La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 620)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°619) - Humiliant et dur retour à la slave Académie (1/2) -
Dès son arrivée à la New-York Académie BDSM-MDE (cétait son nom officiel car cet établissement, rappelons-le, appartenait à Monsieur le Marquis dEvans qui lavait financé et voulu), soumis Endymion MDE, fut pris en main par Maitresse Marina et son amie Madame Lauren. Vêtu de sa simple djellaba froissée et largement tâchée, ses babouches trop étroites aux pieds, lesclave MDE ne ressemblait à rien, il était épuisé sinon éreinté par ces dernières vingt-quatre heures. Il avait vécu le déshonneur, la diffamation, la déchéance et la totale dépravation. Il se sentait sale, puait même la transpiration, il était vraiment dans un piteux état. Campé debout, tête basse, les bras ballants le long de son corps, il était face à ces deux femmes perverses qui lexaminaient de la tête aux pieds. Le moment était trop bon pour elles deux, il fallait quelles humilient cet esclave MDE qui ne ressemblait plus à rien. Ce fut Madame Lauren qui linterpella en lançant cyniquement :
- La dépravée fait son retour parmi nous
Elle se tut longuement toisant et marchant lentement tout autour de lesclave MDE. Du bout des doigts, dédaigneusement, elle leva un tant soit peu le tissu de sa djellaba, puis elle reprit la parole.
- Cette chienne pue le foutre à dix lieux à la ronde ! Elle a du en prendre plein le cul
Lesclave restait parfaitement immobile, ne bronchait pas, attendait servilement, piteusement. Maitresse Marina, vicieusement souriait. Elle sapprocha de lui, tout près de lui, nez en avant :
- Cest vrai que tu sens le foutre à plein nez, espèce de souillonne-cochonne !
Elle le gifla deux fois, puis sitôt après plaqua sa main sur lentrejambe dEndymion MDE. Elle empoigna son sexe à travers le tissu de son cafetan, le serra douloureusement. Sous cette poigne dacier, lesclave MDE se plia en deux.
- Pas étonnant quil pue le foutre, son cul regorge
Cette chienne nest même pas capable de contenir ce que certains lui offrent généreusement !
Elle assena deux claques sur le cul dEndymion MDE, passa son majeur sur sa raie pour cueillir la semence qui séchappait de son orifice encore béant suite à ces deux dernières saillies, puis se releva, sapprocha de sa bouche, majeur tendu.
- Suce chienne !
Elle enfonça son doigt dans la cavité buccale dEndymion MDE, lessuyant tout contre son palais. Dès que le doigt fut nettoyé correctement, Maîtresse Marina lui relâcha ses organes génitaux et lempoigna par les cheveux puis exerça une pression sur sa tête pour lui faire comprendre quil devait mettre son visage au sol. Il se mit sans attendre en levrette instinctivement, le cul bien relevé, les jambes les plus écartées possible, les bras en avant et la tête plaquée sur le côté, lensemble dans cette position prosternée qui sied parfaitement à lesclave MDE, avec en plus le cul fort exhibé car sa djellaba glissa le long de son dos pour se mettre en paquet tout contre ses épaules. Le spectacle était affligeant, Madame Lauren prit un pan de cette djellaba pour lui couvrir le visage.
- Gros bâtard, ta bouche de pute on nen a rien à faire, seul ton cul nous intéresse
Madame Lauren semblait particulièrement excitée par cette situation humiliante. Son peu dintérêt pour les hommes, et mieux encore, son aversion et sa répugnance pour les chiens soumis, la rendait dune perversité à toute épreuve. Elle vint de nouveau saccroupir près du cul dEndymion MDE et sexclama avec une ironie humiliante :
- Mais regarde, Marina ! Il bande, ce chien !
En effet, le comble de la situation est quEndymion MDE était très excité de se sentir si humilié, si rabaissé par les deux Dominas.
- Oui, regarde Marina, cette pute bande comme un cerf en rut. A croire que plus on le conduit dans la fange, les bassesses, et la débauche, plus il prend du plaisir ! Je ne sais pas où ton Oncle, ce Cher Monsieur le Marquis dEvans a trouvé ce chien
sans doute dans un caniveau
mais cest vraiment une vraie pute ! Plus on lhumilie, plus on linsulte, plus on le dégrade et plus il bande
- Oh tu sais ma Chère Lauren, Mon Oncle sait très bien sélectionner son cheptel de lopes. Ce nest pas un hasard si celui-ci est entre nos mains. Il mise beaucoup sur lui, il sait quil détient un vrai potentiel, ce chien est une vraie pute, oui tu as raison ! Une vraie chienne que lon peut faire sauter aussi bien dans les grands et luxueux hôtels comme dans les bas-fonds dun garage new-yorkais !
Maitresse Marina avait posé un de ses pieds chaussé dun escarpin à talon aiguille sur lomoplate de soumis Endymion MDE et semblait vouloir lenfoncer dans ses chairs par une forte pression en appuyant longuement tout en le regardant de haut durant un long silence. Puis une fois quelle avait bien toisé à souhait lesclave MDE, elle lui dit avec un certain dédain :
- Dis-moi Endymion MDE que tu es une souillonne-cochonne !
- Oui Maîtresse, je suis une souillonne-cochonne
- Dis-moi que tu aimes faire la pute !
- Oui Maîtresse, jaime faire ça
- Faire quoi ? (le talon senfonçait un peu plus)
- Jaime faire la pute, Maîtresse
- Bien Endymion MDE, très bien petite chienne et dis-moi aussi que tu aimes aussi prendre des bites dans le cul ?
- Oui Maîtresse, jaime me faire enculer, jaime avoir des bites dans le cul
- Très bien
et que ton cul est un vide-couilles
- Oui Maîtresse, mon cul est un vide-couilles
La porte de la pièce dans laquelle se trouvaient les trois protagonistes venait de souvrir, Monsieur le Vicomte dEvans entrait en interpellant :
- Mesdames, Mesdames, sil vous plait ! Ce chien a besoin de repos, il faut le laisser un peu souffler, vous savez que cet après-midi, nous le voulons en grande forme.
Marina semblait fulminer, elle aurait aimé jouer encore un peu avec Endymion MDE, mais elle savait aussi que les ordres de Monsieur le Directeur de lEtablissement ne se discutaient pas. Elle ordonna au chien soumis de se lever et de la suivre. Elle choisit une cellule au hasard, laissant là quelques instants seulement Endymion MDE. Elle revint peu après avec un sac de couchage et un paquet contenant des glaçons :
- A poil chien ! Et tiens pose ça sur ta queue !
Elle lui tendit le sac de glaçons, lesclave MDE se réfrigéra la nouille et les couilles, leffet fut immédiat. Sa queue perdit du volume et devint rapidement flasque. Marina alors harnacha cette bite molle dune cage de chasteté.
- Couche-toi maintenant dans ce sac de couchage et dors le chien ! Tu as entendu Maître CharlEd, cet après-midi, il te veut en grande forme ! Et on tapportera de quoi te sustenter
Juste avant de sinstaller dans le sac de couchage, Endymion MDE, timidement, leva son index, tel un voulant sexprimer.
- Quy a-til encore ? Interrogea Maîtresse Marina agacée, comme si souvent soumis Endymion MDE réclamait quelque chose.
- Maîtresse, pourriez-vous autoriser Votre chien à pisser sil vous plait ?
- Jai suffisamment perdu de temps avec toi salope, si tu veux pisser alors tu te pisseras dessus, dans ce sac de couchage. Ton congénère qui dormira là-dedans ce soir sera certainement très content de sendormir dans une couche humide et puante
Jusquau bout Maîtresse Marina voulait humilier lesclave MDE, elle le regardait perversement sinstaller, penaud dans ce sac de couchage. Elle remonta elle-même la fermeture éclair puis lui posa un collier métallique autour du cou, quelle cadenassa à une chaine courte fixée à un anneau rivé au mur. Ainsi attaché, soumis Endymion MDE ne pouvait se lever. Ces dernières extrêmes humiliations lexcitaient de nouveau grandement surtout mentalement car les glaçons lui avait coupé toute envie physique.
- Dors bien la pute !
Elle tourna les talons en les faisant claquer au sol, verrouilla les barreaux de la cellule à triple tours et sen alla, laissant le chien soumis en proie avec ses envies pressantes. Et ce qui devait arriver, arriva
le chien soumis MDE, ne tenant plus son besoin naturel, se pissa dessus, inondant le sac dans lequel il était couché
Il parvint malgré tout à sendormir, baignant dans ses urines, il était tant épuisé mais si heureux de nêtre moins que rien, moins quun animal, de nêtre quun esclave MDE. Et il savourait un masochisme mental dêtre humilié ainsi, oui il vivait mentalement le paroxysme de lhumiliation dans la jubilation dun improbable bien-être psychologique
(A suivre
)
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