le soir, quand mon homme est rentré à la maison, il n’a pas été déçu du voyage… Il était surprise de me voir aussi chaude et humide un dimanche soir. J’ai commencé par le plaquer contre la porte d’entrée, ne lui laissant pas le temps d’ôter ses chaussures. J’ai attaqué sa bouche sauvagement en agrippant son gros paquet entre mes mains, il a senti mon désir brûlant. Le gros paquet est devenu instantanément très dur. Sans hésiter, j’ai ouvert sa braguette et baissé le tout pour aller caresser du bout de la langue sa longue verge et ses grosses boules. Je les enveloppé dans ma bouche une par une avant d’enfoncer son énorme queue jusqu’au fond de ma gorge. Comprenant comme sa petite salope était très chaude aujourd’hui, il m’a agrippé les cheveux et a fait des va-et-vient avec ma tête au rythme qui lui plaisait pour que je bouffe toute sa grosse queue. Jusqu’au moment où il m’a dit, alors petite pute, on s’est encore touchée pendant mon absence… je vais t’apprendre ! il a renversé la situation en deux temps trois mouvements, je me suis retrouvée prisonnière de ses mains, de ses caresses, de son désir brûlant de me faire jouir complètement. Il a pris mes seins dans ses mains en m’embrassant avec fougue dans le cou puis une de ses mains a glissé sur mon entrejambe et deux ses doigts on put en profiter pour s’immiscer dans mon intimité. Je les ai sentis se glisser en moi et accélérer le mouvement, mon souffle lui aussi suivait la cadence quand tout un coup, je n’ai pas pu résisté, tout est sorti, j’ai crié, et un flot d’eau s’est répandue par terre… à peine, ais-je repris mes esprits que je me suis empressée de coucher mon mec sur le sol, et de le chevaucher encore et encore, j’étais devenue incontrôlable, mes pulsions avaient pris le dessus, je n’étais plus aux commandes, je n’obéissais qu’à mon instinct insatiable, qui ne s’arrêtait plus. La nuit fut longue mais très agréable, j’ai eu l’impression d’être sur une autre dimension. La prochaine fois que je verrais Franco, j’espère que je serais encore capable de me contrôler car sinon je ne sais pas ce qui pourrait arriver …

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