La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 622)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°621) - Sa vie à la slave Académie -

La vie avait repris de plus belle pour soumis Endymion MDE au sein de cette slave Académie BDSM-MDE, avec des rythmes de plus en plus effrénés pour lui et les chiens soumis stagiaires. Les journées étaient éreintantes, avec des timings pressants, ne laissant guère de temps de repos à ceux détenus volontairement ici. Tous étaient réveillés à cinq heures de matin, par une Educatrice et ils devaient très vite se rendre disponibles pour deux heures de travaux d’intérêt généraux. Leurs cellules devaient être parfaitement rangées et nettoyées, comme les locaux communs, telle la salle de douche, les toilettes communes, les salles de cours et d’entretien physique. Le matériel devait être rigoureusement propre, rangé selon un ordre précis. Sans perdre de temps, il fallait bien à ces douze chiens soumis mâles, ces deux heures pour que tout soit parfait ! A sept heures précises, Monsieur le Directeur venait contrôler si le travail quotidien avait été fait scrupuleusement et correctement. Les stagiaires slaves se tenaient alors, tous alignés dans le couloir desservant leurs cellules, debout, évidemment nus, dos bien droit, mains sur la tête, le regard pointé sur leur cage de chasteté. Ils attendaient sagement que Maître CharlEd passe en revue l’ensemble des bâtiments, vérifie dans les moindre détails si les ordres commandés avaient été parfaitement respectés. Si par malheur, il détectait une quelconque lacune, une négligence, une faute, alors, sans chercher à savoir qui l’avait commise, il punissait l’ensemble des chiens soumis mâles, pour soit disant créer et maintenir une dynamique de groupe et de mobiliser chacun des stagiaires sur cette culture de soumission à l’autorité. L’excellence était son seul leitmotiv et considérait que chacun des chiens soumis devait être en quête constante de performance et prouver ainsi leur motivation d’obéissance.

S’il y avait punition, elle était donnée le soir même, à dix-neuf heures précises, en salle de travail.

Sitôt la revue terminée, et avant même de prendre leur petit déjeuner, les chiens soumis étaient conduits dans cette fameuse salle de travail pour un entrainement dit « pédagogique » utile à leur conditionnement. Là, toujours pris en charge par Maitre CharlEd, Ils étaient tous attachés par les poignets, bras levés, quelque peu suspendus, pointe des pieds reposant à peine au sol. L’heure était venue pour eux, de subir au minimum les vingt coups journaliers de paddle sur leur fessier, afin que leur cul soit bien tanné, tel devait l’être, un cul d’esclave ! Mais la perversité ne s’arrêtait pas là… Il fallait que chaque soumis stagiaire accepte ce douloureux traitement sans le moindre mot, le moindre cri, le moindre gémissement. On tolérait seulement d’eux grimaces, gesticulations ou trémoussements. Si l’un d’entre eux déméritait et émettait la moindre petite plainte, alors deux règles étaient appliquées. La première, on redistribuait vingt coups supplémentaires au douze stagiaires, et là encore, il fallait entendre une mouche volée, sinon on recommençait encore et toujours. La seconde s’adressait à celui ou ceux qui avaient osé émettre un son, il(s) servai(en)t pour la journée entière d’urinoir à tous les autres stagiaires. Avec le temps et la ritualisation de cette séquence, il était devenu bien rare qu’un stagiaire s’oublie. Les chiens soumis mâles avaient appris à accepter ce dur traitement quotidien, à ne rien dire et se laisser battre, et ce qui était incroyable et extraordinaire, tous prenaient consciences que ces exercices douloureux leur permettaient de développer leur soumission et leur masochisme en leur apportant une certaine forme de plaisir. Sitôt détachés, ils se positionnaient immédiatement en levrette et se prosternaient aux pieds du Maître qui les avaient entrainés pour le remercier de ces terribles mais néanmoins délicieux traitements.

Ce n’était qu’une fois leur cul bien rougi par l’épreuve qu’ils étaient conduits par l’Educatrice et pouvaient aller se nourrir de cette nourrissante bouillie.
Bien sûr, là encore, le temps était compté – pas plus de quinze minutes, pour avaler à quatre pattes cette texture compacte et calorifiques. Ils étaient ensuite dirigés vers la salle de douche et devaient, sous le regard sévère de cette Domina, se laver correctement, hormis leur queue toujours encagée, puis venir près d’eux se faire contrôler et se présenter à l’inspection. La posture était ment outrageante. Chacun leur tour, ils s’approchaient respectueusement, le regard bas, les mains dans le dos devant La Dominante présente, puis au claquement de doigts, se retournaient, inclinaient leur tronc à 45 degrés en s’attrapant de leurs deux mains, les lobes fessiers pour s’écarter la raie et présenter leur trou anal. Ils subissaient alors un toucher rectal en profondeur, ce doigt venait et allait deux ou trois fois, et dès qu’il ressortait de leurs entrailles, les slaves, s’agenouillaient, cette fois-ci, face à l’Educatrice, ouvraient la bouche en tirant la langue. Le majeur alors s’essuyait sur cette langue tendue, valait mieux pour eux qu’il soit propre…

Après la douche, les slaves, trois par trois, reformaient leur petit groupe et étaient repris en charges par leurs éducatrices et partaient à cette heure-ci, faire les larbins auprès des Maîtresse Ella de Maîtresse Marina et de son amie Lauren, venant tout juste de se lever. Un premier groupe préparait leur petit déjeuner pris en commun, un autre s’occupait de napper et dresser la table et le couvert, le troisième rangeait et nettoyait la cuisine, bien souvent laissée en désordre après le diner de la veille au soir. Enfin le quatrième groupe restait à la disposition des Maîtresses et de Madame Lauren et s’occupait du service. Bien souvent ce dernier groupe se retrouvait très vite, sous la table du petit déjeuner. Leurs langues offraient leur service et se régalaient de ces nectars intimes coulant à flot dès les premières heures de la journée. S’enchainaient ensuite les diverses corvées, les cours de slavitude, la gymnastique, ou autre servitude selon le gré des Educatrices.


Ce matin-là était un peu particulier. Les slaves, comme tous les vendredis, étaient emmenés tous ensemble en salle de conseil. Le vendredi donc - seul point de repère pour les chiens soumis éduqués ici, parce que tous avaient perdu toute notion de temps - était un jour particulier. Effectivement, selon les termes utilisés, les salopes étaient conduits ici pour vider leurs couilles pleines d’au moins une semaine, sinon plus. Les chiens soumis étaient appelés à la barre un par un, Maître Charled avec son Epouse et sa Sœur examinaient leur carnet de fautes et de notations en prenant tout leur temps, parfois interrogeait le soumis, et en fonction des annotations, des punitions, des performances, des négligences de celui à la barre, ils accordaient ou non la purge des couilles. Ceux qui en étaient dispensés, étaient séparés des autres mais assistaient néanmoins à cette cérémonie masturbatoire, à genoux, mains sur la tête, afin de leur donner quelques regrets bien amers.

- Endymion MDE, présente toi !

Il y avait toujours un moment de tension et d’appréhension, lorsque l’esclave MDE se présentait devant ces trois Dominants. Il ne savait jamais à l’avance quelle décision serait prise à son égard.

- Tes couilles sont-elles bien pleines ? interrogeait Maître Charled.
- Oui Maître ! répondit-il sombrement et respectueusement.
- A quand remonte ta dernière purge ?
- La semaine dernière Maître.
- Crois-tu aujourd’hui que tu mérites de te vider, le chien !
- Vous seul décidez Maître.
- Là n’est pas la question salope, je te demande si tu as su démontrer ta volonté d’appartenir, ta soif d’obéissance, ton envie constante de te soumettre ? As-tu apporté à Nous, Etres Supérieurs, les plaisirs que nous exigions de toi ? As-tu accepté sans regimber tous les mauvais traitements que nous t’avons donnés et imposés? As-tu su donner correctement ton cul et ta langue ?

Les questions étaient des plus embarrassantes et humiliantes, bien difficile pour lui de répondre du tac au tac.
Il n’osait regarder le Maître l’interrogeant.

- Maî… Maître, j’espère avoir été à la hauteur de vos exigences.
- Tu pourrais faire beaucoup mieux, tu le sais salope…

Là, soumis Endymion MDE ne se faisait plus guère d’illusion, cette semaine il ne pourrait se donner du plaisir, tant le Maître lui avait parlé sévèrement.

- Je t’accorde tout de même la purge de tes couilles le chien, avec un privilège supplémentaire…

Maître CharlEd se tut quelques secondes qui lui parurent une éternité….

- Tu auras l’honneur et l’avantage de boire tout le jus de ces chiens dépravés. Tu as de la chance aujourd’hui, dix foutres différents ! J’espère que tu sauras apprécier.

Endymion MDE remercia le Maître et sitôt après, sur ordre, s’approcha de l’Educatrice en charge d’ôter sa cage de chasteté puis s’installa sur une petite estrade et commença à se masturber debout devant toute l’assistance. Sa queue était raide, extrêmement tendue, son gland violacé, il s’astiquait sans se presser selon les consignes données.

- Ecarte, écarte bien tes cuisses et comprime de ton autre main tes petites couilles de salope, tout en te mettant un doigt dans le cul…

soumis Endymion MDE obéissait strictement, faisant fi de l’humiliation vécue.

- Tourne-toi chien et cambre-toi bien pour nous montrer si ton doigt est suffisamment inséré dans ton trou de lope.

L’esclave MDE continuait à se masturber aussi lentement que possible, il voulait profiter de cet instant…

- Stop, ça suffit !

Instantanément Endymion MDE lâcha sa verge, malgré la très grande frustration qu’il vivait ! Il n’avait pas vu qu’un étrange accessoire venait d’être mis en place au centre du demi-cercle…

- Viens te placer sur cet instrument à quatre pattes, insère ta nouille dans ce masturbateur et branle toi seulement en faisant aller et venir tes reins… Tu n’es qu’un chien…. Et un chien n’utilise pas ses mains pour se branler !

(A suivre…)

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