La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 621)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°620) - Humiliant et dur retour à la slave Académie (2/2) –

Son réveil fut rude, les Maîtresses Marina et Ella, l’extirpèrent de son sommeil, sans douceur ni préambule. Toutes deux constatèrent qu’il avait très largement souillé le sac de couchage, mais elles ne lui firent aucune réprimande. Elles l’emmenèrent dans la salle de bain, le libérèrent de sa cage de chasteté et frappèrent des mains en même temps. De suite, sans tarder, Axel, un stagiaire soumis, collier au cou, entra nu et celui-ci reçu l’ordre de s’occuper de l’esclave MDE. Alex le lava donc à grand jet. Il le frotta, le brossa, le shampooina, le savonna de partout et lui fit un lavement autant vicieux que douloureux suite aux ordres des deux Dominas qui confortablement installées dans deux chaises rembourrées regardèrent le spectacle avec des yeux pervers. Une fois sec et propre, enfin il sentait bon. Elles se levèrent et inspectèrent avec une attention particulière toutes les parties intimes de son corps sous toutes ses coutures. Elles exigèrent d’Alex d’épiler soigneusement l’esclave MDE, et aussi de le raser de près. Elles prirent grand soin du nouveau tatouage qu’il portait désormais en l’inspectant minutieusement. Tel un nourrisson, Endymion MDE n’avait d’autre choix que de se laisser faire. Il se demandait toutefois pourquoi on le préparait ainsi. Il n’allait pas tarder à le savoir. Sitôt prêt et propre, Alex lui apporta largement de quoi manger et boire. Une fois que l’esclave MDE s’était restauré, laissant Alex le soin de nettoyer la salle de bains, les deux Dominantes conduisirent soumis Endymion MDE, tenu fermement par son collier, à l’étage supérieur. Là, dans une pièce meublée de deux fauteuils et d’un vaste divan en cuir, d’une grande sobriété, juste devant ceux-ci, soumis Endymion MDE fut attaché nu, sans cage de chasteté, membres supérieurs à l’horizontal, jambes jointes, sur une croix chrétienne.



- Attention Endymion MDE, tâche de ne pas nous décevoir…

La pression était montée d’un cran, les deux Dominas repartirent sans autre commentaire. Lui se demandait bien quel sort lui réservait-on ? On verra bien ! se disait-il comme une fatalité ou plutôt comme une jubilation excitante de se sentir ainsi attaché tout nu et exhibé à la merci du premier venu. Car il avait appris à lâcher prise, à se contenter d’obéir, à mettre de côté toute pudeur et volonté. Il attendait donc presque sereinement presque excité par un début de bandaison que lui permettait le fait qu’on lui avait ôté sa cage de chasteté.

Etait posé sur la petite table basse placée à côté du divan, des flutes à champagne ainsi qu’un seau à glace. Juste à côté, une boite de chocolat Bernachon, célèbre chocolatier lyonnais, et une corbeille débordante de fruits exotiques. Le temps s’égrainait lentement, très lentement et parfois quelques crampes musculaires sortaient Endymion MDE de ses songes pervers et érotiques, le faisant bander encore mieux… Enfin, il entendit des pas dans le couloir, il reconnut la voix de Maître CharlEd conversant en anglais, avec d’autres personnes. La porte s’ouvrit, Maître CharlEd entra le premier, tenant à son bras son épouse, suivi d’un autre couple. Tous quatre s’installèrent, sans faire la moindre attention à l’esclave MDE attaché, sur le sofa et les fauteuils et poursuivirent leur conversation. Endymion MDE ne comprenait pas grand-chose, sinon rien. L’homme étrangement portait un kilt écossais, avec des grandes chaussettes montantes à ses genoux, une chemise blanche avec une cravate, un blazer bleu marine. Il était robuste, costaud, rouquin, une barbe généreuse et florissante. La femme, était plutôt mince, de petites lèvres fines et pincées, sur lesquelles étaient posées un rouge à lèvre discret, lui donnaient un air sévère, le visage remplit de tâches de rousseur. Elle était vêtue d’un petit tailleur chanel noir parfaitement ajusté à sa taille, un corsage blanc, des petits mocassins vernis noir à talons plats.
Ce couple d’une soixantaine d’années, faisait très chic et très bourgeois. A peine venaient-ils de s’installer, qu’Axel, le stagiaire soumis, réapparu, toujours nu, mais cette fois vêtu d’un simple nœud papillon noir autour du cou et d’un petit tablier de soubrette apporta une bonne bouteille de champagne. Il servit discrètement les quatre verres, posa la bouteille dans le seau à glace. Alors qu’il s’apprêtait à repartir furtivement, Maître CharlEd l’attrapa par un bras.

- En levrette ici, ne bouge plus !

Sans attendre, le chien soumis Axel, se positionna comme exigé, son fessier relevé et exposé au regard de soumis Endymion MDE. Son cul était encombré d’un plug, sa nouille encagé. La conversation reprit son cours, les quatre protagonistes ayant regardé d’un œil distrait le chien mâle soumis se prosterner. L’échange semblait être courtois, respectueux et quelque peu mondain. Ce fut qu’au bout d’une heure peut-être que Maitresse Ella se leva. Elle quitta la pièce rapidement et revint quelques minutes seulement après avec un gros album photos sous le bras. Elle s’assit entre le couple et montra certaines photos :

- Yes, this is Phryné MDE, and here Laïs MDE
- Okay, okay, I see… Very good slaves I think! Reprenait l’homme
- Oh Yé, so good, very, very good slaves

Pourquoi diable parlaient-il des soumises Phryné MDE et Laïs MDE ? Les photos montrées étaient très explicites, on voyait les deux chiennes femelles MDE, nues et enchainées aux pieds de Monsieur le Marquis d’Evans.

- And here, it’s Endymion MDE ? Interrogeait la femme
- Yes off course… reprenait Maîtresse Ella.

L’échange reprit de plus belle, mais là sans qu’Endymion MDE puisse comprendre un seul mot d’un anglais parlé trop rapidement, mais peu après, soudainement l’homme en kilt se leva et vint à la rencontre de l’esclave MDE. Au passage, il caressa les fesses du chien soumis Axel, appuya sur son plug, ce qui le fit sursauter…

- Oh ne faut pas bouger petit chien… lança l’homme en français avec un accent très british.


Mais ce fut le seul intérêt qu’il porta à Axel, il s’approcha d’Endymion MDE quelque peu angoissé. La première des choses qu’il entreprit sur lui, fut de le choper par les couilles et de les lui tordre. Son autre main s’appuya sur son front pour lui maintenir la tête plaquée contre le pilier vertical.

- Tu es, parait, un bon salope… yes !….

Son français était approximatif, mais sa poigne était ferme. Il lui broyait littéralement les couilles. Endymion MDE se mordit les lèvres pour ne point geindre sous cette pression qui le fit bander fort et excité mentalement aussi. Il fut content lorsque cette main le libéra. Son épouse, et le couple d’Evans s’étaient eux aussi rapprochés. La femme s’intéressa au mamelon de l’esclave MDE. Elle planta ses ongles dans ces chairs tendres et sensibles et pinça violemment. Endymion MDE, hurla, une gifle aussitôt tomba. Elle était assénée par Maître CharlEd

- De la tenue salope ! lança-t-il à Son esclave MDE.

Maintenant c’était sa queue qui intéressait le couple, on la lui décalottait, on examinait son gland, le pressait pour entrouvrir son méat. Ses couilles étaient soupesées, étirées avec en sus quelques petites pichenettes sur elles, comme ça, pour rien, ou pour tester sa tolérance à la douleur. On lui fit ouvrir en grand sa bouche, on vérifia sa dentition, on lui pinça la langue. L’homme revint sur ses tétons, les tordit encore à plusieurs reprises. A pleine main, on tâtait ses flancs, ses cuisses, ses mollets, ses fesses. La femme lui demandait de sucer ses doigts. Endymion MDE tel une bête de foire se laissait examiner et malmener. L’humiliation vécue l’excitait sa queue s’était érigée instantanément encore plus visiblement dans une raideur gonflée, il bandait comme un âne ! On la lui tordait, la branlait, la caressait, l’homme un instant seulement la prenait en bouche et la suçait rapidement. soumis Endymion MDE, fut ensuite détaché, sur ordre il se mit en dog en se cambrant au maximum.
L’homme lui coinça la tête entre ses deux jambes et lui claqua le cul à plusieurs reprises, tandis que la femme, lui glissait un doigt dans le fion, le remuait et imprimait des mouvements de rotation pour tester l’élasticité de ces fibres intimes. L’homme lui libéra la tête mais lui fit comprendre qu’il devait rester sous son kilt. En exerçant une pression sur ses tempes, il fit relever son visage afin que sa bouche vienne en contact avec son intimité. Comme tout bon écossais, il ne portait pas de sous-vêtements, Endymion MDE, le pompa goulument, avidement. Sa queue prit vite du volume, elle était imposante, longue et épaisse.

Et lorsque celle-ci atteint une belle érection, l’homme se dégagea rapidement puis s’agenouilla derrière l’esclave MDE et le pénétra d’un trait sans aucune hésitation et s’enfonça profondément, puis le forniqua longuement, sauvagement, bestialement pendant que Madame, sans la moindre gêne, jupe relevée se faisait brouter son petit minou. Ni l’homme, ni la femme ne voulurent jouir, ils n’étaient pas là pour ça, il était là pour tester les capacités mentales, physiques et sexuelles de cet esclave MDE. Et le dernier test qu’il dut subir fut la badine sur son cul nu et tendu et sur ses omoplates. Des coups lui furent appliqués par l’un et l’autre, les deux à la fois, d’abord mesurés, puis avec force et une certaine puissance dans les coups portés sans ménagement, juste pour tester son endurance et son masochisme. Pendant un temps soumis Endymion MDE était resté à quatre pattes, mais sous les coups plus durs s’était allongé de tout son long sur le carrelage froid et se laissait bastonner en y trouvant une forme de plaisir intense, tant il bandait de plus belle, plus on le frappait, plus il en était excité… Le test était terminé et à priori concluant. L’homme attrapa Endymion MDE par son collier pour le faire mettre à genoux devant eux. Il le complimenta et ria à gorge déployée, lorsqu’il vit la queue superbement érigée du chien soumis MDE :

- Tu es bon chien ! Et une grosse queue… dit-il toujours avec son accent anglais

Il lui posa un baiser sur le front, sa femme en fit de même. Les quatre Dominants s’asseyaient de nouveau sur le divan et devisèrent encore. soumis Endymion MDE comprit qu’un marché était en train de se conclure, sans vraiment en comprendre le sens.

- It’s good for us, perhaps with Laïs MDE ?, I let you see with Monsieur le Marquis d’Evans ? (NDLA : Traduction : Il est bon pour nous , peut-être avec Laïs MDE ?, je vous laisse voir avec Monsieur le Marquis d’Evans ?)

- No problem, I’ll call soon and will keep you informed. (NDLA : Traduction : Pas de problème, je vais l’appeler bientôt et il vous tiendra au courant)

L’homme topa sa main dans celle de Maître CharlEd, l’affaire était presque faite…

(A suivre…)

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