Offerte...
Je porte une abaya noire avec mon niqab qui voile mon visage et laisse à peine deviner mes yeux sous le léger voile noir qui couvre mon visage
Sous mon abaya soyeuse je porte les dessous sexys noirs que mon Maître adore et qu'il m'a ordonné de mettre aujourd'hui : un corset de satin auquel sont fixés mes bas de nylon noir, et une fine culotte de soie et dentelle noire à travers laquelle on devine d'un côté la bosse faite par ma cage de chasteté qui enserre et emprisonne mon petit sexe dans sa coque de sillicone cadenassée, et de l'autre le bijou rose qui orne le rosbud taille XL qui est enfoncé dans mon petit cul lubrifié...
Personne ne soupçonne sous mes allures de musulmane voilée le changement de ma personnalité. Personne, sauf toi, mon Maître
toi, tu sais ma tenue sexy sous mon abaya et tu connais mes secrets désirs les plus inavouables
Tu es mon diable de la tentation et je nai pas résisté à tes ordres : jai succombé, sans remords, ni regret, devenant ta fidèle.
« Ce jour sera celui de ton initiation au plaisir d'être offerte à plusieurs inconnus » mavait tu dis. « Tu me rejoindras après la prière rituelle à la mosquée et je t'y emmènerai»
Je ne sais pas qui seront mes tourmenteurs et amants... Mon cur bat sous lémotion et lappréhension. Des frissons parcourent mon corps si chaud
Oh, Démon de mes nuits
Satan de mes envies!
Avec toi, jirais brûler en enfer
Avec tous les diables de la terre!
A la fin de la prière, je quitte la mosquée pour retrouver ma voiture sur le parking... Je démarre aussitôt en direction du lieu où tu m'as donné rendez-vous, le parking de ce petit hôtel de routiers et de voyageurs de commerce situé à l'écart de la voie rapide, et qui appartient à ton ami Ahmed.
J'y gare ma voiture puis me rends à pieds vers l'hôtel. Je tape mon code de réservation sur l'automate aui m'ouvre la porte et je pénètre dans le hall désert. Tu m'a dit d'aller vers la petite salle de restauration qui est plongée dans l'obscurité totale.
De longues minutes s'écoulent, une demi-heure peut-être, et ma position devient douloureuse, mais je n'ose ni bouger ni me relever
La porte qui grince légèrement, et soudain le bruit de Tes pas
sur les dalles
je ne me retourne pas
tu prends place derrière moi. Tes mains se posent sur mes epaules et remontent sous mon voile. Tu caresses doucement mes cheveux blonds
une douce chaleur, mêlée dexcitation intense monte en moi: Oh, merci, Maître de mavoir rejointe !
Tu sais
que je suis excitée
alors tu te penches vers moi et me dit lentement les tourments qui m'attendent comme la plus délicieuse des prières
puis tes mains glissent le long de mon corps
Tu soulèves lentement mon abaya, dévoilant mes attributs de femme impudique. Tes mains à la peau brune contrastent sur la blancheur de mon ventre
puis tes doigts se posent sur la pomme ronde de mes fesses
tu les presses avec amour avant deffleurer doucement mon rosebud planté dans mon intimité. Ma respiration saccélère lorsque tu l'appuie fortement décuplant soudain mon plaisir... Ton autre main caresse maintenant ma cage de chasteté, où mon sexe écarlate et vibrant de désir essaie désespérément de se dresser dans sa cavité, me procurant une lancinante douleur qui irradie mes reins... Tu sais que je tappartiens corps et âme, soumise à tes perverses envies.
Tes doigts se mouillent au contact de la fente qui laisse s'écouler la cyprine de mon sexe entravé, tandis que ton autre main extirpe avec un délicieux bruit de succion le rosebud qui me pénétrait, pour le remplacer aussitôt par tes doigts qui se font explorateurs de mes profondeurs sacrées, me procurant de divines sensations, en me pénétrant l'un après l'autre...
Mes mains se crispent , tandis que je peine à ne pas troubler le silence. Quatre doigts de ta main sont maintenant entièrement enfoncés en moi, me fistant délicieusement tandis que ton autre main se libère de ma cage et jentends le bruit de la fermeture éclair de ton pantalon que tu fais glisser.
Pénètre-moi, je serais ta Vierge
Possède-moi, je serais ta Putain
Je sens ton sexe dur se poser à lextrémité de ma rose pucelle..
Lentement, très lentement, tu tenfonces dans les plis de ma chair excitée. Je tremble, je gémis, et je crie lorsque soudain tu vas et viens en moi.
Les mains posées au sol, mon abaya retroussée sur mes reins, mon derrière soffre entièrement à toi. Tu me possèdes encore plus loin et plus fort
ton rythme saccélère
Puis tu tarrêtes tout au fond de moi: lune de tes mains sur mon ventre me maintiens dans la position tandis que lautre caresse de ton index la fente de ma cage de chasteté, excitant de ton ongle, le gland violacé qui y est emprisonné
je ne sens plus mes jambes, mes genoux sont si douloureux et un plaisir intense inexorable monte dans mon ventre
.un éclair brutal me fait hurler explose tout mon être
je te sens à peine me rejoindre, répandant dans lair une odeur suave et inondant soudain mon conduit de spasmes réguliers qui y propulsent ton divin nectar au coeur de mon intimité... Des secousses habitent encore mon ventre et mon sexe lorsque je sens ton lait masculin couler le long de mes cuisses et de mes jambes. Haletants, nous nous serons lun contre lautre un moment. Le silence et la pénombre nous enveloppe.
« Viens mon esclave » chuchotes tu à mi-voix. Tu maide à me relever et tu prends deux foulards noirs avec lesquels tu me lies les mains puis, relevant le voile de mon niqab, m'aveugle soudain en posant l'autre sur mes yeux et en le nouant sur ma nuque. Ensuite tu m'ôte mon abaya, me laissant seulemnt mes dessous noirs, mon niquab et ce foulard qui m'aveugle... Tu m'entraînes alors vers l'escalier qui dessert les chambres de l'étage.
Tu me tires doucement, les yeux bandés et les mains attachées.
« Tu vas faire connaissance avec mes amis » me dis-tu doucement. Je ne mattendais pas à les rencontrer de cette manière; « Pourrais-je les voir Maître ? » osais-je te demander.
« Non, esclave ! Maintenant tais-toi...»
Et je te suis mon Maître tandis que nos pas avancent maintenant sur le tapis du couloir qui mène aux chambres. Tu t'arrêtes soudain et ouvres une porte. Les murmures et discussions qui s'y tenaient s'arrêtent instantanément. Tu me pousses à l'intérieur et annonces triomphant « Voici Taya, ma chienne soumise, que j'ai préparée pour vous et que je vous offre ce soir... »
Je frissonne soudain, balançant entre peur et excitation. Combien de temps sécoule-t-il? Je ne sais pas
Mon Maître dénoue soudain le lien qui serrait mes poignets, mais c'est pour aussitôt étirer mes bras et me pousser sur un lit où l'on m'écartèle en entravant mes mains aux montants opposés du lit sur lequel je repose, à demi-nue et offerte...
Et je sursaute lorsque une première main se pose sur mon ventre...vite suivies d'autres mains chaudes qui se posent sur mon corps, le fouillant et le caressant... Jai envie de pleurer
mais je suis incapable de bouger. Mon cur va exploser dans ma poitrine: Oh! Délicieux inconnus vos mains descendent le long de mon corps, caressent doucement mon visage voilé, . Je sens vos regards posés sur moi, jai lenvie furieuse darracher mon foulard, cachant ma vue.
Puis un sexe se présente contre mes lèvres, que je happe aussitôt d'une bouche avide et gourmande... Jai passé la barrière de la peur et lexcitation gagne tout mon corps.
Oh! Inconnus! Vos mains sur mon ventre, sur mes seins, mes jambes, mes fesses
partout vous explorez chaque parcelle de ma peau
excitant mes sens, réveillant en moi les démons de lenvie. Je vous désire, ardemment et sauvagement: jai envie de pêcher avec vous mes frères !
Je sens un sexe dur, caresser mon bas ventre et descendre entre mes fesses. Des ondes dans mon bas ventre exacerbent lenvie dun sexe en moi
je ressens le besoin impérieux dêtre prise. Je tremble
denvie
Je guide avec mes reins cette progression de la bite en moi car mes deux mains attachées m'empêchent de le toucher
De furieux vas et viens marrachent des cris et me procurent un plaisir que je navais jamais connu avant.
Et brusquement, jai le besoin de Toi, mon Maître absolu, le besoin vital de te sentir près de moi. Je suis presque en pleurs lorsque je tappelle, mon Seigneur de mes plaisirs et fantasmes, mon ange gardien de mes jours et de mes nuits enfièvrées. Tu comprends mon appel et arrives très vite près de moi, me couvrant de baisers, de tendresse et de mots damour « tu tes bien faite baiser, mon esclave adorée , maintenant je vais te faire souffrir pour que tu jouisses en pleurant»
Je me blottis dans tes bras, me serrant fort contre toi, et je te réclame la douleur...
Une claque éclate, suivie dune autre, et encore dune autre
salignant pour remplir le silence dune douce mélodie. Je savais tes mains virtuoses à punir son esclave Ô mon Maître absolu !
Tu te relèves alors et m'annonce le fouet, que tu dois tenir en mains car je sens la lanière de cuir tressé qui glisse sensuellement sur ma peau dénudée...
Tu me prends soudain les tétons entre tes ongles et les pinçant sauvagement tu me fais hurler, puis tu y fixes des pinces d'acier dont les dents viennent soudain mordre le téton rosé m'arrachant un nouveau cri que tu masques aussitôt en faisant pénétrer dans ma bouche un baillon boule en caoutchouc dur que tu resserres sur ma nuque et me rend muette pour les coups que j'attends, fébrile et fièvreuse,.. jai toujours les yeux bandés, les mains attachées, écartelée sur ce lit...
J'attends le fouet, mais une odeur de cire chaude plane, car toi, mon Maître, tu as du allumer une bougie et je sens soudain la morsure de la cire brûlante sur mon ventre, sur mes seins, sur mes tétons violemment étirés par les pinces d'acier...Je me débats, muette et douloureuse...
Tu me fouettes alors avec passion, mon corps se tordant de douleur sous les coups appliqués que tu m'offres Ô mon Maître Adoré... Je sens mon sexe suinter entravé dans sa cage, mon corps n'est que douleur et je hurle muette ma douleur mêlée au plaisir, car je jouis pour Toi mon Seigneur !
Aucune parole, aucun mot nest venu troubler le rite solennel
on entendait le souffle rauque de nos respirations, linstant nexistait plus! Jétais comme transportée vers dautres cieux: le royaume du Plaisir?
Aveuglée, muette, entravée, Je gémis, je crie, je hurle
une jouissance jamais connue mexpédie pour la première fois de ma vie, jusquà la petite mort
Oh, mon Maître, si tu savais,..
Comme je taime., comme je t'adore, comme je te vénère, Ô mon sublime Seigneur Arabe !
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