Tranche De Vie Dans La Soumission - 2

Je finissais mon récit précédent en envisageant de m’abandonner complètement à celui chez qui je vis, qui détient la clé de ma cage de chasteté, et qui me baise dès qu’il en a envie. La cage qui me comprime le pénis à chaque érection et les envies fréquentes de sexe de mon maître ont exacerbé mon désir sexuel et je suis tout le temps excité sexuellement. Aussi, j’ai fini par céder et accepter ma soumission pleine et entière.

Je n’ai pas verbalisé cet accord, mais mon maître a compris que je lui appartenais définitivement en voyant que je ne lui refusais rien. Il a compris qu’il pouvait me réveiller de mon sommeil en frottant son pénis sur mon visage et en insérant son gland dans ma bouche encore pâteuse. Si au début j’ai eu des difficultés d’adaptation, c’est à peine réveillé désormais que je me mets à téter sa sucette quand il me la présente à la bouche. L'idée de servir ainsi cet homme, et de me voir à sa disposition m'entraîne à faire tout ce que les autres qualifieraient de bassesse.

Constatant que je m’abandonnais, il m’a imposé de porter un ras le cou, simple et noir, signe que je suis à lui. Cet accessoire a beau être sobre, il n’en reste pas moins visible, surtout chez un homme et je vois bien au regard de mes camarades de fac qu’ils se posent des questions.

Il s’est également mis à m’appeler par le nom de son ex-femme (Geneviève) mais sans me féminiser. Je reste un homme, poilu…, mais avec un nom de femme dans l’intimité et avec la cage de chasteté. Et je vis désormais nu chez lui (il n’y a pas de vis-à-vis). Je subis ses assauts très souvent, ou plutôt j’en jouis car si l’excitation est omniprésente, la satisfaction est fréquente, même si je ne jouis plus du pénis, organe devenu inutile.

Il se permet également de me faire prendre des risques. Une fois, à une réunion de famille chez mes parents, il m’a alerté de sa venue par sms. Je suis allé lui ouvrir discrètement ; il voulait me baiser tout de suite.

Il est allé dans l’atelier au fond du jardin et je l‘ai suivi docilement, J’espérais que personne ne nous remarquerait, mais étant sous son emprise, je l’ai suivi sans regarder autour ; il m’avait ordonné de le suivre.

Dans l’atelier, il m’a pris face contre le mur et m’a sodomisé sans me préparer. Il me malaxait douloureusement les testicules ; le but étant de tester ma soumission à lui – soit je l’arrêtais soit je le laissais faire. Je l’ai laissé faire malgré la douleur et les risques.

Une semaine plus tard, il m’expliquât vouloir me faire passer un ultime test de soumission. Il m’emmena aux abords de la ville dans un quartier ancien et pauvre. Nous sommes entrés dans une bâtisse délabrée qui servait de squat à un SDF. Le dernier test consistait à voir si je suivrais ses ordres jusqu’au bout. Le SDF était crasseux et je priais pour que mon maître se rétracte. Dans le même temps, je n’envisageais pas de reculer ; il m’avait ordonné de lui obéir.

Alors je me suis approché du SDF, j’ai ôté ses vêtements un à un : ils étaient raides tellement ils étaient sales. De son corps émanait des relents de saleté, d’urine et d’alcool. Il bandait mais n’était pas très bien membré. Je me suis déshabillé à mon tour et je me suis agenouillé. Mon maître ne ratait rien de la scène.

Son sexe sentait littéralement l’urine et la transpiration. Je l’ai saisi des doigts et l’ai mis dans ma bouche. J’avais des hauts le cœur et je dus attendre de m’y habi avant de pouvoir le sucer. C’était révulsant. Je suçais un SDF crasseux dans un squat et j’étais sur le point de vomir.

A ce moment là, mon maître s’est approché de moi et m’a soufflé à l’oreille :
« Geneviève, prends plaisir à le sucer car c’est moi qui te l’ordonne. Désire ce que je désire et tu verras que tu aimeras tout faire, tout ce que je veux. En te soumettant à mes désirs, en t’effaçant face à mes envies, tu te soumets véritablement à moi. C'est ainsi que je veux t'aimer »

Assimilant ses paroles, une barrière s'est comme brisée dans ma tête et j’ai commencé à prendre du plaisir à sucer cette queue dégoûtante car c’était la volonté de mon maître.
Je me suis mis à la lécher, à lécher son pubis son scrotum, en enfouissant ma tête sur sa verge et ses poils. Et j’aimais ça.

Je ressentais de l'attirance pour ce SDF sale et gras. Si ma soumission et les désirs du maître exigeaient que je devienne excité à l'idée de lécher le corps de ce SDF, alors je m'exécutais avec plaisir. Il m’a fait mettre à 4 pattes, et m’a sodomisé sauvagement. Je jouissais sous ses coups de queue dans mon anus. Mon plaisir sexuel était en fait causé par le plaisir que j’avais à obéir à mon maître. Son plaisir était devenu le mien.

Le SDF grognait et m'insultait. Ses propos orduriers autant que sa crasse étaient avilissants et ne pouvaient que montrer ma soumission à mon maître.

Un plaisir sexuel de soumission m’envahissait et alors que ses coups de reins se faisaient très forts, je me suis mis à jouir et crier « JE VOUS AIME, MAÎTRE. JE VOUS ADORE ». Et c’est quand sa queue déversait de grosses quantités de sperme que je me suis mis à hurler : « JE SUIS GENEVIÈVE ET JE SUIS TOUT A VOUS ». Je me suis écroulé par terre, terrassé par l’orgasme anal et la révélation. Nous sommes repartis et depuis je n’envisage plus de le quitter.

On a continué à vivre ainsi – moi nu, en cage de chasteté, soumis et épanoui sexuellement et mentalement. Je vis une relation intense à tous points de vue avec un homme qui me connaît mieux que moi-même.

Pour finir, il a organisé une sorte de « cérémonie de mariage » afin de consolider notre lien. C’était chez lui avec deux amis, un faisait office de maire-prêtre, l’autre filmait. Ils étaient en costume et moi nu ne portant que mon ras-le-cou et la cage, et très ému. Est venu le moment de mes vœux ; j’avais demandé à en prononcer.

Je me suis mis face à lui et lui ai dit :
« Par ce baiser, je scelle mon âme à la tienne et te l’offre. »
Je l’ai embrassé sur la bouche.
Puis je me suis agenouillé, ai ouvert sa braguette, sorti son pénis et dit :
« Par ce baiser, je scelle mon corps au tien et te l’offre.
 »
J’ai embrassé sa verge turgescente
Puis je me suis placé à 4 pattes, les bras tendus, cambrant le dos pour faire ressortir mes fesses, et ai dit :
« Aujourd’hui et pour toujours, je suis à toi. Le nom que tu m’as donné et à moi et je suis Geneviève. »

Il s’est agenouillé derrière moi et m’a délicatement pénétré. Je sentais sa bite toute entière glisser lentement en moi. J’ai repensé à tous mes amants passés et comment j’en étais arrivé jusqu’à lui. Il a éjaculé en moi et cela a été comme le moment où notre union s’est vraiment scellée. Je n’ai pas pu empêcher une larme de couler.

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