Olga, Elodie Et Philippe - 15- Dimanche Soir: Elodie Et Philippe
Message dOlga: Elodie na pas été en mesure décrire la scène damour entre elle et mon mari. Cest donc Philippe qui a exceptionnellement écrit cette partie, à la demande dElodie. Mais cette petite manipulatrice na pu résister à lui faire des douces suggestions, par petites touches légères, afin de lui insuffler malignement, sa relation rêvée avec MON époux.
AVERTISSEMENT
Ce texte, écrit à quatre mains par ElodieParis et Olga T, est la suite de ceux parus depuis le 14 octobre 2020 sur HDS.
Ce récit érotique est fictif, mais sinspire du vécu des protagonistes. Voici un nouvel épisode de ce travail en commun.
Bonne lecture et merci pour vos commentaires!
RESUME DES EPISODES PRECEDENTS
Une jeune doctorante timide de 25 ans, Elodie, est invitée à venir sentraîner à présenter son mémoire par Philippe, haut-fonctionnaire, qui est un des spécialistes du sujet de la thèse. Une fois sur place, Olga, la maîtresse de maison, hypersexuelle en manque, prend la jeune étudiante en charge, sous les yeux de son mari candauliste expérimenté.
Olga réussit de main de maître à faire surmonter à Elodie ses peurs et ses complexes. Le couple découvre sa connaissance surprenante des choses du sexe. Létudiante qui se laissait faire comme une jeune inexpérimentée dévoile son vrai visage de petite salope.
Olga invite la gamine à rester le week-end où s'enchaînent des parties de plaisir de plus en plus intenses. Olga autorise enfin Elodie à faire lamour avec SON mari Philippe car leurs désirs respectifs montent inexorablement.
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Mario, le fantasque commerçant italien bien monté, venait de partir. Olga avait repris ses esprits, après sêtre longtemps abandonnée à ses étreintes viriles. Elle lui avait consacré toute son attention, oubliant dobserver le petit couple candauliste qui les matait.
Ils étaient lovés sur le canapé, tous les deux nus, la petite dans les bras de SON mari, recouverts par le grand plaid. Elodie avait sa tête sur lépaule de Philippe, elle était bien, heureuse, rayonnante. Pour une fois, elle souriait, dévoilant ses magnifiques dents blanches. Cette complicité magique et ce respect entre eux deux comptaient énormément pour Elodie.
Olga et Philippe navaient pas besoin de parler pour se comprendre. Elle adressa à son mari un regard interrogatif qui voulait dire « Elle ta fait jouir ? »
Philippe fit non de la tête. Elodie avait jusqualors fait jouir Philippe à chaque fois quOlga se faisait prendre, pour quil soit en harmonie avec son épouse. Mais cette fois, létudiante sen était bien gardée. Olga rompit le silence:
- Petite garce, pourquoi tu n'as pas fait jouir mon mari pendant que je me faisais démonter par Mario?
Philippe prit la défense dElodie et expliqua:
- Ma petite Princesse ma caressé pendant que je tadmirais en pleine action, mon amour. Elle sait combien jaime ça. Mais je lui ai demandé de ne pas me faire jouir car je veux lui faire lamour en ta présence, ma chérie. Pas derrière ton dos! Elodie ne laurait jamais voulu, elle a trop de respect pour toi, pour nous.
Elodie hocha la tête timidement, confirmant les propos de Philippe.
- Merci de mavoir attendu. Pourtant, javais donné mon feu vert. Quand jai décidé quelque chose, je vais au bout. Je tai autorisé à baiser cette petite salope, alors vas-y !
Olga, au fond delle, éprouvait de la reconnaissance pour cette petite Elodie, qui avait du respect pour elle et les rites de son couple. Létudiante navait pas voulu profiter de la situation et faire lamour à Philippe pendant ses frasques avec son amant.
Olga devait avouer que ce spectacle, quelle découvrait sous ses yeux, était tendre et émouvant. La jeune fille était comme un petit chat dans les bras de Philippe: elle ronronnait de bonheur. Il était comme un père de substitution et cela rappela plein de souvenirs à Olga sur sa propre relation filiale. Léchange de regards entre ce couple uni, nouvellement formé, évita les embarras quauraient causés les paroles.
Elodie, malgré la chaleur du plaid, frissonnait. Comme bien souvent, lémotion la submergeait. Elle attendait ce rapprochement avec Philippe depuis longtemps et cela lui donnait le vertige. La façon dont Philippe la protégeait dans ses bras, la regardait, l'apaisait terriblement, mais ils allaient irrémédiablement vers cet acte damour tant voulu et tant redouté par Elodie.
- Tu es adorable ma petite Princesse.
Philippe releva dun doigt une mèche rebelle blonde, puis caressa avec une tendresse infinie le visage de létudiante. Il posa enfin ses lèvres sur celles dElodie et prit possession de celles de la jeune fille. Leurs baisers étaient tout doux et tout légers, tout en effleurement.
Olga était inquiète. Quallait-il se passer ? Quelle serait la suite de ce qui se déroulait sous ses yeux, sans quelle puisse désormais lempêcher ? Son couple était-il menacé ? Olga, silencieuse, était assise dans un fauteuil. Elle comprenait parfaitement que ces deux-là nallaient pas baiser, mais faire lamour. Autant Olga la vaginale avait besoin daction, Elodie la clitoridienne recherchait beaucoup de douceur. Olga savait que cétait elle qui avait fini par permettre cela et avait prit la décision de les unir. Elle était partagée entre une infinie jalousie et une certaine émotion, parce quelle devait reconnaître que ce dont elle était témoin était tendre et beau.
Les amants prenaient tout leur temps.
- Chut, Princesse ! Plus un geste!
Philippe fit tomber le plaid, la mettant à nu. Ses mains dhomme se firent toutes douces, couvrant le corps dElodie de caresses qui l'électrisèrent. Elodie avait attaché ses cheveux avec un petit chouchou pour dévoiler son cou tout blond et tout fragile, marqué par les suçons dOlga, quelle cachait toujours au regard des autres. Pour Philippe, cétait un appel. Il eut à son tour envie de laisser son empreinte sur cette douce peau et offrit à la jeune fille un suçon qui la fit frissonner. Elodie gémit de satisfaction car elle voulait tant conserver sur elle la marque de cet homme merveilleux et de ce couple. Une chose était certaine: il faudrait plusieurs jours à Elodie pour pouvoir se montrer sans mettre une écharpe, tant elle portait les marques des ébats de ce merveilleux week-end.
La pression saccrut encore quand les lèvres de Philippe, sa langue, abandonnèrent la bouche de létudiante pour descendre lentement vers ce qui lui était promis. Elodie tressauta quand Philippe prit tout son temps pour titiller puis sucer ses tétons, gober ses petits seins. Cétait divin et diabolique. Il la rendait folle, ayant, bien entendu, déclenché la formidable machine à cyprine de létudiante. Elodie vivait là quelque chose dunique et de merveilleux.
La bouche de Philippe continua à descendre, jusquà ce quelle soit à la hauteur de lentrecuisse dElodie, loccasion pour lui de renouveler le cunni dexception quil lui avait offert la nuit précédente, en mode grande douceur.
Sa langue était souple et coquine, jouant avec son clito comme dans un grand baiser bienveillant. Elodie avait les yeux fermés, incapable daffronter le regard dOlga ou de Philippe. Contrairement à lépouse, létudiante ne verbalisait pas ce quelle ressentait, seuls ses petits gémissements traduisaient la lutte quelle menait contre elle-même pour ne pas jouir, afin de réserver son orgasme à cet homme, quand il la prendrait. Dieu quil savait la sublimer. Non seulement il nétait pas rebuté par la fille fontaine quelle était, mais il prenait plaisir à sabreuver de cette humidité, comme sil sagissait dune source intarissable.
Elodie réussit, sans repousser son amant, à se dégager, avec douceur, de son emprise. Elle voulait elle aussi soccuper de lui. Elle savait ce quelle voulait, ce quelle avait désiré depuis plus de deux jours : son Philippe Elle le voulait désormais au plus profond de son intimité, au plus chaud de ce quelle avait à offrir, pour absolument tout lui donner.
Elodie se mit à genoux, entre les jambes de Philippe. Toujours yeux fermés, ce quelle devina de la pointe de sa langue la rendit fière. Il avait une érection terrible qui traduisait son désir pour elle. Elodie caressa lentement cette queue et la prit délicatement en bouche, mais sentit rapidement quil fallait, pour elle comme pour lui, passer à lacte quils attendaient depuis longtemps, celui qui ferait quils seraient enfin en union tous les deux.
Elodie sinterrompit brutalement, ouvrant les yeux comme tétanisée face aux fenêtres. Elle venait de se rappeler que, les rideaux ouverts, tout ce qui se passait dans le salon était sous la vue du voyeur. Et cela, elle nen voulait à aucun prix, car cétait un moment dintimité, à elle et à Philippe, un moment qui compterait pour toute sa vie. Seule la présence dOlga, sans laquelle rien naurait été possible, était acceptable.
Olga comprit immédiatement ce qui bloquait la petite et se leva pour fermer rideaux et voilages, prenant tout son temps pour offrir sa nudité au voisin-voyeur, en guise de compensation.
Philippe comprit que ce nétait pas suffisant pour Elodie et fit une autre proposition :
- Allons à la chambre. Nous serons plus à laise !
- Cest une bonne idée ! Je pourrais minstaller dans ton fauteuil candauliste, mon chéri, pour mieux vous mater pendant que tu baises cette petite. En tout cas, à la fin du week-end, elle aura épuisé presque tout notre stock de draps, cette garce !
Elodie rougit à cette évocation de ses éjaculations féminines si abondantes.
Philippe prit Elodie dune main et Olga de lautre. Il conduisit ainsi ses femmes à la chambre conjugale. Olga sétait enroulée dans le plaid et sinstalla confortablement sur le fauteuil. Elle ne voulait rien manquer de ce à quoi elle avait fini par consentir. Il sagissait de drôles émotions très troublantes pour elle, un mélange dexcitation, de grand danger et de regret. Un sentiment de toujours repousser les limites encore plus loin.
Elodie se cacha sous les draps. Philippe prit tout son temps pour préparer la chambre, en mettant une belle piste de lecture entre lounge et musique zen, installant des bougies odorantes aux douces senteurs, de la lumière tamisée, des serviettes de bain. Il posa un flacon dhuile de massage sur la table de chevet, à proximité du lit.
Elodie était bouleversée. Cet homme faisait tout pour la mettre dans les meilleures conditions, lui faire oublier tous ses mauvais souvenirs cachés au plus profond delle, pour la rendre tout simplement heureuse.
- Mets-toi sur le ventre, Princesse !
Le fait quil l'appelait Princesse ou petite tout le temps la rendait encore plus attachée à cet homme. Elodie obéit et il retira le drap, sinstalla sur le bord du lit, admirant et désirant cette jeune fille qui se donnait à lui. Il resta un instant ainsi, à respirer calmement puis il prit entre ses mains le flacon dhuile quil commença à appliquer de ses mains avec la science du sachant. Le premier contact sur le corps dElodie fut un peu électrique: Elodie, trop perturbée, avait encore du mal à se relaxer.
Le massage commença. Pour Elodie, cétait absolument exceptionnel de sentir ces mains si fortes et puissantes sur son corps. Philippe, qui pratiquait assidûment les massages pour le plus grand plaisir dOlga, alternait parfaitement les pressions, les effleurements, les palpés. Cétait un vrai délice. Elodie se détendit petit à petit, ne pensant plus à rien du tout, pour finalement en arriver à nêtre pas loin de sassoupir.
Puis Philippe se concentra sur ses jambes, massant maintenant lintérieur des cuisses avec une extrême sensualité. Elodie sentit son désir monter et lui facilita la tâche, en relevant imperceptiblement son bassin et ses fesses. Elle ressentait dans le bas de son ventre une agitation sourde, son sexe se lubrifiait à nouveau.
Philippe commença alors à masser le bas du dos, revenant régulièrement vers l'entre-jambe. À chaque fois quil massait cette partie là, il écartait les lobes, si bien quElodie ressentait de la fraîcheur au niveau de son sexe. Ses lèvres intimes sécartaient, laissant séchapper un peu de sa mouille. Elodie se laissait aller, son excitation montait, sa respiration devenait saccadée.
Les doigts de Philippe sinsinuaient autour du sexe de la jeune fille, sans jamais le toucher et remontaient sous ses fesses. Puis ses mains glissèrent lentement des orteils, sur les chevilles, puis les mollets, les genoux, lintérieur des cuisses largement ouvertes. Les doigts écartaient les lèvres, et les paumes les fesses.
Elodie, le feu aux entrailles, aurait voulu quil la prenne, là, tout de suite !
Philippe entoura les cuisses dElodie de ses jambes. Cétait désormais avec tout son corps quil la massait, une technique quil avait vue Agun pratiquer plusieurs fois sur son amante Olga.
Assis maintenant sur Elodie, il continuait le massage de sa nuque, de ses bras.
Après le massage du premier bras, la main dElodie était restée négligemment posée sur la cuisse de Philippe, assez haut. Elodie fit remonter ses doigts et sa main le plus possible, calquant cette progression sur le rythme du massage de lautre bras. Profitant quil tenait lautre main, Philippe la plaqua dautorité et fermement contre son érection, tout en poursuivant son massage sur la nuque. Elodie parcourut, avec ses mains tournées dans son dos, lampleur prise par la queue de son amant. Elle réalisa que son excitation devait être à son apogée, tellement son sexe lui semblait dressé. Elodie commença à caresser ce membre que son ventre réclamait si fort. Elle adorait tenir fermement cette queue entre ses petits doigts !
Philippe reprit sa position, assis bien haut sur les fesses dElodie, son sexe à portée des mains baladeuses de létudiante, qui sactivaient davantage.
Philippe, malgré son désir, était bien décidé à poursuivre ce massage, doux supplice pour lui et Elodie. Il chuchota à la jeune fille de se mettre sur le dos.
Philippe continua son massage par le haut des épaules, descendant sur les seins aux tétons érigés. Ils étaient à la fois douloureux et très sensibles. Philippe le comprit car il massa avec une infinie douceur et sensuelles ce qui était si fragile. Lentement il passa plus bas, sur le plexus et le bas ventre. Elodie était aux anges.
Philippe posa ses genoux de part et dautre des épaules dElodie. Son sexe était tendu de désir. Philippe semployait à masser les lèvres du sexe dElodie, insinuant ses doigts entre elles et caressant son clitoris. Celle-ci nen pouvait plus et ramenait ses mains sur son sexe pour lui prodiguer une douce masturbation.
Elodie désirait jouir, mais surtout sentir ce sexe en elle. Elle nen pouvait plus, ayant un désir immense de jouir, dêtre pénétrée, de se sentir possédée.
- Je vais te faire lamour lentement ma petite Princesse.
Elodie comprit quil se comportait avec elle comme avec quelque chose de très fragile, prêt à se briser à tout moment. Tout à son bonheur, elle ne ressentit pas, à ce moment-là que, pour Olga, témoin silencieuse et impuissante, cela était plus quune inquiétude, une véritable blessure, dont elle était responsable, ayant ouvert la boîte de Pandore, en poussant létudiante dans les bras de son mari. Olga donna alors le signal, en tendant un préservatif à son mari. A la réflexion, elle préférait que cela se passe ainsi, même si le couple avait toute confiance en Elodie. Même si, dans son fort intérieur, elle aurait voulu que Philippe se répande en elle, Elodie comprit le choix dOlga qui, en même temps, marquait leur volonté à tous les trois de préserver le couple.
Philippe avait choisi de prendre la petite en missionnaire. Elodie se sentit défaillir quand Philippe déroula le préservatif sur sa queue. Elle savait que le moment était enfin venu Il se présenta à la porte de son intimité. Elle mouillait terriblement et son entrée se fit tout en douceur, tout en langueur, millimètre par millimètre, senfonçant inexorablement au plus profond d'elle-même, jusquà la délicieuse buttée.
Elodie, à chaque avancée de cette queue tant désirée en elle, haletait dextase, se sentant de plus en plus prise et possédée par la force terrible de cet homme parfait et tellement puissant. Il savait que cette position était idéale pour une pénétration plus profonde et pour un maximum de plaisir. Philippe fit ouvrir les yeux dElodie pour quils puissent lire dans leurs regards toute lintensité du moment. Il voyait, dans les yeux bleus profonds de la petite, briller la lueur du plaisir et du bonheur qu'elle éprouvait. Cette position classique permettait aussi à Philippe de caresser Elodie, en particulier ses petits seins mode Birkin, si sensibles, et aux amants dunir leurs lèvres dans de longs baisers.
Sentant que leur extase nétait pas loin, Philippe décida soudainement dune variante.
- Mets tes jambes sur mes épaules, Princesse !
La pénétration qui sen suivit fut plus profonde, rentrant en elle yeux dans les yeux, pour voir son trouble. Le suçon dans le cou de la petite était violet et Philippe adora croiser sa signature sur ce cou vierge.
Olga aurait tant aimé que Philippe se comporte différemment, quil démonte cette petite. Elle aurait voulu quun de ses amants vigoureux soit à la place de Philippe et pilonne cette petite garce sans ménagement. Le final qui sannonçait réveilla toutefois les sens dOlga, qui se mit à se masturber frénétiquement et sapprocha du couple pour pouvoir mieux surveiller la montée inexorable de leur orgasme.
Elodie nen pouvait plus de cette queue qui lavait prise si lentement, si profondément. Elle sabandonna au regard de Philippe. Ses yeux se brouillèrent, sa respiration se bloqua, son corps se tendit et son petit sexe se contracta autour de cette queue puissante. Elle laissa échapper son dernier petit halètement dabandon et jouit dans une douce contracture, en lâchant un râle lent et profond. Elle vivait une sensation de vide total, de perte de conscience bien quéveillée, de décharge liquide en elle. Philippe, en harmonie totale avec la petite, se vida généreusement, accompagnant les spasmes de son orgasme par de sublimes giclées chaudes et mâles. Elodie devinait, malgré le préservatif, ce sexe éjaculer en elle, et sentait le corps de Philippe sabandonner.
Tout à lheure, quand Olga lui avait demandé si elle était « en période dangereuse », Elodie lui avait dit la vérité. Elle ne savait pas mentir de toute façon. Mais à ce moment précis, paroxystique, elle pensa à une folie : elle aurait voulu que ce soit différent et que cet homme lui fasse un .
Les deux amants seffondrèrent dans les bras lun de lautre et la petite chatte dElodie débordait de sa propre éjaculation féminine.
Olga, particulièrement excitée devant lérotisme de la scène, avait joui également. Elle fut la première à reprendre ses esprits. Désireuse de reprendre la situation en mains, Olga sapprocha de Philippe et lembrassa fougueusement pour marquer son territoire. Philippe la rassura :
- Merci de mavoir permis de faire lamour avec cette petite ! Je taime !
Puis Olga sapprocha dElodie, qui était dans un état second après les moments quelle venait de vivre. Elle lembrassa également, lui disant à loreille :
- Ca ta plu, petite salope ?
Elodie fit oui de la tête, son regard exprimait sa reconnaissance infinie.
A cet instant, cétait Philippe qui avait en définitive le contrôle.
- Chérie, la petite chatte de cette Princesse déborde de cyprine. Tu veux bien la nettoyer, sil te plait ?
Sans discuter, Olga se mit entre les jambes dElodie et commença à la lécher. Le cunnilingus quelle lui pratiqua, avec tout son art, provoqua un nouvel orgasme dElodie, moins puissant toutefois que louragan quelle venait de vivre. Olga sortit des cuisses de sa maîtresse le visage maculé, couvert des sécrétions intimes de la jeune fille.
***
Les trois complices prirent ensuite un léger dîner. Elodie leur concocta une soupe butternut minute, quelle recouvrit de châtaignes écrasées en petit morceaux et grillées à la poêle. Elle accompagna le tout dune salade dendives, dont lamertume était équilibrée avec du jus dorange. Elodie, qui pensait à sa soutenance de thèse, voulait prendre congé deux, mais Olga et Philippe refusèrent de la laisser partir et lobligèrent à rester en leur compagnie jusqu'à ce moment fatidique. Ils sengagèrent à venir assister à sa soutenance de thèse, devinant que la petite aurait besoin deux et quils laideraient par leur présence.
Olga fit un ultime et magnifique cadeau à Elodie.
- Cette nuit, je te laisse dormir avec MON mari, moi jirai dans la chambre damis.
Elodie en avait les larmes aux yeux. Cétait un geste si généreux et potentiellement risqué pour le couple.
Elodie la taiseuse osa protester, disant que ce nétait pas convenable, que ce nétait pas sa place. Cela la gênait beaucoup quOlga aille dormir dans la chambre damis pour les laisser seuls, elle et Philippe, dans la chambre conjugale.
Une fois qu'elle avait pris une décision, Olga détestait quelle soit discutée. Son ton fut sans réplique:
- Jai décidé et je ne te demande pas ton avis, petite garce. Philippe la souvent fait pour moi et jai envie, pour une fois, de le faire pour lui. Donc tu ne discutes pas et profites-en bien, tout en pensant à dormir un peu, car demain sera une journée longue et décisive!
Olga se dirigea vers Philippe et les époux échangèrent un long et fougueux baiser.
- Profites bien de ce que je taccorde, mon amour.
- Je le sais, ma chérie! Je taime et je naime que toi.
Puis elle déposa un baiser sur les lèvres dElodie.
- Cest ta récompense et un cadeau exceptionnel que je tai fait aujourdhui, mon doux chaton. Je le fais parce que tu le mérites et que je sais que tu nen ras pas!
Elodie confirma par un hochement de tête, timide et touchant.
- Dis-moi, petite salope, une dernière chose, tu ne vas pas me le prendre au moins ?
Elodie fit non de la tête.
Olga se reprit et ajouta, avec un ton qui se voulait ferme et même menaçant:
- Il est à moi tu sais et je ne laisserai jamais personne me le prendre!
Elodie sentit que, derrière ses airs dhypersexuelle dominatrice, Olga avait ses fragilités. Philippe était le roc sans lequel elle était perdue. Elodie avait envie dinverser les rôles et de prendre à son tour la belle hypersexuelle dans ses bras pour lapaiser, la rassurer.
La petite étudiante avait une éthique profondément ancrée en elle. Ce couple avait tant fait pour elle, il nétait pas question pour elle, même un instant, de mal se comporter et de tenter de séparer ces ceux-là, qui étaient faits lun pour lautre. Et elle savait quOlga devenait une véritable tigresse si elle sentait quune femme prétendait lui prendre SON Philippe.
***
Cest toute penaude quElodie se sentit quand Philippe referma la porte de la chambre derrière eux. Il la prit dans ses bras et ils sembrassèrent tendrement.
Elodie avait envie de remercier Philippe, en lui offrant à son tour des émotions très fortes et particulières, quelle avait de nombreuses fois eu loccasion de pratiquer et qui la rendait très fière. Cétait un de ses petits secrets à elle.
Avec une infinie douceur, elle demanda à Philippe de sallonger sur le ventre, comme une petite supplication. Philippe comprit, au vu de son regard, quelle allait lui offrir quelque chose de merveilleux.
Elle se saisit à son tour du flacon dhuile de massage. Philippe pensa dabord quelle allait pratiquer sur lui un massage classique. Il comprit très vite que cétait autre chose quand la petite lui glissa un coussin sous le ventre, commença à lui passer de lhuile sur le bas du dos, puis continua le même traitement sur sa raie culière.
Elodie mourait denvie de pratiquer un massage prostatique sur Philippe. Son instinct lui avait dit que cela lui plairait, ignorant son passé et ses plaisirs pratiqués. Elodie avait envie de faire plaisir à cet homme merveilleux qui, avec son épouse, avait tant fait pour la rassurer.
- Cest juste divin, ma Princesse. Continue!
Elodie lui prodigua un doux massage de toute la région, en partant des testicules jusquau-dessus des fesses et commença à lemmener doucement au paradis.
Une fois de plus, Elodie prouvait quelle nétait pas la petite étudiante timide quelle semblait être. A lévidence, ce nétait pas la première fois quelle faisait ce massage divin à un homme et en était même experte.
Le talent dElodie était un savant mélange entre douceur et fermeté. Elle connaissait par cur lanatomie masculine et ses mains et gestes le prouvaient.
Elodie écarta les chairs anales avec une infinie douceur. Elle glissa son index toujours un peu plus loin entre les fesses de Philippe, qui en avait le souffle coupé. Puis elle plia lentement le doigt à lintérieur du rectum, caressant avec un dosage parfait la prostate gonflée dexcitation.
Lérection de Philippe fut immédiate et complète. Il se souleva un peu pour laisser passer la main dElodie, qui lui caressait bourses, périnée et pénis, en même temps que les deux doigts commencent le travail de relâchement.
Philippe était maintenant à genoux et Elodie continuait de soccuper de lui, en pratiquant en même temps une lente masturbation. Elle fit aussi lentement bouger les deux doigts.
- Oh, cest bon, oui, continue, Princesse!
Elodie répandit de lhuile sur le pénis et les bourses de Philippe. Pour celui-ci, cétait magique. Il ressentait deux sensations différentes, celle très douce de la masturbation et celle plus forte et néanmoins diffuse de lautre côté.
Elodie fit allonger Philippe sur le dos, un doigt toujours enfoncé. Elle lui mit un coussin pour surélever son bassin et rendre la position plus confortable. Autant elle avait été le matin même brutale avec Olga, autant avec Philippe ce qui caractérisait la jeune étudiante, cest la douceur infinie quelle mettait dans ses gestes et la sensualité quelle dégageait.
Elle reprit de lhuile et lappliqua sur le pénis et dans lanus de son amant.
Les doigts dElodie faisaient toujours leur travail et commençaient à déclencher des sensations très agréables qui se démultipliaient. Philippe ne maîtrisait plus rien, cétait irréel. Il soupira et poussa de petits halètements. Elodie, experte, comprit quil était proche de lorgasme prostatique et continua, bien décidé à faire jouir Philippe de cette façon là.
Celui-ci naurait jamais imaginé cela de la petite étudiante, quand elle avait franchi le seuil de sa porte deux jours plus tôt. Elodie était bien une merveilleuse et adorable petite salope comme Olga lavait si vite ressenti!
Philippe soupira et poussa de soupirs emplis dhormones bien mâles. Ses orgasmes se succédèrent comme des vagues déferlantes.
- Oh oui, Princesse, cest merveilleux, je voudrais que cela narrête jamais.
Elodie ne savait pas si Philippe allait éjaculer ou non car ce cela pouvait arriver parfois lors dun orgasme prostatique. Elle se tenait prête au cas ou. Philippe ne sentit pas son sperme monter et sortir de sa queue pour jaillir comme la lave dun volcan. La gorge chaude dElodie était là pour l'accueillir au cas où. Il sabandonna à cette jouissance sans éjaculation aux subtiles sensations que lui procurait cette merveilleuse étudiante.
Elodie était ravie de le voir prendre ce réel plaisir, satisfaite que Philippe garde en réserve son sperme pour plus tard. Elle tenait bien à profiter du cadeau exceptionnel que lui faisait Olga, en faisant à nouveau lamour avec Philippe avant de sendormir profondément dans ses bras, heureuse comme elle ne lavait été depuis bien longtemps. Il lui fallait de la force et du repos pour affronter ce qui lattendait le lendemain mais elle nen avait que faire. Le sommeil ne pouvait pas remplacer lamour que lui faisait Philippe. Elodie fonça vers le tiroir à plaisir et revint, tout sourire aux lèvres, avec une paire de menottes. Elle voulait mentalement quil sattache à elle un peu comme les amoureux le font avec des cadenas sur le pont Neuf. Elle se blottit tout contre son Philippe, dans les bras de celui qui était pour elle son Roi. La nuit était pour eux. Pour sa plus grande fierté, cest à elle que reviendra lhonneur de la pipe matinale quotidienne de Monsieur Philippe.
***
Message dElodie: par respect pour ce couple que jaffectionne tant, il me paraissait essentiel de laisser Philippe exprimer ces scènes damour tant attendues entre nous deux.
Un candauliste expérimenté qui a tant lhabitude de regarder et dadmirer les choses, en sait bien plus que moi sur le plaisir. Et qui suis-je pour écrire ces scènes là? Je ne me sentais pas à ma place et étais énormément gênée.
Merci à Philippe davoir pris le relais et de me montrer le chemin de ce qui était acceptable pour eux deux.
Merci à Olga de nous avoir laissé la liberté de vivre avec Philippe ce chapitre, à deux.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!