La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 619)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°618) - Sur le chemin du retour à lAcadémie New-Yorkaise -
soumis Endymion MDE avait pris place à larrière de la grosse berline noire. Instinctivement, tête basse, il avait placé ses mains dans le dos, avait écartées largement les cuisses, sa queue raide pointait tout contre le tissu tendu de sa djellaba. Il constatait quune petite auréole humide sétait imprimée dans les fibres de ce vêtement. Maître CharlEd conduisait tranquillement sans adresser le moindre mot à Son chien soumis. Au détour dune avenue, la voiture sengouffra soudainement dans un garage souterrain et descendit au troisième sous-sol.
- Toi tu attends là, sans bouger !
Lordre était tombé, laconique, sec, autoritaire, sans la moindre fioriture, Maître CharlEd sortit rapidement de la voiture, posa un bandeau sur les yeux de Son esclave, referma la portière et verrouilla ensuite le véhicule derrière lui. Endymion MDE dans lobscurité totale glissait petit à petit dans un univers dintrospection et de fantasmagorie qui donnait aux secondes des allures de minutes. Soudainement, il entendit des pas résonnants forts sur ce genre de revêtement lissé des parkings souterrains. Alors, son cur semballa, la sueur dégoulina de son front, ses joues se mirent à le brûler. Venait-on le chercher ? Non, les pas sétaient éloignés, le bruit dune portière claquait, puis le bruit dun moteur, des pneus crissant, puis plus rien. Lattente était pire que la réclusion, mais il fallait bien sy soustraire, alors vint tout doucement lapaisement. Lesclave de Monsieur le Marquis dEvans se raccrochait à ses images, aux souvenirs de ces humiliations successives quil avait subies la veille. Il entendait parfaitement ses soupirs, ses râles et cris de jouissances, ses rires et moqueries. Mille fois, il se remémorait les instructions, les psalmodies pour lui-même : Te soumettre aux ordres de quiconque les exprimera, obéir sans regimber, nêtre quune chose, un jouet, une pute.
- Assieds-toi !
soumis Endymion MDE sentit alors le frottement dun tissu contre sa djellaba, la chaleur dune peau contre la sienne. Un corps le percutait. La portière arrière sétait refermée. Lautre assis à côté dEndymion MDE fut très vite entreprenant, sa main glissa contre la cuisse de lesclave MDE, il lui effleura le bras, cherchant ses doigts derrière son dos. Cette main baladeuse, caressait maintenant son ventre et glissait tout contre son abdomen à la recherche de lobjet défendu. soumis Endymion MDE quelque peu angoissé, mais tout autant excité se laissait palper, sans trop savoir ce quil devait faire, surtout quil navait pas entendu Maître CharlEd remonter dans le véhicule toujours immobilisé. A travers le tissu de la djellaba, cette main anonyme sétait saisie de la queue dEndymion MDE et la branlait doucement. Lautre main cherchait désespérément à dégager la djellaba de dessous les cuisses de lesclave MDE. Elle tirait sur le tissu pour faire remonter ce cafetan. Sous la ruade, soumis Endymion MDE perdit léquilibre et roula sur le côté droit du siège, se heurtant au passage la tête contre le montant de la portière.
Et cest assez rapidement que ce doigt fut remplacé par une verge épaisse, dure comme un morceau de bois, longue et vigoureuse. Ce phallus le pénétra dun seul coup sans préambule pour senfoncer profondément en lui, puis lhomme qui le sodomisait bestialement ne bougea plus. Ce coït fut dune sauvagerie animale inouïe, soumis Endymion MDE hurla sous la pression de ce sexe brulant senfonçant en lui. Une main vint se plaquer contre sa bouche pour ces cris, une autre posée sur sa nuque lui maintenait la tête plaquée tout contre le siège du véhicule. Alors soumis Endymion MDE, dans linconfort le plus total, comprit quil devait lâcher prise, quil devait subir cet assaut en relâchant ses sphincters trop crispés. Et là, subitement son anus envahi par ce gourdin retrouva sa souplesse et accepta cette énorme sodomie imposée. Tellement surpris par la violence de cet acte, Endymion MDE ne sétait pas aperçu que la portière arrière droite avait été ouverte et cest uniquement lorsquil entendit Maître CharlEd discuter avec une femme quil comprit quil était enculé sous leurs regards :
- Ca faisait plus de six mois quil était parfaitement chaste, je le tenais en permanence sous cage ! lançait la femme.
Maitre CharlEd lui répondit :
- Je comprends mieux maintenant son empressement !
Ils se mirent à rire vicieusement tous les deux
quant à soumis Endymion MDE, lui gémissait et haletait à chaque coup de butoir, lenculeur lui se pâmait plus que jamais.
- Encule la bien cette grosse salope, elle est insatiable, elle a toujours besoin de se faire mettre, elle na quune idée en tête cette chienne : avoir une grosse pine dans le cul ! Haranguait Maître CharlEd.
Etait-ce ces mots qui permirent une terrible et violente explosion ? Lhomme se cabra, simmobilisa, accrocha ses deux mains aux hanches de lenculé, pour rester parfaitement ancré aux fin fonds de ses entrailles puis éjacula à plusieurs reprises une impressionnante quantité de foutre, en poussant plus encore en avant son bassin et des râlements rappelant une forme dagonie qui durèrent longtemps. Visiblement, lhomme qui avait été chaste durant six mois, se vidaient en abondance les couilles, laissait échapper son plaisir sans aucune retenue telle une libération après une abstinence dun semestre
Peu après, son corps tout entier sécroula sur soumis Endymion MDE, inertes tous les deux, ils restèrent emboités lun dans lautre quelques secondes tout au plus avant même quun nouvel ordre leur soit donné par la Dominante cette fois-ci.
- Reste emmanché chien, et sortez du véhicule ainsi, les deux putes !
La voix était sèche, et lordre sans appel possible. Tant bien que mal, ils arrivèrent tous les deux à sextirper de la voiture en restant embrochés. Maître CharlEd dégagea la djellaba froissée de son chien soumis remontée à ses épaules et la lui ôta, puis lattrapa par un bras pour le faire tenir debout, mains posées sur le capot du véhicule. Il vérifia que la queue de celui qui se tenait par derrière Son slave était toujours bien encastré dans le cul puis il laissa intervenir la Dominante autoritaire.
- Tu as bien joui, chien ?
- Oui Maîtresse ! Merci Maîtresse.
- Et tu sais ce quil se passe sitôt après tes jouissances ?
- Oui Maîtresse.
- Alors annonce-le à Monsieur le Vicomte dEvans.
- Vous me punissez Maîtresse.
- Et pourquoi dois-je te punir ?
- Parce quun chien comme moi, ne jouit quen obéissant strictement à sa Maîtresse, et non pas avec sa queue.
- Cest exact mon chien
Tu vas donc recevoir la badine, dix coups te seront donnés par moi et dix autres par Monsieur le Vicomte dEvans.
- Oui Maîtresse, jai bien compris.
- Alors offre ton cul !
Lhomme soumis fit vriller un peu son bassin pour glisser un peu mieux encore son membre dans le fondement de soumis Endymion MDE, puis glissa ses mains sous ses aisselles, agrippa ses doigts derrière la nuque de lesclave MDE.
- Je suis prêt Maîtresse !
Alors le premier coup tomba, entrainant une onde de choc dans tout le corps de lhomme soumis, onde qui se répercuta dans les entrailles dEndymion MDE par une poussée involontaire de son bassin contre les fesses de celui toujours pris, ce qui poussa encore plus profondément ce sexe qui ne semblait pas diminuer de volume malgré son éjaculation effrénée de tantôt. Au contraire, cette queue avait même tendance à grossir de nouveau car à chaque coup donné, la Maîtresse vérifiait si le membre viril de son esclave restait bien en place puis elle poursuivait le châtiment, ce qui avait lair dexciter, de faire bander encore plus lesclave de la Domina. Les vingt coups furent terribles entrainant à chaque fois des coups de reins convulsifs et mécaniques engageant lun dans la souffrance et le plaisir masochiste, lautre dans la jouissance anale, une bien perverse sanction qui se terminait par une perverse interrogation.
- Veux-tu encore jouir dans le cul de cette lope ? Interrogea la femme, à lattention de Son soumis.
Lhomme soumis était rongé à la fois par le désir et la frustration. Il ne répondit pas, alors sa Maîtresse reprit la parole :
- Tu le sais chien, ce nest pas avant six mois que tu pourras de nouveau te vider tes couilles, alors réfléchis bien ?
soumis Endymion MDE ressentait au fond de ses entrailles lhésitation qui titillait celui coincé en lui, car la queue de lesclave avait donc repris un beau volume et envahissait la totalité de son rectum, mais lui, soumis Endymion MDE navait pas son mot à dire. Il était seulement là pour satisfaire les bas instincts de cet homme quil ne connaissait pas, quil ne voyait pas et quil ne verrait jamais.
- Oui
Oui Maîtresse, je suis trop en manque et je sais que je mériterai encore vingt coups pour me punir
Alors sur un signe de commandement autoritaire de la Domina, lui autorisant à baiser, il recommença à faire bouger son bassin en de longs vas-et-viens puis accéléra ses coups de reins tout aussi puissants que ceux du premier assaut. La sodomie tout aussi sauvage dura cette fois plus longtemps, même si les coups de boutoirs étaient encore plus puissants, cadencés, virils. Et cest encore dans des cris de cerf en rut que lesclave éjacula une seconde fois encore abondement et longuement. Il sensuivit sans plus attendre la sanction similaire à la première, mais cette punition fut donnée sans concession avec encore plus de force afin de mieux marquer la sentence. Chaque coup donné fut une terrible pour l'esclave. Et cette fois soumis Endymion MDE ne ressentit pas la verge durcir dans ses entrailles Il comprit alors que lesclave sétait abondement soulagé, vidé totalement à ne plus bander. C'est sous les derniers cris de douleurs de l'esclave lors du vingtième coup que la Maîtresse lui reposa encore une fois la même question :
- Veux-tu encore jouir dans le cul de cette lope ?
- Non Maîtresse, Merci Maîtresse mais je renonce à jouir une troisième fois !
- Parfait, alors tu devras donc attendre encore six mois
Dégage-toi de cet orifice et présente des respectueuses salutations à Monsieur le Vicomte dEvans. Remercies le chaleureusement de tavoir offert ce cul de pute et dis-lui combien tu es reconnaissant de tavoir permis de jouir, de te vider tes couilles de chien en chaleur
Lhomme sans le moindre égard pour soumis Endymion MDE, se retira de lui et se prosterna aux pieds de Maître CharlEd et le remercia très sincèrement tout en lui léchant les chaussures en guise de gratitude. Sitôt après, Endymion MDE sur ordre, enfilait de nouveau sa djellaba, sinstallait à larrière du véhicule dans la même posture que celle initialement prise, attendant que le Maître finisse de rendre ses hommages à cette Dominatrice. Maître CharlEd jeta un dernier regard sur cette femme séloignant en tenant son soumis par la queue et dès quelle fut hors de portée de vue, il ordonna à Son chien de détacher son bandeau quil avait toujours sur les yeux. La voiture démarra, quitta le garage et reprit le route pour lAcadémie.
Le silence était totale dans le véhicule, Maître Charled ne fit aucun commentaire ni même de compliment à Son chien, jugeant sans doute quil navait fait que remplir ses obligations desclave sexuel. Il en avait été de même avec cette Domina, elle avait considéré soumis Endymion MDE seulement comme un trou, un orifice, un objet, un vide-couilles, un tir jus. Elle ne sétait jamais intéressé à lui, ne lui avait jamais exprimé le moindre mot et encore moins des remerciements. Cétait sur ses pensées humiliantes, mais aussi terriblement excitantes quarrivait le chien soumis MDE à lAcadémie new-yorkaise...
(A suivre
)
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